Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 105 J'aime
  • 3 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Pour toi, lectrice perverse

Chapitre 1

Hétéro
Je me réveille péniblement, comme d’une nuit de sommeil dont on ressort sans avoir récupéré de la veille.
Où suis-je ? Que se passe-t-il ? Tout est flou dans mon regard, et le poids d’une enclume semble peser sur ma tête. Je devine autour de moi une pièce aux lumières tamisées, une chambre avec un grand lit drapé de blanc sur ma droite, noyé dans la pénombre, à moins que ce ne soient les vapeurs de mon lent réveil qui assombrissent ma vue.
Une silhouette est assise dessus. Cheveux blonds, faciles à distinguer même avec ma vision troublée, et entièrement nue. C’est en le constatant que je pense à regarder mon propre corps, et réaliser que je suis également en tenue d’Adam, assis sur une chaise de bois et de cuir. C’est ta voix qui me fait comprendre que tu es cette silhouette.
— Oh ! Tu te réveilles pile à l’heure, il a bien dosé !
Les souvenirs brumeux reviennent dans ma tête. J’étais avec toi au bar luxueux de l’hôtel. Nous buvions chacun une flûte de champagne. Notre rencard était un pur régal pour mes yeux. Tu portais une robe bleutée bordée de dentelles offrant à ma vue un décolleté vertigineux, dont je peinais à retirer mes yeux lorsque nous parlions. Cela t’énervait et te plaisait selon le moment, et tu rabattais ou ouvrais le châle de soie dorée qui couvrait tes épaules et ton buste selon que tu voulais ou pas perturber ma concentration. Nous savions à quoi se destinait le rendez-vous. La chambre était déjà réservée. Mais il y a toujours cette appréhension de plaire ou de ne pas plaire lors d’une première rencontre physique. Et de ce point de vue, tu as été rassuré dès les premiers instants, lorsque nous avons échangé une bise fébrile, qui aurait voulu être un langoureux baiser s’il n’y avait pas eu quelques autres couples attablés autour du bar.
J’ai passé la soirée à te regarder comme un objet de désir. Et plus mes yeux brillaient en reflétant les lubriques pensées qui m’habitaient, plus tu prenais un malin plaisir à m’emmener sur des conversations banales ou futiles, retardant d’autant le moment où l’on se lèverait, où je paierais l’addition, et où nous rejoindrions la chambre pour faire frénétiquement l’amour.
Par moments, j’ai tenté un “Bon, et si nous...” que tu interrompais aussitôt par un nouveau sujet lancé. Oh ce n’est pas que je manque de conversation, et je crois même avoir parlé avec toi de politique picarde, ce qui nous a amenés - on ne sait trop comment - sur la démocratie athénienne durant les guerres médiques, avant de revenir à l’écologie qui occupe tout l’espace médiatique. On a un peu parlé de mon boulot, et du temps pourri qui s’est déversé sur Amiens durant ce début décembre. Intérieurement, je me suis félicité deux ou trois fois de pouvoir suivre et animer nos petits débats sans lâcher ton décolleté des yeux, et sans perdre mon sang froid chaque fois que tu piquais une olive pour la croquer en laissant ostensiblement tes lèvres purpurines traîner dessus, avec une gestuelle sans équivoque.
Je me suis même cru assez malin et discret pour que tu n’aies pas remarqué comme je te matais... tout du moins jusqu’à ce que tu me reprennes, non sans un certain plaisir, avec un typique: “mes yeux sont plus hauts, mon chou !” qui nous as tous deux amusés.
Tu as commencé une phrase par “J’ai très envie...” et à cet instant, j’ai cru que l’heure des réjouissances arrivait comme si Noël était en avance.
—... D’une autre flûte de champagne ! Ca se fête, notre première rencontre ! Déception ! Seul ton petit sourire trahissait le fait que tu me faisais sciemment me languir de toi. Et j’ai alors tenté une approche frontale :—Moi, c’est de toi dont j’ai très envie... dis-je sur un ton bas, craignant d’être entendu.— Je sais, répondis-tu avec un regard en dessous. — Et j’adore ça, ajoutais-tu à mon oreille.— Mais j’ai toujours très envie de champagne avant de faire des choses... très vilaines...à un homme.— Très vilaines ? fis-je sur un ton plein de curiosité.— Très vilaine, insistas-tu en caressant ton buste d’une main leste, désignant subrepticement tes seins comme pour m’annoncer qu’ils allaient entrer dans le cadre des “vilaines choses” promises.
— Garçon, deux flûtes de champagne ! fis-je sans plus attendre, sur un ton décidé.
Le champagne ! Ce deuxième verre avait un drôle de goût, mais je n’y prêtais pas attention tant j’étais focalisé sur la lenteur insupportable avec laquelle tu buvais le tien, par petites gorgées entrecoupées de longues discussions dont je n’ai retenu qu’une vague liste de tes goûts musicaux. Je fus pris d’une migraine un peu sourde, mais n’osais rien en dire, de peur d’interrompre notre rencard, et espérant que ça passerait comme c’était venu. Je me souviens avoir payé au bout d’un long moment, dont je ne pourrais toutefois dire s’il a duré dix minutes ou une heure. Tu as fait un clin d’œil au barman. Nous avons pris l’ascenseur et j’avais le sentiment de marcher dans du coton. La chambre m’a semblé être dans un couloir interminable, du genre à évoquer “Shining”, et tu m’as invité à m’asseoir sur la chaise lorsque je me suis plaint d’un vertige. Puis, le trou noir.
Et je me réveille sur cette même chaise, nu.
Tu te lèves du lit et t’approches de moi lentement en promenant sensuellement tes mains sur ton corps. Avec cette même lenteur, tu m’enjambes et t’installes à califourchon sur mes cuisses. Ton sexe nu s’appose contre le mien et irradie déjà d’une chaleur exaltante, tandis que je retrouve progressivement la totalité de mes esprits. Tes seins opulents juste sous mon regard me font croire que je vois encore double, mais leur volume imposant est on ne peut plus réel.
Tu oscilles lentement des hanches, frottant ta vulve délicatement contre mon membre qui trouve plus promptement sa vigueur que je ne retrouve conscience. Tes mains se posent sur mes épaules et descendent le long de mon torse, d’un même geste en le griffant un peu. Puis elles reviennent sur mon propre corps en remontant, et viennent soupeser tes seins à quelques centimètres de mon nez.
— Tu les as matés toute la soirée... et maintenant ils sont à toi... me dis-tu comme une invitation.
J’entreprends aussitôt de les agripper, ne pensant déjà plus au pourquoi du comment de cette situation, mais quelque chose m’en empêche. Mes poignets sont menottés dans le dos de la chaise. J’essaie de les écarter, de tirer sur mes entraves, mais sans succès. En me débattant sous toi, je ne parviens pas plus à libérer mes mains que mes chevilles, qui elles aussi sont ligotées au montant de la chaise.
Tu pouffes d’un rire insolent.
— Eh bien alors ? Agrippe mes seins, malaxe-les, pétris-les, joue avec !” ordonnes-tu en sachant pertinemment que j’en suis incapable.
A dix centimètres de moi tout au plus, tu tortilles tes tétons entre tes pouces et index, tandis que ta vulve oscille sur mon membre lentement, dans une chaleur de plus en plus moite. Tu palpes tes seins, les presses avec une gestuelle mesurée et lascive, les frottes l’un contre l’autre. J’approche ma bouche, et tu recules d’autant, m’infligeant un supplice de Tantale.
— Tu veux les goûter ? demandes-tu.— Oh oui, fais-je dans un gémissement plaintif un peu lamentable.
Tu portes ton sein droit à ta bouche et le suces un peu. Puis le gauche, sur lequel tu agites ta langue frétillante.
— Mmmmm si tu savais comme ils sont bons, me nargues-tu.
Désespéré par mon impuissance, je laisse ma tête baler en arrière. Tu passes une main derrière mon crâne pour m’obliger à te regarder. De ton autre main, tu portes ton sein à ta bouche et le suces langoureusement, créant dans ta bouche un afflux important de salive. Puis tu te dresses un peu sur moi, me dominant de ta hauteur, me tiens la tête vers le haut, et m’ordonnes :
— Ouvre grand.
Je m’exécute. Tu craches alors ta salive en un long filet directement dans ma bouche.
— Garde ouvert, ajoutes-tu après m’avoir craché sur la langue, ça a le goût de mon téton, non ?
Je ne sais pas trop quoi faire ou répondre, bouche ouverte et langue tendue couverte de ta salive.
— Avale, ordonnes-tu laconiquement.
Cette inversion des standards issus de la pornographie m’humilie particulièrement. Voilà que c’est la femme qui demande à l’homme d’avaler ! J’hésite un peu, puis j’ingère ton crachat honteusement. A l’instant même, tu poses ta bouche sur la mienne et m’embrasses à pleine langue en frottant derechef ton sexe sur le mien, avec plus de fougue.
— C’est bien, chouchou ! Si tu es bien sage, j’avalerai, moi aussi, murmures-tu avec un sourire en te relevant de moi.
Tu te lèves ensuite de moi, non sans avoir une dernière fois approché tes seins de mon visage si près qu’ils l’ont effleuré fugacement. Puis te retournes et t’installes à quatre pattes devant moi. Ta croupe levée bien haute. Je me souviens alors de nos échanges virtuels, et de la promesse que tu m’avais faite de me rendre fou en m’offrant cette vue imprenable - imprenable à tous les sens du terme, car mes entraves m’empêchent plus que jamais d’assouvir une envie animale de levrette. Tu approches ton cul au plus près, si près que tes fesses viennent frôler ma queue. Leur sillon lui fait un écrin tout trouvé, et, en remuant lentement ton bassin de bas en haut, tu m’offres un simulacre de branlette entre tes fesses. Le spectacle est de toute beauté, et bien que la caresse soit en réalité légère, presque insensible en l’absence d’une préhension quelconque, je bande comme un cheval en rut en effleurant ainsi le creux de ton séant.
Tu trémousses tes hanches, tu danses lascivement, comme une danse tribale et mystique qui précède une offrande aux dieux du sexe. Tu passes une main derrière toi, me saisis la queue et la frappes sur tes fesses comme sur des tambours. Elle est dure, et produit un clappement sonore contre ta chair. Elevant plus haut tes fesses, tu apportes ta vulve contre ma queue, que tu plaques dessus avec ta main. Tu oscilles alors de nouveau ton bassin de bas en haut pour frotter tes lèvres vaginales le long de mon membre. Elles s’ouvrent comme des fleurs, prêtes à engloutir cette queue dont la peau fine et les veines saillantes agacent et attisent les rebords de ton intimité. Longuement et lentement, tu fais glisser le sillon de ta vulve tout le long de mes vingt-deux centimètres. Un simple geste pourrait me faire te pénétrer, et je l’attends avec impatience, transpirant, fébrile, grognant... mais ce geste n’arrive pas. Longuement. Lentement.
Ma hampe coulisse aux abords du paradis qui réside en ton ventre, le faisant se tremper intérieurement et s’ouvrir comme une fleur qui se refuse à lui. Je remue du bassin, espérant violer cette entrée interdite, et tu sens que je menace d’y arriver.
Tu te retournes alors et t’installes à genoux entre mes cuisses ouvertes. D’une main ferme, tu tiens mon sexe dressé en l’air, en jetant sur lui un regard d’une lubricité peu commune. Sans même t’en rendre compte, tu te mords la lèvre inférieure, et c’est seulement en voyant un éclair de fierté - voire, d’orgueil- dans mon regard que tu reprends ce petit air dédaigneux et supérieur qui sied tant à ton tempérament dominateur. Une façon tacite de me dire “Non, je ne vais pas flatter ton ego en vantant les dimensions de ta queue”. Pourtant, par-dessus ta main droite qui tient mon sexe à sa base, tu poses ta main gauche qui étreint ma hampe. Puis la droite vient par-dessus. Puis la gauche revient par dessus, et tu m’escalades ainsi pour constater qu’il te faudrait pratiquement cinq mains pour envelopper ma verge entièrement. Tout en tenant mon gland dans ta paume, tu viens par-dessus lui donner un petit bisou et en profites pour laisser dégouliner un filet de salive qui le recouvre.
Puis tu me lâches et lances une attaque par le bas cette fois, laissant ta langue partir de mes boules, et remonter lentement tout le long de mon membre, qui te paraît d’autant plus gros contre ton visage. Ta langue récupère la traînée de salive que tu as laissée dégouliner le long de ma queue, et viens la recracher aussitôt que tu en as atteint la pointe. Puis tu repars en bas, faisant avec ton pouce et ton index un anneau étroit autour de mes bourses pour les étrangler et les rendre plus proéminentes. Alors, tu poses ta bouche dessus et entreprends de les gober. L’une, l’autre, les deux en même temps, tu ne leurs laisse aucun répit, si ce n’est les brefs instants marqués d’un “POP” sonore lorsqu’elles s’échappent de tes succions, pour revenir se faire aspirer entre tes lèvres gourmandes. Tu sais que je veux ta bouche sur ma queue, et ce depuis de longues minutes, mais seuls mes testicules, gonflés d’envie et de semence brûlante, ont droit à ce traitement de faveur.
Tu les serres bien fort en tirant dessus pour bien les distinguer de ma queue. Tu voudrais me les arracher que tu ne t’y prendrais pas autrement, et lorsque tu les as tirés à toi au maximum, tu les gobes à nouveau en me soutirant des gémissements plaintifs, comme pour gober le symbole de ma virilité, aussi aisément que l’on gobe des bonbons. Quant à mon membre, dont tu sais que je suis orgueilleusement fier, tu le délaisses sciemment et ostensiblement. A peine déposes-tu quelques légers baisers tout en remontant le long de ma verge qui palpite, rigide, sur mon ventre.
Tu te lèves un instant, laissant là mon membre qui bande si dur qu’on peut y voir le relief de ses veines saillantes, gorgées de sang et de désir par le seul pouvoir de ta bouche, qui y a laissé une salive abondante et dégoulinante. Tu vas à la table de chevet toute proche, sur laquelle est posé un vase contenant un bouquet de roses, et tu en prends une. Ses pétales sont d’un rouge plus pourpre encore que mon gland, et, avec délicatesse, tu pointes cette fleur sur mon sexe et l’effleures de bas en haut. La robe - pourtant si légère - de cette rose provoque une caresse qui m’électrise. Tu l’agites comme on secoue un plumeau sur la pointe de mon sexe, puis descend me frotter les bourses avec une intolérable douceur. C’est insupportable, et tu vois tout mon corps se crisper.
— Faible créature, ricanes-tu en regardant mes muscles bandés, mon torse crispé, ma mâchoire serrée, tout ça parce que tu promènes avec nonchalance les pétales d’une petite fleur le long de mon membre.
Je pousse un râle que tu interromps en portant la rose sur ma bouche, pour m’intimer l’ordre de me taire.
— Tu crois qu’être un bon étalon, ce serait de me défoncer là sur le lit, pas vrai ? Mais tu te plantes, mon chéri. Ca c’est à la portée de n’importe quel amant. Par contre, résister à cette envie de me prendre comme une brute... abandonner tes sens à la sensualité... brûler de désir jusqu’à consumer ton âme entière... me vénérer comme la déesse du sexe que je suis...ça, c’est ce que j’attends de mon amant... alors, tu vas continuer de gémir à cause d’une petite fleur ? Ou alors tu vas te comporter en vrai mec, et me faire jouir ?
Cette question n’appelle pas de réponse. D’un geste, tu enlèves les entraves qui me liaient à la chaise, me permettant de me lever, en gardant toutefois les mains menottées dans le dos. Tu tires sur la laisse qui pend à mon cou, tenant la rose dans ton autre main comme une trique d’officier. Tu t’assois sur le lit, écartes les cuisses en grand avec une gestuelle exagérée qui a quelque chose d’impérial, puis d’une traction ferme sur la lanière du cuir, tu me traînes à genoux pour approcher mon visage de ta fente.
— Embrasse-la, ordonnes tu en tirant sèchement.
Je pose un baiser sur ta vulve. Mes lèvres enveloppent les tiennes avec lenteur.
— Mets-y la langue, dis-tu en passant une main derrière ma tête.
J’enfonce un peu ma langue dans le sillon de ta fente, la roulant et la déroulant agilement pour qu’elle force progressivement un passage entre tes chairs.
Ta main me presse la tête entre tes cuisses, tandis que j’échange un langoureux baiser avec les rebords de ton intimité. Tu tires si fort sur la laisse que je n’ai guère d’autre choix que de garder la bouche posée sur ta fente. Même si c’est de toute façon un délice que lécher les abords de ton trou, et que je ne voudrais pas être ailleurs, la pression que tu maintiens sur moi est une façon de me signifier que je te fais un cunni parce que tu le désires et que tes désirs sont mes ordres.
Ma langue se fait agile, jouant à se tortiller entre les berges de ton antre humide. Elle s’affole en remontant vers ton clito, auquel elle assène de frénétiques petites caresses, imitant les lapements du chaton qui boit son lait.
— C’est ça..., fais-tu dans un gémissement. Il y a une indicible expression de plaisir dans ta voix et tes yeux mi-clos, entre le fait de me tenir en laisse et entravé alors que tu sais mon envie de te faire brutalement l’amour, et le fait d’avoir ma bouche toute dévouée à ta fente.
Mes lèvres font une prison brûlante à ton clito, dans laquelle mon souffle chaud et ma langue excitée déversent sur lui un ouragan torride de tourments, de retournements, de baisers, de souffles brûlants...
Ma langue s’enroule dessus au gré de baisers en cascades, et de tétée sur ton bourgeon d’amour qui m’abreuve de cyprine amère et chaude. Je le laisse un instant se reposer de ces assauts en lui déposant d’amples passages de langue, lents et humides, avant de le sucer derechef, avec une langoureuse gourmandise. Puis je descends mordiller la grande lèvre vaginale, puis la petite, que j’aspire à moi, puis de nouveau la grande.
A cet instant, ton plaisir est la seule chose dans tout l’univers qui compte. En pleine adoration de toi-même et de ta jouissance, tu poses la pointe de tes doigts sur ton clito et le fais rouler sous elles avec entrain, pendant que je bouffe ta chatte quelques millimètres en dessous. Tu te masturbes sans retenue pendant que ma langue visite ton trou avec une habileté et une fougue décuplée par l’envie impérieuse de te faire jouir par nos efforts combinés. Je voudrais enfoncer mes propres doigts dans ta chatte, mais les menottes ne cèdent pas à mes tentatives - si vaines que c’en est idiot - de les briser. Ce que tu veux, c’est ma langue qui goûte ton intimité tandis que tu t’appliques à te procurer un orgasme. Personne ne connaît mieux ton corps que toi-même, et c’est avec une gestuelle qui n’appartient qu’à toi que ton clitoris se fait caresser.
Tu doses la pression et la rapidité de tes mouvements avec une justesse incomparable, prenant le temps de te faire venir en savourant les voyages de ma langue dans ton vagin. Je m’évertue à entrer aussi profond qu’il m’est anatomiquement permis, mes lèvres plaquées sur les tiennes et mon appendice qui s’étire, se tend et s’affole en toi. Ma courte barbe picote ton pubis de sensations électriques, trop douces pour être agressives, trop agressives pour être douces. Tu te caresses le clito avec une frénésie accrue, et tes cuisses se resserrent autour de ma tête. Cette crispation annonce ce que toi et moi attendons et ce à quoi nous nous efforçons d’arriver, toi du bout des doigts, et moi à pleine langue ; cette langue qui visite ta grotte en y mélangeant salive et mouille pour former un torrent de délices trempés. Tes cuisses à présent me tiennent prisonnier, tes chevilles croisées derrière ma nuque.
Ce n’est pas seulement l’extase paralytique de l’orgasme à venir: Tu veux me jouir sur le visage et la langue, pensant à ces éjaculations faciales que les hommes sont si prompts à dispenser à la face des femmes, à l’image du final obligatoire de tout porno, et dont je t’ai plus d’une fois fait la proposition indécente dans nos échanges virtuels. Ton bassin se cambre, mon visage est plongé dans ton intimité, ton clito délivre des spasmes sous le tournoiement maintenant hystérique de tes doigts, ton trou palpite. Oui, je vais avoir droit à cette faciale, mais pas comme je m’y attendais. Tu vas me souiller, me marquer de ta jouissance pour mieux me posséder, comme on s’arroge une conquête en y posant ses armoiries. Tu lâches un cri féroce en déversant un plaisir liquide sur ma bouche et mon menton, étouffé que je suis dans ton entrecuisse. Ton orgasme est aussi ton triomphe, ta déification.
De ta main posée sur ton clito, tu n’hésites pas à bien étirer tes lèvres vaginales pour me faire goûter pleinement ce puits de jouissance qui m’abreuve jusqu’à la lie. Tout ton corps embrasé par la petite mort est un objet de désir et de vénération, et en cet instant, tu ne sais que cela. Quand tu as fini de jouir, et retrouvé quelques esprits, tu poses un pied sur mon épaule pour me repousser avec dédain, et contempler un instant mon visage d’ange dégoulinant de ton éjaculation, et me toises comme si j’étais moi aussi un objet. Un simple objet, ni de désir ni de vénération. Un objet dont l’utilité repose sur sa capacité à te faire jouir, et qui dispose présentement de la fonction parfaite pour cela entre les jambes.
Tu me tires la tête en arrière, et m’embrasses langoureusement, presque de force, goûtant sur ma bouche la saveur de ton plaisir, puis tu te relèves, te retournes et t’installes sur le rebord du lit, accoudée sur le matelas, genoux à terre et croupe relevée. Je viens spontanément me positionner derrière toi, mais, ayant toujours les mains menottées, je ne peux guère qu’approcher mon membre bandé et ballottant aux abords de ton trou. Tu me l’empoignes d’une main, et le guides en me branlant un peu pour éprouver ma dureté, qui est toujours égale à celle provoquée quelques instants auparavant par ta rose. Tu frottes mon gland dans le sillon de ta vulve trempée. J’essaie de pousser un peu mon bassin, mais ta prise est solide, et je ne parviens pas à m’enfoncer en toi. Cela me rend fou, et tes gémissements surjoués m’agacent d’autant plus.
Tu te caresses la fente avec l’extrémité de mon gland, comme on applique la pointe d’un rouge à lèvres sur une bouche délicate, puis remontant un peu, tu loges ce rostre de chair juste aux abords de ton anus. Tirant sur ma queue, tu l’insères de quelques millimètres dans cet orifice étroit. Je n’ose y croire. Presque malgré moi, mes hanches oscillent, ébauchant déjà un début de fornication, mais tu serres bien les fesses pour m’empêcher d’entrer. Ton trou se dilate un peu, trop peu pour que je te sodomise.
— Tu aimerais ça, n’est-ce pas, mon chéri ?— Putain ouais ! fais-je avec enthousiasme, croyant que cette question annonce ce qui va suivre.— Oui, mais, c’est bien le problème : tu as une trop grosse bite, elle ne peut pas rentrer !
Je sens le sarcasme dans ta voix. La volonté d’aller dans le sens de la flatterie pour mieux me casser. Insister pour te prendre par derrière, ce serait admettre intrinsèquement que je ne suis pas si bien monté que ça. Et si au contraire je valide fièrement ton assertion, alors il me faut renoncer à ton cul.
— Tu seras bien mieux... ici, poursuis-tu en engageant mon membre de nouveau dans ton vagin. Cette fois tu le rentres bien, et je t’assène sans plus attendre un bon coup de bassin qui expédie mon membre bien au fond de ta chatte. Déjà dégoulinante, elle s’ouvre comme une fleur pour moi, et je ne force que dans les ultimes centimètres pour m’enfoncer jusqu’à la garde. Tu me sens au fond de ton ventre. Tu gémis timidement dans un soupir lascif.
Alors j’entame une série de puissants allers-retours, usant de la force de mes abdos pour t’insérer et t’enlever l’entièreté de ma queue à chaque assaut, de sorte que ton vagin est tour à tour empli et désempli par mes dimensions imposantes. Le clappement de mon ventre contre ton cul rythme cette étreinte lancinante, où je m’évertue à te pénétrer sans pouvoir faire usage de mes mains, ce qui m’incite à user tout le poids de mon corps pour enfoncer en toi mon membre viril. Nos chairs se heurtent avec une force colossale. Mon gland défonce les tréfonds de ton intimité. C’est un effort physique considérable de te ramoner aussi durement sans bénéficier des appuis et de l’équilibre que mes bras apporteraient, et tu contemples, par regards furtifs au-dessus de ton épaule, mon torse virilement trempé qui luit dans la pénombre de la pièce. Tu attrapes quelque chose sous les draps du lit, non sans difficultés tant mes coups de queue vont rebondir tout ton corps. Une clé.
Tu n’as rien à dire : subitement, j’enfonce ma bite au fond de toi et j’y reste, me plaquant à ton cul pour que, passant ta main derrière toi, tu puisses atteindre mes menottes dans mon dos, et en défaire le mécanisme de verrouillage d’un simple tour. Mes bras se déploient aussitôt que le premier des deux bracelets s’ouvre, et je me charge moi-même d’enlever l’autre. Tu sais maintenant que tu vas te faire défoncer, et c’est parfait, parce que le moment est venu.
Je te ceinture alors le ventre, me plaquant à ton dos, et entreprends de te marteler avec la frénésie d’un lapin. Sans te laisser la moindre liberté de mouvement dans l’étreinte puissante de mes bras autour de tes hanches et la chaleur lourde de mon torse contre tes omoplates, je martèle ton cul comme une brute, limant ta fente comme si ma vie en dépendait. Tu subis cette folie sexuelle qui déferle sur toi et en toi, me laissant croire que je te défonce en t’imposant ma force virile, alors même que tu n’as fait que me rendre fou depuis tout à l’heure pour m’amener tout droit à cet instant précis où, imbu de lubricité jusqu’à plus soif, je sois excité au point de te ramoner tel un animal en rut. Ma grosse queue est un véritable marteau-piqueur qui s’abat dans ta chatte sur une cadence hystérique, requérant toute la vigueur dont je suis capable, et même au-delà.
Cette levrette, déjà féroce, devient une séance de baise furieuse, où les échappatoires te sont interdites et où mon envie de te limer comme un Dieu prend corps. Mais loin de te sentir soumise à mes coups de queue incessants, tu gémis avec des intonations insolentes. Je voudrais t’entendre me dire de ralentir comme on demande grâce, écouter tes gémissements un peu plaintifs de plaisir mêlés de douleur en faisant subir à ta chatte un tel traitement. Mais tu en demandes plus, et pousses des soupirs pleins d’insolence. Sous toi, tes gros seins ballottent en tous sens de manière pesante, un peu grotesque. Ils sont si lourds, si imposants que je les sens remuer rien qu’en te tenant les hanches, et ça m’excite tellement que j’ai un soudain regain de férocité, pourtant déjà immense, et que je m’obstine à te tringler frénétiquement dans le seul but d’agiter violemment cette divine paire de nichons. Je passe une main sous toi pour en palper un.
Je me l’approprie, le presse comme un fruit juteux, le malaxe sans aucune douceur, lui donne une claque en même temps qu’un coup de reins plus violent que les autres tambourine au fond de toi, puis le lâche pour agripper à nouveau ta hanche et te pénétrer implacablement. Quand à nouveau j’essaie de venir peloter ton sein gauche, tu me donnes hâtivement une tape sur la main pour me repousser, refusant que tes nichons soient un défouloir. Cela me frustre, et je me venge en saisissant ta nuque et en t’enfilant comme une chienne. Dans tout l’étage de l’hôtel, on ne doit entendre que les claquements qui sonnent comme une mitrailleuse de mes boules qui fouettent ta vulve, accompagnés de tes gémissements de moins en moins insolents et de plus en plus empreints d’un plaisir distinct.
Pour autant, je veux tes seins. En grognant, j’enlève ma queue de ton trou considérablement élargi et te fais te retourner face à moi en t’asseyant sur le bord du lit. Tu ouvres les cuisses, je te remets ma bite dans la chatte et les agrippe pour les maintenir grandes ouvertes. Je porte un regard totalement hypnotisé et lubrique sur tes seins exposés, et plonge sur eux comme un épervier pour les embrasser langoureusement. Il te semble que j’ai perdu toute raison. Mon visage contre ta poitrine, je me répands en longues traînées de ma langue sur tes tétons, les prenant en bouche l’un et l’autre avec une gestuelle maladroite, comme un enfant qui ne sait plus où donner la tête face à une avalanche de cadeaux gigantesques. Je te tète les seins, les mordille, y pose des bisous délicats auxquels succèdent de violentes succions qui les couvrent d’une salive brûlante.
Tu mets du temps à me repousser, peinant à garder le contrôle entre tes tétons si sensibles qui reçoivent mille caresses buccales, ta fente totalement remplie de ma queue, et mon acharnement viril à te prendre, contre lequel tu n’as guère la force physique pour lutter. Pourtant, tu parviens à poser tes mains contre mon torse et à me séparer de tes nichons. Cela je te le fais instantanément payer.
Je te baise sans aucune retenue. Debout au bord du lit, les jambes arquées, en flexion, qui me permettent d’avoir toute l’amplitude et la puissance requise pour te marteler, je m’applique à t’asséner avec une cadence mécanique de violents coups de reins. Mes mains posées sur tes cuisses forment autant un point d’appui pour mes assauts qu’une emprise implacable t’obligeant à écarter en grand pour encaisser mes féroces attaques. Sur un rythme très soutenu, marqué par le bruit de mes boules qui claquent contre tes fesses, ma queue entre et sort presque intégralement, labourant ton vagin et frappant les tréfonds de ton antre à chaque passage. Le souffle court, le torse luisant de transpiration, je m’évertue à te limer comme un sauvage. Chaque fois que mon membre rigide s’enfonce en toi, c’est comme une façon de te punir d’être aussi bandante.
Et je m’acharne à te punir aussi fort que je le peux, tandis que tu gémis pudiquement avec l’insolence de celle qui se refuse à jouir tout en sachant qu’elle n’y échappera pas. Tu ne veux pas que j’obtienne ton orgasme trop facilement. Ce serait comme admettre que je peux t’asservir à mon pouvoir aussi facilement que tu me soumets au tien. Pourtant une chaleur très caractéristique semble naître au creux de ton antre trempé, comme le feu qui jaillit du frottement de silex. Chaque va-et-vient qui tambourine contre ton utérus en ramonant ta fente déchaîne des sensations de plus en plus irrépressibles. J’accélère le rythme encore au-delà de cette frénésie qui m’anime, mes mains pressent encore plus fort tes cuisses, mon angle change sensiblement pour enfoncer ma bite encore plus profond en toi. Et subitement, alors que mon gland force les abysses de ton intimité, c’est comme si tu avais reçu l’assaut de trop.
Un frisson remonte ta colonne vertébrale et explose dans l’ébriété d’un plaisir extatique. Ta bouche ne peut retenir un cri puissant, venu tout droit de tes poumons comme une éruption. Une sorte de néant semble aspirer tout ton esprit, toutes tes pensées pour ne plus laisser en toi que la sensation la plus pure et la plus primaire de jouissance. Tu es ivre de toi-même, ivre de moi, de notre étreinte, de cette bite massive qui martèle ton trou sans relâche, prolongeant d’autant plus le déferlement chaotique d’hormones qui embrument ton âme dans les limbes de l’orgasme. Je ralentis le rythme progressivement, comme pour te laisser revenir à toi. Mes oscillations perdent en vitesse ce qu’elles gagnent en amplitude. J’entre et je sors entièrement de ta chatte dégoulinante, inspirant quand je me retire lentement, et expirant en te pénétrant subitement, m’amusant à faire ballotter tes seins à chaque fois que mon gland s’insère au fond de toi.
Je me penche pour t’embrasser le sein gauche un instant, puis me redresse et t’assène un coup de queue qui le fait rebondir lourdement. Un baiser sur ton sein droit, langoureux, vient lui aussi précéder un hochement des hanches qui fait bondir ta poitrine massive. Un baiser à gauche, un assaut. Un passage de langue à droite, une attaque, et tes mamelles imposantes, étalage opulent de féminité, tressautent pour mon plus grand plaisir. Tu poses tes mains sur tes tétons pour mes les cacher, en t”amusant de mon regard déçu.
— Tu as fini, oui ?! C’est pas des jouets ! dis-tu, faussement offusquée et encore plus faussement pudique.— Non, j’ai pas fini ! fais-je pour le seul plaisir de te contredire, ponctuant ma réponse d’un coup de queue qui les aurait fait lourdement ballotter si tu ne les cachais pas sous tes mains.— Mais eux ils vont vite te finir ! murmures-tu lubriquement en les faisant rouler sous tes paumes.— Tu crois ça ? fais-je sur un ton de défi, en me retirant de ta fente pour venir t’enjamber, à cheval sur ton ventre, ma queue luisante de ta cyprine venant aux abords de tes seins.— Non, je ne crois pas. Je le sais. Tu vas jouir entre mes gros nichons.
Cette assertion est énoncée comme une vérité indiscutable, presque un ordre.
— D’abord, je vais t’emprisonner...
A ces mots tu saisis mon membre et le plaques dans ton sillon mammaire, pressant tes seins autour comme un piège qui se referme. Tes doigts se croisent comme un fermoir au-dessus de cette étreinte de chair qui semble avoir littéralement avalé ma bite, ne laissant émerger que mon gland d’entre ces collines divines.—... Et puis je vais te rendre fou...
Tu contorsionnes un peu ton cou pour atteindre de ta bouche la pointe de ma queue, et entreprends de l’agacer avec ta langue. J’enfonce ma queue au maximum entre tes mamelles, te permettant de bien prendre mon gland en bouche et de le téter. Il a le goût de ta mouille, de ton plaisir. Je pousse des gémissements timides, presque plaintifs en réalisant que je n’ai même pas encore fait le moindre va-et-vient, que tu te contentes de me tenir entre tes seins et de jouer avec les quelques premiers centimètres de mon membre, et que cela suffit à m’enivrer de plaisir. Tes lèvres quittent ma queue un instant.—... Je vais te faire venir...
Tu agites tes énormes nichons de bas en haut, à l’unisson, les faisant coulisser lentement autour de mon membre sans lui laisser d’échappatoire. Leur étreinte est si serrée que je peine à faire moi-même le va-et-vient, et c’est bien ce que tu recherches.— Non, non, fais-tu en me sentant remuer entre tes seins.— Tu bouges pas... ou alors j’arrête ! à
A ces mots tu relâches tes seins qui libèrent mon membre jaillissant comme un diable sur ressort pour venir frapper mon propre ventre.
— Tu vas être sage ?— Oui ! fais-je timidement, cherchant déjà à remettre mon sexe contre ton buste.— Supplie-moi, alors, ordonnes-tu lascivement.
Je me sens humilié de devoir m’abaisser à supplier, mais je ne passerai pas à côté de l’opportunité d’une branlette espagnole avec toi, fusse au prix de ma dignité. Sans réfléchir davantage, j’abandonne toute fierté.
— Je t’en supplie, branle-moi entre tes seins !— C’est bien, chouchou ! ricanes-tu sur le ton surjoué que l’on prend pour s’adresser au toutou obéissant. Simultanément, tu resserres tes mamelles autour de ma queue et les agites de bas en haut. Je voudrais les limer comme un fou, mais tu contrôles chaque aspect de ce coït : la pression de tes seins sur ma bite - tantôt pesante, tantôt leste - ainsi que la vitesse à laquelle ils remuent sur sa longueur. Tandis que je suis à cheval sur toi, peinant à garder mon immobilité - surtout lorsque tu étires ta langue pour venir toucher mon gland émergeant de ton entre-sein par moments - tu me regardes dans les yeux avec défiance, par en dessous. Tes seins roulent comme des meules qui écrasent mon sexe entre elles sans pitié.
Mes abdos se crispent et mes dents se resserrent, signes avant-coureurs d’un orgasme qui n’échappent pas à ton attention. C’est exactement ce que tu attendais.
— Déjà ? ricanes-tu en me voyant prêt à défaillir. Tu cesses de me branler et me tiens juste bien serré dans tes nichons, cessant de me faire monter la sève, mais me maintenant quand même à la limite de l’éjaculation. Si près de l’orgasme, c’est une torture. Je trépigne sur toi, et tu sens mes spasmes entre tes seins. Tu les secoues un peu, et cesses à nouveau dès que je gémis. Puis tu les secoues encore un peu et t’arrêtes net au moindre râle de ma part.
C’est infernal. Tu me branles encore un peu, et je sens qu’il faudrait trois ou quatre va-et-vient pour me libérer, mais tu t’arrêtes à nouveau en serrant ton étreinte pour ne me laisser aucune échappatoire.
— Supplie-moi encore, j’adore ça... me surres-tu comme une diablesse imbue d’un pouvoir absolu.— Putain... je t’en supplie... articulé-je, crispé autant qu’on peut l’être.— Oh non, ce n’est pas supplier, ça, chouchou... t’offusques-tu.— Je t’en supplie... Maîtresse
Le mot m’est venu comme ça, et ton visage s’illumine d’un sourire amusé.
— Mmmmm oui appelle-moi Maîtresse... supplie-moi comme un esclave qui supplie sa Maîtresse... Demande-moi de te finir avec mes seins.
Le sperme semble bouillonner dans mes boules, je transpire à grosses gouttes.
— Maîtresse, je t’en supplie, finis-moi avec tes seins.
Tu agites un tout petit peu tes nichons, effectuant de microscopiques va-et-vient en tenant mon membre serré entre eux et en affichant un sourire sadique.
— C’est moi qui décide quand tu te soulages, tu as oublié ? Et tu crois que je vais te laisser cracher ton sperme après deux minutes de branlette espagnole ? Tu m’as habituée à de meilleures performances... dis-tu avec dédain sans desserrer un seul instant ton étreinte mammaire.
Tu éludes volontairement le fait qu’on baise depuis une bonne demi-heure, et nous le savons tous les deux. Mais je me sens humilié. Et le fait que je sois totalement prêt à crier un “OUI, soulage-moi !” libérateur, au mépris de mon ego, aggrave encore ma perte totale d’orgueil.
— Putain... je t’en supplie, Maîtresse... fais-je, guère plus capable de produire une réponse intelligente, qui m’évite d’avoir l’air aussi soumis que le plus impuissant des esclaves.— Faible créature”, souris-tu pour la deuxième fois ce soir. Ton orgasme sur ma langue était ta victoire. Le mien entre tes seins sera une humiliation. Quelle que soit la teneur de nos ébats, je suis toujours soumis à toi.
A ces mots, tu étends la langue sur mon gland et agites ta poitrine dans un frottement endiablé. Je crie mon plaisir dans un râle viril tandis qu’un jet de sperme gicle sur ta langue offerte, suivi un deuxième, puis un troisième, et un quatrième, découpés en spasmes presque douloureux. Quelques jets moins puissants viennent se perdre sur ton menton puis ton buste, et tout en laissant ma queue finir de cracher sa semence entre tes seins, tu me regardes dans les yeux en exhibant le sperme chaud collecté sur ta langue. Le nectar ne tarde pas à disparaître dans ta bouche, et une déglutition rapide condamne rapidement le fruit de mon orgasme à rejoindre ton estomac pour y être digéré. Tu ouvres à nouveau la bouche pour me faire constater que tu as tout avalé, et écartes l’étreinte de tes seins pour laisser échapper mon membre qui perd en vigueur.
Je me laisse choir à tes côtés sur le lit et tu me caresses le torse délicatement. Je profite de ce moment de tendresse pour m’exclamer, essoufflé et trempé de sueur :
— Pffiou, eh bien... ce fut une soirée délicieuse.— Ce fut ? interroges-tu. Mais, chouchou, c’était l’apéritif là, je suis à peine échauffée !
Déjà ta main enveloppe mes boules et les malaxe.— Tu as besoin d’une bonne douche, je crois. Et moi aussi... on va la prendre ensemble, d’accord ?
Diffuse en direct !
Regarder son live