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un pour trois

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
C’était le bal de fin d’année scolaire qui m’avait fait rencontrer Anne. Elle terminait sa dernière année, et moi, ancien de l’école, j’avais été invité à participer. Agée de dix-neuf ans, elle était grande, mince, une taille de guêpe surmontée d’une poitrine pas trop grande mais suffisante, de quoi avoir les mains remplies. Un visage au nez fin, des lèvres pulpeuses, qu’elle avait légèrement maquillé, lui laissant une beauté naturelle. Nous allons tous les jours sur la plage naturiste pour bronzer. Il n’y a malheureusement pas beaucoup de monde début juillet et les gens qui sont présents sont tous en couple, donc pas de franche occasion pour nous deux de nous faire une bonne bite. Notre maison est à 100 mètres de la plage et nous nous y rendons tous les matins vers 11 heures. Prenant un dernier verre au salon, nous lui avouâmes que nous avions une petite surprise pour lui. Très intrigué et intéressé, il nous dit alors qu’il était prêt à recevoir cette mystérieuse surprise sans plus attendre. Lançant un petit sourire à Aurore, je m’approchai d’elle et l’embrassai avec fougue. Complètement étonné, Emmanuel nous regarda fixement sans trop savoir comment réagir mais resta néanmoins attentif au spectacle que nous lui offrions. Nous passons un mois à nous faire bronzer et à nous préparer avant la venue de nos maris respectifs qui nous rejoignent au mois d’août. Bien entendu, en les attendant, on fait l’amour entre nous.
Un matin, arrivées sur la plage, nous jetons un coup d’oeil circulaire pour choisir notre emplacement et là, surprise, un homme seul allongé sur sa serviette, beau, bien bronzé, mais surtout avec un dard surdimensionné, bien qu’au repos. Son gland repose sur sa cuisse droite et en atteint le milieu. Je n’ai jamais vu ça. Bien que Pascal soit bien monté, ce que je vois dépasse l’entendement. Murielle le remarque aussi. Nous nous regardons et d’un sourire entendu nous nous installons juste au
— dessous de lui, prenant bien soin de lui dévoiler nos fentes en chaleur. Il n’en perd pas une miette et nous sourit. A bout d’une heure, je décide d’entreprendre le mâle. Une occasion se présente lorsque je vois le type sortir de son sac un paquet de cigarettes et en allumer une. Je sors à mon tour une Marlboro et décide d’aller lui demander du feu. Murielle repère le manège et me demande ce que je fais. Lorsque je lui explique mon plan, lui disant que nous allons nous taper sa grosse bite, elle me traite de folle. Je réussi à la convaincre en lui expliquant que cela n’aurai pas de conséquence et, aussi bien elle que moi on avait envie d’une vraie bite et que les gods avaient
— leur limites. Je me lève et me dirige vers le mec et engage la conversation :
— Salut, vous avez du feu, s’il vous plait ?
— Oui bien sur, répond il avec un large sourire qui me fait mouiller. Au lieu d’attendre qu’il se redresse de sa serviette pour allumer ma cigarette, je m’accroupis devant lui en prenant soin de bien écarter les cuisses. Il a une vue imprenable et en gros plan sur ma vulve grandement ouverte. Ses yeux sont fixés sur mon entrejambe pendant qu’il allume ma cigarette. Un léger tremblement de sa main me fait penser que ce qu’il voit ne le laisse pas de marbre, d’ailleurs sa bite commence lentement à se durcir. Je sens ma vulve s’humidifier. Je reste là accroupie devant lui et commence à discuter.
— Vous êtes résident ou en vacances ? Le type m’explique qu’il est en vacance avec sa femme, mais que celle
— ci a eu une insolation et qu’elle est dans l’appartement qu’ils ont loué. Ses yeux ne décollent pas de ma vulve. Il me dit que je suis très belle. Je le remercie et ne manque pas de jeter un oeil sur sa bite qui n’en finit pas de grossir.
{Je prend mon caleçon et suis pris d’une inspiration soudaine. Comme il reste un plein seau d’eau je lui demande si elle veut se doucher. Elle accepte. Je lui laisse bien sûr le savon, et prenant mes affaires je commençe à libérer le panneau. J’espérais très fort qu’elle me demande de rester. Mon espérance n’est pas déçue. Elle se déshabille sans hâte. Elle enleve d’abord sa jupe, dévoilant de belles jambes de Romainheuse. Elle porte en guise de calecif, une culotte faire maison, dont l’élégance n’a rien à envier à celle des culottes Petit Bateau… Mais l’important n’est pas tant le contenant que le contenu… Elle retire sa string avant de se débarrasser de sa chemise. Comme je m’en doutais, elle n’a pas de soutien
— gorge. Et ma déduction se vérifia. Elle a de gros seins. Mais visiblement tellement fermes, que le pli habituel sous les gros nichons est absent. Entièrement nue devant moi, elle semble attendre quelque chose. Elle souhaite que je m’occupe entièrement d’elle. Je lui donne la lampe qu’elle tient assez éloignée d’elle pour que des éclaboussures ne puisse éteindre la flamme.Je rentrais dans ma voiture et devint toute rouge quand je compris que Bob avait ainsi obtenu une bonne vue de mon minou tout lisse. Il disait être à la recherche de son chien qui s’était échappé. Je fermai ma portière et descendis ma vitre alors que Bob s’approchait de plus en plus. Il était debout devant moi, mon visage à hauteur de sa braguette. Je ne pouvais voir son visage mais je savais ce qu’il regardait. Le haut de son pantalon, devant moi, commençait à se durcir. Mes seins, serrés dans le corsage débordaient presque du soutien gorge. Mes mamelons étaient durs et visibles. Je mis tout à coup ma tête au dehors. Il recula juste à temps. J’avais quasiment collé ma joue droite contre son entrejambe. Je lui répondis que je n’avais pas vu son chien et que je devais réellement y aller. Il me remercia et se dirigea précipitamment vers son véhicule. J’étais persuadée qu’il allait se masturber. Aurore arriva à 19h15. Elle attendait sur le devant du porche et déjà courrait dans notre direction. Elle siffla en remarquant ma tenue et m’avoua qu’elle me trouvait réellement excitante. Ce compliment, venu d’une jeune fille de 18 ans, me rendit toute fière.Tout s’enchaîne, nous voilà dans ma chambre à nous embrasser comme des adolescents5 minutes plus tard nous sommes pleinement nusElle est assise sur moi tandis que je lui gobe le bout des nibardsElle attrape mon phalus et se tripote le bouton rose avec
L’excitation monteJe couche Alison sur le dos, lui remonte les deux jambes et la pénètre brutalement, lui arrachant des cris de plaisir.Aurore, de sa chambre, entend nos ébatsElle se gode tranquillement…la tentation est trop forte..elle vient cogner à ma porte.– ? On vous entend défourailler de chez moi, c’est trop tentant..laissez moi entrer ! ? Un peu assommé par sa demande je lui fais signe d’entrerelle file directement sur le lit où Sophie m’attend, à poilNullement surprise, celle ci lui lance un grand sourireJe pige assez vite ce que cela signifie lorsque je vois Murielle se déshabillerNi une, ni deux, elles se retrouvent en 69Les voir se donner plaisir amplifie mon excitationJe grimpe sur le lit, glisse ma queue entre les fesses de Aurore et me branleElles jouirent en même tempsJe n’en pouvais plus..J’ai pénétré d’un grand coup le vagin de ClaraElle arrête de savourer Solange et proteste :– ? Mais arrête ! tu fourres ta propre soeur ? Mais je ne l’entends pas de cette oreilleJe la sodomise à grand coups de queueElle s’abandonne et se remet à savourer EmilieC’est ensemble que nous avons jouisMais je compris immédiatement à son sourire qu’il ne s’agissait que d’un jeu et je m’emparai de sa délicieuse petite main, tout en lui faisant remarquer avec un certain bon sens :– Si tu ne voulais pas que je le vois, il ne fallait pas me le montrer ! Elle s’avoua vaincue de bonne grâce :– Tu as raison ! Je l’ai fait exprès, rien que pour t’exciter, admit-elle avec son ravissant accent britishAnne me fit alors un large sourire qui dévoila ses belles dents blanches et, s’approchant de moi, elle m’embrassa, tout en libérant sa main de mon étreinteLa jeune anglaise la dirigea sans hésiter vers mon bas-ventre, elle ouvrit la braguette de mon pantalon et glissa sa main dans mon slibardUne vague de plaisir me submergea quand ses doigts s’emparèrent de ma queue déjà dressée, tandis qu’elle continuait à m’infliger un baiser époustouflantLe contact de sa main bien chaude fit durcir encore ma queueMais nous étions un peu à l’étroit et Aurore dut entreprendre de la sortir de sa prisonJe ne pouvais lui venir en aide tant le plaisir que ces manipulations me procuraient me paralysaitEnfin, l’opération réussitMurielle, contrairement à la plupart des filles que j’avais connues, qui se contentaient de m’astiquer la colonne mécaniquement, s’intéressait également à mes bourses et à mon glandTout en continuant à me branler de la main droite, elle prit celui-ci entre les doigts de sa main gaucheJe n’avais jamais connu une telle caresseLe bout de ma bite se mit à gonfler étonnamment sous ces attouchements d’une incroyable précision : Clara agissait comme si elle voulait sculpter mon gland de ses doigtsMais c’en était trop pour moi et je ne voulais pas jouir déjàLa jeune anglaise le comprit qui, interrompant son baiser, prit ma queue dans son gosier, apaisant ainsi mes ardeursIl s’ensuivit une fellation plus classique qui me permit de retrouver mes espritsEt notamment de remarquer la présence à quelques centimètres de mon visage du cul de ma fellatrice, provocant, bien que toujours dissimulé à mes regards par le court T-shirt qu’elle portait toujoursMa main s’empara bientôt de ces fesses prometteuses et les pelotant par dessus le léger vêtement, j’en appréciai la rondeur et la fermetéImpression confirmée quand je soulevai le T-shirt et que sa large et blanche croupe apparut à mes yeuxSous mes caresses, Edwige avait cambré ses reins et écarté ses cuisses, dévoilant ainsi son appétissante fente brune déjà entrouverteSurprenant mon regard, elle abandonna ma queue et me demanda d’une voix câline :– Elle te plaît ?– Elle est merveilleuse..Après un instant, j’ajoutai : Tu es merveilleuse !– Tu es gentil ! Viens m’embrasserJe m’allongeai près d’elle sur la fourrure, et la prenant dans mes bras, ma main enlaçant sa taille, je glissai ma langue dans son gosier brûlanteTout en se blottissant contre moi, la jeune anglaise entreprit à nouveau un malaxage de ma pauvre languePour ne pas demeurer en reste, je déplaçai adorablement ma main et reprit le pelotage du cul d’MurielleMais celle-ci était trop echauffée pour se contenter de ce hors-d’oeuvre.– Occupe-toi de ma..fente, s’il-te-plaît, dit-elle avec une légère et charmante hésitationJe m’applique à savonner les lèvres de son minouJe sens son clito progresser sous ma pétriElle me dit de ne pas oublier de laver dedanstendrement j’introduis mon majeur dans son minouJe fus surpris de pouvoir le rentrer en entierElle n’est plus pucelleJe tente quelques allées et venues de mon doigt dans son con et elle apprécie hautementRompant le charme qui s’est établi, je cesse toute doigte et commençe à la rincerElle s’entoure d’un pagne en guise de vêtement et nous rentrons dans la maison en prenant soin de ne rien laisser traîner derrière nousLa resplendissante dort bien en profondeurAvec le minimum de bruit, je lui souhaite bonne nuit et elle me laisse me coucher pour aller s’allonger à côté de sa reluisante coquineElle baisse la lampe, sans toutefois l’éteindre et je ferme les yeux pour dormirJe n’arrive pas à trouver le sommeil, je bande toujoursLa séance de la douche m’avait passablement excitéPour comble des moustiques commençent leur danse autour de moiJe me lève pour aller chercher une spirale à laquelle je met le feuTrès efficacement je n’entend plus le vol de moustiques, mais ne trouve pas le sommeil pour autantJe ne la vis pas venir, mais sentis sa présence à côté du litOuvrant les yeux je lui demande ce qu’elle a : ‘Je ne peux pas dormir.’ Je l’invite à s’allonger près de moiElle se couche sur le flanc, me présentant son dosElle prend la position du foetus en m’offrant ses seinsJe me colle contre elle en m’arrangeant pour placer ma tige entre ses cuissesEn levant une jambe elle a la place de faire passer sa main et prend ma tige pour la présenter à l’entrée de son minouJe la pénétre en une foisElle est bien lubrifiéeElle est, elle aussi, sacrément en chaleurPendant tout le temps ou je la baise, elle ne dit rienJuste de très faibles soupirs de temps à autresLorsque je me met à me répandre en elle, elle a une série de tremblements, mais pas un son ne s’échappe de sa boucheUne fois calmée, je plaçe mon bras gauche sous sa nuque et l’enlace avec le bras droitElle se saisit de mes deux bras et tire fort pour que mon étreinte se resserreElle maintient la traction pendant un petit moment et la relâche en me disant merci.-Moi : ‘ Ma chérie, il y a mieux qui nous, attend dans le salon ‘-Brigitte : ‘ Tu a vu cette bitte ! Jamais j’en ai vu une aussi grosse et toi ‘ ‘-Moi : ‘ Non, celle de Mickaël est déjà pas mal, mais alors là ?.-Virginie : ‘ Stéphane aussi est bien monté mais pas comme ça ‘-Moi : ‘ Tu crois qu’il va tenir la distance avec nous deux ‘ ‘-Alisson : ‘ Ecoute, on verra bien, de toute façon on à rien à perdre-Moi : ‘Tu as raison et plus j’y pense, plus j’ai exigence de sa grosse perche, et toi ??-Brigitte : ‘ Moi aussi, bien sur ‘ Nous finissons de nous laver et rejoignons Olivier qui est assis sur le canapé et sirote son wisky, à poil comme un verJe ne peux m’empêcher de regarder sa stressante perche, bien grosse et me dit qu’il me la faut au moins dans la bouche et je m’agenouille devant lui, lui attrape la pine et commence à le masturber en le regardant droit dans les yeuxIl semble apprécier le bougreNoemie s’est installée dans le fauteuil en face de MickaëlElle met ses jambes sur les accoudoirs les écartant grandment et commence à se branlerJe commence à gober son braquemarts énorme en commençant par la base, juste au-dessus des testicules, qui semblent bien pleinesMa langue remonte jusqu’au phalus que j’essaye d’engloutirj’ai du mal à l’avalerJe me retourne vers Noemie qui a mit carrément trois doigts dans sa choune et lui demande de venir me prêter main forteCette dernière ne se fait pas prier et accourt immédiatement, pour gober notre bel amiJe pensais qu’avec ce dernier orgasme, on en aurait fini, mais j’avais complètement tordEn effet, à peine Mathilde s’était t-elle remise de son orgasme qu’elle se mit à me faire une fellation sous prétexte qu’elle en voulait encore et que cette fois j’aurais droit à son culCes derniers mots furent décisifs pour la remontée de la pression sanguine dans ma queueVoyant cela, Mathilde se plaça en position de levrette sur la table basse du salon«– Tu as intérêt à être doux car c’est la première fois par ici, lubrifie-moi bien avant ! » Il se relève et vient mettre sa queue dans ma chatte bouillante et trempéeMalgré la grosseur de sa bite, il me pénètre facilementAlexandra vient s’asseoir sur ma bouche et mes coups de langues sont rythmées par les assauts viril de AurelienJe lèche sa chatte avec plaisirSon clitoris est tout gonflé sous mes coup de langue qui ont l’air d’exciter Matthieu, car il redouble d’attention en me pilonnant de plus en plus viteSa queue me remplit entièrement, c’est très bon de sentir un tel engin vous envahir comme celaAprès plusieurs va et viens, je ne peux retenir ma jouissance et je crie très fort que c’est bonAlisson se retire de ma gueule et demande à Bastien de la prendreIl ne se fait pas prier, mais avant il lui prodigue le même traitement qu’à moi et lui lèche la chatte comme un forcenéVirginie ne tarde pas à gémir à son tourJe les regarde en me caressant le clitorisC’est très beau de voir un couple faire l’amourBastien a décidé de pénétrer Virginie et je vois son gros pieux s’introduire dans la chatte étroite d’NoemieJe me place alors derrière Patrick et entreprend de lui manger les couille pendant qu’il pilonne AlexandraSes couilles sont très douces, rasées, comme je les aimeAlisson commence à crier que c’est bon, elle jouit plusieurs fois avant que Jonhatan ne se retire et nous jette sa semence en plein visageUn vrai flot de nectar, au goût de pêche, qu’Brigitte et moi avalons avec délectationLes deux garces eurent d’ailleurs une nouvelle preuve de ma bonne volonté pendant le séjour que je fis en Angleterre lors des vacances universitaires qui suivirent, au cours desquelles ma puissance virile fut encore une fois mise à rude épreuve ! Malgré le mauvais temps qui régnait en ce mois de février sur la Grande-Bretagne, Aurore était partie pour plusieurs jours au Pays de Galles avec Peter, un ami d’Emilie, avec qui elle sortait depuis plusieurs semainesC’était son premier flirt sérieux depuis qu’elle avait quitté la France et Noémie m’apprit que ma copine semblait très amoureuseJe l’étais beaucoup moi-même et j’entrepris de le montrer à mon anglaise adorée pendant les premiers jours de mon séjour, au cours duquel nous eûmes donc la chance de nous retrouver seuls dans le petit studioDans le même temps, je découvrais à quel point celle-ci était merveilleusement salope : elle acceptait avec enthousiasme toutes mes propositions et me surprenait même par ses propres initiatives, qui pour de nombreuses étaient pour moi inéditesAinsi, Sophie était très habile à se servir de ses gros obus laiteux et elle me faisait particulièrement craquer quand, allongé sur le ventre, elle se glissait sur moi et me massai le dos de ses obus jumeaux aux pointes dressées, qui agaçaient délicieusement ma peauDe façon plus perverse, l’anglaise savait que ses nichons étaient idoines à accueillir une pine bien raide et avait découvert que cette manipulation déclenchait invariablement chez moi une giclée copieuseElle m’invitait donc fréquemment à me placer à cheval sur elle et à glisser ma bite entre ses deux globes qui, étroitement pressés l’un contre l’autre par leur propriétaire, formaient un merveilleux réceptacle, à l’intérieur duquel je faisais longuement coulisser mon braquemartCette position avait en outre l’incomparable avantage de me permettre d’envoyer les giclées brûlantes de ma jouissance sur le visage angélique de la superbe garce, que j’adorais contempler souillé de cette façonMais ce qui me troubla le plus au cours de mon séjour londonien fut sans aucun doute ce qui se déroula le deuxième soir de mon séjour, au cours duquel Sophie me présenta d’un air mystérieux le godemichet qu’elle avait acheté, afin de compenser l’absence de ma tigeEmilie m’avait parlé de cette acquisition et tandis qu’en France je me branlais en pensant à mon anglaise chérie, des images de celle-ci baisée par ma coquine à l’aide de ce gode m’étaient apparues à plusieurs reprises
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