Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 238 J'aime
  • 5 Commentaires

pourquoi?

Chapitre 1

Soumise

Orgie / Partouze
   Qu’est-ce que je fais, nue sur ce bureau, cuisses écartées, chatte offerte, attendant le bon vouloir du mâle.Cela devait arriver. Lorsque mon époux m’a proposé cette soirée, au sein de sa boîte, j’ai d’abord refusée. Je n’aime pas me retrouver dans ces ambiances de bureau. Petits fours, champagne, tous un peu guindés. Mais devant son insistance, j’ai fini par céder.Jour j. Vêtue d’une mini-jupe, chemisier, bas, talons aiguilles, nous arrivons dans la boîte de mon époux. Ambiance plutôt cool je suis surprise. Et puis… il est là. Le patron, dès qu’il a posé son regard sur moi, j’ai senti que quelque chose se passait. Il me déshabille littéralement du regard. Ce n’est pas une image, je me sens nue sous son regard, ma chatte réagit, je mouille. Puis il me prend la main, sa voix chaude et sensuel :
-       Vous m’aviez caché que votre femme était si belle
C’en est trop, mon slip est trempé. Moi qui n’ai pas connu d’autres hommes que mon époux, je fonds devant cet homme. Est-ce que mon époux en a conscience ? Je ne sais. Plus rien ne compte que ce mâle. Il m’entraine sur la piste de danse. Un slow. Serrée dans ses bras, je me laisse aller. Je sens sa bite gonflée contre mon pubis. Il me plaque contre lui, ses mains sont sur mes fesses qu’il caresse, sa bouche parcourt mon cou de petits baisés. Ma femme est splendide ce soir, les copains vont être jaloux. Sa mini met en valeur son petit cul bien cambré, son chemisier est juste translucide, on devine ses seins nus à travers. Perché sur ses talons aiguilles, sa démarche est très sensuelle. Elle va en faire bander ce soir, mais elle est à moi. Elle était vierge, c’est moi qui l’ai dépucelée, qui lui ai tout appris. Enfin j’essaye, parce que la fellation et la sodomie, pour l’instant, j’espère seulement, elle refuse.Premier contact avec mon patron, il est subjugué. Juliette aussi semble hypnotisé. Je sais que mon boss a une réputation de tombeur, qu’aucunes femmes ne lui résiste, mais voire ma Juliette envoûtée à ce point... Il l’entraine sur la piste de danse. Je n’existe plus. Autour de moi ça ricane. Les commentaires fusent. Il en est un qui m’inquiète : « Le patron a trouvé la salope pour cette année ». Mais non ma femme m’aime, elle va me revenir.  L’homme se penche sur moi. Sa bouche s’empare de ma chatte, sa langue me fouille, m’écarte les lèvres, remonte jusqu’à mon clito, je gémis en permanence, je jouis, ma chatte s’humidifie de plus en plus, mon clito bande, il me le suce, le mordille. C’est trop bon. Un autre homme que mon époux est en train de me faire jouir, j’ai honte, mais c’est trop bon. J’ai envie d’une bite, je n’ai pas encore vue la sienne. La porte du bureau s’ouvre, deux mecs entrent j’essaie de me lever, mais mon suceur me bloque.
-       Laisses-toi faire, tu vas jouir comme jamais.
Alors je m’abandonne. Les deux mecs s’approchent, horreur, ce sont les deux meilleurs potes de mon époux, ils ont la bite à l’air, grosses longues. Je n’ai vue jusqu’à maintenant que la bite de mon époux, et là, d’un coup j’en ai deux sous les yeux, je suis surprise par leurs taille. Celle de mon homme est plus petite. Un des deux mecs pose sa bite sur mes lèvres
-       Suce salope, il y a longtemps que j’attends ce moment
Je ne l’ai jamais fait, c’est sale, mais le mec insiste, il force, je serre les lèvres, je repense à ce que me disais ma mère (ce sont les putes qui sucent les hommes), le bosse me bouffe toujours la chatte, alors instinctivement mes lèvres s’écartent, la bite s’enfonce dans ma bouche. Je ne sais que faire, c’est la première fois que je laisse un braquemard envahir ma bouche
-       Lèche, suce comme une glace.
J’obéis. Sa bite a bon gout, je me surprends à la faire coulisser entre mes lèvres. Finalement ce n’est pas désagréable. Pendant ce temps, mon suceur continue de me bouffer la chatte, sa langue s’égare de temps en temps sur mon petit trou provoquant un[H1] e décharge dans tout le corps. Décidément ce que je découvre me plait énormément. J’abandonne toute pudeur, m’offrant sans retenue à ce nouveau plaisir.
 Ma femme a disparu depuis un moment. Je cherche, pose des questions. Petits sourires, mais pas de réponses. Je passe devant le bureau des secrétaires. Il y a foule, devant un écran de télé. Apparemment ils regardent un porno. J’entre, m’approche de l’écran, on s’écarte en souriant. Là devant moi, ma femme nue, cuisses ouverte est entrain de se faire bouffer la chatte tout en suçant un mec, d’autres attendent leur tour, en s’astiquant la bite. Je n’en crois pas mes yeux, mon boss, mes deux meilleurs potes. Ma prude épouse, qui refuse de me sucer la queue est entrain de faire une pipe à un inconnu, pas si inconnu que cela, c’est un de mes plus vieux potes, l’autre aussi. Les salauds. Le suceur n’est autre que mon boss. Ainsi, il a jeté son dévolu sur mon épouse, et celle-ci a cédé, pire elle se conduit comme une pute. Je veux quitter le bureau, mais une secrétaire me chope. Elle est mignonne, une robe hyper moulante.
-       Reste.-       Mais c’est ma femme, je ne veux pas voir ça.-       Tu es sûr, je suis certaine que cela te fait bander.
La salope a raison, voir mon épouse se conduire comme une pute m’excite malgré ma jalousie.La secrétaire continue
-       Tous les ans une nana est offerte au personnel, c’est souvent moi, quand le patron ne trouve pas une salope parmi les invités, mais cette année il en a trouvé une bonne. Je vais échapper à la foule, si tu veux je serais à toi.
Elle se saisit de ma bite. 
-       Tu n’es pas bien monté, mais cela doit être extra pour la sodomie. Par contre ta femme va être défoncé.
 Le boss s’est redressé, j’ai vu sa bite, énorme, il ne va pas pouvoir me la mettre, il va me déchire. Il pose son gland sur mon con
-       Tu es trop gros, tu vas me déchirer-       Laisse-toi faire, tu mouille, cela va glisser tout seul.
Il pousse légèrement, mes lèvres s’écartent, ma chatte s’ouvre, j’ai l’impression d’être déflorée une seconde fois. Sa bite se frais un chemin dans mon con. Je suis remplie, De grand frisson parcourent mon corps. Ses couilles heurtent mes fesses. Ça y est, il est tout en moi. Il s’arrête un moment pour me faire apprécier cet instant, instant où j’ai l’impression de devenir réellement femme. Puis il commence à coulisser dans ma chatte, lentement d’abord, puis de plus en plus vite. Alors la jouissance s’empare de mon corps. Je hurle mon plaisir. Les deux mecs attendent leur tour, je sais dès à présent qu’eux aussi vont me baiser. Que ce jour sera celui de ma déchéance, mais aussi de mon plaisir.  Mon baiseur arrête ses mouvements, il sort de ma chatte. Je proteste
-       Non reste, baise moi s’il te plait, défonce moi.
Je n’ai plus aucune retenue. Moi si timide, si prude, je ne me reconnais plus. J’espère que mon homme ne sera pas au courant de ma débauche.
-       Tourne-toi salope, à quatre pattes comme une chienne.
Je m’exécute. Le boss se positionne derrière moi, il me pénètre à nouveau, cette fois sa bite rentre sans problèmes, ma chatte s’est adaptée à son calibre. Il reprend ses va et viens. Sous ses coups de boutoir, je sens la jouissance revenir. Un des deux autres mecs approche sa bite de mon visage. J’ouvre la bouche, il enfonce son braquemard, il se sert de ma bouche comme d’une chatte, je resserre les lèvres autour de sa bite, il me baise littéralement la bouche, enfonçant sa pine jusqu’à ma glotte. A ce régime, il ne tarde pas à lâcher sa semence au fond de la gorge, me forçant à avaler tout son sperme, une première pour moi. Il se retire et est remplacé par le deuxième mec. Pendant ce temps, le boss continue ses aller-retour dans ma chatte. Il est résistant le salop, mais je ne m’en plain pas. Les orgasmes se succèdent, je n’ai jamais tant joui. Mon baiseur me titille la rondelle, il enfonce un doigt, je n’ai jamais accepté ce genre d’intrusion, je veux protester, une claque sur les fesses m’en dissuade.
-       Tu es à moi, salope, tu n’as rien à dire, tu veux que je continue de te baiser ?-       Oh oui, j’aime-       Alors tu dois accepter tout ce que je te ferais faire. D’accord ?-       Mais…-       D’accord ?-       Oui
Un deuxième doigt force ma rosette, puis un troisième. Le boss les écarte, les fait tourner, à mon étonnement, je commence à apprécier, je tends mon cul pour mieux me faire pénétrer. J’ai une pensée fugace pour ma mère qui m’a mise en garde contre cette pratique, contraire aux bonne mœurs, mais je pressens que bientôt ce seront plus des doigts, mais une bite que j’aurais dans le cul.Je ne me suis pas trompée. Mon baiseur a abandonné mon con. Son gland se pose sur ma rosette, j’appréhende, il est si gros, et je suis vierge de ce côté. Le boss pousse, je sens ma rosette s’ouvrir, le gland passe, le reste suit je n’ai presque pas mal.
-       Salope, tu es tellement excitée que ton cul s’ouvre en grand, il réclame de la bite. Tu vas en avoir, tu es à la disposition de tous les mecs, et les filles de la soirée.-       Oh non, mon mec, il va être au courant.-       Mais il est déjà au courant que tu es une salope, nous sommes filmés, et tout est retransmis dans le bureau des secrétaires. Tout le monde, y compris ton mec, a assisté à tes exploits, ils t’ont entendu réclamer de la bite.
Tout en parlant le boss me défonce le cul, et à ma grande honte, j’apprécies ce traitement, je sens la jouissance s’emparer de mon corps, un orgasme encore plus violent que les autres arrive, je hurle mon plaisir. Le bosse crache son foutre dans mes entrailles puis il décule, me laissant sans voix.Il se tourne alors vers la caméra et fait signe.
-       A vous les gars, venez profiter de cette belle pute. 
   Tous les mecs sont devant l’écran, la bite a la main. A ma grande honte, je fais pareil. Voire ma femme se faire traiter comme une pute, se comporter comme une pute, réclamer de la bite me rend dingue, m’excite. Comme les autres, je me branle devant ce spectacle. Le boss a fini. Juliette est là, à quatre pattes, comme une chienne, offerte, le cul et la chatte béants, ruisselant de foutre. Dès que le patron leur a donné le feu vert, ils se sont tous précipité dans la pièce. Je reste devant l’écran. Malgré moi, je veux voir la suite. Les mecs se jettent sur Juliette, tous ses orifices sont occupés. Elle suce, se fait enculer, prise par 2, parfois 3 mecs, elle en réclame encore. Ma femme a perdu toute retenue, elle avale le foutre avec délectation, elle se fait prendre avec délice, elle hurle son plaisir. Parfois, ce sont les femmes qui viennent la sucer, pour la nettoyer, pour la vider de tout ce sperme qui envahit sa chatte et son cul, puis quand elle est propre, le ballet recommence.  Je ne sais combien de bites m’ont pénétrées, j’en veux encore, j’ai avalé des litres de foutre, j’adore, pouquoi n’ai-je pas commencée plutôt. A cause de ma mère, j’ai ignoré tout cela, et ces bites dans mon cul, au début, j’ai eu un peu mal, mais maintenant je jouis, c’est trop bon. Un mec se couche sur le dos, il me fait signe. Je l’enjambe, place sa bite à l’orée de mon con, je me laisse descendre, oh, cette bite qui m’ouvre la chatte, qui écarte mes chairs, je l’ai toute en moi. Mon baiseur me bloque, il écarte mes fesses. Je sens un gland se poser sur ma rosette, je suis tellement ouverte que la bite me pénètre sans problème. Je suis prise en sandwich, oh le bonheur, deus bites pour moi, non trois, un troisième mec présente sa bite devant mes lèvres, je l’avale. Mes baiseurs ont trouvé la cadence. Il pistonne mes orifices, j’ai un nouvel orgasme, puis un autre. C’est trop bon 3 bites. Les mecs ne mettent pas longtemps à me remplir de leur foutre, mais ils sont vite remplacés. Soudain, un silence s’installe. On m’abandonne, je proteste, je veux encore de la bite, je lève les yeux, et là, devant moi, le rêve de toute salope. Un mec, nu, avec une bite comme je n’ai jamais vu. Elle lui arrive à mi-cuisse, le gland est gros comme une balle de tennis. Il s’approche.
-       Suce-moi
J’ouvre la bouche autant que je peux, mais j’arrive tout juste à emboucher le gland, je le lèche comme je peux, il bande, sa bite se redresse, un vrai monstre.
-       Je vais t’enculer salope-       Non, ce n’est pas possible, tu es trop gros-       Tu n’as pas vu ton cul, un vrai tunnel, cela va entrer sans problème
Et il se positionne derrière moi, son gland sur ma rosette, il pousse, petite douleur, et oh surprise, le gland passe, le reste suit, il n’en finit pas de me remplir, je gémis, non pas de douleur, mais de bonheur. Une bite pareille, dans mon cul, moi qui ne voulais pas entendre parler de sodomie.Mon baiseur me pistonne le cul, mes gémissements se transforme en cris de jouissance. J’oublie où je suis, j’oublie mon homme, j’oublie tout, sauf cette énorme bite qui me ramone et me donne tant de plaisir. Comment pourrais-je me contenter de bites normales dorénavant ? Je sens mon mec se crisper, Le foutre jaillit, comme un torrent, il me remplit. Il se retire. Un grand vide s’empare de moi.Le boss s’approche.
-       Bravo Juliette, tu es devenue une vraie salope. 
Puis s’adressant à mon homme
-       Ta femme est sensationnelle, je ferais appel à elle en cas de besoins, pour conclure un contrat délicat, contre rémunération bien sûr.
Je me suis rhabillée, sans culotte, elle a disparu. Mon homme est silencieux. Il conduit, sans un mot, sans un regard.
-       Pardon mon chéri, je ne sais ce qui m’a pris, j’ai honte.-       Tu peux, tu t’es comportée comme une pute, pire qu’une pute. Elles, elles font cela par nécessité, toi c’est par plaisir, par vice.-       Mais mon chéri, toi aussi tu veux que je te suce, tu veux me sodomiser, alors tu es un pervers.-       Avec moi, d’accord, mais avec tous les mecs qui se présentent, non, en plus je suis sûr que tu as pris ton pied.
Après un instant d’hésitation je dus avouer qu’effectivement j’ai pris mon pied. Mais 
-       Et toi ? la secrétaire m’a dit que tu t’es branlé en me regardant les mecs me baiser. C’est vrai
Mon homme du en convenir. De nouveaux horizons s’ouvraient à nous.            [H1]
Diffuse en direct !
Regarder son live