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Pourquoi et comment

Chapitre 1

Erotique
Pourquoi et comment...

Les personnages : Serge et Stéphanie sa mère, Carine et Hervé son père.

Je me prénomme Serge. Je viens d’avoir dix-neuf ans et je vis encore avec ma mère Stéphanie et mon beau-père Hervé dans un bel appartement du VIème arrondissement de Paris... Cela facilite mes trajets vers la Sorbonne où je poursuis mes études depuis deux ans.

Stéphanie est très fière de moi... Je poursuis des études qu’elle aurait voulu faire... Hélas, à quinze ans, elle s’était retrouvée (comme on dit) avec un polichinelle dans le tiroir et ayant caché sa situation à ses parents, il était bien trop tard pour penser à un avortement... Evidemment, elle avait dû abandonner le lycée et se trouver un emploi pour m’élever, car ses parents ne pouvaient pas s’en charger...

A trente ans, elle avait rencontré Hervé lors d’un séminaire d’entreprise qui se déroulait à Courchevel lors d’un des week-ends prolongés du mois de mai. Ils avaient eu le coup de foudre et lors de leur retour à Paris, ils passaient de plus en plus de temps ensemble, si bien qu’un jour, Hervé nous a présenté sa fille Carine qui avait le même âge que moi.Ce jour-là, nous avons beaucoup parlé...
Carine souffrait du départ de sa mère, volage et gourmande de sexe avec des minets, et dont elle n’avait aucune nouvelle depuis des années...
Puis au fil du temps, nous avons eu de plus en plus d’échanges téléphoniques et j’avoue qu’une certaine complicité était née entre nous... Lorsque nos parents respectifs nous ont annoncé qu’ils allaient se mettre réellement ensemble, nous avons bondi de joie... Nous n’aurions plus besoin de passer par le téléphone ou l’ordinateur pour converser.

Nous avons quitté notre petit ‘’trois pièces’’ d’une HLM de banlieue pour nous installer dans l’immense duplex d’Hervé qui nous a tout de suite mis à l’aise en disant que ce logement venait d’un héritage... que jamais il n’avait eu la folie des grandeurs malgré une situation enviable.

En fait, les pièces principales de cet appartement se trouvaient au dernier étage de l’immeuble et nous occupions Carine et moi deux chambres qui jadis avaient dû être destinées au personnel ancillaire. Nous disposions d’une entrée indépendante et d’un escalier en colimaçon débouchant près de la cuisine qui nous permettait de descendre à l’étage inférieur. Cette situation nous convenait tout à fait...

Avant de poursuivre ce récit, laissez-moi décrire les divers protagonistes.
Stéphanie est ce qu’on pourrait qualifier d’une ‘’belle plante’’. Dans la plénitude d’une trentaine assumée, elle attirait le regard des hommes... Grande brune aux cheveux mi-longs qui encadraient un visage rieur avec des yeux marron et des lèvres minces toujours artistement fardées, elle a une poitrine assez menue et une taille mince et souple...

Hervé (et je ne m’étonne plus que ma mère ait craqué sur lui) est un gentil colosse... Il est un peu plus grand que ma mère et a des épaules larges d’un rugbyman ou d’un culturiste. Blond comme un Viking avec des yeux bleus délavés, il ne pourrait pas renier son ascendance mi-bretonne mi-normande... Il a le visage encadré par un collier de barbe bien taillé et un sourire moqueur sur les lèvres... Mais ce que Carine m’a confié, c’est que professionnellement, il ne s’en laisse pas compter... n’hésitant pas à virer les personnes prises en faute ou dont les performances n’étaient pas à la hauteur de ses attentes...

Carine ressemblait beaucoup à son père, grande jeune femme blonde, elle a des formes menues qui lui font une silhouette longiligne. C’est une sportive acharnée qui poursuit des études afin d’être professeur de sports. Les samedis matin, il n’est pas rare qu’elle m’entraîne dans de longs footings dans les allées du parc du Luxembourg... footings qui me laissent complètement ‘’OUT’’ pour le reste de la journée... j’en suis venu à soupçonner qu’elle freinait son allure pour que je reste à sa hauteur !

Quant à moi, je me considère comme banal... je mesure un mètre quatre-vingt-cinq, je suis mince, mais je ne suis guère musclé... Les moyens de ma mère ne me permettaient pas de fréquenter une salle de musculation, j’étais plus assidu à la bibliothèque de la fac’ ou à la BNF. Mat de peau, j’ai des yeux marron et une bouche mince bien ourlée... Est-ce les gènes de mon père ?
Cependant, du côté des filles, j’avoue que j’avais un certain succès, peut-être plus dû à ma gentillesse naturelle qu’à mes performances sexuelles, mais j’avais perdu mon pucelage assez tôt avec une nana ayant presque le double de mon âge lors de vacances passées dans les îles du Levant.

Ma mère y passait deux semaines chaque été pour, disait-elle, faire provision de soleil pour passer l’hiver... Naturellement, je l’avais suivie sur les chemins du naturisme... mais j’étais bien naïf à l’adolescence : ma mère, je l’ai découvet bien plus tard, se livrait aussi à une débauche de sexe !
Cependant, elle me mettait souvent en garde en disant que je devais me protéger, mais aussi protéger les filles avec lesquelles je couchais... Son expérience - sa mésaventure d’une grossesse non désirée - parlait pour elle...

Je m’entendais bien avec mon beau-père qui était un véritable boute-en-train et qui avait toute une collection d’histoires (souvent un peu lestes) à raconter lorsque nous prolongions les repas du dimanche ou les soirées des week-ends. Carine était plus réservée et chaque fois, c’était des réflexions offusquées, mais j’ai découvert aussi qu’elle trompait bien son monde...

Je pense qu’il est temps d’en venir au sujet de cette histoire...
Le temps a passé... Carine et moi, nous venions de fêter nos 19 ans...

Une fois par mois, nos parents s’absentaient le soir pour ne rentrer qu’aux petites heures de la nuit...
Comme j’étais curieux, je posais la question de savoir qui ils allaient voir, car leur heure de rentrée n’était certainement pas celle de la fin d’un spectacle... En plus, ma mère portait ces soirs-là, des robes que je pourrais qualifier de très déshabillées... largement décolletées, le bas de la jupe ras la touffe. A chaque fois, c’était la même réponse : nous allons nous amuser ! Lorsqu’un soir j’en ai parlé à Carine, elle a éclaté de rire en me disant que j’étais bien naïf...
— Mais tu ne sais pas que nos parents sont des libertins... Quand ils s’absentent ainsi, ils vont chez d’autres couples aussi ouverts pour des orgies de sexe ! Ou même dans des clubs spéciaux...
— Mais comment sais-tu cela ???
— Je m’en doutais un peu, car avant de connaître ta mère, mon père multipliait des aventures d’une nuit ou plus en ramenant à la maison des filles qu’il avait rencontrées dans les clubs libertins qu’il fréquentait souvent. Parfois, je croisais l’une ou l’autre de ses conquêtes de la nuit...
— Mais ma mère était aussi une libertine... Quand nous allions en vacances aux îles du Levant, je m’étais aperçu qu’elle changeait de partenaire assez souvent...
— Ah... ils étaient faits pour s’entendre ! Mais tu ne sais pas tout...
— Dis-moi !
— L’an passé à l’automne, ta mère m’a attirée dans la chambre parentale sous un vague prétexte et après avoir bavardé de choses et d’autres, elle m’a embrassée puis elle a passé ses mains sous le sweat-shirt pour venir caresser mes seins qui étaient libres de soutien-gorge. J’étais tellement déstabilisée que je me suis laissé faire et bientôt, nous étions nues toutes les deux, enlacées sur le lit conjugal...
— Donc vous vous êtes gouinées ?
— Oh oui... ça a été une découverte pour moi, mais je suis sûre que si elle voulait, je recommencerais...
— C’était si bon que ça ?
— Oh oui... je n’avais jamais autant joui quand un garçon me mangeait la chatte...

Sur un ton de boutade, je lançai :
— Et si je m’y mettais ?
— Pourquoi pas... Une langue est une langue... et puis après tout, nous n’avons pas de liens de sang... OK... passons dans ma chambre, le lit est plus confortable que le tien !
— Tu l’as essayé ?
— Oui grand dadais... une nuit où tu étais absent, j’y ai couché afin de respirer ton odeur... Un peu dur pour moi...
— Bon... j’arrive !

Cette nuit-là, je ne me suis pas contenté de faire jouir Carine plusieurs fois... Elle m’avait même passé un gode pour que je l’introduise dans sa chatte pendant que je lui sucerais le ‘’ bonbon ’’ (comme elle l’appelait) et les lèvres intimes... mais le sommet a été quand la fille de mon beau-père s’est emparée de mon sexe qui pendant tout ce temps avait été bandé au point d’être douloureux et l’a avalé à moitié pour entreprendre une fellation torride... Je découvrais cette caresse et je l’appréciais... J’ai prévenu Carine :— Attention, je vais venir...
— Et alors... J’ai envie de goûter ton sperme tout comme tu as goûté ma cyprine !
— Tu l’auras voulu !

Et je me suis vidé dans la bouche de Carine qui n’a pas avalé tout de suite :
— Regarde ton foutre sur ma langue ! Qu’est-ce que tu m’as mis !
— Oui... c’est bien mieux qu’une pignole !
— Repose-toi un peu... j’ai envie que tu me baises !
— OK... depuis le temps que j’ai envie de te sauter !
— Oh, le pauvre chou... et tu n’as rien dit ! Quel dommage, une vraie bite c’est meilleur qu’un gode !
— J’étais trop timide, je ne savais pas comment faire avec une fille, pourtant j’avais deviné qu’avec toi, ce serait différent de ma première fois...

Et nous avons recommencé tous les soirs... La disposition de nos chambres facilitait les rapprochements.   Un soir, nous regagnions nos chambres lorsque Carine m’a attrapé la tête et m’a collé un patin incendiaire qui m’a fait décoller immédiatement... Mais ça ne lui a pas suffi ! Elle m’a entraîné vers son lit.

Galant, je l’ai laissé passer devant moi, ce qui m’a offert une vue imprenable sur sa chute de reins qui se tortillait devant moi. Je devenais fou de désir !
Elle a plongé dans mon pantalon et empoigné à pleine main ma bite qui n’a pas débandé depuis le premier baiser ! Inutile de dire qu’elle est complètement désinhibée, ce serait plutôt une lance à incendie qu’il faudrait en ce moment. Bien décidée à ne pas perdre une seconde, elle m’a emmené directement dans sa chambre.
En moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, elle m’a arraché tous mes vêtements et je suis maintenant au garde à vous, droit devant elle. Comme la veille, elle est tombée immédiatement à genoux et, sans aucun préambule, elle a engouffré mon pieu au plus profond de sa bouche.
Elle me pompait maintenant d’une main comme si sa vie en dépendait pendant que son autre main était glissée sous sa jupe courte et s’agitait à toute vitesse. Très rapidement, je la sentis se raidir et puis, en quelques secondes, elle jouissait comme une folle !

Lorsqu’elle s’est un peu calmée, elle s’est redressée et en me caressant plus doucement la queue, elle m’a avoué qu’elle n’en pouvait plus, qu’elle s’était branlée en imaginant tout ce que j’allais lui faire !
Nous étions debout face à face, mes mains descendirent sur sa poitrine, j’ai agacé les tétons puis ma main droite est descendue jusqu’à son pubis que j’ai investi pour lui donner du plaisir.
Un peu apaisée par son premier orgasme, elle s’est laissé câliner en ronronnant ! J’enfonçai alors un doigt dans son vagin qui coulait abondamment et commençai à la branler. Elle écartait les jambes et me fit implicitement comprendre qu’elle voulait que je la pénètre, là, tout de suite !

Mais ce n’était pas du tout mon intention. Je voulais, au contraire, faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Je l’agrippai donc par les hanches et la fis tourner sur elle-même. Puis je me collai contre son dos, j’attrapai ses seins des deux mains et les palpai à n’en plus finir. Elle bascula la tête vers moi et me tendit ses lèvres dans une supplique muette pour que je l’embrasse. Ce que je fis.
Carine se donnait généreusement et j’en profitais toutes les nuits... Elle m’avait avoué qu’elle prenait la pilule et que je pouvais la baiser autant que je voudrais, mais que je devais rester discret...

Quelques mois plus tard, nous achevions de dîner tous les quatre quand ma mère a pris la parole d’un air sérieux :

— Avec Hervé, nous avons décidé qu’il était temps de vous faire découvrir des lieux que nous fréquentons de temps en temps... Serge, il n’est pas besoin de le préciser, je sais que tu baises Carine depuis quelques semaines quant à toi, ton père estime qu’introduire une jeune poulette dans notre cercle d’amis coquins ne peut que réveiller la libido de certains... En plus comme tu sembles apprécier les hommages féminins, ce sera parfait !
— Oui... il est temps que vous fassiez connaissance avec nos amis... Serge, je sais que tu as un organe à faire pâlir un ‘’hardeur’’... donc ce sera parfait !!!
— Mais tu n’as jamais vu ma bite !!!
— Oh... ta mère m’a vanté sa longueur et son diamètre... N’oublie pas que vous aviez l’habitude des lieux naturistes... Elle a pu voir comment ton organe se développait d’année en année !!!

Ma mère a repris :
— Louis et Miranda nous attendent pour 22 heures... Nous avons juste le temps de nous préparer ! Carine, je vais te passer quelques vêtements qui conviendront parfaitement...

C’est ainsi que ce soir-là, nous avons découvert le libertinage...
Nos parents ont un groupe d’amis aussi libérés qu’eux... Lors des soirées coquines, je suis souvent sollicité par l’une ou l’autre des femmes qui ont envie de goûter à mon organe, parfois, je fais le troisième lorsque l’une d’elles a envie d’une double pénétration et Carine satisfait la libido des hommes qui ont envie de sauter une minette Quant à moi, certaines nommentmon sexe ’’ mon bâton de berger ‘’, mais jamais je ne l’ai vue avec une des femmes de notre groupe.

Un jour où je lui posais la question, elle m’a répondu que lorsqu’elle avait des relations homosexuelles avec l’une ou l’autre, cela se passait toujours en dehors des soirées coquines...et elle ajouta:
— Tu sais, ce n’est pas parce qu’elles sont libertines qu’elles avouent franchement qu’elles sont bi !
— Ça se comprend ! Moi, je n’aime pas que le mec qui est en train de baiser une femme en même temps que moi me touche les couilles... Il y a assez des contacts fortuits... Donc si je te comprends bien, tu as des rendez-vous coquins avec l’une ou l’autre ?
— Oui... cela a commencé avec Miranda qui n’a pas su se taire... Toutes les femmes du groupe m’ont retrouvée dans un hôtel discret pour des 5 à 7 coquins...

C’est ainsi qu’au fil des mois puis des années, nous sommes devenus des libertins convaincus et nous n’avons plus besoin de nos parents respectifs pour trouver des partenaires : pour ces derniers nous sommes mari et femme...

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