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Pourquoi est-elle aussi salope ?

Chapitre 2

L'anniversaire

Orgie / Partouze
Pourquoi est-elle aussi salope ?Chapitre 2.
Lorsque j’ai quitté Fabienne après ce premier week-end passablement mouvementé (mais j’avais les couilles vides) elle m’a dit qu’elle espérait qu’on se reverrait !
On ne s’était rien promis, juste une hypothétique rencontre... Et on s’est revus presque un mois plus tard...

Ce week-end-là, elle fêtait son trente et unième anniversaire et quand elle m’a appelée pour me demander si j’étais libre et m’inviter, elle m’a dit que j’aurais des surprises...J’étais intrigué mais cela ne m’a pas empêché d’apporter deux bonnes bouteilles de champagne achetées auprès d’un traiteur de mon quartier.

Quand je suis arrivé sur le palier de son appartement, j’ai tout de suite entendu la musique qui filtrait au travers de la porte et des grands éclats de rire... J’étais confus car j’avais été retardé par mon achat et je devais être le bon dernier convive à cette soirée.

— Entre donc... on n’attendait plus que toi... la fête va commencer !

La porte m’avait été ouverte par une asiatique (ou une eurasienne) bien typée et dès que je suis entré, j’ai tout de suite compris que Fabienne avait réuni des amis de tous bords... Il y avait un couple de noirs qui s’embrasait sur le divan que je connaissais, plusieurs filles d’origine diverses et quelques mecs tous dans la trentaine d’années.
En me présentant les convives Misouko m’a dit :

— Fabienne est déjà occupée... Elle va nous rejoindre !

Moins de cinq minutes plus tard, Fabienne sortait de sa chambre suivie d’un mec tatoué de partout... Elle ne portait qu’un string minimaliste et elle nous présenta fièrement ses seins :

— Regardez... j’ai enfin mes barrettes définitives... Lucas vient de les poser... Mes tétons sont très sensibles alors je vous demande de les laisser tranquilles ce soir !

L’asiatique qui m’avait ouvert la porte fit un commentaire qui entraîna le rire de beaucoup de monde :
— Si je comprends bien on ne pourra pas te peloter mais on a bien d’autres terrains de jeu comme ta chatte et ton cul !
— Oui tout à fait ! Vous savez tous que je suis ouverte à toute proposition ! Wouah Gilles, je croyais que tu ne viendrais plus...
— J’ai été retardé mais regarde ce que j’ai amené !!!
— Du champagne... et pas n’importe lequel... du rosé, celui que je préfère !

Les femmes ont préféré trinquer au champagne mais les hommes se sont servis de rasades mortelles de whisky et de vodka... J’ai préféré commencer doucement car je voulais rentrer chez moi une fois la fête finie !

Chacun flirtait allègrement mais je ne savais pas qui était avec qui... mais je m’en moquais : la petite asiatique ne me lâchait pas d’une semelle, passant un bras sous le mien, elle m’entraînait peu à peu vers un coin plus tranquille de l’appartement qui s’est avéré une petite chambre qui devait servir de débarras à Fabienne... mais il y avait un lit ! Elle me dit :
— Alors tu es le nouveau ‘’chéri’’ de Fabienne... Elle aurait pu plus mal choisir ! Montre-moi ce que tu as à offrir ! Ce soir, c’est moi qui ouvre le bal.
— Et toi... qu’as-tu à m’offrir ?
— Tout ce que tu veux... Ma bouche, ma chatte et mon cul mais à ce que Fabienne dit, tu es monté GROS !
— Je réfère ta petite bouche et je pense que ta chatte me contentera !
— OK... Déshabille-moi et ensuite je m’occuperai de toi !
— Ça me va !

Et une fois nus tous les deux, le lit nous accueillit... Oh, elle m’avait pas grand-chose à enlever... sous sa tunique à l’orientale, elle ne portait qu’un soutien-gorge très réduit qui avait bien du mal à cacher une poitrine bien ronde et un string assorti. Chaussée d’escarpin à très hauts talons, elle était presque aussi grande que moi... Je n’avais pas grand-chose à enlever moi aussi... Me doutant que la fête allait être plutôt débridée, je n’avais rien sous mon pantalon et mon polo est rapidement passé par-dessus mes épaules. Mais mon sexe commençait à se relever...

— Effectivement... T’as un bel organe !!!
— Et encore, t’as rien vu !!!
— Je ne demande qu’à voir !!!

Et Mitsouko s’est penchée vers mon bassin pour engloutir ma bite jusqu’au plus profond de sa bouche... Elle l’a recraché aussitôt pour dire :
— Pour que je te fasse une gorge profonde, tu repasseras... T’es vraiment trop long et trop gros...
— Je te l‘avais dit !!!
— Tu verras, Coralie, la blonde plantureuse que je t’ai présentée... Je suis certaine qu’elle saura t’en faire une !
— Bon, mais pour l’instant, c’est toi qui est à la fête... Je me couvre et je te baise comme tu aimes !
— Une levrette, ça me va ! Comme ça, je te sentirai bien !!!

Nous avions atteint le point de non retour quand Fabienne est entrée dans la chambre :

— Ah je savais bien que tu saurais faire patienter mon ami ! Est-ce qu’elle est bonne ?
— Oui... Je suis bien remplie et qu’est-ce qu’il vient d’envoyer dans la capote !
— Oui... il a des éjaculations généreuses... Retournons dans le salon le spectacle d’Aïcha va commencer !

J’avais joui et Mitsouko aussi... il était temps de passer à autre chose...

De retour dans la pièce principale, j’ai vu que tous les meubles avaient été poussés contre les murs, certains des convives étaient assis sur des sièges alors que d’autres étaient sur le sol. Le centre de la pièce était dégagé mais plusieurs tapis entassés faisaient une sorte d’estrade réduite. Bientôt une musique typique de l’Afrique du Nord a retenti et Aïcha est entrée sur cette scène improvisée...
Je ne sais si c’était une danseuse professionnelle ou une bonne amatrice de danse orientale, mais elle nous a offert un spectacle haut en couleurs jusqu’à une danse du ventre savamment orchestrée jusqu’au final où elle nous est apparue dans une nudité intégrale...
Je ne sais si Coralie avait été renseignée mais elle s’était assise près de moi sur le sol et voyant mon sexe à moitié dressé dans mon boxer et dépassant entre mes cuisses, elle a commencé à me caresser pendant le final de la danse d’Aïcha.

— J’ai parié avec Fabienne et Mitsouko que je pourrais te faire une gorge profonde... T’es partant ?
— Bien sur... en échange tu me feras une cravate de notaire quand je serai bien bandé et humide !
— Sur... D’ailleurs, je suis une spécialiste des gorges profondes et des cravates de notaire. Je ne compte plus les mecs qui se sont répandu entre mes seins... Viens, Aïcha a terminé, je vais m’occuper de toi !

Et nous sommes revenus dans cette chambre où j’avais baisé ‘’mon’’ asiatique !
Coralie, contrairement à d’autres femmes de la soirée, était encore vêtue d’une robe fourreau qui lui faisant comme une seconde peau, laissait voir ses formes amples... Les tétons des seins (qui devaient être nus) pointaient et les hanches étaient moulées au plus près par le tissu élastique.
Elle fit descendre le décolleté de sa robe qui tirebouchonna autour de sa taille, libérant une paire de seins de folie qui tenaient fermement malgré leur taille... à vue de nez, des seins de taille D ou plus encore... Quand je posai mes mains pour faire rouler les tétons sous mes doigts, je sentis leur fermeté, doutant brièvement de leur authenticité...
Coralie a du lire mon incrédulité dans mon regard car elle m’a dit :
— Eh oui... ils sont vrais... et tu vas voir que je sais m’en servir pour te contenter !

Elle a fait descendre mon boxer, et même si j’avais déjà baisé Mitsouko, mon sexe a jailli au devant de la bouche de Coralie qui s’était agenouillée devant moi... Elle a commencé à ‘’jouer’’ avec mon gland, le prenant entre ses lèvres pulpeuses, jouant avec sa langue sur le méat et le frein puis elle commença à avaler me bite pour la recracher plusieurs fois, enduite de salive puis elle a penché la tête en arrière et j’ai senti mon sexe s’enfoncer doucement mais sûrement jusqu’au plus profond de sa gorge... Bientôt je sentais ses lèvres sur mon pubis... C’était la première fois que ma queue était absorbée ainsi... Plusieurs filles avaient tenté de le faire mais elles avaient toutes renoncé !
Plusieurs fois, je suis ressorti de cette bouche chaude qui m’a à nouveau avalé jusqu’au plus profond... C’était bon et torride d’autant que je voyais les seins généreux se balancer doucement pendant que Coralie me suçait ! Elle rejeta mon sexe et me dit :
— C’est bon de se faire sucer ainsi mais je sais que tu veux autre chose !
— Oui... j’ai envie de tes seins... Voir mon foutre inonder tes mamelles et ton buste !
— OK... J’ai bien capté ! Je m’allonge sur le lit et tu m’enjambes...

Lorsque j’ai été en place, Coralie a resserré ses seins pour que je loge mon sexe dans le fourreau qu’elle avait constitué... L’extrémité ressortait vers le haut en bientôt, elle me branlait entre ses seins, faisant aller et venir ma bite (très excitée) comme si j’étais dans une chatte... Waouh... que c’était bon... Si bon qu’il ne m’a pas fallu longtemps pour que je sente ma jouissance monter dans mes reins... Poussant une sorte de rugissement, je me suis épanché sur la poitrine de Coralie qui, de ses doigts, est venue chercher quelques gouttes de sperme qu’elle a portées à sa bouche !

— Tu es le premier de la soirée mais je sais que d’autres ont envie d’en faire autant !
— Merci... C’était très excitant !
— Bon... Rejoignons les autres...

Lorsque nous sommes revenus dans la pièce principale, celle-ci était devenue un véritable lupanar... Il y avait des couples ou des trios en train de se caresser, de baiser et au milieu de tout cela, Fabienne se faisait sodomiser par une fille munie d’un gode ceinture ! Pendant ce temps-là, elle suçait un mec, genre minet efféminé, qui avait bien du mal à bander !

J’en avais assez vu !
Décidément j’avais fait connaissance avec une véritable salope... Ce qu’elle m’avait raconté de la soirée au Cap d’Agde (et dont j’avais douté un peu) n’était pas un mythe ! Mais j’aimais bien les filles libérées qui savent se conduire comme la dernière des salopes...

A suivre.
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