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" Et pourquoi pas? ou une histoire d'inceste ! "

Chapitre 2

Ma femme essaie de redonner goût à la vie, à notre fils.

Inceste
«  Tiens mon chéri, ta maman va t’aider à manger !

— Merci maman j’admire tout ce que vous faites pour moi, papa et toi !J’ai de la chance d’avoir des parents comme vous !
— Mais non mon amour, une mère pourrait faire des choses impossibles pour son enfant chéri.
— Comme quoi par exemple ? Tu ferais des choses interdites ou que la morale réprouverait ?
— A quoi penses-tu Adrien ?
— Ben je ne sais pas moi, imagine que l’on m’enlève et que mes ravisseursdemandent non pas de l’argent mais toi, ma maman chérie, tu ferais ça pour moi ?
— Ça quoi ? je ne comprends pas trop bien ou tu veux en venir avec tes histoires, tu as trop d’imagination !
— Tiens maman il y a un super film sur la seconde guerre mondiale ce     soir, tu pourrais le regarder avec moi pendant que papa est en service     je me sentirais moins seul !
- C’est quoi ton film ? ce n’est pas un truc crade au moins ? Comme je     t’ai vu en regarder sur ton ordi…demander ça à sa propre mère !Lui faire mettre U PORN et aller dans la section MILF !
Mon dieu tu aurais pu me le dire que ça voulais dire « mothers I’d like to fuck », « des mères de famille que j’aurais envie de baiser » et dire que tu m’as obligé à regarder les deux premiers épisodes de 15 minutes, tu devrais avoir honte .je suis ta mère Adrien, pas ta petite copine !(mais en y repensant, Cécile n’avait pas honte du tout, au contraire, elle ressentait l’aiguillon brulant du désir lui tordre les entrailles et chauffer ses parties intimes, surtout quand elle avait vu ce jeune homme , fils de l’honnête mère de famille , délaissée par son mari, surprendre sa mère, dans la cuisine , assise les deux jambes écartées sur la table en train de faire pénétrer un énorme concombre dans son sexe béant et dégoulinant de cyprine…. Elle avait alors failli s’allonger sur le lit de son fils, relever sa jupe enlever sa culotte devant son propre fils et se doigter la chatte !)
— Et encore maman je t’ai pas demandé de me branler et pourtant c’est pas l’envie qui m’en manquait !
— Non là tu vas trop loin !
— Ben quoi ! Je suis un homme comme tu n’arrêtes pas de me le dire ,avec des couilles bien pleines, et comme ( levant ses deux gouttières en plâtre) je ne peux pas me servir de mes mains…allez maman rien qu’une fois..
— Bon revenons a ton film :« Les damnés »
- C’est l’histoire de l’ascension du troisième Reich avec ces salauds de nazis.
— -Ça finit bien ?
— Pour eux ou pour nous ? En tout cas, à la fin le héros gifle sa mère, lui arrache son chemisier, la viole quasiment et lui fait l’amour toute la nuit !J ai l’image de cette femme avec des seins magnifiques, comme les tiens, maman, qui caresse son fils alangui alors qu’il dort encore, le remerciant de l’avoir fait tant jouir toute la nuitUne vision de paradis maman ! »
Pris d’un grand fou rire Cécile se précipita dan la salle de bain, elle venait d’avoir un orgasme, sa culotte était toute mouillée, elle s’en débarrassa fort vite dans le panier à linge .
Elle décida de continuer de surveiller son soufflet aux morilles dans le four, de peur de le perdre et se balada dans sa cuisine sans culotte, les fesses et la chatte à l’air sous sa petite robe blanche de printemps si légère.Et à cause de ses troubles de jouissance, elle avait soudain trop chaud et son sous tif lui aussi sentait un peu la sueur.
«  Mon Dieu je dois être une sacrée salope refoulée, je mouille même des seins ! »
Joignant le geste a la parole elle baissa les 2 bretelles de la robe jusqu’à sa taille de guêpe et enleva le sous tif qu’elle roula dans un tiroir.Ce fut le moment que choisit son fils pour rentrer dans la cuisine !
Interloqué et émerveillé, il trouva sa mère dénudée, ses deux beaux seins pointant fièrement dans sa direction :
«  Oh ! maman comme tu es belle, laisse moi m’approcher et te toucher.
Même excité comme une puce son fils se déplaçait comme un robot des années 1960 dans un mauvais film américain, les deux bras immobilisés en équerre, il penchait de droite et de gauche en marchant et pas question qu’il la caresse avec ses mains…
Devant tant de misère, Cécile en aurait pleuré, mais elle se devait de faire bonne figure.Elle laissa Adrien enfouir sa tête dans la poitrine maternelle et lui caressa les cheveux.
Alors Adrien le regard vers le bas, remarqua que le sexe gonflé d’excitation de sa mère, se dessinait a travers le tissus léger :
«  Oh ! maman tu ne portes pas de culotte, laisse moi voir ta chatte, je t’en supplie, je ne pourrais même pas te toucher, peut être aurait il mieux valu que je ne sois pas éjecté de ma voiture quand je me suis jeté dans le précipice, et atterri dans un arbre ce qui m’a causé toutes ces méchantes blessures qui m’handicapent et me font souffrir ! Et cela depuis 4 mois, après 2 semaines de coma…J’aurais préféré mourir maman ! Et il se mit à sangloter contre les seins de sa mère…
Cécile partageait la peine de son grand garçon.

Beau mec de 1,95 mètre, il avait le teint halé et était un champion régional de rugby dans cette Provence si chaude et si odorante.
Trop timide malgré toutes ses qualités physiques, artistiques et intellectuelles il n’avait pas encore trouvé la femme avec qui se dépuceler.
Dans une société où les premiers rapports étaient consommés dés 15 ans il paraissait très niais et cela le bloquait encore plus…
Pourquoi avait il flashé sur sa mère ?
Il faut dire que Cécile était une très jolie femme, brune foncée aux yeux bleus, elle était musclée, fine, un petit cul de rêve tout ferme et des seins magnifiques, galbés en poire avec un bon 90 B.
Et quand elle se fringuait pour sortir et se maquillait….Tous les hommes retenaient leur respiration, dont son fils…
Quand Adrien était sorti de son coma, étonné d’être encore parmi les vivants, ses parents avaient décidé d’un commun accord de ne rien savoir de cette passion incestueuse pour sa mère.
Quand il avait demandé si sa mère avait trouvé sa lettre d’adieux, cette dernière avait menti, disant qu’elle l’avait perdu en accompagnant son fils dans le SMUR.
Les larmes aux yeux, Adrien avait soufflé et remercié le Ciel : ainsi ses parents ne se doutaient pas de sa passion sexuelle pour sa mère, croyait il…
Cécile avait eu tellement peur de perdre son fils unique !Qu’elle se disait que si vraiment il fallait qu’elle couche avec lui, elle le ferait…d’autant plus que son instinct de femme, son âme de louve qu’elle avait mise en sommeil depuis 18 ans, lui disait que son fiston était un super bon coup…
Son instinct de femme le lui soufflait, en plus il était un très beau mec très bien membré… Adrien avait eu raison dans sa lettre… secrètement sa mère en pinçait pour lui et elle n’avait manqué de cartographier la zone pubère de son enfant : une queue d’au moins 22 centimètres, alors que son père en faisait 18, pubis rasé et des abdos du feu de Dieu… Mon Dieu quelle sorte de jouissance pouvait apporter un tel gaillard à une belle femme de 36 ans très sportive, dont l’instinct animal ne demandait qu’à se révéler au grand jour et enseigner au «  petit » les joies du sexe !
Mais face à son mari, la société, le village, Cécile se sentait bloquée, rabougrie, elle qui avait semé la terreur chez la gente masculine sous le nom de «  Chatte en feu » ou Cécile la Féline….
Face au désarroi de son grand, elle faiblit, tirant sur sa robe, elle la laissa tomber sur le sol révélant à son fils toute l’étendue érotique de sa féminité triomphale !
Adrien pleurait en contemplant cette mère au corps parfait, objet de ses désirs les plus fous, mais qu’il ne pouvait toucher…pour l’instant…
Patrice, le mari de Cécile, revenu de son footing, marchait silencieusement en scannant son environnement, il s’arrêta en voyant par la véranda, sa femme nue qui serait contre elle son garçon, qu’ils avaient tous deux, eu si peur de perdre.
Contre toute attente cette vision l’attendrit, il se dit :«  Et pourquoi pas ?!  »
Quand, le soir en passant devant la salle de bain, il entendit des bribes de voix, de Cécile et Adrien, il poussa silencieusement la porte et regarda tranquillement sa femme laver son fils de 18 ans, montagne de muscle à la virilité évidente que sa femme astiquait présentement dans ses deux mains, provoquant des soupirs du «  petit ».Le commissaire se répéta la phrase de la matinée :
«  Et pourquoi pas ?!  »
Il se demanda alors comment il réagirait en voyant leur fils tringler sa femme, la voir se faire partouzer avec ses copains…au final la sensation, de dégoût au départ tourna bien vite à la folle excitation !
La sensation de retournement de l’estomac et la bosse qui déformait son short l’informèrent qu’il y survivrait .
Il y avait au demeurant une question bien plus importante !
Combien faudrait-il de temps pour que la délurée et lubrique «  Cécile la Féline » retrouve ses instincts de salope et détrône Cecile Cousinet, femme de commissaire, bonne mère de famille….
Le suspens l’excitait déjà !
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