Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 78 J'aime
  • 6 Commentaires

A la poursuite de Lana

Chapitre 1

Erotique
Ces écrits sont mes mémoires, les mémoires de Nick Campbell. J’ai trente ans aujourd’hui. Et l’histoire que je vais relater ici s’est passée il y a quelques années, il y a cinq ans pour être exact. Je suis cambrioleur de métier, non, pas celui qui vole vos maisons quand vous dormez tendrement, plutôt celui qui est assez malin pour infiltrer les banques et autres établissements privés contenant des millions que je considère être volés au peuple, de toute manière tout le monde est assuré, aussi bien ces établissements que les gens qui y mettent leur argent, alors je ne fais pas vraiment de mal à qui que ce soit. D’ailleurs je suis contre la violence gratuite, ce qui fait mon succès c’est mon agilité et ma discrétion absolue, je suis capable de pirater presque tous les systèmes informatiques existants pour me donner accès à ce que je veux, et j’agis toujours la nuit. Mais les choses ne sont pas toujours simples, je commençais à être réputé et recherché. Mais j’ai toujours su passer entre les mailles du filet. Jusqu’ici, je ne me concentrais que sur le boulot, et profitais de mon argent durement volé (Hôtels de luxes, investissement dans l’immobilier, voitures...). Au sein de la communauté de braqueurs professionnels je n’étais qu’un novice, et ceux que je connaissais ne pouvaient s’empêcher de rigoler de moi, surtout parce que je n’avais aucune expérience en femmes contrairement à eux qui une fois le pognon empoché se contentaient de se murger et de payer une professionnelle pour "se détendre" comme ils disent. Certains ont voulu m’initier à ces pratiques mais pour être honnête ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis peut-être un criminel mais je n’en reste pas moins un gentleman sûrement trop naïf et fleur bleue. J’avais vingt-cinq ans, j’étais plutôt riche, et je n’avais rien connu des plaisirs à deux. Puceau et célibataire encore à l’époque, je provoquais l’hilarité mais ça m’était égal je savais ce que je valais. J’y pense, je ne me suis même pas décrit, je mesure 1,70 mètre, je ne suis pas un Apollon, assez svelte mais carré au niveau des épaules, cheveux châtains foncés, grands yeux ronds marrons foncés et je pèse 80 kg environ, je prends soins de moi (c’est important pour le métier). Je favorise l’intellect au physique, même si les deux sont importants.

Un soir, j’avais repéré une banque qui, à ma connaissance, contenait de l’or, avec ça je pourrais être tranquille très longtemps et puis l’or c’est l’avenir, seul monnaie valable en cas d’apocalypse. Et puis... ça brille. Je connaissais le plan de la banque, l’emplacement des caméras, du coffre, des gardes de nuits, j’avais tout préparé... A un détail près, une chose à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Je me lançais. Je savais où se situait la bouche de ventilation, assez old school certes mais toujours valable, une caméra placée devant, je ne pouvais pas la détruire mais je savais les pirater, ni une ni deux, le système de sécurité était à moi, les caméras exécutaient des "loop" comme on appelle ça, juste un enregistrement de quelques secondes qui passaient continuellement, j’étais invisible. Je me faufile dans le conduit, j’entre dans la banque, aucun gardien. Je me déplace en direction du poste de sécurité qui contenait les clés à la zone du coffre. Comment entrer ? Impossible bien entendu, je me ferais voir en une seconde, je devais distraire le gardien. Je piratais l’ordinateur devant lui, et je le coupais.
"Merde qu’est ce qui se passe avec cette connerie de matos ? Il sortit sa radio. Stan j’ai un problème avec mon putain d’ordi, tu veux bien venir voir ? — Heu... désolé vieux, je peux pas quitter mon poste là. Ça peut attendre demain ? — Non ça peut pas. Bouge pas j’arrive c’est bon.— Reçu"
Impensable. Le gardien le plus stupide du monde. Par chance il partit assez vite et je n’en avais pas pour longtemps. Premièrement je volais les enregistrements vidéos, autant ne plus se soucier des caméras tant qu’à y être. Et enfin je piquais les clés dans le boîtier. Je sortis en vitesse, et me rendait directement au coffre qui n’était pas à plus de vingt mètres de ma position. J’avais mes sacs, et je savais que la salle était sécurisé, plus aucune caméras, aucun gardiens, j’étais tranquille une fois de l’autre côté. En théorie ouvrir cette zone déclencherait une alarme qu’il faut couper en tapant un code comme dans les maisons. Mais comme je l’ai dit, je suis un grand pirate. J’évitais les quelques gardes et enfin je rentrai dans la zone tant convoitée.
"Oh oui ! J’y suis, j’y crois pas, ce que c’est bon d’être moi, pas de problèmes en vue, je suis le meilleur. Bon assez d’éloge, au boulot"
J’ouvris la grosse porte en acier trempé, soi-disant inviolable, je piratai le code assez facilement, je suivis les instructions d’ouverture à la lettre, et... sésame ouvres toi.J’y étais, le coffre, l’or sur la table centrale, les coffres de sécurités, c’était mon moment préféré dans un cambriolage. Je me concentrais en premier sur l’or, je mis tous les lingots dans les sacs, et une fois fini, je m’accordais le temps d’ouvrir les coffres de sécurités. Des poignets de liasses par ci, des objets de valeurs par là... J’avais tout fait assez vite et je n’avais plus qu’à repartir.
"Hum... Impressionnant. Une voix de femme, je me retournai et vis une femme mince, brune, habillée chic, une tenue en cuir, comme celle des femmes agents secrets dans les films. Un flingue sur le côté.Alors qui es-tu toi ? me demanda-t-elle.
— Moi ? Et si on parlait de vous ? Comment êtes-vous entrée ? — Oh c’est mignon de me vouvoyer. De la même manière que toi mon cher. — Ben voyons, tout ce que vous avez eu à faire c’est me suivre c’est ça ?— Je plaide coupable, je ne pensais pas que tu réussirais. — C’est bien gentil tout ça mais maintenant je m’en vais. J’ai terminé, il n’y a plus rien à voler. — Oui je vois ça. Je me disais qu’on pourrait partager 50/50 ?— Et puis quoi encore ? J’ai fait tout le boulot, c’est mon casse.
J’avais bien senti que ces dernières paroles ne lui avaient guère plu. Elle s’approchait de moi en balançant son bassin de manière assez... sensuelle, voire très suggestive. Elle me fixait droit dans les yeux, et me dévorait de son regard. Elle était à peine plus grande que moi de quelques centimètres, mais avec des bottes à talons, c’est facile. Elle commençait à posait sa main sur mon épaule droite, puis elle descendait sur mon torse toujours en me regardant dans les yeux. Elle me dit :
"Tu es sûr que tu ne veux pas partager ? Je peux être très gentille tu sais. Et je dois avouer que tu as un je-ne-sais-quoi qui m’attire. — C’est ce qu’on doit appeler le charme à la française. Mais au risque de te décevoir, je ne compte pas lâcher mes gains pour des yeux doux.— Tu vas changer d’avis tu peux me croire."
Elle continuait ses caresses incessantes mais les descendaient de plus en plus, jusqu’à atteindre mon entrejambe. Elle commençait à me malaxer comme on malaxerait une boule anti-stress. Je ne pouvais m’empêchais de respirer plus fort, tant son traitement était agréable, je ne comprends toujours pas, au moment où j’écris, pourquoi je me suis laissé faire ? Qu’est ce qui m’empêchait de partir ? Pendant son massage elle déposait de doux baisers sr mon torse, puis sur mes joues, dans le cou, jusqu’à parvenir à ma bouche. Elle m’embrassait, et introduisait sa langue à l’intérieur. Je n’avais jamais embrassé qui que ce soit jusqu’à ce soir, je trouvais même ça répugnant, quand je voyais les couples dans la rue mélanger leur salive, c’était ignoble. Et pourtant je trouvais ça agréable et plaisant, comme si j’étais dans un autre monde. J’avais fermé les yeux tout le long du baiser, et je senti soudain mon pantalon s’ouvrit. J’ouvrais les yeux et je la vis à genoux, mon sexe dans la main.
"Non mais qu’est-ce que vous faites ? — Tu connais pas le principe des oiseaux et des abeilles ? — Très spirituel ça. Veuillez me lâcher, je suis pas le genre de gars qu’on peut manipuler avec ce genre de chose.— Ca me brise le cœur de savoir que tu me vois comme une fille vile et manipulatrice. Disait-elle en entamant des vas et viens avec sa main.— Oh oui, vous avez l’air très perturbé ça se voit de suite."
Malgré mes propos elle souriait en se mordillant les lèvres et en me fixant du regard. Et je ne voulais pas le lui avouer, mais j’adorais son traitement, c’était la première fois que je vivais ça et je ne pouvais m’empêcher de gémir silencieusement, cette scène était excitante et assez cocasse, on était tout de même dans le coffre sécurisé d’une grosse banque, et je me faisais masturbais ici même. Ne jamais mélanger travail et plaisir bon sang, c’est une des règles d’or de ce métier. Au bout de même ps deux minutes je jouissais sans la prévenir.
"Déjà ? T’es pas bien endurant, tu veux en parler ? — Il n’y a rien à dire.— Oh... je vois. Tu es encore puceau. C’est ça ? — Bien joué Sherlock. Vous avez deviné ça toute seule ? Merci pour tout et au revoir.Je lui tournais le dos et m’apprêtait à partir avec mes sacs après m’être rhabiller mais elle mit sa main sur mon épaule et m’en empêcha. — Relax. Je vais te détendre, et je te promets que tu vas passer une nuit inoubliable. — Je suis là pour le boul... Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’elle me poussa sur la table centrale où l’or trônait quelques minutes plus tôt, j’étais allongé sur le dos.— Là, tu vois ? On est mieux quand on est détendu non ? — Ce que vous faites ne marchera pas."

Elle souriait d’un air mesquin à mes paroles, et sortit à nouveau mon sexe qui était déjà au garde à vous. J’en avais autant besoin que ça ? Bon sang, je sentais déjà que j’allais le regretter. Elle s’amusa un peu avec, et s’empressa de le mettre en bouche. Cette sensation était divine, indescriptible, et tellement bonne. Ça devrait être illégal de prendre autant de plaisir. Elle accélérait ses mouvements, j’étais excitait mais je ne voulais pas en finir maintenant, Je fermais les yeux et me concentrais de toutes mes forces pour éviter de jouir, mais mes tentatives étaient vaines et j’avais tenu à peine une minute de plus qu’avant. Je comprenais mieux pourquoi les premières fois sont souvent craintes. Je n’eus pas le temps de me reposer, que la demoiselle se déshabiller devant moi, elle enlevait sa combinaison moulante et me dévoilait ses seins qui n’étaient pas si gros comparé à ce que la tenue suggérait, mais leur taille et leur forme s’accordait bien avec son physique général.
"Pendant que le petit soldat est en permission, on peut toujours s’amuser tous les deux. — Encore une fois ce que vous faites ne marchera pas. J’étais du genre têtu, et je le suis toujours d’ailleurs. — Je veux juste prendre du bon temps et te rendre service."
Je n’eus pas le temps de rétorquer qu’elle m’envoya ses seins sous le nez en me suggérant de les sucer, je ne me fis pas prier. J’attendais ça depuis si longtemps, d’autant plus que les seins m’ont toujours fascinés et je me suis toujours demandé ce qu’on était censé faire avec. Ma partenaire voyait bien mon air perplexe et ne pouvait s’empêchait de rigoler. Elle prit alors ma main droite et la posa contre son sein, et fit de même pour l’autre. Elle guidait mes mains sur sa poitrine, me montrant comment faire. J’avais évidemment vu des tas de pornos amateurs sur internet mais la réalité est différente et stressante. Au bout d’un moment, après le massage de ses seins elle approcha ses seins de ma bouche en me demandant de lui mordiller les tétons, qui étaient le point sensible. Je m’exécutais, c’était agréable à faire et à en juger par les gémissements de ma professeure, ça devait l’être pour elle aussi.Ce fut à mon tour de me faire mordiller les tétons, et en effet c’était vraiment bon. Si bon, que le soldat était déjà revenu de sa deuxième permission.
"Aaah, je vois que monsieur est déjà au garde à vous, c’est flatteur, disait-elle en souriant. On va passer à l’étape supérieure."
Et joignant les gestes à la parole, elle finit de se déshabiller totalement et me grimpa dessus pour finalement s’empaler sur mon pénis. À ce moment-là je laissais s’échapper un râle de plaisir. J’étais sûr que je jouirais dans la minute qui suivrait et je n’étais même pas protéger. Au lieu de ça elle commençait des mouvements de bassin d’avant en arrière, puis de gauche à droite et ainsi elle formait des cercle comme si elle faisait du hula hoop sur moi. C’était divin, et c’est à ce moment que je compris pourquoi tout le monde ne parle que de sexe et de ces plaisirs-là. C’était si bon, jamais je n’aurais cru y prendre autant de plaisir, elle continuait ses mouvements un certain moment, et elle vint s’allonger sur moi, ses seins collés à mon torse, elle m’embrassait encore, j’adorais ses baisers.Soudain elle se retira et se mit sur le dos, écartant ses jolies jambes, j’étais certes vierge mais pas idiot, elle voulait que je la prenne en missionnaire. Vraiment ? A ce moment-là toute les formes de craintes existantes m’envahissaient mais je savais que je n’avais pas vraiment le choix, il fallait que je franchisse le cap. Je décidais donc de m’allonger sur elle à mon tour, et d’entrer dans sa cavité. C’était très excitant de se retrouver au-dessus d’une femme qui prenait du plaisir. Ces gémissements incessants me prouver que je me débrouillais bien, du moins j’essayais de m’en convaincre. Quelques minutes plus tard, elle changea de position et se mit à quatre pattes sur cette table, il était temps de passer à une autre position apparemment. Je m’insérais en elle et commençais mes vas et viens.
"Oh ce que c’est bon ! T’es sûr que c’est ta première fois ? — Vous savez, quand vous passez treize longues années sans sexe, sans un seul baiser ou sans contact physique avec une femme, ou un homme pour vous, vous finissez par ne plus le supporter, depuis mes douze ans je regarde toute sorte de pornos et j’y ai appris pas mal de choses.— Une chance pour moi alors. — Je ne comprends toujours pas ce qui se passe pour être honnête. — C’est souvent le cas lors des premières fois."
Je sentais la jouissance arriver, et il était hors de question de terminer en elle, in extremis je sortis mon pénis et finissais sur son dos et son superbe fessier. Une fois terminé, je m’écroulais sur la table, exténué. Je sentais mes yeux se fermer, toute mon énergie venait de s’envoler. Ma vue se troublait mais je pouvais apercevoir cette femme se lever, se nettoyer et se rhabiller. Elle m’embrassa langoureusement une dernière fois avant que je m’assoupisse. Je finis par me réveiller, je ne savais pas l’heure qu’il était ni où était passé la femme, j’étais encore nu sur la table. J’allais me rhabiller quand je vis que mes vêtements avaient disparus, ils n’étaient plus là, et mon butin non plus.
"Nom d’une brouette givrée, mes fringues, mon or... Cette femme !!! Si je la retrouve... Honte à moi, je me suis fait piéger comme un bleu, je me croyais insensible à ces choses-là mais faut croire que non."
Je tournais en rond à poil dans le coffre à la recherche d’une idée, soudain je vis un mot sur la table.
"Cher Nick, Je suis désolé de t’avoir piégé ainsi, saches que cette nuit sera pour moi inoubliable, j’ai vraiment passé un excellent moment à tes côtés, et je suis fier d’être ta première. Je te souhaite tout le bonheur que tu mérites, tu es un gars bien et je serais ravie de te revoir. Je suppose que tu vas me chercher. Je suis désolé également pour tes vêtements mais je ne pouvais pas prendre le risque que tu me poursuives. J’espère que tu te réveilleras avant l’ouverture. J’ai aussi nettoyé les quelques traces que nous avons laissé, pour éviter l’ADN tu comprends. PS : je sais que tu ne me l’as pas demandé mais je m’appelle Lana, trouve-moi si tu peux."
Lana ? Il fallait que je sorte vite d’ici. Je sortis du coffre et je repris le même chemin qu’à l’aller. Je vis l’heure sur une horloge, il était 6 h 27 du matin, il fallait que je me dépêche, les caméras étaient toujours, débranchées et les enregistrements coupés. Mais j’étais nu, et sans un sous, ma voiture n’était pas loin mais il fallait encore que je passe et le jour se levait. Je rejoignais le conduit d’aération par lequel je suis venu et j’entendis :
"Hé ! Vous là-bas ! Arrêtez-vous c’est un ordre !!"
Un garde venait de me repérer et il alertait déjà tout le monde, je m’empressais de rentrer dans le conduit, et une fois à l’extérieur, je me dirigeais le plus vite possible avec les gardes aux trousses, vers le parking souterrain où ma voiture était garée. Par chance j’avais laissé mes clés dans l’espace vide des roues. Je démarrais en trombe, et partis le plus vite possible d’ici.

Attends-moi Lana, je te retrouverai.

Fin du chapitre 1. Dites-moi ce que vous en pensez, ce que je pourrais améliorer, et ce que vous aimeriez voir. C’est ma première histoire alors ne soyez pas indulgents, toute critique est bonne à prendre (tant qu’elles sont constructives). Merci d’avoir lu.
Diffuse en direct !
Regarder son live