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Pousser les portes du fantasme

Chapitre 1

Hétéro
Tout a commencé à cause d’un rêve. C’était un dimanche matin, je me suis réveillée en sueur, presque haletante. Je venais de me sortir d’une rêverie pour le moins inhabituelle. J’étais en vacances, sur la plage, avec des amies. Nous y avions rencontré une jeune femme qui était là avec son père. Ces derniers nous proposèrent, au cours d’un repas, de venir habiter chez eux pour la fin de notre séjour. Le père de la jeune femme semblait me porter un certain intérêt. Il n’y allait d’ailleurs pas par quatre chemins pour me le faire comprendre. Il était très direct dans ses propos et faisait de nombreux sous entendus sur la sieste que nous pourrions partager.
Étrangement, lorsqu’il proposa de nous faire visiter la maison, je l’ai suivi, excitée. Ce n’était pas normal qu’il me fasse de l’effet, il n’avait rien pour. Son langage était énormément « porté sur la chose » et physiquement, ce n’était pas du tout mon style : la cinquantaine bien tassée, le visage marqué, les cheveux poivre et sel, un peu trop longs, coiffés nonchalamment en arrière, une chemise en lin laissant apparaître les poils grisonnants de son torse… Bref, le stéréotype du baroudeur bas de gamme. Pourtant quelque chose m’attirant: son aura. Il avait un certain bagout et tout le monde le connaissait (dans mon rêve en tous cas).
Je me suis réveillée alors qu’il me montrait sa chambre… De toutes façons, mes rêves ne vont jamais jusqu’à la partie la plus intéressante. Mais ce matin là, outre la frustration engendrée par ce désir d’être prise par cet homme, une révélation s’est faite à moi : je devais coucher avec un homme plus âgé.
C’est très vite devenu une lubie, il faut dire qu’à cette période j’enchaînais les plans cul avec des hommes de mon âge et la satisfaction n’était pas toujours au rendez-vous. J’ai senti en moi un vrai besoin de changement. J’ai donc cherché sur internet, sur tous les sites de rencontres, cet homme d’âge mûr mais en vain. Les profils ne correspondaient pas à mes attentes et surtout, je voulais être sûre que le feeling passe tout de suite.
Je me suis alors rappelé de cet homme qui m’avait draguée il y a quelques années dans un bar. Nous avions passé la soirée avec lui et des amis à lui. A ce moment, j’étais en couple donc je n’avais pas plus prêté attention à lui. D’ailleurs il ne me plaisait absolument pas. Il était prétentieux, il disait pouvoir obtenir ce qu’il voulait. Y compris moi. Mais en y réfléchissant bien, l’homme de mon rêve ressemblait en de nombreux points à celui-ci. Rapidement, j’en ai déduit que c’était lui qu’il me fallait.
Je suis donc retournée dans ce bar où nous nous étions croisés. Même s’il en était un habitué, il fallut m’y rendre plusieurs soirs avant de le revoir. Lorsqu’enfin, deux semaines plus tard, il entra dans le bar, je l’ai immédiatement reconnu. Il balaya la salle du regard, certainement pour trouver ses acolytes quand ses yeux bleus perçants sont tombés sur moi. Il sourit. J’ai honte, et s’il avait tout de suite deviné pourquoi j’étais là ? Par réflexe, je tourne la tête. Ce n’est qu’une heure plus tard qu’il arrive à ma table « On se connaît non ? ». Je le regarde, je repense à sa phrase « je peux t’avoir si je veux ». Je me souviens de mon rêve. Je sens mon cœur battre plus rapidement et un flot d’adrénaline se déverser dans tout mon corps. Je lève les yeux vers lui et souris : « Oui, on se connait ».
Nous échangeons quelques banalités et il en profite pour s’assoir à ma table. Je ne suis plus sûre de ce que je veux. J’ai perdu tout mon aplomb et il en profite « Tu n’as pas trop changée. Tu es toujours aussi sexy ». Je rougis. Il commande deux autres verres. « Tu sais, l’expression « elle a des yeux qui crient braguette » prend tout son sens avec toi ». Je le regarde, surprise et gênée. Surprise par la vitesse avec laquelle il a réussi à aborder ce sujet. Gênée car il a certainement raison, depuis que je l’ai revu, je ne pense qu’à une chose : qu’il me baise.
J’ai avalé une gorgé et pour simple réponse, j’ai osé un « on va chez toi ou à l’hôtel ?» Il a sourit, a payé l’addition et m’a ordonné « Viens ! ».
Du bar à son appartement, nous n’avons plus échangé un seul mot. Lorsque nous sommes arrivés, il a ouvert la porte de son immeuble, m’a fait passer devant en précisant « 2e étage, porte de gauche ». En le doublant, je me suis surprise à m’enivrer de son parfum. Il pose sa main dans le bas de mon dos, cela m’électrise mais je ne tourne pas la tête vers lui. Je me dirige vers les escaliers et monte vers le second étage. Je ne peux pas m’empêcher de l’imaginer, derrière moi, en train de mater mon cul se mouvoir au rythme des marches et ça m’excite. Beaucoup.
J’arrive à son étage. Le couloir ne laisse de la place qu’à deux portes qui se font face. Elles sont séparées par une fenêtre qui donne sur la rue. Lorsqu’il arrive devant sa porte, au lieu d’insérer la clé et de me faire entrer, il s’arrête face à moi et me pousse à me retrouver contre le mur, entre sa porte et la fenêtre. Son corps touche presque le mien. Il me fixe longuement, ses mains se posent sur mes épaules et glissent jusqu’à mes hanches. Il s’avance encore, collant complètement son corps au mien. Alors que je sens son sexe durcir contre mon ventre, il me souffle « t’es une belle salope ». Dès lors, le rythme s’accélère, sa bouche vient trouver la mienne pour un long et profond baiser où je m’abandonne totalement. Il en profite pour glisser ses mains sous ma robe et atteindre mes fesses, il les caresse doucement puis les presse, comme pour maintenir encore plus nos corps ensemble. D’un geste, il me retourne. C’est désormais lui qui est dos au mur et je suis quant à moi dos à lui, face à l’escalier. Il m’ordonne de placer mes bras en arrière, par-dessus mes épaules. Sa main gauche me maintient par la taille contre lui, sa main droite a légèrement remonté ma robe et caresse mes cuisses, frôlant à chaque passage le morceau de tissu qui me sert de string « Dentelle hein » précise t-il. Sa main gauche remonte vers ma poitrine, il caresse mes seins par-dessus les vêtements et alors que sa main droite s’est maintenant glissée sous mon string, atteignant mon clitoris gonflé de désir, son autre main s’est aventurée sous mon soutien gorge pour accéder à mon sein droit. Ses doigts parviennent à mon téton et l’enserrent. Un cri s’échappe de ma gorge. Il rit. « Je savais que tu aimais ça ». Je ne réponds pas. Je prends juste conscience de la situation : à moitié nue, dans une cage d’escalier éclairée par la lueur de la rue, en train de m’abandonner dans les bras d’un homme que finalement, je connais à peine. N’importe qui pourrait arriver et nous surprendre ainsi. Cette dernière pensée m’excite encore plus : « baise-moi » lui dis-je alors.
Il rit et pour toute réponse insère alors son majeur dans ma chatte trempée, rejoint rapidement par son index pour me branler d’abord lentement puis de plus en plus vigoureusement. Je me cambre contre lui, laissant tomber ma tête sur son épaule. Il retire ses doigts et les porte à ma bouche. Je les lèche avidement, comme si c’était son sexe qu’il m’offrait. « Putain » exulte t-il en me plaquant contre sa porte. Sans plus de ménagement, il relève complètement ma robe, déplace mon string et enfonce sa verge dans mon vagin brûlant. Je pousse un nouveau cri. Enfin il me prend. Et c’est tellement bon. Il me remplit complètement et je me penche pour encore mieux sentir les assauts de sa queue. Ses mouvements sont lents mais profonds. Ses mains pressent mes hanches pour que je suive son rythme et alors qu’il accélère peu à peu, la lumière du couloir s’allume et la porte d’entrée claque. D’un geste vif, il se rhabille et enfonce la clef dans la porte qu’il ouvre rapidement : « Entre ! »
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