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le pouvoir

Chapitre 8

Avec plusieurs hommes
L’accident avait eu lieu dans les toilettes publiques de la bibliothèque. Grâce à mon don, je venais de baiser une amie, Laury, petite brune, mince mais fort coquine. Mais à la fin, j’ai découvert que quelqu’un nous filmait par-dessus la cabine d’à côté, et là c’était assez problématique. Je prévins Laury qui paniqua et se rhabilla en vitesse. Si le voyeur était une voyeuse, je pourrais en prendre parti. Mais j’en doutais fort. Devant la porte, un mec nous attendait, l’air sournois. Il était de taille moyenne, assez banal, genre bad boy qui me tape sur le système. Il nous montra son téléphone et dit:-allez les obsédés, c’était bon hein?-qu’est-ce que tu veux le pervers? demandais-je d’un ton méfiant.-Ta gueule gros lard, la vidéo me plaît, si tu veux pas que je la publie, on retourne tous les trois dedans et la salope s’occupera de moi.Je me tournais vers Laury, qui avait perdu son air paniqué et réfléchissait a la proposition. Elle accepta et nous rentrâmes dans la cabine.
Le mec abaissa direct son pantalon, et sortis une queue d’environ 18 cm, sans grand envergure.-suce salope.Laury s’abaissa et se mit à lécher la bite, massant les couilles, léchant le gland. Le voyeur gémissait de plaisir, l’insultant de chienne, de salope, qui excitait bien Laury, sûrement à cause de l’envoûtement. Moi-même, j’étais excité a nouveau et j’avais envie de chasser le mec pour baiser a nouveau Laury.Le gars dit à la fille de se relever et s’appuyer contre le mur, et se positionna pour l’enfoncer. Laury se laissa faire, cambra ses hanches pour qu’il s’enfonce d’avantage et il commença à la prendre rapidement, comme un chien. Je remarquais que malgré ses coups, Laury ne prenait pas vraiment de plaisir, ce qui montre comment il était mauvais baiseur. Elle me jeta un regard de coin, et remua les lèvres sans parler : - j’ai envie de toi. Rien de mieux pour m’exciter encore.-Putain tu es bonne sale chienne, une vrai pute, comme je te nique ta gonzesse. Devant tant de vulgarité, j’eus du mal à ne pas rire de son cliché de voyou.Il sortit sa queue et alla s’asseoir sur la cuvette, pour que mon amie le chevauche. Laury y alla sans conviction, enfonça le sexe en elle, et joua des hanches. Elle gémissait un peu plus car elle prenait le contrôle. Puis elle se pencha, murmura un truc à l’oreille du gars, qui glissa un regard vers moi.-allez le gros, suis gentil, viens enculer ta copine.J’étais ravi de la proposition, mon sexe se serrant dans mon caleçon.Je sortis mon sexe, m’accroupis légèrement et enfonça ma bite dans le cul accueillant de Laury, qui poussa un râle de plaisir. -oh oui c’est nettement bon, baisez moi comme une chienne.Ni une ni deux, je donnais le rythme et parti dans de puissante et longue pénétration, secouant les deux autres par force. Le mec gémissait et se retenait de jouir, tandis que Laury y allait en couinant, avec des mots comme : défonce moi, prend moi, baise moi, je suis qu’une salope.Au bout de 10 minutes, les jambes flageolantes, je poussais un dernier coup qui eut pour effet de nous faire jouir tous les trois. Je m’extirpais de la petite brune, qui englouti ma bite pour la nettoyer.Le mec se releva :C’est trop bon, on recommencera, mais d’abord, le gros fait comme ta copine, lèche moi la queue.Je le regardais de travers, m’approcha de lui... et lui choppa les couilles d’une main, les écrasant de force.Il gémit de douleur et se tordis au sol.-maintenant tu me donnes ton téléphone, et tu disparais de ma vue.Je pris son téléphone dans sa poche, vérifia qu’il ne l’avait pas envoyé et envoya la vidéo sur mon portable avant de briser le sien.
Avec Laury, nous repartîmes. Quelques mètres plus loin, Laury me dit qu’elle allait repartir chez elle mais qu’elle allait me faire une petite surprise très bientôt. J’en salivais d’avance.
Je repris mon chemin, m’amusant a regardant la vidéo du jeune con. C’était bien filmé, on nous voyait bien baiser. J’avais une trique d’enfer et plus qu’une chose en tête : me taper une autre fille.Je marchais de rue en rue, au gré du vent. Il y avait plusieurs jeunes femmes bien roulées mais soit trop loin, soit accompagnées. Je vis enfin une cible. Une jeune femme de type métisse s’approchait vers moi à grands pas, l’air fâchée avec une personne au téléphone Elle était assez mince, sauf au niveau des hanches, et sous son marcel, on voyait bien ses seins tressauter à chacun de ses pas.-Wesh vas-y me casse pas les couilles sinon je te défonce ta race et tu vas morfler, petite pute a petite bite.Elle avait un joli langage, je remarque. Encore une wesh de cité. Bien foutue mais complètement vulgaire. Pas grave son langage vulgaire sera excitante.J’attendais qu’elle me double pour me retourner d’un coup et lui plaquer les deux mains aux fesses. Elle sursauta et inspira un grand coup, comme si je lui avait glissé un glaçon dans le cou. Elle se retourna, me dévisagea et raccrocha.-Sale con va ! Ça va pas de mettre la main aux fesses. T’es ouf ou quoi ?J’étais surpris et paniqué en pensant que mon coup n’avait pas marché.Putain maintenant je mouille, alors le crevard tu vas me niquer et on sera quitteC’était vraiment bizarre d’entendre ça mais finalement fort excitant, une vraie chienne. Elle m’agrippa le poignet et m’emmena dans un parking, dans un coin sombre. Je la poussais violemment contre le mur, ouvris ma braguette et sortis ma queue toute raide. -vas-y suce.Tu crois que je suis ta chienne ou quoi ? T’as fumé.Je fis mine de remettre mon pantalon mais elle m’agrippa, me tira vers elle et avala toute ma bite. C’était bon et elle maîtrisait bien. Elle jouait avec le gland, aspirant plus que suçant. Un vrai délice. Elle se mit à me branler tout en me disant des mots salaces du genre : tu es trop bon, ta bite m’excite, je suis trempée.Elle reprit la bite en bouche mais j’appuyais sur sa tête pour m’enfonçant au fond dans sa gorge. Elle s’agita pour me faire sortir, mais je restais bien dans sa gorge, savourant ma domination, puis retirais ma verge, qui était recouverte de sa bave.-T’es malade, j’ai failli m’étoufferJe ne répondis pas mais je lui claquais ma bite sur le visage, recommençant plusieurs fois, ce qui la fit taire et fermer les yeux.Je la redressais en tirant ses cheveux, lui arrachant un cri :-allez salope écarte les jambes que je te fasse du bien.Elle ne dit rien mais se positionna contre le mur, bien cambré, tremblant d’excitation la chatte tout humide. Je positionnais ma bite à l’entrée de sa chatte et m’introduisais en elle, la faisant gémir lentement. Lorsque je fus bien installé, je commençais mes va et viens sous ses encouragements-hum c’est bon, tu es trop bon, je te sens bien en moi. Ta bite me fait du bien. Vas-y baise moi. Tu es meilleur que mon ex et sa petite bite. Vas-y plus fort....oui plus vite...oui suis ta chienne saute moi comme une chienneJe partis en trombe en elle, abandonnant toute retenue, je la besognais comme dans un film porno, lui arrachant cri, râle et couinement, elle montait dans les aigus, les yeux révulsés. Je sentais que sa chatte se serrait et j’accélérais encore. Un bruit dans mon dos me fit retourner la tête et je vis deux hommes qui nous regardaient, la queue à la main et qui jouissaient du spectacle. Je leurs fis signe d’approcher tout en baisant la jeune fille. Je continuais ainsi 10 min pendant que les mecs regardaient et que la fille jouissait de façon répétitive, ses jambes recouvertes de cyprine. Je finis par me vider en elle après un dernier grand coup de bassin qui la fit jouir en même temps. Je sortis d’elle et fis signe aux gars de se servir. L’un d’eux s’approcha, se plaqua derrière elle et commença à la baiser. Elle reprit vite ses couinements, et je vins me mettre devant elle, ma queue en face pour lui mettre dans la bouche. Sa fellation prenait le rythme de la pénétration et je savourais ce moment. Le gars serrait fort les fesses de la petite arabe, tandis que l’autre attendait son tour, en caressant sa bite et l’un des seins. Le premier gars finit par jouir et donna sa place à l’autre, qui la prit violemment. Le rythme endiablé enchaîna des gorges profondes de la femme et je me lâchais au fond de sa gorge, elle avala avec difficulté mon sperme, s’étouffant à moitié.Un phare de voiture nous éblouit et nous nous redressâmes tous les trois. Quand nous avons vu la voiture de police et ce fut la panique. L’homme et la femme se rhabillèrent et l’homme partit en courant, tirant la fille par le poignet. J’allais les suivre lorsque : On ne bouge plus.Je stoppais net dans mon élan et levait les mains. Je ne vis pas tout de suite les deux personnes s’approcher jusqu’à ce qu’ils soient en face de moi. Le premier était un homme d’une quarantaine, plutôt dans le genre David douillet. Le deuxième ou plutôt la deuxième était une femme d’une trentaine d’année, encore bien faite, blonde à queue de cheval, mais son uniforme cachait ses formes.Un plan me venait en tête pour m’en sortir même si cela était fort risqué. Ils me récitèrent mes chefs d’inculpation (il est interdit de faire l’amour dans un lieu publique, tentative de fuite etc…) et que j’allais être emmené au poste. La femme s’approcha de moi les menottes à la main et je les tendis mais au dernier mot, je fis un écart et mis une main sur le cul de la policière. L’effet fut double : une lueur coquine s’alluma dans le regard de la femme et le flic me plaqua violemment au sol.Il me menotta tandis que sa collègue me regardait avec un sourire en coin puis elle demanda de me retourner sur le dos. Elle se pencha vers moi : -alors monsieur le pervers, malgré l’autre fille que tu t’es tapé tu as toujours envie.Sur ce, elle glissa sa main sur mon entrejambe, caressant affectueusement mon sexe qui se gonflait.Ludivine, qu’est-ce que tu fais ? Demanda son collègue abasourdiJe prends un peu de bon temps, ça fait un mois que je n’ai rien fait, trop de travail. J’ai des envies comme tout le monde et là j’ai envie de faire l’amour.Elle extirpa mon sexe, le branla un peu et le suça de haut en bas, le léchant sur toute sa longueur, tandis que je me laissais aller. Elle glissa une de ses mains sous son pantalon pour se caresser, soupirant de plaisir, sous les yeux ébahis et envieux de son collègue.Elle se redressa et s’approcha de son collègue, qu’elle caressa à travers le pantalon, avant de défaire le bas et gober la grosse verge du mec. Il la laissa faire, caressant ses cheveux.Je commençais à avoir froid et leur proposais de les laisser s’amuser pendant qu’ils m’oublieraient.Ludivine se redressa :Pas tout de suite, Luc, lève le et qu’il s’allonge sur la banquette arrière.Intrigué, il fit ce qu’elle demanda et je m’allongeais sur la banquette, la bite bien droite. Ludivine déboutonna son haut et fis sortir de gros seins bien lourds, pas ceux refaits des bimbos mais des gros seins naturels. Elle suça ma bite, la plaça entre ses seins, puis me branla avec. C’était doux et chaud et surtout très excitant. Elle glissait des coups de langue sur le bout de mon gland. Quand je fus bien dur au maximum, elle abaissa son pantalon, se glissa au-dessus de moi et me chevaucha ,sa chatte trempée aspirant ma verge avec avidité. -Luc, prend mon cul, j’ai envie d’une double.L’homme ne se le fit pas répéter et introduisit son gros sexe dans Ludivine, qui haleta comme lors d’un accouchement, son cul se faisant écarter. Elle attendit quelques seconde, le temps que la douleur se calme puis commença à jouer du bassin.Oh purée c’est trop bon.Elle accéléra le mouvement, demandant à Luc de la bourriner. La voiture vibrait sous nos ébats, c’était délicieusement bon, ses gros seins ballottaient en tous sens au-dessus de moi. Elle se mordait la lèvre pour ne pas crier, ses ongles enfoncés dans mes épaules. Elle se plaqua contre moi, son souffle chaud dans mon cou, son poids ajouté au mien me fit mal aux poignets. Nous continuâmes ainsi une quinzaine de minutes puis je me vidais en elle, de longs jets tapissant son sexe. Elle se redressa :-Luc sors, on va continuer à deuxJe fus libérer, le sexe vidé mais sans problème, Luc me remercia même de cette chance, et tout en m’éloignant, je vis la voiture de police secouer, et entendit même quelques râles.
En m’éloignant du parking, je trouvais une autre voiture occupée par la wesh et l’autre inconnu, nu en train de dormir, le visage de la fille recouverte de foutre.J’étais exténué et endolori, je repris mon chemin, et resta tranquille chez moi.
Le prochain épisode se tiendra sur une semaine de temps. Je suis adepte des sites de rencontres et je décide d’employer mon don avec ce site, à chaque rencart, une baise...et avec 4 rencarts, dont une black avec des formes de rêve, ce sera le pied. De plus, une certaine Laury me livrera une surprise de rêve.
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