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Le PPMS

Chapitre unique

Canicule au lycée

Avec plusieurs hommes
Je me présente, Lucile, professeur de français dans un lycée. Femme de 48 ans, heureuse en amour, comblée par mon mari, autant sexuellement que dans toutes les facettes de ma vie.Je vis une histoire d’amour très exaltante, dans laquelle les jeux et les défis imaginés par mon homme pimentent notre vie. Petite brune, coupe asymétrique, 50 kg, mince et dotée de petits seins pointant à tout va, dans mes petits hauts sans soutien gorge.Je n’en porte presque jamais sur demande de mon mari, Mike, qui m’impose aussi de ne pas porter de culotte.C’est un jeu de soumission entre nous qui m’excite autant que lui.Bien sûr, les pantalons me sont interdits et je passe pour une femme très sexy pour son âge. Je reçois régulièrement des compliments de la part des hommes et je me fais draguer de temps en temps ; ce qui excite beaucoup mon chéri.
Nos jeux favoris tournent autour de l’exhibe ; multipliant les sorties dans les centres commerciaux, les restaurants, ou en pleine nature, nous faisant surprendre parfois. Notre complicité dans tous ces jeux nous permet d’échanger et de parler de tous nos fantasmes sans tabou.
Dans le cadre de ma profession, j’ai été volontaire pour donner des cours de français à de jeunes migrants venus d’Afrique noire pour la plupart. Le but est de leur donner les bases de notre langue pour leur permettre d’accéder à des bac pro que leur propose notre lycée.Je m’occupe d’une classe de sept garçons de 18 ans, ce qui est assez confortable et me permet d’être plus efficace dans cette tâche. 18 ans c’est l’âge qu’ils déclarent en arrivant en France. Personnellement, j’ai un doute concernant leurs déclarations. Plus longtemps ils sont mineurs, plus longtemps ils sont pris en charge et protégés d’une expulsion. La plupart paraissent avoir 23 ans plutôt que 18.Mes sept garçons ont tous une carrure de sportif. J’avoue que leurs muscles saillants sur leur peau d’ébène me font de l’effet.Je parle librement à Mike de mes fantasmes concernant ces mâles au corps de statues grecques, qui me rendent parfois toute chose.Je reste néanmoins professionnelle et garde la distance et le sang froid que m’impose ma fonction.

Nous sommes au mois de juin, une journée caniculaire se profile comme un avertissement avant l’été qui approche. J’enfile une petite robe légère, un peu trop courte et décolletée pour une prof, mais tant pis, il fait trop chaud.J’envoie une photo de ma tenue du jour à Mike, lui montrant ma poitrine en partie dévoilée par les trois premiers boutons défaits, puis une autre de ma petite chatte épilée. Ma robe est tellement courte que je dois la soulever à peine pour prendre cette photo.L’effet est immédiat et il me répond par un message me traitant de petite salope. Il sait à quel point ces mots me rendent folle.Je lui souhaite une bonne journée et file prendre mon bus pour me rendre au lycée.Je n’aurai peut être pas dû porter ces chaussures d’été à talons compensés qui m’empêchent de me dépêcher au risque de chuter.
Le bus arrive bondé, mais je n’ai pas le choix et monte dedans en me faufilant dans la rangée de voyageurs serrés les uns contre les autres. À peine, une barre attrapée que le bus redémarre. Il fait déjà très chaud et la chaleur corporelle de mes compagnons de route n’arrange rien ; je suffoque. Je me rends compte que ma tenue n’est pas la plus appropriée dans ce genre d’endroit. Je ne suis entourée que d’hommes, voire de jeunes hommes qui semblent apprécier cette promiscuité.
La barre de sécurité à laquelle je suis agrippée, m’oblige à lever le bras au-dessus de ma tête, relevant un peu plus ma robe, dévoilant à coup sûr le haut de mes fesses. Et dire que je n’ai pas mis de culotte ! Ce n’est peut-être qu’une impression, mais je sens que ces hommes s’arrangent pour me serrer de plus en plus. Est ce une main que je sens sur mon cul ? Je n’ose bouger de peur de me frotter contre leur corps. L’homme face à moi, mesure une tête de plus que moi et doit se rincer l’œil dans mon décolleté qui s’ouvre à chaque freinage ou virage. Je fixe un point sur le sol, mon visage doit être rouge écarlate. Cette fois c’est sûr, une main me caresse les fesses. Mais je ne peux pas bouger d’un pouce; la foule nous compresse les uns contre les autres. Des doigts s’immiscent entre mes fesses, pénètrent doucement mais sûrement jusqu’à mon sexe trempé par la transpiration, mais aussi de plus en plus par mon excitation. Une autre main, glisse jusqu’à mes seins et les pelote doucement. Je suis tétanisé et laisse mon corps livré aux caresses d’inconnus. Mon corps est fouillé, tripoté, caressé par plusieurs mains. L’homme derrière moi, colle son sexe dur à travers son pantalon entre mes fesses; les mouvements brusques et réguliers du bus lui permette de cogner contre mon cul, sans que je n’esquisse un mouvement de recul. Cette situation me gêne autant qu’elle m’excite !
Lorsque le bus arrive à destination et me libère de ces voyageurs tripoteurs, je suis trempée et tremblante de désir. C’est en sueur que j’arrive dans ma classe. Il faut dire qu’il fait déjà 28 degrés. La journée va être chaude.
Lorsque je pénètre dans la classe, le silence se fait immédiatement et les regards de mes sept élèves se figent sur moi. Je les sens complètement obnubilés par ma tenue. Mon corps transpirant dans cette petite robe trop légère, doit leur donner un spectacle très érotique. Je dois exciter leurs hormones en ébullition, leurs sept paires d’yeux me déshabillant à chaque instant. Je me rends compte à ce moment, du côté obscène et provoquant de ma tenue pour de jeunes musulmans à la libido en pleine effervescence. Je regrette un peu mon choix, mais ces regards me rendent un peu fière de ce corps de cinquantenaire qui peut encore plaire à de si jeunes hommes.
Le cours avance, je sens bien les regards sur mon décolleté quand je me penche, ou sur mes fesses lorsque je leur tourne le dos. Ma robe déjà très courte doit certainement suivre le mouvement lorsque j’écris au tableau, en remontant légèrement, suivant l’arc décrit par mon bras, et s’approchant dangereusement du bas de mes fesses. Sans culotte, je savoure la sensation qui me fait frissonner quand un léger courant d’air provoqué par la porte entrouverte, arrive à se faufiler dans la pièce surchauffée et s’insinue sous ma robe.
J’ai distribué une feuille d’exercices, les questions commencent à fuser : "Madame, vous pouvez m’expliquer ?" "Madame, je comprends pas ici !" Les tables sont disposées en U, comme d’habitude je virevolte d’une table à l’autre, me penche pour reprendre une phrase avec l’un d’entre eux, pose un morceau de cuisse sur la table de l’autre pour lire la feuille qu’il me tend et réalise soudain que cette position doit révéler à ceux qui sont assis en face une partie de ce tatouage qui orne mon intimité. Tout comme il y a quelques minutes, le bas de ma robe a dû remonter le long de la courbe de mes fesses, lorsque je me suis penchée. Je trouve d’ailleurs que je suis très sollicitée, table après table par chaque élève. Comme si chacun voulait que je m’approche plus près de lui. Cette chaleur me rend luisante, cela crée une attention inhabituelle chez ces garçons transpirant de testostérone. Il règne comme une tension érotique qui me met dans un état pas possible.J’ai hâte de rentrer et de faire l’amour à mon homme en lui racontant ce moment hyper excitant. Je sais que m’imaginer dans cet état va le rendre fou !

Soudain retentit une alarme avec le message d’alerte/intrusion, qui prévient d’une attaque terroriste dans l’établissement ! Il s’agit à coup sûr d’un exercice, mais la procédure est claire et applicable immédiatement. Je ferme la porte d’entrée à clef et demande aux élèves de regrouper des tables contre la porte pour construire une barricade. D’autres tables sont rassemblées à l’opposé pour pouvoir cacher tout le monde au dessous. Et c’est donc à huit que nous nous retrouvons les uns contre les autres assis au sol, sous ces tables.La chaleur se fait d’autant plus ressentir du fait de cette promiscuité. Je transpire comme jamais; je ressens des gouttes de sueur perler entre mes seins.Et puis les corps puissants de ces mâles un peu trop collés contre le mien, font monter la température de quelques degrés. Je ne sais plus où placer mes bras, mes jambes nues sans que ma peau ne touche la leur.Ma robe déjà trop courte quand j’étais debout, ne cache plus grand chose de mon anatomie. Je sens leurs regards tournés vers moi. Leurs bras, et puis leurs mains effleurent de plus en plus mon corps qui est prêt à exploser. Ma sueur mêlée à mon excitation inonde mon entre-cuisse. J’ai honte d’avoir ces pensées impures, mais je ne contrôle plus les fantasmes qui me submergent. "Pardon Madame !" dit l’un d’entre eux, qui en bougeant un peu pour trouver une position plus confortable vient de se coller contre mon dos. Je pose un doigt sur mes lèvres : pendant un exercice anti intrusion, on ne doit faire aucun bruit...
Il n’y a plus de doute désormais, des mains caressent volontairement mes jambes, mon dos, mes bras. Je devrais leur dire d’arrêter, mais mon corps reste figé.Les mains se font plus aventureuses, l’une d’elle m’empoigne un sein, une autre écarte mes cuisses, sans que je m’y oppose. Des doigts se font inquisiteurs et visitent ma chatte trempée. Rapidement, l’ensemble de mes élèves me caresse, me fouille. L’un d’eux m’attrape par la nuque et m’embrasse à pleine bouche, m’enfonçant sa langue au fond de ma gorge.Ils veulent tous goûter à leur salope de prof ! Et se passent ma bouche comme s’il s’agissait d’un ballon.Ma robe est déboutonnée jusqu’en bas, me révélant complètement nue, à la merci de leurs mains, leur bouches.Plusieurs se sont déshabillés eux aussi. J’aperçois plusieurs sexes en érection, certains se masturbent, d’autres les dirigent vers mes mains: Je les saisis et commence des mouvements de va et vient.Je ne sais plus qui m’embrasse, me lèche, me caresse, me pénètre. Mon corps tremble de plaisir; nos sueurs se mélangent.
La table au dessus de nos têtes est retirée. Deux élèves me soulèvent du sol et me posent en douceur sur une autre table au centre de la classe.L’un d’eux plonge sa tête entre mes cuisses et lèche goulûment ma vulve dégoulinante de mouille. Sa langue experte joue avec mon clitoris dressé, et je pars dans une jouissance incontrôlée, mon corps convulse et se cambre dans plusieurs spasmes. Les autres n’ont pas perdu de temps et me présentent leur bites que je branle et suce comme une affamée. Certains sexes sont énormes et manquent de m’étouffer à plusieurs reprises.
Le jeune black le mieux monté, positionne son gourdin à l’entrée de mon vagin et le glisse sans difficulté dans mon antre qui ne cesse de couler d’excitation. Il me ramone comme une pute, m’arrachant des gémissements que je m’efforce de contenir, ce qui semblent tous les énerver d’avantage. Il finit par jouir sur mon ventre, m’aspergeant de sperme jusqu’à la poitrine; juste avant qu’un autre prenne sa place.Chacun leur tour, ils me pénètrent, me souillent et me traitent comme une dépravée.Je suis placée à quatre pattes sur le sol pour que l’un d’entre eux me prenne en levrette. Sa queue cogne violemment au fond de mon ventre pendant qu’un autre m’enfonce la sienne au fond de la gorge.Ils m’éjaculent dessus les uns après les autres ; mon visage, mes seins, mon cul sont couverts de leur sécrétions.Je finis le dernier dans ma bouche en avalant son liquide chaud et visqueux jusqu’à la dernière goutte.
La sonnerie de fin d’alerte retentit. Sans un mot, tout le monde se rhabille. Certains me tendent des mouchoirs afin d’effacer les traces de souillure.Ils remettent les tables en place, je déverrouille la porte et, comme si rien ne s’était passé, je mets fin au cours et leur souhaite une bonne journée.C’est trempée de sueur et sentant le sperme que je reprends le bus plus tôt que prévu afin de rentrer prendre une douche. Je reprends mes esprits petits à petits, comme si je venais de vivre un rêve. Quelle salope je fais !
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