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Un praticien pervers

Chapitre 2

Divers
Elle m’ouvrit, l’air toujours aussi gêné, confuse, n’osant à peine me regarder, arrivant tout juste à parler, et me fis entrer.
Je m’assis directement à la table du séjour (qui faisait office de salon et de cuisine également.) Elle resta debout en face de moi, de l’autre côté de la table, très gênée et commença à se lancer dans une espèce de plaidoirie maladroite et embrouillée où perspiraient la honte digne d’une collégienne prise en faute et la peur du scandale.
« Oh, Docteur », fit-elle, je suis désolée pour ce matin ; j’avais cru que vous veniez demain, et je m’excuse pour ce que vous avez vu… C’est la première fois, je vous promets… J’ai tellement honte… »— Oui, vous pouvez, Madame.— Oh, Docteur, j’espère que vous n’en direz rien à personne, hein ? »
Je la regardai sévèrement, sans mot dire, laissant planer un silence angoissant. Me refusant à répondre, et laissant volontairement planer le doute, appuyant bien mon regard dur, jouant sur sa peur d’être dévoilée, que son mari l’apprenne, que son couple explose ; sans compter le risque du scandale et de l’infamie (dans ces petits villages, ce genre de nouvelles se répandent comme une traînée de poudre… et étant donné qu’elle y avait toute sa famille, que tout le monde la connaissait… elle pouvait déjà imaginer les rires et les moqueries, le froid et les remarques acerbes des gens bien-pensants.)Je lus dans ces yeux un éclair de terreur, puis peut-être aussi de colère mal contenue :
— « De toutes façons vous êtes tenu au secret, non, Docteur ?— Oui en effet… …mais imaginez que votre mari l’apprenne ?— Oui je sais… mais il ne l’apprendra pas. J’ai été très discrète, et personne n’est au courant.— C’est ce qu’on croit toujours…— Mais c’est la première fois… personne ne nous a vus, personne ne sait que lui et moi... enfin… »
Je la regardai toujours de la même façon, mais cette fois j’ajoutai avec un air diabolique :
— « Mais il pourrait l’apprendre par un courrier anonyme, par exemple. Imaginez… »
La terreur fit soudain briller ses yeux, ses joues s’empourprèrent :
« - Oh, Docteur ! Mais vous m’avez dit… vous êtes tenus au secret !— Et alors ? Qui dit que ça viendrait de moi ? Un courrier anonyme… est anonyme. Qui vous permettra de dire que c’est moi qui l’ai envoyé ?
— Ohhh… Vous ne feriez pas ça… ?!— Qui vous dit que je le ferai ? Que je l’aurais fait ? Vous iriez raconter que je vous ai surprise avec votre amant ? J’en doute ! De toutes façons, je nierai tout en bloc. Et vous pourrez toujours dire ce que vous voudrez… »
Cette fois elle resta sans voix. Vaincue, elle baissa la tête, profondément abattue. Elle garda un moment le silence, puis me regarda, implorante, et geint :
« - S’il vous plait, ne faites pas ça…— Et qu’est-ce qui m’empêcherait de le faire…? »
Elle restait muette, abasourdie. Elle ne comprenait pas. Elle ne comprenait que je m’apprêtais à lui proposer d’acheter mon silence. J’ajoutai :
« - Il n’en tient qu’à vous que ça ne se sache pas. Cela dépend de vous.— Comment ça… ?— Si vous faites ce que je vous demande, votre mari ne sera pas averti. Il n’y aura pas de scandale ni de problème.— Qu’est-ce que vous voulez… ?— Et bien pour commencer venez vous placer ici… Et déshabillez-vous entièrement »
Elle me regarda interdite, prise de stupeur, comme soufflée. Elle ne bougeait pas.
« - A poil ! Et vite !!! Je n’ai pas toute la journée. »
Elle vint se placer à deux mètres de moi, à l’endroit que je lui avais désigné, les yeux embués. Toujours assis, je la toisai sans baisser mon regard autoritaire.
Elle se mit à renifler, et vaincue, elle fit lentement passer sa robe d’été par-dessus sa tête, apparut en sous-vêtements, un slip et un soutien-gorge en coton on ne peut plus classiques. Elle resta un moment immobile.
« -Allez, le soutien-gorge et le slip ! J’ai dit « A poil », vite ! »
Elle dégrafa le soutien-gorge, puis fit glisser le slip, se retrouva enfin nue devant moi ; je voyais ses jolis seins ronds, un peu lourds mais encore assez haut placés, et son pubis renflé orné d’une légère toison châtain.
« Approchez ! »
Elle fit les deux pas qui me séparaient d’elle.
« Ecartez les cuisses ! »
Elle s’exécuta, ses yeux plein de larmes commençaient à déborder. Ma main se posa sur sa jambe ronde et douce et remonta lentement vers le genou enrobé, puis empauma l’intérieur replet de la cuisse, que je caressai tout en le palpant par de légères pressions, appréciant la peau soyeuse, et remontai jusqu’à la racine de la cuisse grasse ; mes doigts s’égarèrent jusqu’à la naissance de la fesse, appréciant le sillon qui le séparait de la cuisse, effleurant le rebord de ses grandes lèvres, puis s’insinuant plus haut dans le sillon fessier jusqu’à toucher un bien émouvant cratère arrondi et lisse. Elle frissonna.Puis je pressai légèrement le mont de Vénus bien renflé, moelleux et tendre.
« Tournez-vous »
Elle fit un demi-tour sur elle-même et j’eus sous les yeux le spectacle de cette splendide lune que j’avais déjà eu la chance d’apercevoir lorsque elle descendait de la table d’examen durant la surveillance de sa grossesse ; mais cette fois, pas de coup d’œil furtif, pas de vue-éclair, j’avais le bel objet devant moi et tout le temps pour le contempler, l’apprécier et j’allais pouvoir me régaler en mesurant son volume, sa texture, comme un sculpteur prend connaissance de la matière première qu’on vient de lui livrer et qu’il va travailler.
Je commençai à lui palper à deux mains ces deux belles demi-lunes, rondes et parfaites, assez grasses, mais bien pleines et bien tendues, et en appréciai la fermeté, la souplesse. Je pris tout mon temps, les écartai, les soupesai, les pinçant légèrement, les pressai, faisant rouler ces belles chairs entre mes doigts. Puis :
« - Ecartez un peu plus les jambes et penchez-vous en avant. …Penchez-vous plus, allez ! Attrapez vos chevilles. »
Elle obéit et m’offrit un spectacle des plus émouvants : deux paires de lèvres bien dessinées (les grandes, bien charnues et rebondies, les petites d’une couleur corail tendre…) et au-dessus une vue obscène sur un œil froncé et sombre, tout palpitant …et bien bandant.Et – non… mais je rêvais ? - les fins pétales roses de cette fleur délicate étaient tout humides de rosée ! Mais c’est que cette exhibition l’excitait cette jeune chienne !
Je passai le bout des doigts sur la douce corolle … J’entendis la jeune femme frissonner. Je ne fis aucune remarque sur le moment.Malgré son air réservé, dans la plénitude de son jeune âge fougueux, cette belle fille devait avoir de gros besoins.
Je me levai, lui ordonnai de se redresser. Ma main passa entre ses cuisses dans sa fente douce et moite, et commença un ballet lent et sensuel tandis que ma main gauche se mit à presser doucement ses seins l’un après l’autre, puis descendit à son ventre, son mont de Vénus, revint aux tendres mamelons roses qui pointaient de façon éhontée, les manipula entre pouce et index, les faisant rouler, tirant délicatement dessus, puis caressa son cou rond, ses épaules appétissantes.Son visage était congestionné, sa respiration courte : elle était excitée malgré elle cette jeune chienne.
Je lui posai la main sur la fesse, fermement, d’un geste possessif et la poussai vers le canapé :
« - Mettez-vous à quatre pattes comme une chienne, je veux vous voir ainsi, comme la jeune chienne lubrique que vous êtes. »
Elle s’installa selon mes désirs, honteuse, et je m’approchai, contemplant un long moment ce tableau terriblement bandant, me délectant du spectacle on ne peut plus sensuel et érotique de cette jolie jeune femme pulpeuse dans cette position des plus suggestives.
Mes mains ne résistèrent pas longtemps à ces seins qui fusaient vers le bas comme des obus, pas plus qu’aux replis de son ventre qui bombaient vers le canapé et qui n’attendaient que la saillie d’un mâle pour se mettre à balancer en cadence : je me mis à la peloter avidement, m’excitant comme un damné, lui soufflant dans un murmure rauque qui exhalait le désir viril :
« Hummm… on peut dire que vous êtes bien balancée, petite madame… ...et vous n’allez pas tarder à constater vous-même l’effet que vous me faites… »
Là-dessus, je vins me placer à genoux sur le canapé juste devant sa tête et dégrafai mon pantalon ; je sortis ma queue qui bandait douloureusement.
« Allez, Nathalie, prenez-moi en bouche et faites comme vous feriez à votre amant… »
Elle renifla, et toujours rouge, honteuse, elle ouvrit légèrement la bouche. J’y introduisis mon vit et appuyai légèrement sur l’arrière de sa tête pour mettre fin à toute hésitation.Elle me suça timidement, sans grand enthousiasme, et avec lenteur.
« Allez, appliquez-vous, sucez-moi mieux que ça sinon c’est moi qui vais baiser votre bouche ! Et croyez-moi, dans ce cas, je ne vais pas vous ménager. »
Elle se mit à sucer avec plus d’entrain, plus de zèle… enfin ! Je rejetai ma tête en arrière, au paradis des pervers, poussai un « hummmm » de satisfaction.
« Ah, là c’est mieux… ! »
Je me mis à caresser son dos gras, lui pelotai les seins goulûment, commençai à donner des ondulations de bassin.
« Allez jeune fille, mettez-vous à genoux maintenant, et appuyez-vous sur le dossier. »
Elle se tourna de 90°, posa ses mains et ses avant-bras sur le montant, me présentant une croupe à faire bander un saint.
« Ecartez un peu les cuisses, et cambrez-vous bien. Présentez-moi bien ce cul de jeune chienne, offrez-le comme vous le feriez à votre amant. »
Elle s’exécuta et je ne résistai pas longtemps au spectacle de ces jeunes fesses rondes, et de sa corolle, cette double paire de pétales bien ouverts et tout luisants de sève : je me mis à genoux sur le sol, posai mes mains sur ce cul divin et ma langue fondit sur cette belle fleur : son goût salé et délicat m’enchanta et je léchai consciencieusement tout ce qui s’offrait à moi, tout en pelotant avidement son ventre et tous ses plis, ses nichons gourmands, excité comme un dément. Je rentrai littéralement ma langue dans sa chatte, la baisai avec des va-et-vient, mordillant et aspirant ses petites lèvres sucrées-salées, montant jusqu’à ce petit œillet appétissant que je fléchai avec insistance, cherchant à le pénétrer, l’agaçant, le titillant du bout de la langue.
Après de longues minutes, je conclus mon ouvrage en claquant fermement les deux fesses l’une après l’autre, ce qui la saisit de surprise. Elle poussa un petit cri, se cabra, mais comme je ne prolongeai pas la fessée au-delà de ces deux uniques claques sonores, elle se détendit à nouveau.
Je pris un préservatif que je déroulai sur mon membre toujours aussi arqué. Je le présentai au sanctuaire rose, posai mes mains sur ses hanches, affirmant bien ma prise, puis lentement je rentrai le gland dans le nid douillet : elle était chaude et douce. Le plus lentement possible je rentrai et glissai jusqu’à buter au fond d’elle, hummm… quel délice !
Je me mis à la besogner, d’abord lentement, à longs coups de rein souples, tout en caressant ses cuisses, son ventre, ses hanches rebondies, puis de plus en vite et de plus en plus fort, me cramponnant sur ses hanches saillantes, et me mis à la baiser comme un malade. Elle haletait en cadence, ça avait l’air de lui plaire ; même si c’était malgré elle, elle prenait son pied, cette jeune chienne en chaleur !Mes mains remontaient jusqu’à ses seins, ses bras dodus, je la saisis par les épaules et fermement, l’empalai ainsi en cadence sur moi.
Je dus ralentir pour ne pas jouir, et je finis par ressortir à regret de sa tendre petite grotte.
Je lui demandai de descendre « d’un étage », et de s’installer désormais à genoux devant le canapé, à plat ventre sur celui-ci. Le petit œil sombre entre ses fesses m’aguichait trop.
Je me plaçai alors derrière elle, lui écartai les fesses, et me mis à lui lécher avidement son petit trou du cul comme si ça avait été une glace raffinée à la cannelle ; son petit goût musqué et épicé était délicieux.Elle ne broncha pas, ne protesta toujours pas, même si, à moins d’être particulièrement niaise – ce qu’elle n’était pas, elle ne pouvait avoir aucun doute sur ce que je m’apprêtais à lui faire.Je me dis que cette caresse buccale sur son orifice le plus intime ne devait pas être pour lui déplaire.
J’introduisis le majeur dans sa chatte (qui était bien mouillée), le ressortis tout luisant de sève et commençai à enduire son petit trou de ses secrétions intimes ; puis lentement je glissai une première phalange dans l’étroit orifice, commençai à faire des va-et-vient, tandis que de l’autre main mes doigts lui branlaient doucement sa vulve bien ouverte, caressaient en passant son bourgeon d’amour tout rond et tout gonflé de désir.
Je finis par rentrer le majeur jusqu’au fond et lui travaillai son petit conduit, qui, d’abord serré de spasmes, finit par se détendre et s’ouvrir tendrement.Il faut dire que mon index gauche s’était glissé en elle dans sa chatte et massait avec insistance sa zone G avec de légères pressions tandis que le pouce caressait le petit bouton durci.
Finalement, m’étant accroupi, je présentai mon vit tendu devant la rosette toute plissée, posai mon gland sur lui ; elle ne protesta même pas. Je pris ma queue raide à pleine main et poussai sur l’œillet qui céda lentement ; je m’enfonçai tranquillement, centimètre par centimètre dans la corolle borgne : la grosse fille était brûlante à l’intérieur.Je me saisis des fesses rondes, et les cramponnant je me mis à effectuer un ballet de lents va-et-vient salaces, la sondant jusqu’au tréfonds de son fondement.
La belle poussait des râles légers à chaque fois que je m’enfonçai en elle, je réalisais que j’étais en train d’enculer cette ronde jeune femme sur qui j’avais tant fantasmé, et cela décupla mon excitation.
Après un besognage en règle et en cadence qui dura 10 bonnes minutes, je finis par jouir tout au fond de son cul brûlant et souple en poussant un grognement d’extase. Je restai quelques instants en elle (c’était tellement bon) puis je finis par me retirer, et lui assénai une claque sèche sur la fesse.
« Très bien » dis-je. « Après ceci, je vous promets que vous n’aurez pas à vous inquiéter concernant ce que j’ai vu ce matin. »
Je me rhabillai et je partis. »

Ce que je venais de lire dans ce qui ressemblait à un journal intime me laissa sidéré. Je savais que certains médecins de campagne avaient des réputations sulfureuses, mais là, ça dépassait tout !
Dans son cabinet médical, je me mis à rechercher le dossier médical de la Nathalie en question et m’aperçus que cette jeune personne ne venait plus le voir depuis au moins 3 ans ; je n’en étais pas vraiment étonné…
Je m’aperçus lors du remplacement que sa clientèle semblait avoir fondu, son activité paraissait avoir chuté.Une fois la semaine terminée je ne fis plus jamais de remplacements de ce médecin.

Quelques mois plus tard, je fus amené à effectuer des remplacements dans la grande ville de E. située à 20 km de son village. J’appris par des confrères et des patients qu’il avait quitté la région, après, semble-t-il, plusieurs scandales dont on faisait des gorges chaudes (un médecin qui sort en catastrophe par la fenêtre de sa patiente en remontant son pantalon parce que le mari rentre à l’improviste, ça en fait rigoler certains mais ça n’est pas très apprécié au Conseil de l’Ordre…)
Je me promis à cette époque de ne jamais mélanger vie professionnelle et vie sexuelle, et de rester toujours fidèle à notre déontologie.

    FIN
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