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Le praticien pervers et sa nouvelle soumise

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Le récit qui va suivre est une pure fiction, toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existé ne serait que pure coïncidence.

Je suis un praticien pervers. J’ai une clientèle « normale » et une activité « normale », mais dans le même temps mes multiples relations s.m. ont fini par se savoir. C’est comme ça quand on exerce en province dans une petite ville de 2000 habitants. On a beau être discret et tenter de garder sa vie privée la plus éloignée possible de son exercice médical ça finit par jaser, ragoter, cancaner si bien que de temps en temps on essuie des allusions lourdingues, des sourires convenus, des blagues salaces tout à fait hors de propos et inappropriées. Ça c’est surtout pour la clientèle masculine. Bien entendu je ne suis pas aussi débordé que mes consœurs et confrères car, entendant tout ce qui se dit, des gens se méfient. Il y a des hommes qui n’ont pas confiance et craignent pour leurs femmes : ils s’imaginent je ne sais quoi et préfèrent qu’elles consultent quelqu’un d’autre. J’ai tout entendu (propos qu’on m’a rapportés) : je les séduis, les ensorcelle. Ils ont peur que je les détourne du droit chemin, que je les dévergonde, que je leur fasse goûter à des plaisirs dont elles n’auraient même pas idée, que je les initie à des pratiques qu’elles ignorent.Quant aux femmes, si je décèle chez certaines un œil qui parfois s’allume, qui guette en moi un regard lubrique, une parole déviante qui pourrait les faire frissonner, les plus coincées, les bigotes, ont soit déserté d’emblée mon cabinet, soit ne viennent que quand elles n’ont pas le choix (leur médecin est en congé, par exemple) : elles gardent leur manteau, ouvrent la bouche, montrent leur gorge enflammée et ne retirent même pas leur paletot et leur tricot pour me laisser ausculter leurs poumons. Tant pis pour elles. Même si parfois c’est gênant, tant pour la qualité de l’examen que par la crainte passagère qu’elles racontent je ne sais quoi... alors que je m’en tiens au strict nécessaire. Et puis il y a les commères, les suspicieuses, les curieuses. L’autre jour une vieille bique, la soixantaine, s’est penchée en s’avançant presque jusqu’à contourner mon bureau et s’est tordu le cou pour voir ce que je pouvais bien cacher derrière. Elle a dû être déçue : à part une pile de papiers non classés (courriers médicaux, résultats d’examens) et de journaux médicaux, je n’avais rien d’étrange dans mon foutoir.Je suis donc très prudent. Je ne propose même plus d’examens gynécos si je ne connais pas la patiente et si elle vient pour un problème de « femme ». Je me méfie.
Et puis il y a celles qui viennent pour « ça ». Ça reste rare. Mais ça arrive de plus en plus souvent. Ainsi de Laurette, qui va entrer maintenant en scène.
Le mieux, pour vous raconter notre « relation » est de reproduire ici les courriers que nous avons échangés au cours de cette relation particulière débutée dans mon cabinet, courriers qui détaillent chacune de nos entrevues.C’est elle qui m’a rapidement proposé que nous écrivions ce que nous avons ressenti après chacune de nos rencontres. Car l’écrit l’excite, la petite gueuse. Elle prend son pied plusieurs fois : une fois lors de nos jeux, une seconde fois en écrivant ce qu’elle a vécu, une troisième en lisant ma réponse. Et à chaque fois elle se fait reluire ! Je l’imagine gueuler en se faisant jouir tout en écrivant ou en me lisant. Ce plaisir solitaire est un écho, une réplique du plaisir que nous avons pris ensemble.Mais je ne vais pas vous faire un exposé philosophique, psychanalytique ou sexologique : lisez plutôt.

° ° °

Corsetée pour faire ressortir sa croupe, la voilà face contre le seul mur libre de mon bureau ; dès qu’elle est entrée elle est allée s’y placer sans que je lui demande quoi que ce soit (sans doute attirée chez moi par sa curiosité de commère et les choses troubles qu’elle a entendues sur moi de la bouche de bonnes grosses mémères qui sont venues se faire "soigner" leur cellulite, et qui ont apprécié ma main leste sur leur chair rebondie, trop bien nourrie, trop généreuse. Jadis elles seraient allées voir le curé pour confesser leurs écarts de régime, leur gourmandise et leur concupiscence, et Dieu sait comment cet homme d’église, sévère ou obsédé leur aurait fait faire pénitence... mais les temps ont changé, les petits ecclésiastiques, comme la religion, n’ont plus la côte.) Sa jupe est tombée à ses pieds avant que j’aie eu le temps de dire ouf et j’ai pu constater que mis à part ce corset vintage et ses chaussures d’été à talons elle ne porte rien du tout...
"Le Docteur va te mettre un gros suppositoire", se souvient-t-elle de son enfance...
Qu’est-ce qui l’attend ? Elle a entendu parler des terribles instruments à lanières de cuir qui occupent mes tiroirs, de ma réputation de médecin étrange qui fait des touchers rectaux à certaines patientes un peu plus souvent que nécessaire.Elle n’en a pas dormi la nuit précédente, ses doigts dans sa chatte, à se faire reluire, en m’imaginant avec un doigtier, un tube de vaseline, et les terribles verges, se répétant à voix haute (excitée par sa voix rauque dans le silence de ta chambre) tout en se branlant frénétiquement, ces paroles presque magiques : "il va me trouducuter !"
° ° °
Oui très excitée par ce docteur, qui ne sort pas de son professionnalisme en apparence, j’ai mon cul nul et je lui montre, les joues rouges… mon arrière-train bien ouvert. Ma chatte au poil rare (je ne suis pas ultra poilue) se dévoile à lui entre mes jambes écartées. Mon autre orifice est lui encore caché par mes deux gros lobes celluliteux. J’entends sa respiration devenir plus forte et de plus en plus proche. Sa main qui vient peser sur mes reins.
— Veuillez-vous pencher plus bas que je puisse vous examiner plus attentivement
Je m’exécute, les jambes tremblantes, son pied vient tapoter doucement les miens pour que j’écarte plus les jambes. À présent je suis complètement penchée sur son bureau, cuisses écartées, offerte à son regard. Il a pris mes fesses entre ses mains pour les écarter et voir ma rosette. Mon odeur de femme parvient à ses narines. Elle est forte car le con est déjà luisant. Je sens la luxure et le désir.Il s’en lèche les babines de plaisir. Imaginant sa queue rentrer frénétiquement en moi, glissant d’un trou à l’autre, battoirs percutant régulièrement mes grosses fesses. Mais avant il veut autre chose…
— Je ne peux pas vous examiner correctement, si vous vous négligez, il faut d’abord que je nettoie la zone.
Je ne comprends pas ce qu’il veut, je suis propre, je me suis lavée avant de venir... Que veut-il me faire ? 
° ° °
Eh oui, le médecin n’a qu’une confiance moyenne dans l’hygiène de cette grosse fille. Bon, pas l’extérieur : là, rien à redire. Je constate que le petit œillet froncé est bien net et le pourtour libre de tout poil. Vous entendez derrière vous, outre ma respiration qui est plus courte, le bruit caractéristique du plastique... J’enfile un doigtier. Vous osez tourner légèrement la tête et me voyez ouvrir un tube de lubrifiant. J’en fais couler une dose plus que raisonnable dans ma main gantée et immédiatement vous sentez le froid... dans toute la raie des fesses que j’huile comme un poulet qu’on va mettre au four. Puis vous sentez... la caresse sur votre petit cupule intime, que je vois se mettre à palpiter... (Elle sait à quoi s’attendre la bougresse.)Vous frémissez, je le sens : j’ai bien compris que c’est votre péché mignon que d’offrir vos fesses et votre petit troufignon... Ces grosses fesses, vous en avez honte et en même temps vous ne pouvez vous empêcher de les exhiber, de faire en sorte que les hommes voient ce fessier à la taille hors du commun alors que d’autres préfèrent le cacher, essaient de le dissimuler sous des robes amples, des toges infâmes et sans forme. Non, vous vous n’hésitez pas à mettre des jupes évasées et cintrées à la taille que vous marquez par des larges ceintures voyantes !Vous en avez honte et en même temps elles vous excitent, l’excitation monte dès que vous sentez un regard masculin qui descend vers ces masses globuleuses et hors normes pour leur dimension...Alors si, en public vous ne pouvez que les mettre en valeur et ne pas aller plus loin, dans le cabinet de ce médecin que vous saviez pervers par tout ce qu’on vous a raconté, vous n’avez pas hésité, joues écarlates et cœur battant la chamade. Et ce vieux toubib dégueulasse a apprécié la vue, il ne va pas vous louper.
Et là, alors que vous vous attendez à ce que le Docteur enfonce lentement son gros doigt, forçant votre petit anneau culier, vous sentez glisser de bas en haut et de haut en bas un gros bâton chaud : le vieux salaud commence à se branler dans ton sillon plein de gel, et ça glisse tout seul ! vous sentez son souffle dans votre cou. Il vous tient par la taille, de ses deux mains refermées comme des serres... Vous vous mettez à haleter. Il vous gratifie d’une branlette grecque... ne sachant pas si vous connaissiez déjà cette pratique.Mais soudain il cesse, se détache de vous. Et vous remet en position, bien penchée, cuisses écartées... et là vous sentez son doigt qui caresse la rosette, l’agace, en fait le pourtour, appuie un peu dessus, en apprécie la tonicité... et lentement, en son centre, il l’insinue dans le petit trou borgne, très doucement... Vous poussez un petit cri, lâchez un jet de cyprine (déjà qu’il s’amusait de voir votre mouille pendouiller en stalactites et osciller, puis tomber sur vos cuisses, les maculant comme des escargots qui rampent...), vous ne pourrez pas nier que vous êtes excitée !
Il enfonce lentement son index, jusqu’à venir en butée. Ah, vous êtes brûlante comme l’enfer... Oh le petit nid douillet. Il fait quelques va-et-vient, vous fouille, vous fouaille doucement... Il semble y prendre un vrai plaisir.
Puis il retire son doigt ganté, l’examine d’un œil suspicieux : "Mouais... c’est à peu près propre... mais j’ai connu mieux."Après un temps : "Il va falloir vous laver... J’aime les grosses filles, mais les grosses filles bien propres. On doit pouvoir les remplir de lait et qu’il ressorte d’un blanc immaculé.Allez, à quatre pattes ! Oui, là par terre... ! Elle n’est pas assez propre, pas assez douce, ma moquette pour vos gros genoux ?"
Vous le voyez ouvrir les portes basses d’un meuble et en sortir un broc assez volumineux, tout en acier, et muni à sa base d’un embout sur lequel il branche un tuyau. Et puis vous apercevez du coin de l’œil toute sa collection de canules, des plus petites à la forme modeste et simple à la plus large (grosse et longue) de la taille d’un bel olisbos, blanche et munie de renflements, comme autant de crans pour qu’elle se bloque dans le canal anal et en interdise l’expulsion...

° ° °
Je suis à quatre pattes, je coule d’excitation. La moquette immaculée reçoit au goutte à goutte la preuve de mon plaisir pervers de me retrouver là, à genoux, comme une bête, Immobile, prête au sacrifice. Mes seins pointent dans leur prison de satin. Ils se sentent à l’étroit, que penserait ce vilain docteur devant ma poitrine nue aux tétons décorés ? J’ai déjà vu sa grimace lorsqu’il a posé ses yeux sur le tatouage qui orne fièrement mon décolleté. Monsieur n’apprécie pas l’art corporel...
Je tourne la tête pour voir ce qu’il fait : en main il tient une grosse canule qu’il a lubrifiée. Il me voit et prend une voix sévère qui de suite me fait encore plus mouiller :
"Retournez-vous, tête à terre, sur vos coudes pour bien remonter vos grosses fesses.”
Je m’exécute, la vue que je lui offre à présent doit lui plaire car c’est un borborygme d’assentiment que j’entends.
"Je vais d’abord vous insérez 300 millilitres de liquide nettoyant, vous devez bien garder celui-ci en vous afin que le produit agisse. Puis nous continuerons avec une autre dose.”
Il me décrit chacun de ses gestes, cela me rend encore plus folle de désir. La canule de format important remplit bien mon petit trou, le liquide entre doucement en moi ; c’est agréable et pour l’instant peu dérangeant. Sa main libre est posée sur une de mes fesses qu’il caresse, elle glisse de temps en temps plus bas afin de vérifier l’état de ma petite chatte, mais revient vite s’installer sur mon cul. Il le tapote gentiment, attendant impatiemment le moment où il pourra le faire frémir plus fortement.
° ° °
Le Doc pervers a évidemment choisi la plus grosse canule. Comment ne pas faire plaisir à une femme dont il a deviné qu’elle était anale ?Le bout est effilé mais s’élargit rapidement. L’engin doit bien faire 10 centimètres de long et 3 centimètres dans sa partie la plus large. "Ouuuf..." avez-vous lâché quand je l’ai, lentement mais d’une seule traite, enfilé dans votre rectum, jusqu’à la butée.Je vous passe rapidement le liquide chaud, puis ferme le petit robinet, et cette fois c’est reparti pour 1/2 litre ! Le liquide passe plus lentement... Mes doigts s’égarent entre les pétales rose vif et d’une humidité sans équivoque de votre chatte ; ils patinent, jouent avec les muqueuses, effleurent et agacent le bourgeon qui est gonflé à bloc, tout dur au bout de son index. Vous poussez des petits soupirs, des gémissements ascendants...
Soudain, j’ai pitié de votre grosse poitrine comprimée (pour le ventre tant pis, vous l’avez bien cherché, donc mérité...) : je délace les trois lacets du haut et d’un geste sec, sans tendresse, sans aucune attention, jel tire sur le devant du corset et vos grosses mamelles jaillissent, sortent expulsées de leur carcan. Vous soufflez un peu, respirez mieux...Mais d’une main ferme et puissante je palpe et pétris durement chacune de ces masses, l’une après l’autre, en poussant un grognement satisfait...
"Mmmmh... J’aime les très gros seins, mous comme des brioches. J’aime les voir tomber comme des obus. J’aime les travailler, les malaxer, les étirer... Je vais te traire comme une grosse vache. Je vais les lessiver, les essorer. Viens faire un "stage" chez moi pendant un mois, et tu verras, outre mon traitement spécial que je réserve aux grosses filles anales comme toi (elles sont sodomisées matin et soir), je vais tellement m’occuper de tes grosses loches qu’à la fin du "stage" elles tomberont jusque sur tes cuisses...Déjà que tu as fait percer les pointes... Je vois que Madame est sensible des mamelons... J’ai une bonne collection de pinces et d’instruments spéciaux...Et puis si tu veux je peux te donner les coordonnées de ma grosse bonne : elle te racontera comment un jour je lui ai cloué les mamelons sur le montant d’un prie-Dieu et comment je l’ai laissée à genoux ainsi pendant une heure dans la grange !
Mais pour l’heure, et pendant que le liquide passe et te lave, afin que tu deviennes aussi propre et aussi pure qu’une vierge, je vais m’occuper de tes autres orifices qui doivent se sentir oubliés et délaissés..."
Là-dessus je m’éloigne de deux pas, ouvre les portes d’un meuble bas, et y farfouille afin d’y trouver ce dont j’ai besoin...
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