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Le praticien pervers et sa nouvelle soumise

Chapitre 2

SM / Fétichisme
J’écoute tes élucubrations, je ne sais pas si tu es sérieux ou si tu cherches à m’exciter. Je suis tiraillée entre deux sentiments. La peur devant les sévices que tu me promets et le plaisir pervers qui gonfle en moi. Je me demande ce que serait une semaine de total abandon entre tes mains, mais suis aussi effrayée par certaines descriptions de ce que tu me ferais subir.Pour l’instant, je sens le liquide dans mes intestins, il pèse et remplit de plus en plus mon orifice. Je dois tout retenir, me concentrer sur le bas de mon corps, le faire t’obéir. Je dois garder la pose, supporter tes mains qui jouent avec mes tétons, sans me relâcher. La moindre déconcentration et ce sera la catastrophe. Toi tu le sais et attends la moindre faute. Je n’ose bouger, même si la canule est énorme, j’ai peur que du liquide s’échappe au moindre mouvement. Pourtant le traitement que tu prodigues à mes seins est à peine supportable, j’aime tellement ça. Du liquide coule entre mes cuisses, j’ai peur que cela vienne de mon anus, mais non, c’est ma chatte qui bave comme pas permis, elle trahit mon statut de petite salope vicieuse ; je suis aussi perverse que toi, soumise aux plus sombres désirs.
Soudain, tu l’abandonnes, tu as lâché mes nichons, pour t’approcher du meuble d’où tu avais sorti tes accessoires de lavement. Dans le brouillard de mes pensées cochonnes, j’ai cru comprendre que tu voulais t’occuper de tous mes trous... J’en frémis d’anticipation, ma chatte se contracte, ma rosette se resserre encore plus sur la canule.

° ° °
Le Docteur prend un objet. C’est un œuf vibrant, très sophistiqué, et de la taille d’un bel œuf de poule. Il te l’enfile sans problème dans la chatte, tellement tu es trempée...
Puis, très excité, il s’amuse à faire ballotter tes gros nichons, ces grands pendards (comme disait Voltaire) avec des claques de plus en plus fortes, alternant droit et gauche, il s’amuse à les faire balancer comme des battants de cloche, ces doudounes qui s’entrechoquent le font bander comme jamais... Il vocifère (ah tu l’excites !) :
— J’ai jamais dominé une aussi grosse poule, aussi excitante, aussi maso...! Ah tu en veux, tu vas en avoir. Ton petit stage à la campagne va te faire le plus grand bien, je vais te saucissonner comme une salope avec de la ficelle à rôti, faisant ressortir des bourrelets de chair tous les deux centimètres, et je te suspendrai à une poutre dans la grange, côté face vers le sol, et je te laisserai te balancer pendant des heures comme un jambon jusqu’à ce qu’il soit à point !Et puis je te mettrai au vêlage, toujours attachée et branchée à la trayeuse. J’ai une trayeuse puissante : elle est capable de faire monter au bout de trois jours le lait à de grosses mémères sexagénaires... Un vrai nectar !
Là-dessus, debout au niveau de tes épaules, il enserre ta tête avec ses jambes pour la coincer et admire ton monumental fessier :
— Quel cul ! Je n’en ai jamais eu un aussi large à dominer, jamais une femme ne m’avait offert un fessier aussi plantureux, aussi volumineux, aussi bandant...!
Et là il ponctue son propos en commençant à te claquer, fesse droite avec sa main gauche, fesse gauche avec sa main droite, en alternant, à un rythme régulier, et avec une intensité d’emblée bien forte... la chair tremble, le gras tremblote, il se régale de voir tout ça onduler sous l’onde de choc à chaque impact.
— Ah tu gueules, tu beugles, tu meugles... C’est de plaisir ? Ce n’est pas ce que tu voulais ? Tu vagis, tu te plains, je frappe trop fort. Si tu continues je vais devoir te mettre un bâillon-balle... ou mieux j’en ai en forme de phallus, courts mais efficaces...Oh et puis, autant en mettre un vrai...
Et là il relâche ta tête en desserrant les jambes, recule, se met à genoux, relève ton menton et enfonce sans tergiverser sa grosse queue raide et gonflée à craquer jusqu’au fond de ta gueule... Tu encaisses, tu n’attendais que ça. D’autant qu’il a pris le boitier de commande de l’œuf vibrant qui commence à envoyer des impulsions, d’abord brèves et peu intenses... mais il ne va pas en rester là.
— Raaah, et ces grosses cuisses... Viens en stage, chez moi, ma grosse poule. Je te ferai porter des mini-jupes droites et entravées ras le bonbon et t’obligerai à sortir dans le village, exhibant ta cellulite et les belles zébrures rouges laissées par mon fouet... Les habitants ont l’habitude, tu verras, ils ricaneront mais diront : "tiens le docteur a une nouvelle bonniche..."
° ° °
L’œuf dans le vagin vibre frénétiquement. Tu me bourrines la gueule avec détermination, toujours en vociférant tes élucubrations, la bite plantée au fond de ma gorge, j’ai du mal à déglutir, ma bave coule sur tes couilles, mes haut-le-coeur ne font que t’exciter encore plus. Mon cul rouge de tes attentions me brûle et mes seins sont légèrement douloureux du traitement que tu leur as administré.Je suis secouée de toute part. Muette par obligation, réduite à quelques gémissements quand ta queue ressort de moi pour se renfoncer dans ma bouche.
J’imagine mon séjour à la campagne, réduite à la simple fonction d’animal obéissant, d’objet consentant. Je m’imagine finir par donner du lait et toi accroché à mon pis, t’abreuvant à la vache laitière que je serais devenue. Je me vois de longs moments crochetée, saucissonnée, bâillonnée, les seins et la chatte pincée et pendue, et toi revenant enfin pour simplement libérer ma bouche afin d’y glisser ta queue. Tu finirais par me libérer pour mieux m’enculer. Je m’imagine toujours menottée, du matin au soir, enchaînée la nuit. Nourrie de ta main, uniquement pour m’apprivoiser, pour après me nourrir de ta queue et finir par m’enculer. J’imagine les longues séances de fessées, attachée à un cheval d’arçon, de flagellation, suspendue sur la pointe des pieds à un crochet de boucher.
J’ai du mal à retenir le liquide, il suinte de mon petit trou, tu n’as pas l’air de le remarquer ou cela t’indiffère. Mon dieu je ne vais pas tenir ! A présent si je me tortille c’est d’inconfort. J’ai besoin de me relâcher. L’œuf vibre toujours en moi, il n’arrange rien. Les larmes coulent le long de mes joues autant de honte que de l’effort de succion. Je lève les yeux vers toi, le regard suppliant. 

° ° °
Le vilain docteur te baise la bouche, il t’en met plein la gueule… et il ferme à demi ses yeux de plaisir : tu le suces et le tète admirablement bien. Tu as hâte de te prendre son gland gros comme une balle de golf dans la chatte... et ailleurs !
Il a actionné la télécommande et les ondes - "bziiit" - se rapprochent et stimulent ta zone G comme des vagues brèves et intenses.
Il ressort de ta bouche (il a peur de jouir trop vite), il avance, enserre encore ton cou de ses jambes, se penche et le rythme de ses claques s’accélère, ça retentit dans le cabinet :il couvre toute la surface de ton gros fessier, n’épargne aucun de tes hémisphères. Il se penche davantage et s’en prend à tes grosses cuisses. Il les claque sans douceur : là tu te mets vraiment à beugler !
— Ah tu as eu ce que tu voulais, grosse vache ! Tu as ce que tu mérites. Parce que tu aimes ça, te faire claquer ta graisse...! Oh mais attends, le broc est vide. Et ce gros bide commence à être bien tendu...
Il palpe ton abdomen qui commence à ne plus avoir de plis. Il appuie un peu sur cette outre, ton intestin gargouille, ton rectum réclame, du fait de sa tension et des spasmes sa libération.
 - Attends un peu, je te passer le dernier litre. Avec ma potion spéciale... Tu vas être ben nettoyée. Tu sais que l’hydrothérapie du colon est très en vogue chez les naturopathes ? Je pense que je ne vais pas tarder à dévisser ma plaque et installer un centre de cure dans ma ferme... Je n’y "soignerai" que des femmes obèses de plus de 40 ans, et je m’y ferai aider par mes bonnes et mes filles de ferme.
Il ferme le robinet, branche le dernier broc d’un litre, il prend un martinet aux longues lanières de cuir, et il ouvre le robinet... tu sens le liquide couler, glacé et piquant. Il pousse la télécommande de l’œuf au maximum et, placé juste derrière ton cul, il commence à te cingler ta mappemonde de coups longs et vachards, il n’épargne pas tes cuisses. Et même tes jambes et tes plantes de pied ! Il s’arrête de temps en temps pour te branler la chatte, jouant avec tes petites lèvres, les frictionnant, caressant ton clito...
Quand il reprend la fouettée tu cries, essaies d’avancer sur tes genoux :
"- Ah ma salope, n’essaie pas de te soustraite à ton traitement mérité ! Tu vas voir, quand tu seras à la ferme je te mettrai un gros collier de cuir clouté et t’immobiliserai avec un crochet-boule : tu ne pourras pas baisser la tête, sans risquer de t’arracher l’anus !"
° ° °
— NON ! NON ! Pitié Docteur ! Arrêtez
Je n’en peux plus, tu as atteint mes limites, je sens mon ventre qui ne supporte plus rien. Je n’arrive plus à savoir si tu te maîtrises toujours.
— Docteur ! Laissez-moi aller aux toilettes ! 
Je ne peux m’empêcher de mouiller quand même, je rêve que tu en termines, qu’enfin ta queue entre dans ma chatte et dans mon cul, mais surtout, j’attends avec impatience que tu me permettes enfin de me vider.
— Assez ! Docteur ! Assez !
Devant ma rébellion, tu me fouettes derechef. Je suis épuisée, je pleure. Je veux que tu me libères de ma frustration que tu as si bien nourrie. Oui docteur, libère-moi par pitié.
° ° °
Le vilain docteur a l’impression que ton ventre va éclater... Magnanime, il te jette avec mépris :
— Allez, allez-vous libérer. Je ferme le petit robinet. Les toilettes sont là, juste à côté : vous enlèverez ma canule et ne la perdez pas ! Ensuite je vous passerai 1 litre de lait tiède pour voir s’il ressort bien blanc...
Mais il te laisse l’œuf vibrant en place et ralentit à peine le rythme des vibrations pendant que tu te soulages... Des litres et des litres sortent, titillant ton anus... Tu as l’impression que ça ne va jamais finir. Qu’importe, lui a tout son temps...
Quand tu ressors des toilettes dont la porte donne directement dans son cabinet il est à son bureau en train d’écrire. Il lève à peine les yeux sur toi.
— Allez-vous mettre au coin. Oui, dans ce coin-là, face au mur, les jambes légèrement écartées, et les mains sur la tête !
Il te laisse mariner huit bonnes minutes, puis se lève sans se presser. Il s’approche, examine longuement les quelques traces rosies sur tes cuisses et tes grosses fesses :
— Hum, vous ne marquez pas trop. Pas de rougeur, même pas un bleu... C’est parfait. On va pouvoir aller très loin...
Et là il va prendre sur son bureau une longue et large règle en plastique plate et commence à t’en asséner des coups secs et amples qui retentissent très fort dans le bureau. Il est méthodique et distribue les coups bien horizontalement, en partant du haut des fesses, puis en descendant... Il va aller jusqu’au bas des cuisses.Tu te mets à beugler.
— Moins fort ! Sinon je te mets un bâillon-balle ! Ce serait dommage, j’aime bien entendre crier les soumises quand je châtie leur chair trop généreuse…
Il se met à te palper tes masses fessières, celluliteuses, et des cuisses grasses, tes flancs, les bourrelets de ton ventre. De l’autre main il branle son vit énorme, dressé, tendu, arqué...
— Hum... Je vois qu’on a bien profité... on s’est laissé aller, toutes ces années. On a engraissé, fait de la mauvaise graisse, stigmate de la paresse et de l’indolence, de la nonchalance... Mais on a engraissé jusqu’à attirer l’attention et le regard d’un Maître, et excité sa concupiscence... Tout ça pour être châtiée, ça n’était pas innocent. Maintenant il va falloir payer. Payer le prix de tous ces écarts, et de tous ces fantasmes pervers et lubriques ! La grosse fille aime être soumise et punie, elle va être servie !Hum, maintenant, pose tes mains à plat sur le mur, recule d’un pas, penche-toi en avant... oui comme ça, à l’horizontale, et écarte grand les cuisses !
Ses mains se posent sur tes fesses, sur ta double mappemonde bien déployée... Il examine mieux encore le sillon, et surtout, cible de toute son attention, l’œillet borgne... :
— Hum, il est encore bien plissé... tout froncé. Avec le traitement que je lui réserve, après le stage, je te promets qu’il sera tout lisse, et une queue - même la queue d’un bourricot - rentrera comme dans du beurre. Reste comme ça. Maintenant je vais te faire passer le "test du lait", pour voir si tu es bien propre, pure... Comme une jeune vierge.
Et il te remet une autre canule et le branche au broc de lait qu’il a posé en haut de l’armoire de rangement, pour que ça passe plus vite...
° ° °
Je suis sur les toilettes à me vider de tout le liquide, les bruits qui sortent de moi me font rougir, j’espère que tu ne les entends pas. Mon dieu l’œuf est en train de glisser vers l’extérieur. Je n’arrive pas à le retenir, je me relève et le prends dans la main, heureusement que tu n’es pas là pour voir ma petite infraction. Je le regarde alors que j’ai reposé mon cul sur la tinette, il est gluant et blanchâtre de ma mouille. Je le porte à ma bouche et le gobe, il vibre, j’en gémis. 
J’ai enfin fini de me vider et je te rejoins, tu me donnes tes instructions et je m’installe où et comme tu l’exiges. Je sens ma chatte humide, le jouet réinstallé continue son office, il me torture divinement. Je prends le temps de cette pause pour me questionner sur ce docteur et sur ma réaction :J’ai toujours été un peu soumise, toujours aimé être un peu malmenée, mais jamais de cette manière. Je ne sais si j’apprécierais de l’être plus. Actuellement, je me laisse porter par la situation, par mon excitation allant grandissante. Mais tes propos me font peur, tu me promets des choses extrêmes, un asservissement que je ne suis pas sûr de pouvoir accepter.
Tu reviens vers moi, m’annonces que tu vas reprendre le battage de mon arrière-train. Ça fait mal, je ne peux m’empêcher de crier... Je n’ai jamais gueulé comme ça, mais je n’ai jamais eu de partenaire aussi porté sur la badine. Tu reprends tes discours sur mon poids, mon besoin d’être disciplinée pour mon laisser-aller ; je retiens mes larmes, honteuse de ce corps avec lequel je me débats depuis l’enfance. Et toi, malgré ces mots durs, tu le malaxes avec plaisir, tu te réjouis du moindre bourrelet. Tu me chamboules au plus haut point.
Quand tu m’annonces encore un lavement, je ne peux retenir un gémissement, d’impatience et d’appréhension. Mon intestin est déjà sens dessus dessous. La grosse canule se place dans mon fondement, je sens le lait passer rapidement en moi, cela va vite. Mon cul déjà malmené n’arrive pas à retenir suffisamment le liquide. Il suinte de mon trou. A peine le litre fini que je ne peux m’empêcher d’expulser canule et lait de mon intestin. Je finis accroupie, recroquevillée, le sphincter palpitant.
— Pardon docteur ! Je n’ai pas pu me retenir !
Cette fois je ne retiens plus mes larmes. J’ai honte de mon relâchement, je lève mes yeux suppliants. Alors que je sais que mon cul réclame déjà autre chose.

° ° °
Le Doc pervers se met en colère, il te jette une serpillère : — Tiens, souillon ! Nettoie tes saletés ! Heureusement que tu commences à être un peu propre. Tu n’as pas encore assez travaillé la musculature de ton périnée et de ton sphincter. Lors de mon stage spécial tu seras soumise à des exercices pluriquotidiens... Tu as trop profité et ta chair, trop bien nourrie et vautrée dans l’oisiveté, s’est vraiment trop relâchée. Des séances au pilori te feront également le plus grand bien. Je vais te passer le dernier demi-litre de lait que tu ne garderas que cinq minutes et que tu rendras accroupie dans la cuvette ! Ça te musclera les cuisses...
Toujours à genoux pendant que tu reçois ton dernier lavement je te passe un collier de cuir rouge. Il est neuf, il sent encore la vache. Il est orné de "clous" de métal bien brillant et d’un mousqueton pour y passer ta longe... Je le serre juste assez pour te laisser respirer. Puis avec ta laisse il tire sur ton cou pour que tu poses à nouveau ta tête sur tes mains, à plat sur le sol.
Il décroche des verges, un beau bouquet de longues tiges bien souples en coudrier, et la musique commence : le sifflement suivi des percussions qui commencent à zébrer le haut de ton monumental fessier en descendant lentement sur tes cuisses grasses... Tu cries... Et il est obligé de te mettre dans la bouche un bâillon en forme de grosse pine en silicone :
— Ça t’apprendra, grosse pisseuse ! La prochaine fois ça sera la poire d’angoisse. Tu connais ? C’est très vieux ; j’adore le matériel antique : ça ressemble à un petit speculum qu’on referme sur la langue qu’elle remprisonne et qui se fiche merveilleusement bien dans la bouche ; ainsi il est bien calé et ne peut ressortir.
Il sort des fortes pinces à seins. Il y a de la place sur le bout de tes mamelons qui semblent s’être bien érigé depuis le début de ce traitement. Tu vas déguster...
(A suivre....)
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