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Le praticien pervers et sa nouvelle soumise

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Je suis agenouillée. Tu regardes mon cul aller et venir tandis que je frotte le sol. J’entends un grognement de plaisir. Puis tu m’annonces un dernier lavement et pose un collier sur mon cou. Je suis devenue ta chose. Comment aurais-je pu imaginer que ma journée finirait à quatre pattes dans ton cabinet. ? On m’avait dit que le docteur Saint Sever était un gros pervers, qu’il aimait se taper ses patientes, surtout les grosses. Mais jamais je n’aurais imaginé être utilisée ainsi.
Quand tu commences à me badiner le cul, je n’en peux plus de douleur, et quand tu me coupes le son grâce au bâillon je ne sais plus quoi penser. Je suis à bout.
A présent au-dessus de la bassine, je me vide doucement, alors que tu me places une pince après l’autre sur mes seins. Un lait immaculé sort de mon cul. Les pinces sont une torture supplémentaire. Je n’en peux plus.
Je te regarde, les yeux suppliants et larmoyants, si j’avais la bouche libre je t’implorerais de me baiser. De me prendre par tous les trous. Je rêve de recevoir enfin ta queue. 
Prise d’une impulsion folle, mes mains se dirigent vers la braguette de ton pantalon, je commence à la défaire pour sortir ta queue. Enfin.
° ° °
Je te donne une serviette de toilette pour te sécher ; elle te semble incroyablement douce, quel réconfort...
Je t’ordonne de monter à genoux sur le fauteuil visiteur du cabinet et de bien te cambrer. Tes seins pendouillent lamentablement, les pinces et les chaînes se balancent... j’y pose un petit poids de chaque côté : on commence par 200 grammes ! Ça t’étire le téton, tu essaies de pousser un cri étouffé par le bâillon-gode. Je fais donner encore plus de gite aux poids. Tu secoues tes reins en signe de protestation...
Je te claque chaque cuisse d’une main, t’intimant de les ouvrir plus. Tu t’empresses d’obéir. J’écarte doucement tes grosses fesses, inspecte le petit œillet bistre, prends une crème apaisante que j’étale sur la petite cupule, irritée qu’elle a été en laissant passer tant de liquide à grands jets. Tu soupires...
Puis je prends le tube de gel, en fais couler une bonne dose du haut de ton sillon fessier. J’ai déjà mon vit bandé et dur à la main, je le coiffe d’une capote. Je présente le gland gonflé et le pose sur la cible, tu vas enfin avoir ce que tu cherches depuis si longtemps... Je prends ma queue à pleine pogne, je pousse, la rosette s’ouvre sans résistance, se dilate et tu me sens entrer et glisser dans ton canal anal. Tu pousses un cri (toujours étouffé... je ne voudrais pas que tu ameutes tout le quartier) : cri de joie ? De victoire ? De plaisir ? Tu te sens remplie, progressivement, bien occupée... La place forte est prise, la ville est conquise après un long "siège" qui a nécessité beaucoup de coups de bélier et de fléau.J’exulte :
— Raaah... Quel moment délicieux ! J’adore enculer une grosse fille, bien large, bien grasse, au corps bien massif ! Ah heureusement que la largeur de leur gros cul ne présume rien de l’étroitesse de leur petit trou (comme ont tendance à croire les sots et les bégueules...)
Je vais te défoncer le fion, te ramoner ton petit trou de balle, te pilonner le troufignon ! Tu vas t’en prendre plein ton cul... Tu vas te faire enculer comme jamais tu n’as été enculée... !
Mes mains se referment sur ta taille replète, te verrouillent, te bloquent... Te voilà bien prise ! Je commence des allers-retours amples et lents... pour commencer... Voilà l’apothéose de la punition. Une sodomie bien méritée !
° ° °Hoo putain, oui ! Enfin !Tu es dans mon cul, à me lustrer les intestins. Mes chairs ballotent en tous sens à chacun de tes coups de reins. Mes seins tirés en bas sont douloureux mais je me sens partir en état de transe. Je ne suis plus la petite grosse un peu réservée qui est entrée dans ton cabinet, mais la salope, la cochonne qui ne demande qu’à être violemment enculée par le docteur pervers que tu es. 
Sous mon bâillon, je hurle de plaisir, me laissant aller à des extrêmes que je ne me permets pas habituellement. Moi qui dans la solitude de mon petit appartement, me fesse et me pince les tétons, un plug dans le cul, en imaginant que je suis prise et dominée de diverses façons, je suis là en train de réaliser mon fantasme !
Je suis devenue ta chose, ton jouet et à présent dans ma folie, je rêve d’être à tes ordres dans ce stage que tu m’as tant promis. Mes idées vagabondent, démultipliant mon plaisir. M’imaginant pendue ou attachée à t’attendre. Rampant, retenue en laisse, vers ta queue pour venir la prendre en bouche. Sodomisée matin et soir. 
Toute ces choses avilissantes que je refuserais en temps normal défilent dans ma tête alors que tu me bourrines avec bonheur. Tes mains s’accrochent avec délice à mes bourrelets. Et tu te donnes au maximum dans mon fondement. Le bruit de tes hanches qui claquent sur mon cul est assourdissant. Tes grognements de plaisirs sont une douce musique à mes oreilles. Tes mots crus me font plus d’effet que je ne l’aurais imaginé. Tu me pilonnes je ne sais combien de temps, infatigable, quand je pense pouvoir enfin jouir, tu changes de rythme ralentissant ainsi notre orgasme. Tu joues encore, la torture n’est pas terminée, tu as trop de plaisir.
Les pinces ont fini par se décrocher à force d’être malmenées. Lors de leur libération, mes tétons douloureux m’ont fait hurler, m’envoyant une décharge dans tout le corps. J’aurais pu exploser à ce moment-là. Mais tu t’es arrêté assez longtemps pour que je me calme… que je t’ai haï à cet instant ! J’y étais presque, mais toi tu voulais faire durer tout ça. 
Tu profites pour sortir de moi et m’ordonnes de venir m’installer sur la table de gynéco qui se trouve au fond de la pièce, pourquoi en as-tu une d’ailleurs ? Tu m’installes les jambes sur les trépieds et m’oblige à rapprocher mes fesses du bord afin que mon anus soit de nouveau à disposition et tu reviens te placer à l’intérieur dans un gémissement de plaisir.
— Tu vas bien me regarder pendant que je t’encule ma grosse cochonne. Je vais être sans pitié - de toute façon c’est ce que tu veux non ? Réponds-moi.Tu claques mon ventre alors que tu me poses la question.
Je te fais signe que oui. Alors que dans mon plaisir j’incline la tête en arrière, je reçois un coup sur les seins.
— Regarde-moi ! J’ai dit !
° ° °
Voilà la grosse cochonne sur le dos, bien exposée, ses grosses cuisses écartées bien docilement. Je t’ordonne de mieux relever tes reins ; ainsi j’ai une vue imprenable sur ta vulve gonflée et luisante de désir, et sur ta rondelle qui reste un peu ouverte et bâille encore...
— Que de chair, que de chair !
Tu sens que le Doc est vraiment très pervers et très excité par cette masse étalée et offerte à son désir et à son bon plaisir.
— Hummm... je n’ai jamais vu une fille aussi soumise, aussi maso... et aussi grasse !
Et je ponctue mes dires de coups de martinet bien cinglants sur l’intérieur de tes cuisses, là où la peau est si lisse, si douce. Tu vois le vieux Doc bander comme un satyre en rut, la pine à la verticale, tendue comme un arc comme si elle allait exploser. Et si grosse et rouge ! Tu te demandes si c’est toi qui lui fais cet effet-là ou s’il ne s’est pas un peu "dopé" avant...Il commence à te manipuler tes grandes lèvres de ses doigts, sans douceur... Puis les petites, dégoulinantes de cyprine qu’il recueille, l’admire à la lumière en connaisseur ("elle est abondante, filante, brillante, bien translucide") et l’étale encore sur ton anus. Cette vision l’excite :
— Si tu étais à moi je te ferais percer les petites lèvres et te ferais poser un petit anneau d’or de chaque côté ; il n’y aurait plus qu’à fermer ça avec un petit cadenas dont je garderais la clef. Et il y aura mon nom gravé sur le cadenas : "propriété de Doc Saint Sever"...
Ah ma salope, je te sortirais dans mes soirées spéciales, dans une tenue bien choisie : mini-jupe noire ultracourte, chaussures à hauts talons, corset gris (taille et poitrine ultra compressées), collier de cuir rouge, chemisier noir ultra vaporeux, sans culotte bien entendu (avec ton rose Bud rose dans le cul) et t’emmènerais tenue en laisse (debout tout d’abord) ; et on verrait les zébrures rouges horizontales sur tes cuisses et tes mollets !
° ° °
Hoo docteur, tu me baises bien, aucun trou, aucune partie de mon corps n’est épargnée. Les mots qui sortent de ta bouche me font prendre encore plus de plaisir. De m’imaginer sous ton contrôle provoque des spasmes, resserrent ta queue dans ma chatte. Aimes-tu que je te retienne ainsi ? La queue serrée étouffée en moi, tu dois redoubler d’effort pour me pilonner. Ton doigt ne reste pas seul dans mon cul tu y rajoutes un autre et pendant que tu me baises divinement la chatte, ceux-ci explorent mon trou consciencieusement.
Si je n’étais pas bâillonnée, je crierais mon désir de t’appartenir complètement, te déclarerais que je suis ta petite soumise obéissante, que je veux pouvoir porter ton collier fièrement devant tous. Tu saurais que « oui docteur, je veux être à vous, je veux être la petite soumise de mon maître. Pouvoir être à vos pieds heureuse de vous donner du plaisir. »
Mes seins ballottent vulgairement à chaque coup de reins que tu portes. Ta main qui n’est pas occupée avec mon cul vient en prendre un et le malaxe, tes doigts s’enfoncent dans la chair molle. Tu passes à l’autre pour aussi le flatter. Et sans crier gare tu finis par les gifler. Tu recommences plusieurs fois, heureux de les voir partir dans le sens inverse de ta main. Je me retiens à la table d’examen, je hurle sous le bâillon, je mouille sur ta queue. Est-ce de la douleur... du plaisir... ? Je n’arrive plus à faire la distinction.
Je sens encore mes chairs se rétracter sous ta queue. Je ne suis pas loin de jouir. Je sens la déferlante monter en moi, je sais que ta queue est totalement souillée de mes fluides. Je te regarde toujours comme tu l’as exigé, à présent tu es moins bavard, je pense que pour toi aussi la sève monte. Tu intensifies tes déhanchements. Et moi je... Hoooo... je...!
— Docfffteurrfffmmmm !
° ° °
Le vieux Doc arrive à se calmer quelques secondes... Le temps à prendre pour enlever ton bâillon : il a très envie de t’entendre gueuler. De toute façon son cabinet est parfaitement insonorisé.
Il retire son gros vit de ta chatte ainsi que ses doigts de ton cul, il fait coulisser son gland énorme sur les lèvres de ta chatte, sur ta tirelire... mais il louche clairement sur le petit orifice borgne qui baille encore.Il prend son dard et enfonce le gland dans le petit trou arrondi comme un o, et qui s’ouvre sous la poussée, ça glisse tout seul. Il avance son membre, centimètre par centimètre, dans ton fondement. Excité comme jamais, le martinet à la main, il rugit, crie victoire... Et d’une ultime poussée il te l’enfonce jusqu’à la garde. Énervé et excité, enragé, il se met à pousser des jurons obscènes - on dirait une scène de Sade - et il se met à te fouetter les seins, l’un après l’autre sans pitié aucune ! Et sans se soucier de tes cris, qui l’excitent encore plus... Et il donne des coups de reins de plus en plus rapides, de plus en plus puissants, il grogne, il râle, tu sens ses grosses couilles claquer contre tes fesses.
— Ah Bordel, tu vas me faire jouir, grosse salope !
Lâchant le martinet il verrouille ses deux mains sur ta taille empâtée, te serre comme un tigre sa proie, et il te hayonne, te besogne, te pilonne, te pistonne à un rythme effréné.Dans un rugissement diabolique il décharge et t’envoie des jets de foutre tout au fond de ton intestin, se répand, se vide complètement dans ton rectum :
— Ahhhhhh, vl’à ton lavement au foutre, grosse soumise !!!
Il s’écroule sur toi, pèse de tout son poids (tu te demandes s’il ne va pas rendre l’âme et t’emprisonner du poids de son cadavre... mais tu l’entends respirer fort, souffler, haleter comme un fauve après la course.)
Finalement il se relève, semble revenir à la conscience, te sourit brièvement (ou est-ce un rictus ?) :
— Hum, tu es vraiment la meilleure soumise que j’ai baisée et humiliée depuis bien longtemps... Je n’ai pas joui comme ça depuis que je me branlais tout jeune devant les films de Fellini ou en lisant la scène de baise avec la grosse charcutière dans un roman de Céline. Jeune fille, la proposition que je vous ai faite était sincère, et pas le fruit de mon délire sexuel : si vous voulez faire un stage dans ma maison de campagne vous serez ma favorite. Vous êtes un sujet de choix, tant pour votre gabarit, votre corps, mais aussi parce qu’il y a bien longtemps que je n’ai pas eu la chance de dominer une bonne grosse aussi maso et aussi compliante... Et j’ai cru sentir combien vous preniez votre pied à se prêter à mon jeu.Quant à moi j’ai pris un plaisir phénoménal.Réfléchissez, et si vous le souhaitez, revenez me voir. Je vous garantis que ma propriété est tout équipée et parfaitement adaptée à des cochonnes grasses comme vous ; j’ai les cordes suffisamment solides pour vous transformer en gros jambon suspendu dans ma grange, offerte à mes caprices et à tous les sévices. J’ai des piloris adaptés à votre corpulence et une collection d’objets de soumission, d’instruments pour tous nos délices. Tout ceci sans aucune contrepartie de part et d’autre.
J’aurai juste besoin de prendre toutes vos mensurations dès maintenant afin de confectionner harnais de cuir et de métal et vêtements de grosse pute avec dentelles et froufrous pour vous rendre encore plus bandante.Si vous en êtes d’accord je peux prendre ces mesures dès maintenant, ça ne vous engage à rien.
° ° °
— Je.... heu.... Oui, Au revoir Docteur !
Je me suis dépêchée de me rhabiller, sous tes yeux stupéfaits et ai fui ton cabinet, sans demander mon reste, et sans accéder à tes demandes de prendre mes mensurations. Je suis complètement bouleversée, ne comprenant pas ce qui vient de se passer. Cet abandon dont j’ai fait preuve envers toi. 
(A suivre...)
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