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Le praticien pervers et sa nouvelle soumise

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Un jour se passe, puis deux, puis une semaine. Chaque jour qui passe, je suis face à la glace scrutant les marques qui disparaissent petit à petit de mon postérieur et de mon corps, virant du rouge au violet et au jaune. Je me caresse ces parties meurtries tout en me remémorant ce que j’ai vécu avec toi. Je fantasme sur les supplices que tu m’as promis, frissonne d’angoisse en pensant aux autres, potentiels. Je suis tentée et terrifiée. 
Deux semaines se passent.
Aujourd’hui est très important, j’ai décidé de porter une jolie robe rouge : elle est ajustée à la poitrine, son décolleté est plutôt conséquent, sa jupe qui s’évase m’arrive juste au genou. Dessous j’ai mis un petit ensemble noir, soutien-gorge, porte-jarretelles et des bas noirs, pas de culotte. J’ai aussi enfilé des chaussures à petits talons, pas trop hautes car je ne sais pas marcher avec des échasses. Je suis prête.
Je me suis installée dans ta salle d’attente, bien en face de la porte de la salle d’examen. Il y a du monde, nous sommes en milieu d’après-midi. Quand tu ouvres pour faire sortir ton client et faire entrer le prochain tu m’aperçois. Je te vois froncer les sourcils. De colère ? De perplexité ? Je n’arrive pas à le savoir. 
L’après-midi s’écoule, les gens vont et viennent, tu ne me prends pas en consultation, faisant passer même les personnes se présentant après moi. À chaque ouverture de la porte ton regard se pose sur moi, me détaillant de haut en bas. Je commence alors mon petit jeu à chacune de tes apparitions : je me penche en faisant mine de chercher quelque chose dans mon sac, remonte légèrement ma jupe pour découvrir le haut de mes bas, croise et décroise les jambes. Je ne sais pas si les autres patients ont repéré mon manège mais il n’y a que toi qui m’importe.
La salle se vide enfin. Tu me fais signe d’entrer, pas un mot de ta part, toi qui ne tarissais pas de paroles lors de notre première entrevue. Tu es immobile devant la porte, me bloquant la sortie. Je ne peux plus reculer. À présent que je suis face à toi, je sens ma détermination faiblir :
— Bonjour Docteur. Je... heu... voulais vous dire que ... heu... j’acceptais votre offre.
Tu me regardes de haut en bas, et secoue la tête avec une mou déçue :
— Vous n’avez pas l’air très motivée, ma chère. Demandez cela un peu mieux et dans une tenue et une position correcte.
Je te regarde, un peu interloquée, avant de comprendre ce que je dois faire. Je retire ma robe, je te vois sourire sur mon absence de culotte, un signe de ta part me fait comprendre que je dois retirer mon soutien-gorge, je m’exécute. Un mouvement de ta tête me fait comprendre que je dois m’agenouiller. J’obtempère. Et j’essaie de satisfaire ta dernière exigence.
— Docteur, s’il vous plaît. Je désire participer à votre stage. Je serai une bonne soumise. Je serai obéissante et reconnaissante envers vous, mon maître.

° ° °
Le temps t’a paru bien long dans la salle d’attente, et tu t’es sentie humiliée, traitée avec mépris, ignorée, comme si tu étais transparente (pourtant ton corps imposant est bien visible...)
Tu t’es sentie rassurée quand je t’ai appelée : tu as fini par comprendre qu’ainsi je pourrais te consacrer un peu plus de temps, sans être stressé par la crainte d’être dérangés. Et te voilà à genoux à mes pieds, à poil... ou presque : en bas, chaussures à talons et porte-jarretelle.
— Très bien. Vous acceptez le principe d’un stage. Sachez tout d’abord que vous n’aurez pas le choix de la date. Je ferme mon cabinet la semaine du 2 au 9 juin et je consacrerai cette semaine à votre stage. C’est à prendre ou à laisser. Vous arriverez le samedi matin, vous signerez un contrat, un contrat de soumise d’une semaine de soumission (avec période d’essai allant jusqu’au lundi matin) qui précisera que vous acceptez tous les sévices qu’il me plaira de vous administrer, toutes les humiliations, les vexations, les dépravations. Seul votre anonymat sera garanti. Dans le village où j’ai ma ferme, de toute façon, vous n’êtes pas connue, il est loin d’ici.Puisque vous vous êtes sauvée la dernière fois sans demander votre reste et sans me donner de réponse je vais prendre toutes vos mensurations afin de vous faire confectionner les harnais, juste-au-corps résille, tout sur-mesure. J’ai cinq mois devant nous, ça sera suffisant. Et je comptais faire l’acquisition de gadgets spéciaux que je testerai la première fois sur vous, ça tombe bien...Je sais très bien que vous avez largement le temps de vous dégonfler, permettez-moi l’expression, ricané-je, mais j’ose croire que vous êtes motivée et que ça n’arrivera pas. Naturellement si vous deviez me poser un lapin alors que vous m’auriez confirmé votre venue ne comptez pas sur mon indulgence : je ne vous accepterais plus jamais ici, ou ailleurs, et ne vous adresserais plus jamais la parole... quand bien même vous viendriez en rampant avec la chatte dégoulinante, des filets de mouille traînant par terre, et un gode dans le cul !
Bien entendu, si vous suivez ce stage je vous garantis que vous serez enculée matin et soir (par moi ou d’autres mâles...) : de quoi vous motiver et vous inciter à ne pas vous défiler au dernier moment. J’ai bien compris quelle grosse fille anale vous êtes, fortement anale... Je pense même que votre petit trou est la zone la plus érogène de votre corps.
Comme tu acquiesces je prends un centimètre et commence à prendre toutes tes mensurations : tour de cou, tour de poitrine, tour de taille, de hanches, tour de bras, tour de cuisses, de jambes (des valeurs conséquentes !), pointure de chaussures...
— Bien, dis-je. Pour aujourd’hui vous allez juste me soulager d’une tension... En effet vous voir aussi, grosse salope habillée en pute, m’a mis en appétit. Vous allez me sucer à fond... Mais reculez là, tout contre le mur... J’y ai mis un gode-ventouse... Vous allez d’abord vous enculer à sec sur l’objet. Ne vous plaignez pas, il est à peine plus gros que mon phallus. Je vais juste me régaler de voir votre grimace quand vous allez vous empaler dessus...Et pendant que vous me sucerez je compte bien vous voir donner des bons coups de reins en arrière pour bien vous défoncer le cul ! Et si vous n’y mettez pas assez d’énergie je prendrai le fouet court et traiterai vos grosses fesses comme elles le méritent.
Là-dessus, tandis que tu recules à genoux, je prends une petite sangle et la passe autour de ton cou :
— Si votre fellation ne me donne pas assez de plaisir je serrerai petit à petit la sangle... Durant le stage je vous ferai découvrir également l’extase que procure une sodomie sous étranglement progressif.
° ° °
Je recule sur le gode, toujours à genoux, tu aimes me voir ramper comme une chienne, ; d’ailleurs, la sangle que tu m’as mise autour du cou forme en quelque sorte un collier et une laisse que tu tiens alors que je me déplace. Je suis encore une fois abasourdie du nombre de sextoys que tu gardes dans ton cabinet. Combien de femmes ont bénéficié de tes consultations spéciales ?  
A présent, je sens l’extrémité du jouet contre mes fesses. Je me recule encore tout en les écartant afin de me l’enfoncer, je n’ai jamais fait ça. J’ai toujours été lubrifiée lors de mes rapports anaux. J’ai un peu peur mais commence à pousser, il ne rentre pas et pire, il glisse directement de mon vagin et s’y engouffre. Je gémis de cette intrusion et fais un petit aller-retour dans ma chatte dégoulinante. Un coup sur mon dos se fait sentir. Tu as utilisé le lien pour me rappeler à l’ordre. Tu te retournes pour prendre le fouet promis et reviens me donner un nouveau coup sur le cul à présent.
— Je vous ai dit dans le fion, pas dans votre grosse chatte. Ressortez-la de là et poussez dans le bon orifice.
Je m’exécute, tout en venant prendre le gode dans une main pour le guider cette fois et l’empêcher de riper. Je pousse sur ma rondelle, ma mouille a légèrement lubrifié l’engin, ce n’est cependant pas suffisant et le passage du sphincter contracté est difficile. J’insiste, ne voulant pas décevoir mon maître ; je tape régulièrement sur ma rosette, elle s’ouvre petit à petit et le gland rentre inexorablement. Quand celui-ci est enfin passé, je m’arrête un instant, je respire difficilement sous l’effort, mes yeux coulent de douleur. Mais bien sûr, j’éprouve aussi du plaisir : celui de t’avoir satisfait et celui d’être remplie du cul. Je lève les yeux vers toi, fière de moi.
C’est un visage sévère que je découvre, pourtant ton sexe est plus que raide, il a l’air d’avoir apprécié le spectacle. Pourtant ta moue sérieuse me fait craindre le pire. Ce n’est qu’au moment où tu viens agripper mes épaules pour me pousser contre le mur que j’aperçois enfin de la satisfaction dans ton regard : alors que je crie sous la douleur et la surprise, tu me dis d’une voix calme, alors que ta queue est face à mon visage :
— Garde la bouche ouverte, salope ! Et suce ton maître. 
J’ouvre la bouche et te prends entièrement en moi, toi tu tiens d’une main mes cheveux et de l’autre tu me fouettes légèrement mais régulièrement. Moi je bouge sur le gode et ton vit : quand l’un ressort, l’autre rentre. Tu as impulsé un mouvement à tes hanches. Tu aimes te planter profondément en moi. Je bave abondamment sur ta queue, j’étouffe légèrement sous elle. Je sens autour de mon cou le lien se resserrer, des étoiles papillonnent devant mes yeux alors que tu décharges dans ma bouche et que ton sperme dégouline partout sur moi, faute de le pouvoir dans ma gorge serrée.  
J’ai toujours le phallus de silicone fiché dans mon derrière. Alors que tu ramollis à l’intérieur de moi, tu tires sur cordon pour que je bouge sur lui. Je suis au bord de la jouissance. J’essaie de respirer, je laisse ton sexe mou s’échapper de ma bouche alors que je pousse des cris étranglés.
— Maintenant jouis, petite salope ! Ce que tu vas être bien dans ma ferme ! Attachée, fouettée, humiliée. Je t’offrirai à mes relations, amateurs de grosses dondons comme toi. Je ferai appel à une de mes amies, qui aime m’assister lors de mes séances. Vas-y, jouis ! 
Sur ces mots tu es venu masturber intensément mon clitoris. Je relâche enfin la tension que j’accumulais en moi et sur un dernier aller-retour, j’explose sous ta main, t’inondant de mon plaisir.
— Une bonne grosse soumise que tu fais !
° ° °
Le vieux Doc pervers contemple sa main pleine de mouille, avec un air un peu dégoûté. Il l’essuie dans tes cheveux.
— Eh bien, quelle salope ! On lui fait subir les pires humiliations, on l’étrangle, et la grosse poule jouit comme une bourrique... Décidément tu me sembles bien en manque, et tu es bien maso ! C’est parfait, tu es la candidate idéale pour le stage. Tu vas être comblée au-delà de tes espérances. Ah, mais attends... j’oublie quelque chose.
Et là il va prendre quelque chose dans son placard... il en ressort une paire de pinces et une chaînette. Des pinces comme tu n’en as jamais vues : elles ressemblent à des clés USB, noires et vraiment petites. Il les ouvre en pressant dessus, tire ton téton et le rentre dans l’orifice. Ça t’arrache un cri et des larmes de tes yeux...! Tu n’as jamais ressenti une telle douleur, une sensation qui dure, ne s’estompe pas...! Il fait de même avec le second téton, et pose une chaîne à chacun, et un poids... pourtant léger. Mais la douleur la plus forte se concentre sur ton téton ! Tu gémis.
— Ah ça, je reconnais que ce sont les pinces les plus puissantes qui existent ! Je n’ai rencontré que peu de soumises qui les supportent. Beaucoup m’ont supplié, certaines ont préféré recevoir le fouet sur tout le corps - le fouet pour les chevaux. Ça c’est vraiment des pinces pour les gueuses...Et puisque tu gémis et que ça m’énerve, je vais te remplir la bouche, comme ça je ne t’entendrai plus couiner comme une truie...
Et là il te rentre un énorme bâillon-gode qui te remplit la bouche. Tu ne peux plus parler. À peine respirer. Puis, te tirant par sangle autour de ton cou, il te promène à quatre pattes dans son cabinet, d’abord lentement puis de plus en plus vite. Les chaînes se balancent, prennent de la gîte, entraînées par tes grosses mamelles qui s’entrechoquent. La douleur est insupportable.
L’air satisfait, il s’arrête et va se laver la queue dans son évier, puis te retire enfin les pinces qui sont une vraie torture. Tu pousses un cri de douleur, le sang et l’influx nerveux reviennent à tes tétons, tu vois 36 chandelles. Il te laisse te nettoyer comme tu peux.
— Bon, dit-il, toujours d’accord pour le stage, je suppose ? Puisque j’ai votre uméro de portable je vous appellerai deux semaines avant pour être sûr que vous ne vous défiliez pas. Il n’est pas question que vous me posiez un lapin...Ah, et pour les consignes : vous viendrez à mon cabinet à 8 heures tapantes et je vous emmènerai là-bas. Vous porterez une robe longue et claire, toute simple (l’idéal serait une robe unie, blanche ou écrue), des chaussures d’été de toile avec des petits talons (genre semelle de corde, vous voyez ?)... et nue en dessous ! Pas la peine de me faire votre cinéma avec des sous-vêtements chics ou affriolants, de toute façon vous allez passer une semaine à poil, harnachée (et bien entendu à quatre pattes ou à genoux les trois quarts du temps...)Pas la peine de mettre des escarpins chics, ça n’irait pas avec votre tenue, et puis pour marcher dans la ferme... d’ici à ce que vous vous étaliez nue dans la boue… AH AH AH
Là-dessus, alors que tu t’es rhabillée, il te fout presque à la porte :
— J’ai du travail. Merci de m’avoir permis de me soulager... et du plaisir de m’être occupé de votre corps, de ce corps fantastique. Allez, à bientôt !
° ° °
Je suis partie du cabinet, endolorie, encore. Mes seins me font mal, je suis épuisée.
Je passe les semaines suivantes dans l’attente. Je n’ose revenir vers toi avant la date fatidique. Mais je passe des heures sur internet, à lire ou regarder tout ce que je peux sur les séances de bdsm. Je finis la plupart du temps excitée ou horrifiée. Je me masturbe en pensant à toi, me pose des pinces ou me plugue pour retrouver les sensations de ta domination. Mais ce ne sont que des pis-aller insatisfaisants.
N’ayant pas de robe claire, je vais pour en acheter une mais j’ai du mal à trouver ma taille ; je tombe enfin sur une robe très simple de couleur écrue comme demandé. Je finis par acheter des espadrilles évoluées qui se lacent autour de la cheville, elles sont bordeaux, j’aime cette couleur.
Le jour J, je me présente enfin devant toi, je suis passée chez le coiffeur, chez l’esthéticienne. Je ne suis pourtant pas maquillée et ne porte aucun bijou, j’ai même retiré ceux qui ornaient mes seins. J’ai l’air d’une nonne prête au sacrifice dans cette tenue extrêmement sobre. 
Je baisse la tête alors que tu me scrutes des pieds à la tête.
— Bien, allons-y !
° ° °
La gourdasse m’a confirmé quinze jours avant, comme ordonné, par un coup de téléphone qu’elle serait bien là le jour dit. Et en effet, à 8 heures précises elle m’attend devant la porte de mon cabinet.Cela fait plus dix minutes que je l’observe, planqué dans ma voiture, à cent mètres de là. Elle ne m’a pas repéré.Elle n’en mène pas large. Elle a respecté les consignes, or il fait un peu frais et elle ne doit pas être très à l’aise, à poil sous sa robe d’été, tôt dans la rue encore quasi-déserte. Et puis il y a du soleil et on peut voir son corps – ses larges formes – par transparence. Cette grosse salope doit être pudique – en dehors des séances privées, dans l’intimité.
Finalement, je sors et la rejoins à grands pas. Je vois son regard changer : d’anxieux et inquiet, il passe au trouble, mi-rassuré, mi stressé.
— Allons-y, lui fais-je dès que j’ai ouvert la porte de mon cabinet. Ben oui, dis-je en voyant son air interdit, il faut d’abord que je vous fasse signer votre contrat de soumise.
Je la fais entrer, s’asseoir sur le fauteuil visiteur (fauteuil sur lequel elle doit se rappeler encore qu’elle s’y est fait sodomiser), et moi je prends place derrière mon bureau. Le contrat est prêt.
— Lisez. Et signez les deux exemplaires. Je les garderai tous les deux, naturellement. Vous pourrez consulter le vôtre durant le séjour, en cas de doute. Je suis réglo.
Elle lit, toute rouge. Le contrat est concis, confirme la période d’essai allant de ce moment jusqu’au lundi matin 8 heures, qu’elle peut mettre fin à ce stage n’importe quand, mais que dans ce cas-là elle rentrera chez elle à ses frais. Il précise qu’elle reconnaît qu’elle accepte le stage en toute connaissance de cause, parce qu’elle aime la soumission, qu’elle a eu la possibilité de ne pas donner suite à ma proposition, et qu’elle acceptera tout ce qui lui serait imposé (avec la sécurité de pouvoir utiliser son mot clé à tout moment et dans les règles du safe sex.)Il est précisé également qu’elle atteste qu’elle n’a pas signé ce contrat sous la contrainte ou la menace.
Elle semble rassurée et signe sans hésiter. J’en range un exemplaire dans mon bureau.
— Bien, eh bien allons-y. Ce contrat est purement formel, il est pour moi une garantie (relative) de ne pas avoir de problèmes un jour ; il est surtout une mise en condition nécessaire pour vous.
Je lui demande de sortir du cabinet et d’aller m’attendre sur le parking situé sur la place, à deux rues du cabinet (je suis officiellement en vacances et je ne veux pas que des gens nous voient sortir ensemble du cabinet puis partir tous deux en voiture et jaser… J’ai déjà une drôle de réputation dans le village… Même si je m’en fous, je pourrais déjà être en retraite si j’avais voulu.)
Je la retrouve donc là comme convenu, cinq minutes plus tard. Je la fais monter à l’avant.
— Nous en avons pour plus de deux heures et demie de route. Dans une heure nous nous arrêterons faire une pause et quand nous repartirons vous monterez à l’arrière et vous vous banderez les yeux – je ne tiens pas à ce que vous sachiez où est ma ferme. Éteignez votre portable. Vous aurez le droit de l’ouvrir trois fois durant la semaine de stage, mais en coupant la localisation GPS.
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