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La prédatrice

Chapitre 2

Hétéro
Deux semaines plus tôt...
Hélène-Marie avait besoin d’une douche. Amanda était venue diner et, comme d’habitude, la consommation de vin avait été plus importante que nécessaire.
Ah, Amanda. Amanda et ses sous-entendus. "Ça doit être agréable d’avoir autant de jeunes gens dans la maison" avait-elle dit, en désignant le fils d’Hélène-Marie et son ami qui était resté dormir après une soirée Playstation qui avait trop duré. Bien sûr, Philippe n’avait rien compris et avait déclaré :"Oui, ça met du mouvement dans la maison !".Mais elle connaissait mieux Amanda que ça. Amanda pensait à ses jeunes corps pleins de sève.
Et, à la réflexion, cette pensée avait autant enivré Hélène-Marie que le vin. Des corps pleins de sèves, avides d’apprendre et de connaître les choses de l’amour... Elle secoua la tête, comme voulant en faire sortir ces pensées pécheresses.
Évidemment, Julie, sa benjamine, utilisait la salle de bain principale. Les enfants s’étaient réveillés juste pour le repas du midi, et se lavaient immédiatement après. Cela faisait d’ailleurs longtemps qu’elle avait abandonné l’idée de tous les amener à la messe du dimanche matin. Heureusement qu’il y en avait une le samedi soir...
Elle se dirigea donc vers la salle de douche à l’autre bout de la maison, à laquelle on accédait par la bibliothèque puis par le bureau. Elle se déshabilla, rangea ses vêtements sur une chaise, et entra dans la douche. Le jet d’eau chaude lui fit du bien, et la dégrisa un peu.
Un peu... mais pas assez. Elle pensa à Frank, l’ami de son fils. Elle l’avait connue enfant, mais il est vrai que c’était maintenant un jeune homme, parti étudier à la capitale. Majeur... Était-il plein de sève ?Avait-il une petite amie ? Les jeunes de nos jours n’étaient plus vierges lorsqu’ils se mariaient.
Elle se rappela sa jeunesse, et toutes les tentations auxquelles elle n’avait parfois évité que de justesse.Son corps fin et sa poitrine bien ronde attisaient bien les convoitises autrefois.Et maintenant, 30 ans plus tard... ses seins étaient toujours aussi volumineux, mais la gravité avait eu raison d’eux.Plairait-elle encore maintenant ? À un jeune adulte tel que Frank ? Elle prit ses seins en main, les remonta comme pour défier le temps et se tourna sur le côté pour s’examiner dans le miroir à travers la paroi de la douche.
Un léger bruit, une tache floue à la limite de sa vision. Quelqu’un dans la salle de bains. Elle s’immobilisa. Qui ? Sa fille prenait un bain, son fils se serait déjà excusé et parti, et il y avait longtemps que Philippe, son mari, ne venait plus la voir prendre sa douche. Frank ? Il était plus poli que ça. D’un autre côté... un corps plein de sève... Une femme nue prenant sa douche, tout en caressant sa poitrine...
En caressant sa poitrine ? Horrifiée, Hélène-Marie s’aperçut que, peut-être pour faire comme si elle ne s’était pas aperçue qu’on l’observait, ses mains s’étaient mises à parcourir ses seins. Ce qui pouvait être pris au pire comme une invitation érotique. Cela n’allait pas. Elle coupa le jet d’eau et ouvrit brusquement la porte de la douche.

C’était bien Frank qui l’avait épiée. Même si elle s’en doutait, elle en fut étonnée. Le temps sembla s’arrêter car ils étaient tous les deux immobiles. Puis elle remarqua que le regard de Frank s’était abaissé.— Que fais-tu là ? dit-elle en se dépêchant de prendre un essuie pour dissimuler sa nudité.— Euh... je voulais prendre une douche, je ... je ne savais pas que vous y étiez, et ...— Sors ! Je vais m’habiller, et tu pourras prendre ta douche après.
Il sortit sans demander son reste. Elle s’habilla rapidement, les joues en feu. Son excuse ne tenait pas, d’un autre côté, elle aurait dû fermer la porte...
Lorsqu’elle sortit, Frank était là, l’air très désolé.— Je ... Je suis désolé, je ...— N’en parlons plus. Va prendre ta douche.
Frank entra dans la salle de douches, et ferma la porte derrière lui. Mais ne ferma pas non plus le verrou, remarqua-t-elle. Elle s’attarda dans le bureau, et se mentit en prétendant que c’était pour faire un peu de rangement. Mais elle tendait l’oreille. Elle entendit le bruit des vêtements qui tombent par terre, le bruit de la douche qui s’ouvre, et de l’eau qui jaillit du pommeau.
Elle n’était pas dans son état normal. Le vin, les allusions d’Amanda, cet homme qui l’avait surpris dans la douche... Un cocktail dangereux qui pouvait l’emmener sur la voie du péché. Sors, pensa-t-elle. Va-t’en.
Et c’est ce qu’elle fit. Elle passa la bibliothèque, et se retrouva dans le couloir. Où aller ? Il devait y avoir un peu de repassage à faire à la buanderie juste à côté. Elle prit une chemise et la déposa sur la planche, mais ses pensées fusaient, toutes plus impies les unes que les autres.Un jeune corps plein de sève... dans la douche, nu... Ce n’était que justice, vu qu’il m’a vue nue...C’est juste pour lui apprendre qu’il n’est pas agréable d’être épié de la sorte...
Sa main lâcha la chemise, et ses pieds la firent sortir de la buanderie et l’amenèrent devant la porte fermée derrière laquelle Frank prenait sa douche.Elle appuya sur la clinche, et poussa la porte. Toujours pas fermée. Elle entra doucement et regarda dans la direction de la douche.
Choc. Le jeune homme était nu, bien sûr, mais ne semblait pas vraiment désolé d’avoir surpris la mère de son ami nue, bien au contraire. Dos au mur, se présentant de profil à Hélène-Marie, il se masturbait.Les vitres transparentes ne cachaient rien. Sa main droite allait et venait sur son sexe qui grandissait, prenait une belle taille.
Suffit, pensa Hélène-Marie. Il faut arrêter les bêtises. Il serait gêné d’être surpris ainsi.Mais... elle ne pouvait détourner le regard de cette verge qui semblait malgré la distance plus longue et large de celle de son mari. Une chaleur qu’elle n’avait plus connue depuis longtemps s’empara de son bas-ventre. Et puis, à quoi pensait ce petit cochon ? La revoyait-il dans sa douche ? Peut-être rêvait-il qu’il la baisait ? Qu’il la pénétrait avec sa grosse bite ?
Une voix en elle lui intimait de fuir pour sauver les apparences mais elle fut bien vite étouffée. Elle pensait à des situations de plus en plus osées, avec des termes de plus en plus crus. À imaginer ce sexe en elle, elle ne put s’empêcher de lâcher un gémissement.— Han...
En écho, un petit bruit de surprise. Il l’avait vue et lui faisait maintenant face, avec ce sexe toujours en érection. Elle pouvait toujours prétendre lui avait donné une bonne leçon.
— Et voilà, ça te fait plaisir d’être surpris ? Alors que tu pensais être seul ? dit-elle d’une voix bizarrement rauque.— Non, je...
Voilà, elle pouvait encore en sortir. Mais elle ne put s’empêcher de continuer...— Tu pensais à quoi ? À moi, nue sous la douche ?— Non, je...— Ne mens pas ! C’est un très vilain péché.
Son sexe devenait plus petit, remarqua-t-elle à regret.— Je... oui, je... balbutiai Frank.
Cette conversation était bizarre, mais il était encore temps...— Mais je m’aperçois que la vue n’est pas idéale, d’ici. Je vais m’approcher, tu verras mieux, dit une voix.
C’était elle qui avait parlé. C’était elle qui, maintenant, faisait glisser jupe et petite culotte à ses pieds. Toujours elle qui déboutonnait les premiers boutons de la chemise puis la faisait passer par-dessus sa tête, qui dégrafait son soutien-gorge...
— Ah, je vois que tu bandes de nouveau ! Cela m’aurait déçue, que cela ne te fasse aucun effet.
Son âme criait à l’horreur, mais son corps l’avait rejetée. Il n’écoutait que le feu qui la brulait. Il n’y avait qu’un seul moyen d’apaiser ce feu...
— Mais il ne faudrait pas que quelqu’un d’autre entre "par mégarde" dans cette pièce, ajouta-t-elle en fermant (enfin) le verrou de la porte.
Puis elle s’approcha de lui, toute pudeur chrétienne jetée depuis longtemps aux quatre vents. Elle s’arrêta à mi-chemin de la douche, tendit les bras en l’air et bomba le ventre pour mieux mettre en valeur sa poitrine.— Qu’est-ce que tu regardes, petit pervers ?— Je ...— N’oublie pas que je n’aime pas les mensonges, susurra-t-elle.— Vos seins...— Tu pourras regarder tout ce que tu veux. On ne voit vraiment pas bien de la porte...
Et elle ouvrit la porte de la douche, y entra. Le regard de Frank allait toujours plus bas.— Tu veux tout, hein, petit cochon, dit-elle en se passant la main sur son pubis poilu. Tu aimes que j’aie une chatte poilue ?— Oui...— Viens voir de plus près...
Elle appuya le haut de son dos contre le mur, avança ses jambes qu’elle ouvrit généreusement. Il s’agenouilla et approcha sa tête, admirant son intimité.— Oh, tant que tu y es...
De sa main, elle guida la tête de Frank tout contre sa chatte. Tout puceau qu’il devait être, il devait savoir quoi faire...
Il savait. Il commença à l’embrasser un peu partout, sur le pubis, sur sa vulve... et puis commença à la lécher, fourrant directement sa langue à l’intérieur de ses petites lèvres. Il était manifestement novice, mais plein d’ardeur. Sa langue remonta et toucha son clitoris, procurant à Hélène-Marie comme un éclair de plaisir.
— Là, c’est bon...Avec ses deux mains, elle obligea Frank à remonter sa tête pour qu’il se concentre sur son petit clito. Il se laissa faire et sa langue l’encerclait, le titillait.... Elle sentait le plaisir venir... Son bas-ventre, comme doué d’une volonté propre, se pressait plus encore contre le visage de son amant tandis que sa main pressait toujours plus sa tête. Son plaisir augmentait, décuplé par le fait qu’elle dominait le jeune homme... Il continuait, infatigable, alors qu’elle se retenait de crier des insanités... Et puis il prit son clito entre les lèvres et le suça.Son univers s’était réduit à cette douche, à son clito et à la langue et la bouche de Frank mais lorsqu’elle atteint l’orgasme, quelque chose en elle l’empêcha de hurler sa jouissance. Elle se mordit les lèvres si fort qu’elle sentit un peu de sang.
Elle se laissa glisser contre le mur tandis que son jeune amant se relevait, sa virilité toujours au garde-à-vous. Elle avait beau avoir besoin de reprendre un peu ses esprits, sa main se tendit pour tenir cette bite si dure et si chaude. Elle commença des mouvements de va-et-vient mais rapidement se mit à genoux pour pouvoir mieux le masturber.Elle voulait lui demander s’il aimait se faire branler par la mère de son pote, s’il avait envie de la baiser, mais n’osait pas. De son côté, lui semblait préférer le sexe en silence. Elle était maintenant en face de son sexe et n’avait qu’à avancer un peu la tête pour le sucer. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait plus pris une bite en bouche, du temps de sa folle jeunesse... mais elle n’hésita pas, elle se sentait gourmande. Elle ouvrit la bouche, y fit entrer doucement ce sexe tant désiré, tout en l’entourant de ses lèvres... et s’aperçut qu’elle ne pouvait en mettre que la moitié en bouche. De la même manière, elle le fit sortir lentement et, n’y tenant plus, lui dit :
— J’aime ta bite !
Mais après avoir goûté à ce sexe, elle le voulait encore dans sa bouche. Elle prit la base de la hampe pour mieux le diriger et le fit entrer de nouveau; commençant à le sucer. De nouveau, elle voulait crier comment elle aimait ce sexe, cette verge, cette pine, ce zizi... mais se retenait. Elle le suçait de plus en plus vite, essayant de mettre de plus en plus de cette bite dans sa bouche. Mais bientôt, ce ne fut plus assez. Elle le voulait en elle, dans sa chatte. Elle voulait qu’il la prenne, qu’il la pénètre, qu’il la baise.Alors elle se releva et remarqua le regard étonné et déçu du jeune homme qui semblait avoir apprécié la fellation... Tant pis pour lui, seul comptait son plaisir à elle. Seul comptait de sentir une verge en elle...
Elle se retourna et se pencha en avant, une invitation claire à la baise, de quoi faire disparaître sa déception, supposa-t-elle. Et elle sentit ce sexe contre ses fesses, puis un peu plus bas, ayant manifestement du mal à trouver le chemin de son vagin. Elle soupira. Il était manifestement vierge...
— Laisse-moi faire.
Elle se retourna, le plaqua sans ménagement contre le mur du fond, se retourna et se pencha en avant de nouveau et prenant sa bite, l’amena doucement en elle.Son gland d’abord, puis sa hampe... Elle soupira d’aise.
— Enfin....
Malgré son vagin plus que mouillé, elle le sentait bien en elle. La bite de Frank, large et dure, lui donnait plus de sensations que celle semi-molle de son mari.Elle ne le laissa pas commencer le va-et-vient et imprima elle-même la cadence. Lui était juste dos au mur, tandis qu’elle avançait et reculait elle-même son bassin pour baiser au rythme qu’elle voulait. Il n’était qu’un jouet, un gode de taille respectable, quoique bien chaud. C’était le manque d’expérience du jeune homme qui avait fait qu’elle avait pris les choses en main mais encore une fois elle s’aperçut qu’elle aimait avoir le dessus.
Elle garda d’abord un rythme lent, pour pouvoir profiter un maximum de cette partie de baise mais n’y tenant plus, commença à accélérer la cadence. La position n’était pas confortable, surtout que le jeune homme était inactif, se laissant faire, mais le plaisir qui croissait en elle valait bien cet inconfort. Au fur et à mesure qu’elle augmentait la vitesse des va-et-vient, le plaisir l’envahissait, faisant disparaître toute autre sensation. L’orgasme arrivait, un orgasme tel qu’elle n’en avait plus connu depuis longtemps...Elle doutait d’avoir suffisamment de self contrôle pour s’empêcher de hurler sa jouissance... Et tant pis si toute la maison devait apprendre qu’elle baisait l’ami de son fils !
Encore un peu plus vite, encore un petit peu et... Elle sentit quelque chose de chaud en elle, sentit que le sexe se ramollissait... Frank avait joui en elle. Elle se releva, et sa bite sortit d’elle. Elle se retourna, voulant le gifler de l’avoir privée d’un tel orgasme mais s’abstint en voyant ce regard étonné et heureux. Il était si mignon comme cela...
Sa colère retomba petit à petit, pendant que son esprit revenait un peu sur terre. Elle ne doutait pas que Frank pourrait bander à nouveau facilement si elle le prenait en bouche ou qu’elle le branlait, mais depuis combien de temps étaient-ils dans cette douche ? On ne les avait pas surpris, mais il ne fallait pas trop pousser la chance...
Il la regardait un peu embarrassé, se demandant manifestement comment faire.
— C’est bon, tu as pris ton pied, maintenant file d’ici ! dit-elle.
À regret, elle le laissa s’habiller et quitter la pièce. Mais ce n’était pas fini...
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