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La prédatrice

Chapitre 3

Hétéro
Après cette douche si... particulière, Hélène-Marie se sentit bien, si bien ! Elle aurait voulu ramener Frank chez lui, du moins après un petit détour, mais ses parents vinrent le chercher. Tant pis...Ce n’était que partie remise.
Elle passa l’après-midi comme sur un petit nuage, plaisantant avec ses enfants, et s’abstint même de leur faire un long sermon sur la nécessité de bien étudier durant la semaine. De ce fait, Julie et Olivier semblèrent se laisser gagner par la bonne humeur générale et pour une fois, la journée dominicale se passa sans confrontation ni cri.
Puis arriva le soir et Philippe, son mari, reconduisit les enfants à leur kot. Et, une fois seule, elle se sentit bizarre... Et ce sentiment de malaise en fit que croire, jusqu’au moment où elle mit le doigt sur ce qui la gênait.
Comment avait-elle osé ? Elle qui se coupait en quatre pour ses enfants, qui s’était tellement privée pour qu’ils aient une bonne éducation, qui entrait souvent en confrontation avec eux pour leurs mauvaises notes ou comportements à l’école alors que parfois elle voulait seulement les prendre dans ses bras et leur dire qu’elle les aimait ?Elle avait été si près de crier des insanités et de hurler sa jouissance... Que se serait-il passé s’ils avaient été découverts, Frank et elle ? Ses enfants ne lui auraient jamais pardonné. Pire, toutes les leçons qu’elle leur avait données, de politesse, d’étude, de comportement, toutes ces leçons qui avaient tant bien que mal porté leurs fruits seraient passées pour hypocrites et sans valeur.
Les larmes coulèrent, et elle ne fit rien pour les retenir. Ses enfants étaient ce qu’il y avait de plus important pour elle...
Puis Philippe rentra, lui fit la bise et s’installa devant la télé pour le journal télévisé. Une nouvelle fois, elle eut mal au coeur. Bien sûr, on ne passe pas près d’un quart de siècle de mariage sans que la routine ne s’installe. Et même si son mari ne lui faisait plus l’amour que rarement, elle l’aimait toujours, et elle ne doutait pas que l’inverse était vrai. Comment avait-elle pu lui faire cela ?
Le souper fut assez silencieux. Philippe se plaint qu’elle aurait pu garder un peu de bonne humeur pour quand les enfants étaient partis, ce qui la fit rire et allégea son humeur un petit instant.Hélène-Marie alla se coucher tôt et eut un sommeil mouvementé rempli de rêves troubles. Elle se revoyait dans la douche, chevauchant la bite de Frank comme si elle chevauchait un sex toy... Puis, dans un contexte différent, elle voyait ses enfants qui lui criaient qu’elle les dégoutait et qui s’éloignaient...Puis elle se voyait dans le coffre du SUV familial chevauchant toujours Frank... Puis Philippe, le visage tendu, qui lui tendait des papiers de divorce... Frank, le visage entre ses cuisses, qui exécutait à la lettre ses instructions alors qu’elle était allongée plutôt qu’assise dans le divan de la bibliothèque...
Hélène-Marie se réveilla en sursaut. Elle sentait comme une chaleur en elle, sans doute donnée par les visions plus suggestives, mais aussi le coeur à vif.N’y tenant plus, cherchant un moyen d’expier sa faute et de se sentir moins coupable, elle sortit sans bruit du lit et se mit à genou dans un coin de la pièce, pour prier comme quand elle était enfant. Dieu... Il fallait l’implorer de la pardonner, cela n’arriverait plus, oh non... Elle ne savait pas ce qui s’était passé. Comment faire pour se racheter ?
Elle ne trouva pas de solution ce soir-là, ni les suivants. Elle passa plusieurs jours à se sentir misérable et, au coeur de la nuit, quand elle était sûre que son mari dormait, elle priait Dieu. Au moins les scènes perverses où elle dominait Frank ne la hantaient plus durant ses rêves.
Puis, une semaine plus tard, une réponse vint à elle, était-elle divine ou résultat de réflexions nocturnes ? Quoi qu’il en soit, cette réponse était simplement : Frank.
Oui, Frank. Elle avait pensé à ses enfants, à son mari, à Dieu, car telles étaient sans doute l’ordre de ses priorités, mais elle n’avait pas pensé depuis à lui, du moins dans un contexte non sexuel.
Et pourtant... Et pourtant, pour apaiser le feu en elle, elle s’était imposée à lui. Il avait été consentant, sans doute, mais elle incarnait d’une certaine manière une autorité parentale, autorité dont elle avait peut-être joué.De plus, se dit-elle en ressentant de nouveau un malaise, et s’il s’en vantait ? S’il en parlait ?
Oui, il fallait qu’elle mette avec lui les choses au point. Par chance, son étourdi de fils avait oublié son smartphone à la maison. Elle en profita pour noter le numéro de GSM de Frank et lui envoyer un sms : "Il faut que l’on parle de ce qui s’est passé. Tu peux venir mercredi vers 13h ? Hélène-Marie" Moins d’une minute plus tard, la confirmation arriva, à son grand soulagement. Il était prêt à en discuter, voire à lui pardonner, ce qui était un grand signe de maturité de la part de Frank.
Elle n’avait plus qu’à rechercher le train avec lequel il allait arriver et elle était prête pour mercredi...
***
Comme à son habitude, elle arriva dix minutes trop tôt. Juste suffisamment de temps pour se poser des questions : Allait-il venir ? Avait-il vraiment pris ce train-là ? Comment cela allait-il se passer ?
Mais oui, elle le repéra très rapidement parmi les rares personnes qui sortaient du train. C’était la première fois qu’elle le revoyait depuis ... leur douche commune... et elle sentit un sentiment étrange... Il était si jeune... bien charpenté et mince bien qu’il ne fasse pas beaucoup de sport... beau malgré ses cheveux qui mériteraient d’être raccourcis... Mais oui, elle se sentait nerveuse comme avant un rendez-vous romantique ! Elle secoua la tête. Non et non, ce n’était pas pour ça qu’elle était là. Elle était là pour mettre fin à cette folie.
Elle lui fit un petit signe de la main et il répondit. Ils s’embrassèrent joue contre joue, et Hélène-Marie réalisa que, malgré toutes les obscénités qu’ils avaient faites dans la douche, ils ne s’étaient pas embrassés comme des amants.Que se passait-il ? Elle ne s’attendait pas à cette réaction de sa part. La semaine qui s’était écoulée avait été un véritable cauchemar à cause de sa faute, et elle repensait à ce genre de chose ?
Pour masquer son trouble, elle sortit une banalité, lui expliquant pourquoi elle était là. Ce qui était stupide, il s’en était douté ! La conversation l’aidant à ne pas penser à ce qu’ils avaient fait, elle le questionna dans la voiture sur ses études et il répondit de façon succincte à ses questions.
Lui aussi devait être nerveux d’être seul avec elle. Peut-être que lui aussi avait passé une mauvaise semaine, réalisa-t-elle. Il avait eu l’air d’apprécier mais peut-être avait-il eu comme elle des remords par la suite ? Cette réalisation lui fit sortir de la tête toute pensée défendue.
Il fallait crever l’abcès, décida-t-elle. Et elle se jeta à l’eau.
— Je suis vraiment désolée pour ce que j’ai fait il y a 8 jours... Ce n’est pas un comportement digne d’une femme de mon âge, qui est aussi une mère !
Il ne répondit rien. La jugeait-il comme une femme de mauvaise vie, une prédatrice profitant de chaque proie ? Se sentant de nouveau coupable, elle bégaya :
— Cela fait des années que... mon mari me... délaisse et quand je t’ai vu qui m’observais... je...
Mais ce n’était pas tout à fait vrai et de plus, ce n’était pas les affaires de Frank. Hélène-Marie se reprit et dit :
— Mais cela n’excuse en rien mes actes. Aussi... J’espère que tu voudras bien m’excuser.
Voilà, c’était dit, c’était fait. Elle soupira et sembla entendre son absolution des lèvres de Frank.
— Il n’y a rien à excuser, dit Frank.
Curieux choix de mot. Oui, il y avait beaucoup à excuser. L’avoir séduit, l’avoir forcé à lui faire tous ces actes sexuels. A moins que... mais ils arrivaient à destination.
En parfaite maitresse de maison, elle le fit entrer dans la maison, l’installa au salon et lui servit un rafraichissement puis elle s’assit sur le même divan, mais à l’autre extrémité. Philippe et elle n’ avaient jamais fait l’amour sur ce divan, pensa-t-elle. Frank, par contre... Elle but une gorgée d’eau pour faire tenter de faire passer ce début de pensée impure.
— Tu dis qu’il n’y a rien à excuser ? dit-elle enfin.— Je... hésita Frank. J’ai apprécié ce qui s’est passé. J’ai vraiment beaucoup aimé.
Que disait-il ? Il n’y avait rien à lui reprocher, il avait beaucoup aimé ?
— Et puis, si je suis ici aujourd’hui... ajouta Frank.
Ses mots, dits d’une manière si timide et si douce, la troublèrent. Le sous-entendu commença à l’emmener sur une pente dangereuse...
— Non, non, non. Je ne sais pas ce que tu veux dire, mais je ne veux pas l’entendre. Ce que nous avons fait été mal. Je n’étais pour toi que la maman d’un ami et...— Vous n’étiez pas pour moi que la maman d’un ami, la coupa Frank.— Que veux-tu dire ?
Frank rougit, hésita... Non, criaient les pensées de Hélène-Marie, ne dis rien !
— Cela fait longtemps que je fantasme sur vous. Je... j’ai même écrit des histoires où vous... me séduisiez. Dit-il néanmoins.— Des histoires... où je te ... séduisais ? répéta-t-elle, sous le choc.— Où nous fais... où nous baisions.
Elle se sentait comme avant qu’elle ne le rejoigne dans la douche. Elle semblait perdre le contrôle d’ elle-même. Son sexe commençait à se réveiller, demandant son dû. Elle n’avait qu’à pousser ce jeune pervers sur le dos et à lui enlever pantalon et boxer pour prendre sa verge en bouche. Elle repensa à la dureté, à la chaleur et au goût de sa bite... Et puisque cet idiot s’obstinait à l’entrainer sur des chemins de perdition, elle le chevaucherait jusqu’à ce qu’il demande grâce ! Et qu’il ne s’avise pas de jouir avant elle ! La maison étant vide, elle voulait crier ce qu’elle voulait, jouir en hurlant !
Elle s’accrocha à la partie de plus en plus petite d’elle qui résistait à la tentation.— Va-t-en.
Frank sembla interloqué.— Pardon ?— VA-T-EN ! cria-t-elle. Fallait-il faire un dessin à cet abruti qui troublait ses sens ? HORS D’ICI !— Je dois aller à pied jusque ... ?
On est une petite nature, on ne sait plus marcher à pied ? Pas étonnant qu’on ne soit pas capable de se retenir d’éjaculer alors que l’on ne baisait que depuis cinq minutes !— JE M’EN FOUS ! VA-T-EN !
C’est tout juste si Frank ne s’enfuit pas de la maison. Il prit le chemin de la gare sans se retourner.Hélène-Marie claqua la porte derrière lui. Quel connard ! Elle avait été si près de recommettre l’impensable. Et avec quelle violence cette envie de luxure avait pris possession d’elle ! Elle n’était d’ailleurs pas partie... Elle pouvait toujours le rattraper, le faire pivoter sur lui-même et l’embrasser sans retenue avec la langue, l’emmener dans une ruelle proche et le baiser par terre dans la saleté et entre deux détritus. C’était tout ce qu’il méritait.
Mais non. C’était fini, et elle pourrait revenir à sa vie bien rangée. Elle avait envie de sexe, si envie pour l’instant ! Cela passerait et, les jours passant, la séance de la douche ne seraient plus qu’un lointain souvenir. Mais, pour l’instant...
— Putain, qu’est-ce que j’ai envie... grogna Hélène-Marie. Le désir ne faisait que croitre en elle, peut-être en réponse aux sentiments un peu violents qu’elle avait ressentis.
— Tu serais encore là, je n’hésiterais pas... J’ai tellement envie de ta grosse pine... dit-elle à un Frank imaginaire. MERDE J’AI ENVIE DE TA QUEUE DANS MA CHATTE !
Il fallait qu’elle se calme. Un petit verre de vin pourrait-il aider ? Elle en doutait. Peut-être pouvait-elle... se faire du bien elle-même ? Mais comment deux doigts pourraient-ils remplacer une bite bien large et bien dure ?Elle souffla. Cela allait passer. Il fallait tenir. De toute façon, elle n’avait pas le choix, il était parti... Mais à quel moment était-elle devenue une telle nymphomane ? Il faudrait faire des séances chez le psy. Tuer la bête tapie en elle.
Elle s’assit dans le fauteuil et s’obligea à respirer lentement, plusieurs fois. Cela commençait à aller mieux. Bien sûr, la douce chaleur dans son bas-ventre était toujours là mais ce n’était plus elle qui commandait. Peut-être que s’affairer dans la maison lui changerait définitivement les idées ?
En commençant une vaisselle, elle s’aperçut qu’il pleuvait. Son coeur se déchira pour le pauvre garçon qui marchait tout seul sous la pluie. Sans même y réfléchir, elle mit son manteau et prit les clefs de sa voiture en main. Ce ne fut que lorsqu’elle fut sur le point de démarrer, qu’elle se remémora en quelles circonstances ils s’étaient quittés et qu’elle se demanda si était capable d’être de nouveau à ses côtés sans lui grimper dessus.
La réponse, évidemment, était non. Elle s’éloigna de la porte pour retourner à sa vaisselle mais s’ aperçut qu’elle avait toujours son manteau et ses clefs en main. Elle n’avait pas le coeur à les reposer, signe qu’elle renonçait à partir à sa recherche... Bon sang, pourquoi était-ce si dur ?
Il fallait qu’elle pense à autre chose. Elle pensa au bois qui jouxtait la ville, plein de sentiers discrets... Elle repensa à celui qu’elle avait découvert lors d’une promenade, très discret... L’endroit idéal pour y amener... Frank...
— NON ! cria-t-elle... Elle en avait trop envie... Mais elle n’osait sortir de la maison...
Il lui sembla que la pluie redoublait d’intensité... et avant qu’elle ne sache ce qu’elle faisait, elle était dans la voiture, et roulait sur le chemin que Frank avait dû suivre.Elle le retrouva après cinq minutes, klaxonna et s’arrêta à côté de lui.
— Monte, ordonna-t-elle en lui ouvrant la porte. Et c’est à ce moment-là qu’elle s’aperçut que la pluie était toujours fine, elle était même en train de finir. Que pouvait-elle faire si son esprit lui jouait des tours ?
— Je suis désolé pour... commença Frank une fois entré dans la voiture.— Ta gueule, l’interrompit-elle. Toi et ta grosse queue, rajouta-t-elle pour elle-même.
Elle démarra. Elle pouvait toujours l’emmener à la gare... Oui, bien sûr... Mais comment calmer la partie d’elle-même qui avait peur pour sa famille et la bonne morale ? Peut-être en s’imposant de ne jamais le baiser quand ses enfants ou son mari étaient à proximité ?
Alors, voilà, réalisa-t-elle en se caressant vivement la cuisse, je vais l’éduquer ce petit jeune puceau.Enfin, puceau, il ne l’était plus...La forêt lui semblait si loin, mais elle y arriva, s’engouffra dans le petit chemin et arrêta la voiture après quelques minutes.
— Frank... dit-elle d’une voix rauque.
Il ne le savait pas encore, mais il était à elle. D’une main derrière la nuque, elle l’attira à elle.Elle l’embrassa, ce nigaud n’avait pas ouvert sa bouche, aussi sa langue força-t-elle un peu le passage.Enfin cet abruti avait compris et avait ouvert sa bouche, et elle l’embrassa comme elle n’avait plus embrassé depuis son adolescence. Avec sa langue qui goûtait la sienne, qui jouait avec...
Mais elle n’était pas venue ici uniquement pour l’embrasser. Elle défit sa ceinture et s’assit à califourchon sur lui. Bien sûr, ce cochon bandait. Elle se trémoussa pour qu’elle puisse mieux sentir son sexe dur contre elle.
Elle arrêta de l’embrasser et dit :— Putain, ça va être bon...— Je ne comprends pas, dit Frank.
Elle rit. On ne lui demandait pas de comprendre, juste de bander. Cette position lui donna une idée.Voilà longtemps que l’on ne lui avait plus caressé la poitrine... Enlevant les boutons de son chemisier, elle dit :
— Tu veux comprendre, ou tu veux me peloter les seins ?
Elle finit de déboutonner sa chemise et enleva son soutien-gorge, lui prit les mains et les déposa sur ses seins. Ah, quel plaisir de sentir ses mains parcourir ses seins... A voir comment il les caressait avidement et à voir son regard comme fou, elle en était sûre : sa poitrine n’avait rien perdu de son attrait.
— Vas-y, suce-les. J’adoooore ça... Et en plus, qu’est-ce que tu bandes mon cochon... Tu peux pas savoir à quel point j’ai besoin de ta grosse bite.
A parler de son sexe, elle se rendit compte qu’elle n’en pouvait plus d’attendre et le repoussa.
— D’ailleurs, j’ai envie de ta queue dans ma chatte tout de suite. Ouvre le coffre, couche-toi dedans et enlève ton pantalon et ton slip.
Ici, au coeur de la nature, elle pouvait enfin dire toutes les insanités qu’elle voulait. C’était bon...Elle retourna sur le siège conducteur et le regarda suivre ses consignes en s’installant dans le coffre du SUV.Elle avait envie de le suivre tout de suite et de prendre son pied. Mais elle prit son temps, savourant chaque instant qui allait précéder l’assouvissement de ses envies. Alors elle descendit calmement du véhicule, en ferma la porte et se mit à un endroit où, du coffre du véhicule, Frank ne perdrait rien du spectacle. Elle était seins nus avec sa chemise ouverte. Elle fit glisser lentement sa jupe dans le parterre de feuilles mortes. Sa petite culotte glissa également et, du pied, elle l’envoya dans une flaque de boue.Je ne porterai plus jamais de petite culotte quand tu seras là, pensa-t-elle.
Elle mit les mains sur ses hancher, le laissant admirer son corps nu. Elle allait le rejoindre mais, après tout, ne l’avait-elle pas invité pour mettre les choses au point ?
— Tu as encore le temps de partir, dit-elle. Quand je monterai dans le coffre et que je te chevaucherai, tu seras mon jouet. Mon toy boy. Dès que j’en aurai envie, on se verra et tu me baiseras.
Elle n’eut pas à entendre sa réponse, son sexe sembla encore augmenter de volume. Elle n’avait pas besoin de préliminaires, tellement cela lui semblait des heures depuis qu’elle attendait que sa chatte avale cette grosse queue. Elle monta à quatre pattes dans le coffre et prit le sexe dur en main et commença à le branler doucement, plus pour sentir sa chaleur et sa dureté. Elle mit un genou de chaque côté de Frank, descendit lentement son bassin et souffla :
— C’est trop tard...
Aujourd’hui, elle avait encore eu l’occasion d’arrêter cette folie et ne l’avait pas fait. Il n’y avait plus de retour en arrière, ni pour elle ni pour lui. Comme elle l’avait dit, il était maintenant son jouet. Cette grosse bite était sienne, sa seule mission était de la faire jouir elle.Ce fut un énorme plaisir de la sentir coulisser en elle. Enfin...
— Oh putain, c’est booooon... Quelle bite tu as...
Elle mit les mains derrière elle et le chevaucha ainsi, d’abord doucement pour bien le sentir et puis plus rapidement. Une fois encore, c’est elle qui imprimait le rythme. Il n’y avait plus de bruit dans la voiture à part le bruit mouillé de la bite de Frank entrant dans sa chatte... Elle se rendit compte qu’elle adorait ce bruit...
Le plaisir croissait en elle, et le plus bon c’est qu’elle ne devrait plus se retenir de jouir aussi bruyamment qu’elle le voudrait. Mais c’est alors qu’elle entendit :
— Je ... je vais bientôt venir...
Quoi ? Ce puceau n’allait pas la priver de sa jouissance une seconde fois ! Se redressant brusquement, elle saisit de sa main le visage de Frank, et lui cria :
— NON ! Pas avant que je prenne mon pied !
Il avait l’air surpris... Qu’est-ce que cet idiot n’avait pas compris quand elle lui avait dit qu’il était son jouet à elle ? Son objectif était de la satisfaire elle !
Par chance, sa réaction rapide semblait avoir empêché Frank d’éjaculer. Et sa queue restait toujours aussi dure... Elle le fixait du regard, subjuguée par son regard surpris mais conquis et par son visage aux traits si jeunes.
Elle recommença à faire glisser sa bite en elle, d’abord doucement, elle avait l’impression de mieux la sentir ainsi... Elle fit ensuite quelque chose qu’elle n’avait plus fait depuis longtemps... Se peloter le sein droit alors qu’elle chevauchait un homme...
— Je vais t’entrainer... dit-elle avec un petit gémissement. Et tu dureras aussi longtemps que je le veux... Mmmmh... Oui, on se verra le plus souvent possible.... J’AIME TROP TA GROSSE QUEUE ! cria-t-elle de nouveau.
Elle était de nouveau sur le chemin de la jouissance. Son bassin, comme animé d’une volonté propre, augmentait le rythme de va-et-vient, bientôt à un rythme insoutenable. Elle voulait jouir, mais voulait encore chevaucher un peu cette verge qui la remplissait si bien... Elle commençait à haleter sous ce rythme diabolique... Puis vint l’explosion de jouissance.
— OOOOOOOOOUUUUUUUUUUUIIIIIIIII ! PUTAAAAAAAAIIIIIINNNNN ! hurla-t-elle.
A bout de force, elle se laissa tomber sur Frank, puis roula de côté. Elle prit un peu de temps pour reprendre son souffle, puis dit :
— Tu peux pas savoir à quel point ça fait longtemps que je ne l’avais plus fait... Et ta queue est bien plus grosse que celle de mon mari... Putain, je revis...
Oh oui, elle revivait. Elle n’avait jamais autant joui. Et elle n’avait jamais baisé dans une voiture...Tout portait à croire que ce n’était qu’une longue série de premières fois !Elle profita de l’instant, se relâchant et fermant les yeux. Quand elle les rouvrit, elle s’aperçut qu’il la regardait. Enfin, plutôt son corps, ses seins, son pubis, ses cuisses... Il avait l’air d’aimer son corps, de la désirer.
Mais bon, son mari n’allait pas tarder à rentrer du travail, et il fallait qu’elle se rende présentable.
— Allez, rhabille-toi. Je vais te raccompagner à la gare.
Elle aurait pu le laisser là dans la forêt. Une partie d’elle trouvait cela excitant : l’utiliser puis le jeter comme une sorte de gode à usage unique mais une autre partie d’elle le trouvait mignon et s’en serait voulu. Et puis, elle avait pris l’habitude durant toutes ces années de le reconduire chez lui après les soirées Playstation quand ses parents ne pouvaient venir le chercher...
Elle sortit chercher sa jupe, nue avec sa chemise flottant autour d’elle, et s’aperçut qu’il la regardait toujours. Le fait qu’il semble hypnotisé par son corps vieillissant la rendait légère. Merde... Il ne manquerait plus qu’elle devienne amoureuse...Elle eut une idée, écartant un peu les jambes, elle se pencha en avant pour ramasser son vêtement. Elle resta comme cela quelques secondes de plus que nécessaire. Vois-tu bien ma chatte ? pensa-t-elle. Réalises-tu que tu vas la doigter, la lécher, la baiser encore de nombreuses fois ?
Puis elle rentra dans la voiture, se recoiffa rapidement, remit son soutien-gorge et referma son chemisier.Sa jupe fut par contre envoyée sur ses sièges arrière. Quand Frank la rejoint, il le remarqua aussitôt :
— Vous n’avez pas...— Non, en effet. Ca t’excite, que je conduise comme cela ? répondit-elle, coquine.— Oui, dit-il dans un souffle.
La sensation d’être cul nu sur le siège de cuir était indescriptible. Tout comme le fait que Frank ne savait ne regarder rien d’autre que son pubis poilu. Tout cela l’excitait de nouveau... Mais elle devait se concentrer sur la route et ils arrivèrent heureusement sains et saufs à la gare.
Ils se regardèrent, ne sachant quoi dire. Puis, n’y tenant plus, elle l’attira à elle et l’embrassa. Sentir de nouveau sa langue dans sa bouche... Mais son sexe demandait aussi que l’on s’occupe de lui alors, elle prit sa main et la déposa sur son pubis. Dans cette position, il ne savait que caresser le haut de son clito alors qu’elle aurait bien voulu deux doigts de cours. Mais ils ne pouvaient aller plus loin...
— Si j’avais le temps... soupira-t-elle. Va-t-en, maintenant.
Il sortit de la voiture, fit à Hélène-Marie un signe, et elle démarra. Elle se rendit compte qu’elle avait pris un risque, en l’embrassant ainsi sur le dépose-minute. Des passants les avaient-ils vus ?Et alors ? Ils étaient majeurs tous les deux, et Hélène-Marie décida qu’elle avait envie de tester plein de nouvelles choses sur le plan sexuel.
Frank... pensa-t-elle. Ne t’en fais pas, je sais déjà comment faire pour que l’on commence ton éducation ce week-end.
Car aujourd’hui elle avait fait un pacte avec elle-même : explorer sa sexualité avec l’ami de son fils et l’assumer, tant qu’ils restent tous deux discrets.
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