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Prélassement

Chapitre 4

Quand faut y aller.....

Voyeur / Exhibition
Et puis Emilie s’est brutalement levée et est venue s’emparer du téléphone et a raccroché en s’asseyant sur mes cuisses !
— Quand on est poli, on ne téléphone pas comme tu le fais, on prend la communication et on dit qu’on rappellera. Et puis, pourquoi tu ne lui as pas dit qu’on était en train de s’envoyer en l’air ? Ca se sent que tu as encore envie de m’envoyer en l’air, de me balancer au 7ème ciel, ça se sent de plus en plus !
Elle avait raison, mais Clo est une fille sensible, une grande rouquine avec des jolies taches de rousseur... et quand Emilie te tient par la queue, tu ne sais plus trop où à quoi il faut réfléchir ! Baiser les deux en même temps, ça doit être génial ! Mais pour l’instant, c’est Emilie qui me caresse la figure avec ses nichons, ceux dont je rêve depuis dejoursux , ceux que j’ai entraperçus avant-hier, ceux dont je lèche les tétons pointus, ceux que je malaxe comme des boules de relaxation et ça me détend tellement... tellement que je ne vois pas qu’elle se caresse sa fente avec mon gland..... « T’as une belle bite, tu sais ..... » ...... « J’ai envie de te sentir au fond de moi... » Oui, moi aussi, j’ai envie de te la mettre bien profond..... C’est elle qui m’entraîne vers le fond de la maison... « Ca, c’est la chambre d’amis... » Il y fait chaud... Je n’arrête pas de la regarder, de la toucher, de la désirer tout en craignant de faire une connerie qui briserait le rêve que je vis...
Elle m’allonge sur le lit et me demande de ne pas bouger. Je passe mes mains derrière la tête et saisis les barreaux du lit. Emilie me demande de les tenir comme si j’y étais menotté, de me détendre, d’écarter un peu mes jambes...... Elle se met face à moi à cheval sur mes cuisses et entreprend de me caresser le ventre, le torse... Elle se penche sur moi pour m’embrasser et ses seins caressent mon torse, elle se recule un peu pour pouvoir prendre mon membre en bouche...
— 20 centimètres ? Ou pas loin, hein, mon petit étalon ? Enfin plutôt grand ! Jeune, mais grand !
Et elle me suce divinement... Si je fais un geste pour lui rendre une caresse, elle remet ma main à sa place... J’ai maintenant une érection comme jamais je n’ai eue ! Quand elle en a eu assez de me sucer ou qu’elle a jugé mon érection conforme à ce dont elle a envie, elle se redresse, avance un peu et s’enfile sur ma bite avec un soupir de satisfaction comme je n’en avais jamais entendu. Je manque de jouir, mais réussis à me retenir..... J’ai encore envie de la peloter, mais j’hésite, elle va me remettre en place, elle a du plaisir à monter et descendre comme elle fait, les yeux fermés, la bouche légèrement entrouverte...
— C’est quand même mieux qu’un gode !
Elle rit de sa plaisanterie et s’astique avec encore plus d’énergie, elle est belle. Si c’est une salope, c’est une salope du genre que j’aime, et puis ce n’est pas une salope, c’est une nana généreuse qui donne autant qu’elle prend ou qu’elle se donne ! Plusieurs fois, je crois que je vais décharger, mais elle doit avoir un truc qui lui permet de détecter l’instant où je ne vais plus pouvoir me retenir parce qu’elle ralentit, et je la remercie à chaque fois de me permettre de la fourrer plus longtemps ! Ca, Clotilde, elle ne sait pas faire ! Elle est belle, bandante, baisable, tout ce que vous voulez, mais la finesse, bof, c’est une baiseuse, mais c’est tout... Remarquez, c’est déjà pas mal !

Et puis après nous avoir fait frôler plusieurs fois l’orgasme, elle s’écroule sur moi, m’embrasse et me demande tout doucement depuis combien de temps j’ai envie de la baiser, si c’est seulement depuis avant-hier...
— Parce qu’avant-hier, tu t’es bien rincé l’œil et tu t’es bien branlé en regardant ma main fouiller dans mon maillot, hein, voyou ?
Elle avait tout deviné et ça la faisait rire... Je lui réponds que j’avoue, oui, j’avoue m’être branlé, mais... respectueusement ! Alors elle s’accroupit, me tourne le dos avant de s’empaler à nouveau sur ma bite. Elle a un cul fabuleux, puissant, j’aimerais tant y planter ma queue dans sa petite rondelle qui monte et qui descend à un rythme régulier devant mes yeux ébahis. J’ai la bite en feu, de plus en plus de mal à me retenir d’autant plus qu’elle a l’air de prendre son pied à intervalles réguliers en me gratifiant de « Baise-moi, oui, comme ça ! », de « Continue, oui ! » agrémentés de gémissements qui entraînent les miens jusqu’à ce que, je ne sais pas pourquoi, je lâche les barreaux du lit qu’elle m’avait ordonné de tenir, je pose mes mains vigoureusement sur ses hanches, la repousse violemment sur le côté puis la mets sur le dos et plante ma bite dans sa chatte, juste le temps d’entendre :
— Ah ! Enfin ! Oui, défonce-moi !
Ce que j’avais de toute façon décidé de faire et je m’appliquais à la piner avec une énergie que je ne croyais pas avoir jusqu’à ce qu’elle pousse un cri rauque qu’elle essaie de retenir tout en jouissant sur ma queue avec rage et en mouillant mon ventre d’un flot de cyprine inattendu qui se mélange à mon foutre que j’ai juste le temps de vider sur sa touffe trempée !
Je me suis écroulé sur elle, on se frottait nos corps et puis :
— Je crois que tu devrais rentrer chez toi te doucher, tu as vu l’heure ? Je te donne mon Skype, d’accord ? Tu repars par le fond du jardin et tu connais le chemin après.
J’ai évidemment posé la question con par excellence :
— Alors, tu as aimé ? — Et toi ? — Oui, cool ! — Tu aimerais recommencer ? — Bien sûr, pourquoi pas ? — Souvent ? — C’est-à-dire ? — Quand j’en ai envie et c’est souvent :)
A suivre...
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