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ma première fois avec Paul

Chapitre 1

Hétéro
Les premières fois pour moi étaient comprises entre envies, perversions, et plantages. J’aimais pour la première fois un beau garçon qui faisait pas mal de conquêtes. Mes divers flirts ne m’apportaient rien de constructif. Je voulais être une femme, une femme bien accro à l’amour. Je connaissait bien sur le plaisir, comme toutes les filles: nous ne parlions librement entre nous, nous nous masturbions toutes plus ou moins. Moi, c’étais plus que moins. Ce garçon, Paul (le prénom a été changé) hantait mes nuits et les fantasmes. Je ne savait trop comment faire pour l’apprivoiser, le mettre à mes pieds. Je connaissait une camarade de classe qu’il avait larguée. D’après elle c’était de sa faute: elle voulait le contraindre un peu trop, pas sur le plan sexuel, mais sur une foule de détails: comme il devait se tenir, comment il devait s’habiller. A la fin, malgré leurs plaisirs communs pour la baise, il l’a mise hors de son jeu. Pour le moment il était seul, sauf avec ses copains. Un jour, il marchait derrière moi, j’ai simulé une chute: il est venu à mon secours. Je faisais celle qui avait mal. Il m’a prise par la taille pour me guider à la pharmacie le plus proche. Il a attendu que je sois « soignée » pur m’emmener chez moi. J’avais un bras sur ses épaules et le sien toujours autour de ma taille. Presque arrivée chez moi, je l’ai fait tourner pour qu’il me fasse face. Je me serrais contre lui: je sentais son corps musclé contre le mien. Il était tenté et n’osait rien faire. Alors je l’ai embrassé. Il a répondu à mon baiser. La première manche était gagnée. L’après-midi Paul est venu me voir pour prendre des nouvelles. J’étais très « malade », assise sur le divan du salon. — Comment vas-tu ?— Mieux, ce que m’a fait le pharmacien a été radical, je n’ai presque plus mal. — Tu peux te déplacer ?— En boitillant oui. Je ne me souviens pas si je t’ai remercié ?— Oui tu m’as embrassé.— Je suis bête c’était très agréable. — Je peux recommencer si tu veux.Je ne répond rien sinon que je tends ma bouche vers lui. Il pose la sienne sur la mienne. Aussitôt nos langues participent à l’action. Il vient s’assoir près de moi, m’enlace, et m’embrasse encore. Je ne sais pour lui, moi je suis excitée, je sens une boule dans mon ventre. Je voudrai bien qu’il commence à me caresser la poitrine. Il doit lire dans mes pensées, il pose une main sur le sein gauche, le plus sensible. Je voudrai maintenant qu’il me caresse la chatte. Pour la suite je ne sais pas: je suis vierge de partout, même de la bouche. Je sais que les garçons aiment dominer les femmes quand elle les sucent. Je voudrais aussi qu’il me suce le sexe. C’est disent certaines copines le summum. Je voudrai tellement de choses qu’il ne pourrait pas les faire toutes en une seule journée. Depuis quelques mois, ma mère m’oblige à prendre la pilule au cas où. Elle a simplement oublier de me dire de quel cas il s’agissait, alors que je savais bien qu’à 17 ans ce n’étais pas pour le plaisir d’avaler un comprimé. De ce coté là, j’étais à l’abri. Je voulais me donner totalement, être une femme parfaite partout, une femme qui aime faire l’amour. J’aurais voulu tout connaitre, même l’indicible. Comme je le laisse faire, il commence à poser une main sur mon genoux. Je commence à mouiller, je le laisse faire en espérant qu’il monte bien plus haut, si je n’ai pas mis de slip c’est pour lui. S’il continue à passer sa main entre mes cuisses, à m’exciter encore je vais prendre sa main pour qu’il ma la mette sur la chatte. Ça y est: il arrive au but: je le sens à quelques centimètre de mon entrejambe. Ça y est il est en place: il a survolé tout le bas de mon sexe, pur venir chercher le clitoris. Il le trouve, la caresse longuement, tendrement, mieux que ce que je me fais. Je ne sais comment me tenir. Je m’entends gémir comme s’il me faisait mal, alors que je me tortille de plaisir. Il appuie à peine un peu et enfin je jouis pour la première fois d’une autre main que la mienne. C’est bon je ne veux pas qu’il arrête. IL compris, il continue jusqu’à l’orgasme suivant. Maintenant c’est lui qui prend ma main pour la poser sur sa bite. Je sens qu’elle est bien grosse sous son pantalon. Je ne sais trop comment faire pour la caresser. Comme il sait que je ne porte pas de sous vêtement, il enlève son pantalon et son slip. Je peux voir son sexe: il me plait bien, il me semble juste un peu gros, comme toutes les queues humaine. Je me laisse pousser par mon instinct, je la prends à pleine main. Je descend sa peau jusqu’au niveau des couilles. Je les touche un peu, elles me semblent grosses aussi. Je reprends la bite pour lui donner du plaisir. Je n’ose pas prendre sa pine dans la bouche. Je m’acharne sur sa queue jusqu’au moment où il donne son sperme. Je ne pensais pas qu’il giclait si fort ni si longtemps.Il m’embrasse toujours. C’est dommage, il perd sa forme. J’aurais bien voulu qu’il continue à me caresser. Maintenant c’est sur, il va m’oublier. Je le juge mal, quand je reprends sa bite ans ma main, il commence à grossir à nouveau. Il lâche ma bouche pour venir poser la sienne sur ma chatte. Ça je sais que c’est bon, alors je me déshabille, écarte bien les jambes pur qu’il trouve sa place. Je goute des fois ma cyprine, je ne lui trouve pas un goût extraordinaire. Paul semble apprécier puisque je sens sa langue lécher de l’anus au clitoris. Je voudrais qu’il s’attarde partout. Ses mains sont sur mes seins un moment avant d’abandonner mes tétons pour venir sur la chatte, occupées maintenant à entrer dans le vagin et caresser le tour de mon anus. Que c’est bon d’être caresser à la fois su clitoris et sur l’anus. Je sens mon cul se fermer par à coup quand je jouis. Il a oublié que je suis rescapée d’un accident. — Je vais te baiser, annonce Paul.— Je suis vierge.— Je l’ai remarqué. Je ferais attention.Il me couche sur le divan, j’écarte les cuisses, il est entre elle, j’attends sa pénétration qui arrive. J’ai peur qu’il me fasse mal. Je le sens entrer dans ma féminité. Il arrête juste avant de me dépuceler. Il est d’une douceur que je n’imaginais pas. Il me semblait que pour cette opération les hommes étaient brutaux. Bien sur je sens la douleur de la perforation de l’hymen. Elle est vite compensée par le plaisir naissant d’un autre orgasme inconnu. Il va au fond de mon vagin, je le sens bien aller et venir à tel point que moi aussi j’accompagne ses mouvements. Il va me prendre pur quoi, une pute ou une nymphomane? Il ne me prend que pour une femme. Je jouis autour de lui, j’aime sentir une bite dans le ventre quand je jouis.Il me fait tourner pour que je sois sur le ventre. Je sens sa bite sur la raie de fesses. J’espère maintenant qu’il va m’enculer. Il passe sa main sur ma chatte, récupère de la cyprine, m’en tapisse l’anus. Je le sens venir sur mon dos. Il y est sans y être, ses jambes entre les miennes et ses bras autour de mon corps font que je ne le sens pratiquement pas. Par contre je sens bien son gland quand il le met juste sur l’anus. Ce n’est plus un doigt, maintenant c’est bien plus gros. C’est une vrai bite d’homme. J’espère qu’il ne me fera pas mal. C’est ma crainte, la douleur en se faisant dépuceler. Pourtant quand il est venue dans mon ventre la première fois, j’ai jouis.Je sens quand il entre le bout de sa bite, les millimètres sont longs à passer. Je serre les dents inutilement, il entre sans problème. Il l’a mise en entier. J’ai juste senti passé son gland, puis le petit espace avant tout le reste de sa queue. C’est bizarre d’avoir une bite dans le cul. C’est bizarre et je m’y habitue très vite, surtout quand il commence ses vas et viens que j’accompagne encore. Je gémit encore, j’hurle quand je jouis. Heureusement que nous sommes seuls à la maison. Il va et vient dans mon cul un bon moment avant que je le sente jouir. Ça d’éclanche chez moi un orgasme suprême.Nous sommes assis enlacés. Ses mots sont encourageant:— Tu baises bien pour une première fois.— C’est grâce à toi et à ta queue.— Non c’est grâce à ton con.— Tu veux qu’on recommence ?— Oui, maintenant si tu veux.— Chiche— On y retourne.Cette fois nous commençons par l’inconnu pour moi, il se met sous moi, prend toute ma chatte en bouche, me donne sa queue. J’aime sentir sa queue bandée dans la bouche: je le possède à mon tour. Ma langue fait le tour du gland, mes lèvres vont comme mon vagin. Je fais tout pour qu’il jouisse. Je sais que je recevrais son foutre dans la bouche, au moins je le gouterai. Il me fais jouir encore deux au trois fois avant que je fasse sortir son sperme en jet dans le fond de la bouche. C’est chaud, c’est agréable, c’est excitant. Les quelques copines qui m’ont dit ne pas aimer sont des sottes. Comment ne pas aimer ce qu’on reçoit dans le ventre. Je suis fière de moi, je ne suis plus vierge de nulle part. Je jouis avec celui que j’aime que demander de plus ?
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