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Ma première fois (Julien)

Chapitre 1

Erotique
Ce récit véridique sera écrit en deux parties, ma version et celle de Valérie. Après plusieurs années de perte de vue, nous nous sommes récemment retrouvés et après en avoir discuté nous avons décidé d’écrire ce texte en deux parties, car chacun évidemment a son propre ressenti sur ce qui s’est passé ce jour-là. Nous nous sommes séparés en très bons termes et chacun a fait sa vie et vécu ses expériences. Je présente donc ici ma version et celle de Valérie suivra si cette histoire vous convient.
Cette histoire est ancienne et remonte à il y a un peu plus de vingt ans. A cette époque, j’étais un tout jeune homme, très mal à l’aise avec mon corps, encore plus mal à l’aise avec le sexe opposé, complètement novice et maladroit sur ce genre de relation, même si j’avais toujours recueilli beaucoup de sympathies féminines qui ne voyaient (malheureusement) en moi, qu’un "petit frère" ou une oreille attentive, ce qui me frustrait totalement.

On en arrive donc à cette fin d’année de seconde, où, lors d’une journée de mai particulièrement chaude, une amie commune de mon groupe de potes vint me retrouver au foyer lors de notre pause de midi. Alors je fais les présentations, elle s’appelait Valérie, était âgée de 19 ans, et elle fréquentait à l’époque un mec du lycée, joueur de rugby, qui était tout l’opposé physique et mental de ce que j’étais à l’époque. Visiblement, son couple était en difficulté et elle avait besoin de mon attention qui était à ce moment-là je l’avoue, totalement désintéressée.
Nous nous sommes donc isolés dans un recoin tranquille et nous avons discuté un long moment, jusqu’au moment où elle vint s’allonger pour poser sa tête sur mes jambes. J’en profitais donc pour caresser doucement ses cheveux, ses bras, son visage et son corps, en évitant soigneusement ses seins assez opulents, mais soigneusement protégés par un chemisier et un soutien-gorge près du corps qui avait tendance à les comprimer.
Je me retrouve donc avec cette charmante jeune femme, brune, assez grande (1m75); avec de magnifiques yeux verts, comme je le disais une très belle poitrine, et une petite bouche rieuse, qui rendait toujours son visage avenant même quand elle était contrariée ou en colère. Ma main caressait donc du coup le haut de son corps, sans la moindre arrière-pensée, car je ne voyais pas comment ce genre de femme pouvait être attirée par moi. Après plus d’une heure de discussions et de caresses mutuelles, car pendant ce temps ses mains avaient rejoint les miennes, elle se leva, m’embrassa au coin des lèvres et me quitta en me disant qu’elle avait réellement apprécié ce moment. Le reste de la journée fut long pour moi, car je n’arrivais pas à me retirer de la tête ce moment partagé.
Il se passa bien plusieurs jours avant que je ne puisse la revoir, car entre nos études respectives et nos emplois du temps décalés, il était quasi impossible pour nous de nous croiser régulièrement. Cependant un jour où je marchais, l’air pensif dans les couloirs, on m’attrapa soudain par le bras et je me retrouvais en face de son visage tout sourire avec son parfum si discret et envoûtant que j’en perdis instantanément la notion du temps, des cours et de tout mon environnement en fait...
— Je peux te parler ? me fait-elle.
Je réussis ni plus ni moins qu’à bredouiller un charabia incompréhensible, ce qui accentua son sourire, et qui me plaça dans une situation de gêne encore plus extrême
Elle m’entraîna dans les escaliers loin des regards et des oreilles indiscrètes, puis dans le couloir elle me prit les mains et me donna mon premier véritable baiser. Doux, mais court, celui-ci fit véritablement chavirer mon cœur, mais j’étais toujours bien trop timide et maladroit pour oser aller véritablement plus loin, même si mon érection était déjà clairement perceptible. Je pense qu’elle le sentit à ce moment-là, car son bassin vint s’écraser davantage contre le mien.Sa bouche quitta alors la mienne, elle se dégagea à mon grand regret puis me dit :
— Je viens de quitter R..... en fait je t’évite depuis quelques jours, car je ne sais plus trop où j’en suis. Je voulais vraiment te remercier pour ton écoute, ta gentillesse et le fait que tu ne te comportes pas comme un pervers avec moi. Ce baiser est sincère, mais je te laisse y réfléchir aussi de ton côté. J’espère juste... qu’il n’est pas trop tard.
Cette confession me bouleversa, car c’était pour la première fois de ma vie que j’entendais une femme me parler de ses sentiments, mais que je n’osai pas avouer que j’étais toujours complètement ignorant de la chose. La seule réponse que je pouvais lui donner était un nouveau baiser, qu’elle accepta avec plaisir, et je sentis ses mains dans mon dos me caresser pour mon plus grand bonheur.
Plusieurs jours passèrent où nous avons eu l’occasion de nous croiser entre deux cours, mais à peine le temps de s’échanger un sourire que nous étions déjà repartis à l’opposé loin de l’autre, mais un jour nous avons eu l’occasion de nous croiser dans les couloirs déserts du lycée sur une nouvelle pause de midi. A peine le temps de vérifier que personne ne pouvait nous voir et nous sommes jetés l’un sur l’autre, nos langues frayant l’une avec l’autre, ses mains passant sous ma chemise, les miennes collées à ses fesses, par-dessus sa jupe. Nous nous sommes lâchés, et d’une voix avons exprimé notre désir de former un couple, provisoire certes, mais elle y tenait et moi aussi.

C’est là qu’elle me sortit la phrase que j’espérais et redoutais tant :
— J’ai envie de toi, phrase à laquelle je ne sus que répondre dans l’immédiat, mais je pus me rattraper rapidement par un :
— Moi aussi, mais je dois t’avouer que tu es la première femme que j’embrasse et que je suis totalement novice en la matière, en fait j’ai très envie aussi, mais j’ai peur que tu sois déçue.
Elle se détacha de moi et j’allais commencer à regretter mes paroles quand elle me répondit :
— Je m’en étais un peu doutée tu sais, mais il ne faut pas t’inquiéter, on en a envie tous les deux, on va juste trouver un moment et un endroit pour que tu sois plus à l’aise.
Elle acheva son discours par un baiser tandis que pour la première fois je laissai ses mains sur ses seins dont je devinais les tétons durcis par le plaisir... Ce petit flirt se serait certainement achevé sur plus, mais comme me l’avait fait remarquer ma belle, ce n’était ni l’endroit ni le lieu. Elle me donna rendez-vous le week-end suivant pour pouvoir enfin passer du temps seuls ensemble, et j’avoue qu’il me tardait impatiemment d’y être.
Enfin le samedi arriva et je rejoignis Valérie dans le centre-ville afin de passer notre première journée ensemble. Elle m’accueillit par un baiser en frottant sa cuisse contre la mienne ce qui fit immédiatement réagir mon sexe. Elle sourit, me regarda en riant :
— Eh bien, il en faut peu !!
Je la regardai, rouge de confusion, et elle abandonna son air taquin en me disant d’un ton plus sérieux :
— Détends-toi, et ne stresse pas, comme je te l’ai dit, j’en ai envie et je vais prendre en compte que c’est ta première fois. Ne te mets vraiment pas de pression et laisse-toi aller, mais avant on va profiter d’être ensemble.
Nous en avons donc profité pour nous balader en campagne puis ensuite rejoindre la plage. Nous avons longuement marché les pieds dans l’eau, nous tenant la main, pour échanger loin des ragots du lycée et des réflexions douteuses. Nous sommes remontés dans sa voiture, puis après nous être longuement embrassés, elle décida de me conduire chez elle. Nous sommes donc arrivés et, toujours me tenant la main, elle me guida jusqu’à sa chambre.
Nous nous sommes aussitôt collés l’un contre l’autre, nos bouches ne se quittant plus. Elle prit les devants, passa ses mains sous mon t-shirt et me l’enleva, les miennes glissèrent sous sa jupe puis sous la fragile barrière de coton qui recouvraient ses fesses, petites, mais bien fermes, avant de remonter sur son débardeur que je tentai maladroitement de retirer à mon tour. Elle s’éloigna de quelques centimètres, puis elle le retira laissant apparaître un très beau soutien-gorge qui retenait difficilement ses seins, dont je devinai les tétons durcis par le désir. N’y tenant plus vraiment, je me rapprochai d’elle, et, tout en embrassant son cou, je réussis difficilement à faire tomber ce dernier rempart avant de descendre la fermeture éclair qui tenait sa jupe, et je pus enfin découvrir son dessous. Mon érection devint difficilement contrôlable et je la laissai prendre le contrôle des opérations.
Elle s’agenouilla devant moi, déboutonna mon short, et glissa ses mains sous mon boxer pour faire descendre l’intégralité de mes vêtements sur le sol. Elle me prit la main et s’allongea sur le lit. Je m’allongeai à ses côtés, caressant son corps, profitant de ses baisers. Je laissai mes doigts déambuler sur sa peau, m’approchant de plus en plus de son sexe dont je commençais à voir l’humidité transparaître sous le fin tissu que j’enlevai. Je découvris son sexe, avec une petite toison bien entretenue que mes doigts parcouraient timidement. Je la voyais, les yeux fermés, sa main guidant la mienne pour me faire découvrir sa zone de plaisir.
Elle se redressa à demi, se mit sur son coude et nous nous sommes longuement regardés. Je voyais ses deux seins bien galbés légèrement bouger au fil de sa respiration, puis d’une main elle me mit sur le dos, et ce fut elle qui continua ses caresses, évitant au début soigneusement ma queue tendue par le désir, sur laquelle perlaient déjà quelques gouttes. Je ne pus m’empêcher de profiter de cet instant privilégié en fermant les yeux moi aussi lorsque je sentis sa bouche se poser sur mon gland pour quelques baisers, puis je sentis sa langue s’enrouler autour de mon gland.
— Préviens-moi si ça vient, me dit-elle avant de continuer sa fellation.
Je la rassurai à ce sujet en tentant au maximum de me retenir, ce qu’elle sentit, car quelques minutes plus tard sa bouche remonta sur mon ventre puis mon torse. Je sentis mon gland frotter sur son pubis et le contact de sa toison puis de son clito fut trop pour moi et j’ éjaculai à gros jets sur son pubis, son ventre et le mien. Je m’excusai, honteux d’avoir été si vite, mais elle ne me fit aucun commentaire, car nous avions repris nos baisers et nos caresses. Elle guida mes doigts vers son clitoris enduit de sperme et me montra comment faire pour stimuler sa zone de plaisir, chose que je m’appliquai à faire au mieux. J’en profitai pour descendre un peu et je la pénétrai de mon doigt, en faisant des allers retour qui les firent se cambrer en gémissant.
Mon sexe ayant rapidement repris de la vigueur, je l’allongeai à mon tour sur le dos, je caressai ses jambes en les écartant petit à petit pour pouvoir accéder au creux de ses cuisses puis je me plaçai entre ses jambes. Je déroulai le préservatif quand elle m’arrêta.
— Viens, me murmura-t-elle.
Je n’hésitai plus et je me positionnai devant l’entrée de sa grotte et je rentrai en elle sans à coups, happé par la moiteur et l’humidité. Une fois calé en elle, elle me murmura de ne plus bouger le temps de m’y habituer. Je sentis la pression des chairs sur la mienne, des contractions humides de son intimité, cette nouvelle sensation fut un pur moment de plaisir. Je commençai progressivement de petits va-et-vient et je sentais bouger son corps sous le rythme de mes coups de reins. J’allai de plus en plus profond, de plus en plus fort, mais cela ne dura guère longtemps, car je sentis aussitôt ma jouissance arriver. J’allais me retirer quand je la sentis serrer ses jambes contre moi pour me demander de me laisser aller. Ma tête dans le creux de son épaule, je me déversai en elle dans un râle en accentuant au maximum les derniers coups de bassin que je pouvais encore donner.
Essoufflés, transpirants, nous nous sommes séparés l’un de l’autre. Allongés nus côte à côte, nous laissions encore nos mains toucher le corps de l’autre dans un parfait silence. Ce fut elle qui le brisa en premier.
— J’ai vraiment adoré.— J’ai pourtant pas l’impression d’avoir été un foudre de guerre !!— Non, mais tu as été très doux, très attentionné, tu ne t’es pas précipité et ça joue beaucoup aussi, tu sais. Repose-toi un peu.— J’ai encore envie de toi, tu sais.— On a tout le temps pour ça, le reste viendra au fur et à mesure. Ne te mets pas de pression par rapport à des performances ; ce n’est pas ça que j’attends. Je veux juste être bien dans tes bras et je veux que tu sois bien dans les miens aussi. Je suis heureuse d’avoir été ta première, tu sais.
Je l’embrassai passionnément et je posai ma tête sur ses seins, titillant doucement les pointes de mon doigt avant de m’endormir. Je me réveillai pas loin d’une heure plus tard, Valérie ne dormait pas. Elle continuait à me caresser doucement. Je sentis mon excitation revenir et quelques caresses de sa part sur mon sexe acheva le réveil de ma queue qui était de nouveau bien raide. Je caressai de nouveau son corps, puis je perdis mes doigts sur son clitoris, et je constatai que cette attention la rendait à nouveau humide. Elle me laissa sur le dos, redressa ses cheveux en arrière, puis vint s’asseoir sur mon ventre. Je sentis ses mains saisir ma tige et je coulissai à nouveau en elle. Prisonnier de mes mouvements, je la laissai prendre le contrôle des opérations, profitant du plaisir de voir son corps onduler, surtout ses seins qu’elle faisait régulièrement frôler mon visage et dont je profitais le plus avidement possible. Cette fois-ci fut plus longue, plus intense.
Cette position m’empêchait de finir trop rapidement et j’eus le plaisir de l’entendre réellement jouir cette fois-ci. Je sentais mon sexe palpiter dans le sien, tandis que la pression des chairs rendait son intimité chaude et réellement accueillante. Elle se retira, puis vint se poser à côté de moi.
— Je vais t’apprendre à donner du plaisir autrement, approche ton visage de ma chatte, et avec ta langue viens me lécher. Je vais te dire comment faire pour me faire du bien.
Je dus être un élève appliqué, car après quelques hésitations et tâtonnements, je sentis ses ongles s’enfoncer dans ma tête et sur le drap. Ses gémissements et ses coups de bassin me laissaient peu de doute sur le plaisir que je devais lui apporter. Je me rapprochai de son visage pour l’embrasser, et je sentis mon sexe s’enfoncer profondément en elle. Je la saisis par les hanches et je commençai mes aller-retour. Ses mains sur mon torse, je lisais l’approbation dans ses yeux. Je mis ma main sur son sein que j’empoignai fermement en me concentrant pour ne pas finir trop vite et lui apporter le plaisir qu’elle méritait. Je sentis rapidement ma jouissance venir cependant et je lui demandai si je pouvais encore finir en elle ce qu’elle approuva. J’accélérai alors la cadence et je finis en elle dans de longues giclées qui finirent par m’épuiser totalement.
Après ce long après-midi torride, nous avions décidé de passer la soirée et la nuit ensemble, car le temps passé ensemble sur d’autres activités était aussi fondamental pour le début de notre relation. Nous avions également décidé de rester le plus neutres possible au lycée, car même si la nouvelle avait rapidement fuité sur notre relation, nous ne voulions pas attiser les rancoeurs de son ex petit ami en nous affichant trop ouvertement tous les deux, ce qui ne nous a nullement empêchés de profiter de quelques instants volés par-ci par-là.
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