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Prémices de la domination

Chapitre 1

Début de relation

Lesbienne
Mon nom est Céline. Je suis étudiante en sociologie mais je ne suis pas très scolaire. Cela m’arrive souvent de sécher les cours pour retrouver des amies et je préfère faire la fête que réviser.
Je me trouve assez jolie. Je suis brune avec des yeux bleus. J’ai de beaux seins ronds et fermes (90C) et des belles fesses rebondies.
Je suis lesbienne depuis que j’ai commencé à m’intéresser à l’amour et au sexe. J’ai déjà eu plusieurs aventures avec des filles mais cela n’a jamais duré bien longtemps.
Nous sommes au début de l’été, l’air se réchauffe et les filles commencent à mettre des mini-shorts et des jupes. J’aime bien mater le cul des jolies filles et parfois, pendant une pause, je m’assieds sur un banc et je ne fais que ça.
Un jour, alors que je m’adonnais à ce petit plaisir, une magnifique femme de mon âge s’assied à côté de moi. Elle a de longs cheveux blonds ondulés et de grands yeux bleus dans lesquels on pourrait se perdre. Ses seins sont parfaits et un sublime décolleté permet de bien les mettre en valeur.
— Alors comme ça, tu mates les meufs ?
Surprise par la question, je la regarde avec des yeux ronds. Elle éclate de rire.
— Tu n’es pas très discrète, mais ne t’inquiète pas, moi aussi j’aime le faire, me dit-elle.— Tu es lesbienne ?— Oui. Et toi aussi à ce que j’ai cru comprendre.— C’est vrai, tu as deviné mon secret, lui dis-je avec un sourire.
Je la trouve très sympa, nous continuons de discuter un moment. J’apprends qu’elle s’appelle Émilie, puis nous échangeons nos numéros.
Deux jours plus tard, alors que je sortais des toilettes, Émilie me pousse dans une cabine, verrouille la porte et commence à m’embrasser. Surprise, j’essaie de me dégager mais, finalement, lui rends son baiser parce qu’elle me plaît beaucoup.
Après que nos bouches se soient séparées, elle me dit juste : "Ravie de t’avoir revue" et s’en va sans que j’aie le temps de dire quoi que ce soit.
Un peu énervée de son comportement, je décide de me venger le lendemain, après son cours de sport. J’attends qu’elle soit sous la douche pour lui voler ses sous-vêtements et les mettre dans mon sac. Ensuite, une fois que tout le monde est sorti des vestiaires, j’y retourne et la trouve nue, avec juste une serviette pour cacher ses belles formes. Dès qu’elle me voit, elle comprend que c’est moi qui ai ses sous-vêtements :
— Alors c’est toi qui me les as pris.— Oui, ils sont dans mon sac, à l’autre bout du couloir. Pour les récupérer, tu devras t’excuser, m’appeler "Maîtresse" jusqu’à nouvel ordre et m’embrasser les pieds. Sache que c’est moi qui commande.
Elle me regarde avec un regard de chien battu mais comprend que je ne céderai pas.
— Bien maîtresse, je m’excuse.— Je vois que tu apprends vite ma petite soumise. Maintenant, baise mes pieds.
J’enlève mes sandales et lui tends mon pied droit. Elle se met à genoux et l’embrasse chastement puis, je lui tends l’autre et elle fait de même.
— Parfait, maintenant enlève ta serviette que je puisse voir ton beau corps.
J’ai l’habitude d’être la dominatrice dans le couple et Émilie agit comme une parfaite petite soumise, je sens qu’on va bien s’entendre. Comme je le lui ai demandé, elle enlève sa serviette. J’admire sa poitrine, elle est encore plus belle que je l’imaginais.
— Maintenant, rhabille-toi.— Et mes sous-vêtements ?— Si tu les veux, tu devras venir les chercher chez moi ce soir, je t’enverrai l’adresse.— Mais... Avec ma mini-jupe, ça va se voir.— Ne me répond pas, c’est ta punition.— Bien maîtresse…
Elle se dépêche de se rhabiller pour ne pas rater son prochain cours.
J’ai l’impression que l’après-midi passe encore plus lentement que d’habitude, j’ai vraiment hâte d’être ce soir.
Durant la pause, je lui envoie un message avec mon adresse en lui disant de venir tout de suite après les cours. Pour avoir le temps de me préparer, je décide de sécher mon dernier cours.
Quand j’arrive chez moi, je vois qu’il me reste 45 minutes avant qu’elle arrive. Je prends une douche et me maquille. Je choisis une tenue sexy pour l’occasion : une mini-jupe noire et un top rouge muni d’un décolleté plongeant ainsi que des sous-vêtements en dentelle rouges.
Elle arrive pile à l’heure que j’avais prévue. Je l’invite à entrer avec un grand sourire.
— Ça fait plaisir de te revoir, entre.— Merci.— Merci qui ?— Merci, maîtresse.— Ça ira pour cette fois-ci mais fais attention.— Bien maîtresse.
Je l’amène au salon et lui dis de s’asseoir dans le canapé. Quand j’amène de quoi boire, elle m’interpelle :
— Vous êtes très jolie maîtresse.— Merci, lui dis-je.— Qu’est-ce qu’on va faire ce soir ?— Tu le découvriras bien assez tôt, ne t’inquiète pas.
Nous finissons tranquillement nos boissons en racontant nos vies respectives. Elle vit à quelques pâtés de maisons de chez moi, dans un petit appartement moderne. Elle est aussi étudiante en sociologie et paie son loyer en travaillant dans un bar le week-end.
— Maintenant, fais-moi un strip-tease !
La soudaineté et la fermeté de mon ordre la font sursauter.
— A vos ordres, maîtresse, me répond-elle avec un sourire.
Elle a l’air de prendre goût à la soumission et elle a tout autant envie que moi d’accélérer les évènements.
Émilie se lève et se place au milieu du salon. Je démarre une musique sensuelle et elle commence à onduler au rythme de celle-ci.
Elle enlève d’abord son t-shirt bleu clair et le lance sur le canapé. Ensuite, toujours en se dandinant, elle retire ses chaussures et les met de côté.
Pendant ce temps, je me suis déshabillée et je commence à me masser les seins.
Elle descend lentement la fermeture Éclair de sa jupe puis la fait tomber à ses chevilles. D’un coup de pied, elle l’envoie à l’autre bout de la pièce. Ma soumise est maintenant nue devant moi, à nouveau.
— Maintenant, fais-moi jouir. Si je suis satisfaite, peut-être que je te rendrai la pareille.
Je m’avance dans le canapé et écarte bien les jambes afin qu’elle ait un accès total à mon intimité puis lui fais signe d’approcher. Avec un sourire coquin, elle vient, place sa tête entre mes cuisses et commence un cunnilingus. Sa langue lèche tout mon sexe, du clitoris au périnée, elle n’oublie aucun recoin. Ce traitement commence à me faire mouiller. Elle continue en allongeant sa langue le plus possible et en la glissant dans mon vagin. Elle la fait bouger dans tous les sens à l’intérieur.
Une fois que mon trou est bien lubrifié, Émilie y insère directement deux doigts ce qui m’arrache un petit cri, puis je commence à gémir. Les sensations que me procurent ses mouvements sont incroyables. Elle fait des va-et-vient énergiques en pliant ses doigts afin d’atteindre mon point G. Mes gémissements augmentent en même temps que la vitesse de sa pénétration.
Maintenant, sa langue titille mon clitoris pendant que trois de ses doigts sont dans ma grotte. Le plaisir monte rapidement. Je ne vais plus tenir longtemps.
Mes gémissements se transforment progressivement en cris quand ma soumise mordille mon clitoris en jouant avec mon point G.
Le plaisir est à son paroxysme, je vais exploser. Quand elle le sent, elle accélère encore la cadence. Tous mes muscles se contractent et je pousse un râle de plaisir. Une série de spasmes me traverse en arrosant de cyprine le visage de ma soumise à chaque contraction. Quand je suis calmée, elle vient m’embrasser goulument afin que je puisse aussi gouter mon jus, c’est délicieux.
— Comme tu t’es bien occupée de moi, je vais te récompenser. Couche-toi sur le canapé !
Je vais dans ma chambre afin de prendre un gros gode et un bandeau que je cache derrière mon dos. Quand je reviens, elle est installée dans le canapé, son sexe offert à mes caresses.
— Ferme les yeux, lui ordonné-je.
Elle s’exécute et je lui passe le bandeau autour de la tête. Ensuite, je me place devant son intimité. Comme elle dégouline déjà de cyprine, je décide de passer directement aux choses sérieuses. Je présente le gode à l’entrée de son vagin et le glisse lentement à l’intérieur, jusqu’à toucher le fond. Elle l’accueille sans problèmes avec un grand souffle de plaisir, elle doit avoir l’habitude des gros objets. Je commence à faire des va-et-vient en accélérant progressivement et en le sortant de plus en plus.
En même temps, je lui suce le clitoris. Sa réaction est immédiate, elle gémit plus fort et bouge au rythme des coups de gode. En peu de temps, son sexe est inondé et elle ne retient plus ses cris. Quand je sens qu’elle va partir, j’accélère encore ma pénétration et je branle énergiquement son clito avec mon autre main. Elle jouit dans un concert de cris et sa cyprine déborde sur le canapé. Je laisse le gode au fond de sa chatte jusqu’à ce qu’elle se calme puis je le lui mets dans la bouche. Comme ma soumise a encore le bandeau, elle est surprise et manque de s’étouffer. Elle nettoie le jouet puis je l’embrasse avant de lui retirer son bandeau.
Elle me remercie.
Nous nous rhabillons puis elle rentre chez elle, avec ses sous-vêtements. Cette aventure ne fait que commencer et je sens qu’on va bien s’amuser.
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