Voici le récit du tout premier amant d’Anaël (voir Anaël et la grosse queue noire), c’est un peu grâce à Benny que elle est devenue une petite salope! Ca y est! C’est fait! Je n’y croyais plus! Comme je l’ai attendu ce moment où je passerais de l’adolescent boutonneux à celui de jeune homme radieux et sûr de lui. Hourra je ne suis plus puceau! Il aura fallu le temps. Enfin par rapport à mes potes en tout cas. Je désespérais.Déjà me présenter un peu. Benny, 20 ans, 1m75 pour 73 kg. Brun et plutôt gâté par madame Pilosité (mais je me soigne!). Sans fausse modestie, je peux affirmer que je ne suis pas trop mal, merci à mes yeux bleus et à mes fossettes! Mais mon problème, le vrai, qui m’a fait rester inactif si longtemps, bah c’est que j’ai un balai dans le cul, surtout avec les nanas!! Dès que je sens qu’il y a une ouverture, tout en moi se rétracte... au grand désespoir de mes 20 cm! Alors, bien sur, je raconte des bobards à mes potes: officiellement je suis un sacré queutard... officieusement, c’est ma main droite ma plus grande maîtresse, la seule d’ailleurs.Enfin bref, venons en aux choses sérieuses. Nous voici le soir du nouvel an 2004, méga fête dans la maison de mon meilleur ami, l’alcool coule à flots, la musique est à fond, les filles sont brûlantes! J’avoue être attiré pas la plupart d’entre elles, et, dès que vient les danses collées serrées, je dois faire un effort monstre pour ne pas laisser paraître mon état d’excitation (ça la fout mal le coup du "oh c’est ton portable que je sens?"). Dans le lot, il y en a une qui me fait particulièrement de l’effet, et ça ne date pas d’hier, ça fait un bail que je craque pour Anaël. Mais voilà, c’est ma meilleure amie, dur dur d’oser quoique ce soit! Elle est un peu plus petite que moi, les cheveux d’un rouge flamboyant, de magnifiques yeux verts bordés de noir, et avec des formes très généreuses! Rien à voir avec les squelettes ambulants surnommés parfois "canons de beauté". Mon Ana, elle, elle a de bonnes fesses, et une paire de nichons... Mon Dieu! Un bon 95D, le rêve! Son caractère m’attire autant qu’elle, ce côté fausse grande gueule, genre "je me laisse pas faire", mais qui est inconsolable à chaque rediffusion de Titanic. Elle est étonnamment souriante, et elle a le coeur sur la main. Elle a toujours été là pour moi. Elle me fait fondre! Il n’y a jamais rien eu entre nous, mais ce soir tout a brusquement basculé, un rêve! L’alcool aidant sans doute, nous avons commencé à nous rapproché sur le dancefloor. Quelques mains se sont baladées un peu partout, et, oh surprise, c’était surtout ses mains à elle qui descendaient inexorablement vers mes fesses, avec un clin d’oeil complice. "-alors c’est qui qui porte la culotte beauté?! A t’elle dit, explosant de rire une seconde après. Ah j’adore son humour! Aïe aïe aïe, il n’y a pas que moi qui suis sensible à son contact, je sens que mon petit pépère est au taquet aussi, je bande tellement que j’ai l’impression que ma braguette va sauter. Je crois qu’elle l’a remarqué, oui j’en suis sûr. Mais son petit regard espiègle me persuade qu’elle en est plus flattée que choquée. Après des heures de danse et de beuverie, au petit matin, vient le temps de déterminer qui dormira avec qui. Entre ceux qui ce sont écroulés plus tôt, les couples qui se sont éclipsés, et ceux qui ont tenu à prendre la voiture, il ne restait plus trop de doutes. J’allais partager la chambre du sous sol avec ma belle amie. Ni une ni deux, je me retrouve en calbute à ses côtés sous les couvertures. Je suis sur le ventre le temps qu’elle éteigne la lumière, pendant la danse ça va, mais dans un lit, j’ai peur de la mettre mal à l’aise si elle me voit en rut. Elle a commencé à me poser des questions sur la soirée, elle devait être encore un peu sous l’effet de l’alcool, moi aussi, tout était étrangement parfait. Peu à peu je la sens se rapprocher, encore et encore, plus près. Oh son odeur, ses grands yeux verts, je défaille! Elle m’a alors murmuré: -Tu sais, Ben, je suis contente d’avoir passé le cap de cette nouvelles année avec toi. - Moi aussi je suis content de t’avoir prés de moi, repondis je. Et, dans un sursaut de confiance je rajoute: -Tu sais que tu sens très bon?Elle part dans un grand rire. - Qu’est-ce que tu racontes?! J’ai dansé toute la nuit, je dois puer la clope, l’alcool et la transpiration! Que tu es bête!Ahhh ce côté nature, j’adore!! - Ana, tu sens très bon, j’apprécie beaucoup. -Ah oui? M’a t’elle répondu après un petit blanc. Je m’en doutais vue comme tu bandes!Argh! Elle l’avait donc remarqué? Quel con, mais quel con! Je suis grillé! Fini mon amitié avec elle, elle va se foutre de moi et le raconter aux autres... je suis un con! Mais... mais... j’hallucine. La voilà qui dépose doucement sa main sur mon caleçon, juste sur mon sexe gonflé de plaisir. Ca voudrait dire que...? - Tu me plais aussi, me sussure t’elle à l’oreille.Elle tourne un peu sa tête et m’embrasse, pas un petit bécot, elle me mange littéralement la bouche, je réponds avec quelques coups de langue, j’improvise dans son cou (ben quoi? Je vous rappelle que c’est ma 1ère fois!). Elle continue à frotter lentement sa main sur ma bosse. Comme c’est bon. Dans l’action je lui passe une main sous son t-shirt et constate avec délice qu’elle n’a plus son soutien-gorge. Quelle poitrine! Si douce, si sensible. Je joue avec ses mamelons qui durcissent rapidement. -Mmmmm.... Elle respire de plus en plus fort.
Ca y est, elle s’est décide à passer sous mon calbute. elle empoigne mon sexe avec délicatesse mais assurance et commence à me branler. Quel extase! Mon coeur bat à mille à l’heure, le sien aussi d’ailleurs. Je me reprends, c’est pas le moment de flancher! Tout en embrassant, léchant, titillant son incroyable poitrine, je descends ma main le long de son petit vendre rebondis, j’arrive à l’élastique de sa culotte (madame ne voulait pas dormir en jeans!). Je le soulève délicatement, j’arrive à sa toison fine et... humide. Mon index s’y fraie un chemin le long de sa délicieuse fente. elle se contracte, je l’apaise d’un baiser. -Tout va bien ma belle. -Ben, tu vas y aller doucement hein? -Ne t’inquiète pas, tu vas adorer!J’introduis alors un doigt au fond de sa belle chatte, puis un autre. Comme c’est étroit! Humide et étroit, je m’y sens de suite chez moi! Elle respire encore plus fort, sa main a cessé son aller-retour sur ma bite. Elle gémit quand j’entame un léger va et vient. -Oohh.... mmmmm... arrête, s’il te plaît arrête.Un peu surpris je lui demande sans arrêter ma besogne: -Tu veux réellement que j’arrête? -Je...je... oohhh... non continue! Elle reprend mon sexe en main tandis que j’accélère le mouvement. Je l’embrasse, je lèche ses seins, les mordille. J’ai l’impression que ma queue va exploser! Mais, brusquement, elle arrête de me branler. -Que fais-tu? -laisse moi faire, repond-elleElle se relève, je vois dans la pénombre qu’elle se met à quatre pattes de parts et d’autres de mes jambes et récupère ma bite... Puis elle rapproche son visage et commence à donner des petits coups de langue sur mon gland. Comme c’est bon! Puis, continuant dans sa lancée, elle pose ses lèvres et entame une pipe royale, aspirant, léchant, embrassant ma queue qui n’en peut plus de ce traitement. -Oh oui comme c’est bon Anaaaa, oui suce moi, j’aime ça, suce chérie!Et la voilà qui me pompe de plus belle, s’aidant de sa main pour branler le reste de ce qu’elle ne peut gober. Mes pieds ont quitté terre, je me déconnecte complètement du reste du monde, le plaisir est intense, il m’enveloppe de partout. Je n’en peux plus, le dénouement est proche! -Anaël arrête! Arrête! Je vais venir ooooh!Mais elle n’arrete pas, elle accelère encore et toujours. -Arreeeeeeeeete oooooooooooooooooooh Et dans une ultime contraction, je gicle ma semence sur la main de ma compagne, celle-ci ayant ôté sa tête de justesse. Quel pied! Jamais connu ça auparavant! Le paradis! -Tu as aimé. Dit-elle en se glissant au creux de mon épaule. -C’était absolument extra! je n’en reviens pas!Je me sens vidé de toute mon énergie, durant quelques minutes nous restons allongés l’un contre l’autre, moi reprenant mes esprits. Puis je lui dis: -Maintenant à moi de te faire jouir!Et me voilà la tête entre ses cuisses, goûtant à une chatte pour la première fois. Grâce à mes séances de visionnage de vidéos X, je sais à peu prés comment m’y prendre. D’abord des coups de langue lents puis rapide sur son clitoris, puis à l’entrée du vagin. Je la vois qui se crispe, elle agrippe les draps, elle souffle, gémis, me demande de ne pas m’arrêter. J’introduis à nouveau mes doigts, j’essaie même un troisième laborieusement. Son bassin se soulève, elle se contracte, prend ma tête et la pousse plus loin entre ses jambes. -Ohhh ouiiiiiiiiiii ooh! J’aime ça! Encore!!! Elle prend son pied grave! Ses gémissements ont donné à ma bite une nouvelle jeunesse, elle a repris de la vigueur. Il est temps de passer aux choses serieuses! Je me relève et ayant mon bassin entre ses cuisses, mon gland à l’orée de sa chatte. -Non attends, crie t’elle, me repoussant. -Ben quoi? Dis-je, surpris. -Il nous faut une capote Benny! -Merde c’est vrai!!Je saute du lit et court jusqu’à mon sac. Putain, faites que je la trouve! Je vais pas rater ma 1ere baise pour une histoire de capote bordel! Ouuuuf trouvée!Chris s’est assise, je lui tends le préservatif et, delicatement, avec l’aide de ses lèvres, elle me l’enfile, cette vision me fait bander plus fort encore. Comme si ma queue allait finir par se détacher! Je retourne sur le lit, à genoux, et la pousse en arrière. Au moment où je lui écarte à nouveau les jambes, elle me supplie d’une petite voix: -Vas y doucement d’accord? -Oh ne me dit pas que c’est ta première baise?! répondis-je en rigolant. - Ben... si... - Heiiiiiiiiin? Tu te fous de moi? Tu suces comme une pro!!Je suis attéré! -N’empêche que tu vas être le 1er à me la rentrer, murmurre t’elle, de plus en plus inquiète.Oh putain! Je vais me taper une pucelle! Oh quel pied! Je vais inaugurer le passage! Je n’aurais pu fantasmer mieux! -T’inquiétes poulette, tu vas te souvenir de moi!! J’en peux plus d’excitation, faut que je la baise maintenant, elle va aimer, je le sais! Je vais la faire hurler de plaisir cette garce! Elle ne sait pas que je n’ai pas d’experience, faut pas que je me fasse griller, je vais la prendre comme un acteur de film de cul! Je lui écarte les cuisses avec assurance et j’approche mon gland à l’entrée de sa chatte, je pousse légèrement puis plus fort. Elle ferme fort les yeux.. merde, ca ne passe pas. Elle doit avoir peur. Faut que j’arrange ça. Je me couche sur elle et l’embrasse langoureusement. -Je vais y aller doucement promis ma douce. Je reprends un petit cunni rapide histoire de la réhumidifier. Et Hop, nouvelle tentative.Je force, je pousse, ça doit rentrer! Allez! Aprés quelques instants, le gland passe enfin. Elle a un râle de surprise. -aaaaaaaaaaaah!Je pousse encore, et encore, je vois ma queue être engloutie petit à petit, centimètres par centimètres. C’est booooon, je gémis de plaisir, c’est si chaud, si serré à l’interieur, quelle sensation terrible!Puis je sens une resistance. Je regarde le visage de Chris, espérant son approbation, qu’elle me donne d’un petit hochement de tête. Hop, un coup net et je suuis passé! -Aaaaaaaaaaaaaaaah! Hurle t’elle -Tu as mal? -Aaahh oui... mais... ça va aller, continue.Ne me faisant pas prier, je commence le va et vient. Je sens les portes du paradis à quelques mètres de moi. Je la laboure doucement d’abord, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. -Ouiiiiiiiiii oh ouui c’est bon! Ohhhhhhhhhh!Elle n’a plus mal, ses gémissements me poussent à aller plus fort encore, je soulève son bassin, passe ses jambes sur mes épaules et accélère encore la cadence. Mon double décimètre est entièrement rentré, je la baise jusqu’à la garde! -Ouiiii ouiii encore! Ohhhh baise moi plus fort! Prends moi comme une chienne!!! OOOOOooooooooooooooh! Plus vite! Me supplie t’elle.Je la défonce, sa tête tape presque contre le mur, le lit menace de se dérober, je ne contrôle plus rien, ma bite dirige tout. Je la saute comme un étalon sa jument. Elle crie, je crie. Elle hurle, je grogne. J’entrevois l’orgasme utlime, je me sens au bord de l’éclatement. Elle me hurle: -Je viens oooh je viens, t’arrete paaaaaaaaaaas hooooooooooooo!!Et dans un dernier effort, je plante ma queue au fond de son trou et gicle comme jamais dans un râle puissant. Je m’effondre sur elle d’épuisement, de bonheur. Nos respiration sont saccadées. J’ai du mal à comprendre où je suis, ce que je fais là, je suis ailleurs. Nos corps dégoulinants de sueurs, les yeux fermés par l’extase, la queue toujours plantée en elle, je l’embrasse tendrement dans le cou. -Quelle soirée! Me glisse t’elle, encore essoufflée -La meilleure de ma vie! Bonne année!
