Michèle était une gourmande, pleine d’entrain. On se fit un échange de caresse et de baiser pendant un long moment, j’avais besoin de souffler après un échange pareil. Nous étions sur tous les deux sur le lit, je caressais sa peau douce, j’embrassais ses lèvres pulpeuses, ses mains me parcouraient partout. Un grand moment de tendresse, je sentais son cœur battre encore la chamade, elle avait pris un pied d’enfer, et je savais que la soirée était loin d’être finie.Ma bouche descendit le long de son cou, je la mordillais doucement, parcourant la surface de sa peau, je voulais la déguster, elle avait une saveur enivrante. Sa grosse poitrine était un régal, je tétais avec passion ses extrémités bien durs. Je faisais passer ses tétons entre mes dents pour les aspirer et les mordiller. J’avais compris que c’était un point sensible important chez elle, et je m’en privais pas de lui provoquer à nouveau un besoin de se faire baiser comme elle aime, c’est à dire comme une bonne salope. Mais je me suis demandé ce que faisait ma femme, et la curiosité me pris, et je lui proposais donc d’aller retrouver nos conjoints, histoire de voir ce qu’ils faisaient. Son regard s’illumina, je savais qu’elle voulait goûter à l’abricot de Valérie, les femmes lui plaisaient beaucoup, encore plus la mienne qui l’avait titiller dans le parking à notre premier rendez-vous. On se leva donc, et tout en s’embrassant, ma main sur ses fesses, la sienne me prenant la queue comme une laisse,pour me guider, on se dirigea vers la salle de bain. On arriva doucement pour ne pas déranger et découvrir comment ils passaient leur temps.La porte était ouverte, on glissa nos têtes et le spectacle était magnifique; Valérie était assise sur le rebord de la baignoire, au bout, les jambes écartées en grand, les pieds posés sur les cotés. Son amant à genoux dans l’eau, la tête entre ses cuisses, lui bouffant le minou. Elle lui tenait la tête en gémissant, en le suppliant de continuer encore, encore, vas- y , c’est bon... Il avait une main vers sa chatte, il lui enfonçait deux doigts tout en suçant son clito. Je sais qu’elle aime trop ça, et qu’elle peut avoir des orgasmes très fort quand je lui fais ça. Elle était belle, je l’aimais encore plus fort de la voir ainsi, ma femme que j’aimais se faisait bouffer la chatte par un mec sous mon nez, et ma réaction était toute simple, je me suis mis à bander à nouveau très fort. On entra avec Michèle doucement, pour profiter de plus près de ce spectacle, tout en nous caressant tendrement. je glissais ma main entre les jambes, elle écarta directement les cuisses pour que ma main trouve le chemin de sa vulve. Ma femme me regardais avec un regard de salope qui prend un pied fantastique. Elle aurait raté ça pour rien au monde. On se matait, elle me voyait caresser la chatte à ma partenaire, elle entrouvrait les lèvres, je la sentais monter en extase petit à petit, Michèle me quitta et s’approcha de ma femme. Dans un élan sensuel, elle lui prit la bouche, glissa sa langue dans la sienne et lui prit le visage à deux mains. Son mari s’arrêta quelques instants pour les voir ses bouffer ainsi. Le baiser devint vite langoureux, leurs mains maintenant parcouraient les seins de l’autre, Eric replongea de plus belle entre ses petites lèvres pour aspirer son clito en lui mettant plus de doigts encore. Je la voyais remuer du bassin, on entendait le clapotement de l’eau. L’ambiance était chaude à point. Michèle lui léchait les tétons, les mordillait, lui complimentait sa beauté, lui expliquait comment elle l’excitait depuis la première fois qu’elle l’avait vu. Je regardais ce spectacle avec ferveur, je bandais fort ,et je caressais ma queue doucement, une envie de la prendre ma femme m’envahi, mais je préférais la voir être le jouet de ce couple déchaîné. Tout un coup, je la vis se crisper, se mettre à gémir plus fort, quand elle jouit, elle ressent ça très profondément, elle perd le contrôle de son corps à ce moment là, et laisse libre court à son plaisir. Je la vis prendre par les cheveux, Eric pour qu’il soit plus rapide et plus pressant tandis que son autre main pinçait le tétons de Michèle qui lui demandait encore plus fort. Ça montait de plus en plus, son jus coulait dans la bouche de son baiseur, elle se lâchait, elle avait la bouche ouverte et les yeux à demi clos. D’un coup un long râle sorti de sa gorge et elle se cambra à la limite de perdre l’équilibre. De nombreux spasmes la parcouraient, et je voyais Eric la doigter fortement avec 3 doigts. Son bassin était secoué de convulsions et elle prenait un pied de fou. N’en pouvant plus, elle lança un cri de plaisir, comme rarement je l’ai entendu faire. OHHHH c’est bon, c’est trop bon, vas- y, encore. Je m’approcha à ce moment là pour lui caresser le visage, et lui poser ma bouche sur la sienne. Elle sentit ainsi trois personnes s’occuper d’elle, jamais elle avait connu ça. L’effet fut immédiat, un second orgasme la prit, sous nos caresses et nos baisers. Enfin elle reprit ses esprits, et son partenaire se releva, la queue bien droite, avec un petit sourire en coin en me regardant d’avoir fait jouir ma femme si fort. Je lui rendis son sourire, il savait bien s’y prendre le salaud, il venait de la faire jouir et je le gratifiais d’un sourire de satisfaction. Aucune jalousie à ce moment là, je trouvais ça excitant, je voyais ma femme se câliner avec une autre femme, une queue dresser devant elle, et ça me faisait bander. Je compris à ce moment là le bien fondé de l’échangisme. Et j’en voulais encore, et je savais pertinemment que ma femme allait en redemander, car on a jamais eu de problème avec le sexe, au contraire, à chaque fois, on explorait un nouveau terrain. Ils sortirent de la baignoire, et il enfila mon peignoir, je sentis un truc bizarre de le voir ainsi vêtu, ma femme vint m’embrasser en se lovant contre moi, et me dit combien elle avait pris son pied, que c’était un bon baiseur. Je lui dis, oui j’ai remarqué, et la soirée ne fait que commencer, elle me répondit par un baiser amoureux. On retourna tous dans le salon en riant, en plaisantant, nous caressant mutuellement. Des allusions, des sourires, Eric s’approcha de moi, et me glissa à l’oreille, "ta femme est une sacré salope, elle suce divinement bien",. Ma réponse fut que la sienne savait aussi très bien s’y prendre, et là, il me dit, je suis meilleur qu’elle tout en me défiant du regard. Je soutins son regard, et après quelques secondes d’hésitation, je lui répondis " à voir". Je savais que je venais d’ouvrir une porte et que j’allais devoir assumer, car sans aucun doute, il n’y avait pas que sa femme qui était bi, souvent quand on faisait l’amour, je lui susurrais à l’oreille une baise que j’aurai avec un homme. Ça n’y manquait pas, direct son fantasme prenait le dessus et elle prenait un pied d’enfer. Donc ce soir, je pense que j’allais lui réaliser son fantasme, du moins j’allais essayer, car où allais-je m’arrêter?
