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Premier émoi bi (??)

Chapitre 2

Gay
Le lendemain, le Combi de Roger était toujours à la même place.
Manifestement il est avec un copain : un gars bien bâti et bronzé de type africain du nord ! Ils sont allongés sur une grande serviette-éponge, côte à côte, et semblent somnoler …
Je prends soin de contourner le véhicule et de m’en éloigner un peu tout en gardant le « couple » dans mon champ de vision.Au bout de quelques minutes, Roger prend son copain par les épaules et lui dit quelque chose à l’oreille. Ce dernier se retourne sur le dos et je peux apercevoir son slip de bain gonflé par un sexe de belle taille. Nonchalamment, Roger descend sa main jusqu’au nombril de son ami mais s’arrête avant la taille du maillot de bain car en Espagne la « guardia civil » ne plaisante pas avec les choses du sexe ! Sa main effleure néanmoins rapidement le slip de son ami puis ils échangent quelques mots et Roger rentre dans le Combi, rapidement suivi par son copain ….
La serviette restant en place me laisse supposer qu’ils vont bientôt ressortir !Les minutes passent et je suis de plus en plus intrigué : que font-ils donc ? La curiosité fait que je me rapproche du camping-car et je me rends-compte que le véhicule tremble sur ses roues … J’imagine que Roger doit « s’occuper » du sexe de son copain qui avait déjà l’air bien excité il y a quelques minutes ! Je repense à la façon dont Roger m’a branlé hier et a réussi à me faire juter en 2 temps, 3 mouvements ! Bon, c’est sûr que son copain semble plus âgé que moi et qu’il doit être habitué aux caresses de Roger. Les tremblements du Combi sont de plus en plus perceptibles et j’entends des gémissements sourds qui me font penser que Roger doit branler ou sucer son ami … Ça m’excite énormément ! Je commence à bander comme un âne et je suis contraint à aller me tremper dans l’eau afin de ne pas me retrouver avec une auréole suspecte sur le devant de mon short de bains ! Je nage un petit moment, le temps que ma queue reprenne un volume acceptable et que je puisse regagner mon poste d’observation. Je sors de l’eau ,et là, Roger sort juste du Combi, rouge comme une tomate, et me dit « Tiens, te revoilà toi. Tu es parti bien vite hier : tu as eu peur de moi ou quoi ? » Moi « non, mais il fallait que je rentre, voilà tout ». « Tu n’est pas bien curieux pour quelqu’un qui m’a joui dans la main en 4 ou 5 allers-retours. Tu as l’air d’aimer ça et j’aurais bien aimé te montrer plus qu’une branlette, » Comme je ne réponds rien, il me dit « je suis avec Angel, un copain de Barcelone qui est un bon baiseur. Lui, il lui faut bien un quart d’heure avant qu’il jouisse.
D’ailleurs, je viens de le faire décharger et il est en train de faire sa toilette car il en a foutu partout ! » Je suis gêné mais je continue à écouter Roger, paralysé/intéressé par ce qu’il me raconte … Lui « Viens, rentrons dans mon fourgon, on y sera mieux pour parler » J’esquisse un mouvement de recul mais il rajoute « Tu verras, Angel a joui mais il ne te fera rien et moi, je te dirai ce que je peux t’apprendre uniquement si tu le veux. Tu n’as rien à craindre ». Subrepticement, il m’a attrapé le poignet et me tire sans effort vers la porte entrouverte du Combi. Comme si j’étais hypnotisé, je le suis sans opposer la moindre résistance ! Je me retrouve donc dans l’espace chaud et confiné du WW … « Je te présente Angel … et toi, c’est comment ?? » « J-P. ». Roger demande à Angel « Tu vas te doucher ». « Oui, je vais à la douche municipale ». Roger : « Prends ton temps » Un petit sourire sur les lèvres d’Angel me fait deviner qu’il comprend les intentions de Roger et il sort du Combi vêtu d’un simple short et emportant une savonnette !
Là, les choses deviennent sérieuses : je suis seul avec Roger dans ce petit camping-car et je ressens à la fois un malaise et une excitation. Roger me dit en me montrant son entrejambes « Regarde l’état dans lequel je suis. Il va falloir que je me calme parce que je ne vais pas rester longtemps comme ça !’ ». Son slip de bain est effectivement tendu à bloc sur une queue que je devine assez imposante. Sans me dire quoi que ce soit, il m’attrape la main droite et la pose sur son entrejambes. Il appuie un peu dessus en me disant à l’oreille : « tu as déjà branlé un homme ? » Moi « Oui, mais c’était il y a longtemps. Un copain de Lycée ». Roger « Alors tu devrais arriver à me soulager, J-P. ».Ma main est toujours posée sur le tissu du slip de Roger mais ce dernier l’enlève en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire et mes doigts se retrouvent en contact de son chibre tendu et légèrement humide …. « Vas-y doucement, J-P. : fais durer ». Mu par un instinct de curiosité, je commence à caresser la grosse verge de Roger … Il gémit …. Mes doigts remontent vers le haut de son prépuce dont s’échappe un mince filet de pré-cum ! « Branle-moi doucement, l’ami ». Je commence alors un très lent va-et-vient de ma main sur sa tige tendue. Je la sens palpiter. Roger gémit, grogne et se laisse faire les yeux fermés. Il est manifestement dans un état second. Sa bite est devenue le centre du monde et il me laisse la manipuler parce que ça lui fait certainement un bien fou …. Alors, je la prends en main très doucement et je le décalotte : ça lui arrache un long gémissement … sa mouille coule maintenant sur mes doigts.
Il est ma chose pour l’instant … Je suis obnubilé par son sexe qui bave et je ne voudrais pas qu’il jute trop vite car je voudrais le faire bien jouir. Il faut que ça dure encore un bon moment …. Son souffle est de plus en plus court et pourtant je n’ai pas encore commencé à le branler vraiment. Il aime ça car il me dit « vas-y, J-P., continue, c’est bon .. » . Je commence donc à le décalotter-recalotter lentement en me focalisant sur son gland de plus en plus baveux …. Il râle de plaisir « continue, oui, comme ça, tu me fais jouir, salaud ! vas-y, oui ! » Sa queue est dure comme du béton mais son gland est souple et je le masse entre mes doigts gluants de sa pré-jute …. Je décide d’insister sur le frein « Oh putain, c’est Boooon, salaud. Fais durer ça ouiiiiiiii… ». Moi aussi je me suis mis à bander à mouiller. Il est temps que j’accélère les choses. Sans rien demander à Roger, je le branle à pleine main en allant de plus en plus vite. Le résultat ne se fait pas attendre. Il gémit comme un malade et, brutalement, me dit « je vais jouir ». Je poursuis au même rythme et Roger balance dans un long grognement 4 ou 5 giclées de sperme épais qui aboutissent sur son ventre et … ma main ! J’arrête donc ma branle car je sais par expérience que ça devient vite désagréable …. Roger reprend son souffle : « Putain, tu m’as bien fait jouir J-P., tu m’as vidé. ». Je ne réponds rien. Alors Roger se penche vers moi, m’attrape par la taille et tire mon sort de bains vers mes mollets. Ma bite tendue l’empêche d’y arriver. Il la repousse contre mon ventre pour y arriver, puis, sans rien me dire, il engloutit mon gland baveux dans sa bouche et commence à me sucer… Ç’en est trop : en 3 ou 4 pompées, je lui balance tout mon sperme en bouche en gémissant et il l’avale puis attend que ma queue ramollisse ! Je viens de me faire sucer par un mec et ça a été bon mais trop court ! Roger « t’aimes la queue, J-P., t’es un bon ». Moi « Angel va sans doute arriver, il faut que je m’en aille ».Roger « je comprends. Mais tu reviendras demain, hein ? » Moi « peut-être …. sans doute ».
Nous nous quittons rapidement et je sais que Roger a raison, j’aime la bite et il va peut-être m’apprendre à jouir de mieux en mieux !Vivement demain ….
A bientôt la suite, mes amis ?
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