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Premier emploi commercial

Chapitre 1

Les habits

Erotique
Sally était une blonde de taille moyenne, de 20 ans, avec une grosse poitrine qui la gênait parfois, lorsque les regards trop appuyés des hommes lui faisaient piquer un fart. Elle était en 2ème année de BTS action commerciale et comptait s’insérer rapidement dans le monde du travail. C’est pourquoi, aujourd’hui, elle se présentait à un entretien d’embauche, dans une moyenne entreprise qui vendait des photocopieurs connectés à internet.Elle avait rendez-vous avec Laurent, le chef du service commercial, un grand brun de 42 ans, qui avait une certaine prestance ainsi qu’un caractère autoritaire. Cependant cela était compensé par un certain savoir vivre, en bref de l’élégance qui mettait, comme on dit, de l’huile dans les rouages. Sally s’était habillée d’un tailleurs crème, assez classique, combiné avec un petit chandail rose décolleté, mais qui, somme toute, restait très sage. Elle avait mal dormi la nuit précédente, angoissée par ce rendez-vous professionnel, ce qui fait qu’elle avait les traits un peu tirés. Mais son léger maquillage et son naturel mignon lui conféraient un pouvoir de séduction conséquent, ce qu’elle ne réalisait pas vraiment.Sur un signe de la secrétaire, elle se présenta devant la porte du chef, toqua, et entra après le traditionnel « entrez » un peu fort qu’elle entendit. Sa première impression fut bonne, il avait l’air simple et sincère ; lui aussi fut séduit :
— Vous êtes magnifique, Mademoiselle, dit-il en conclusion de leur entretien, j’espère que nous ferons affaire ensemble, il me reste toutefois d’autres candidates à voir. Elle rougit légèrement et répondit « à bientôt peut-être ».
Elle lui avait parût très sensuelle, bien qu’un peu timide, mais cela allait avec son âge, pensa-t-il. Comme ses qualités professionnelles convenaient, c’est elle qu’il choisit. Elle commença le lundi suivant et le vendredi, elle était convoquée dans son bureau.
— Sally, vous semblez avoir toutes les compétences requises et nous l’avons constaté cette semaine. Vous ferez, je pense, carrière dans notre entreprise si tout se passe bien. Il y a cependant un point sur lequel je dois attirer votre attention. Vous évoluez dans un milieu féminin, je dirais même très féminin et il faut vous mettre au diapason.
Elle était en effet exclusivement entourée de femmes, qui de plus s’habillaient très sexy tout en étant distinguées.
— Vous êtes une superbe femme et vous devez vous mettre en valeur, disons…, plus qu’aujourd’hui. Cela fait partie des caractéristiques de mon service et cela explique nos performances qui sont supérieures à la moyenne.
Il se leva, contourna doucement son bureau, s’approcha d’elle, et lui frôlant les épaules, continua, les yeux dans les yeux :
— Une femme est comme une fusée, elle doit être parfaitement équilibrée et calibrée pour que ses performances soient optimales. Votre poitrine doit être mise en valeur, dit-il en caressant du bout des doigts son décolleté, « les fesses, de même » en passant derrière elle, « les jambes et les pieds avec des talons ». Il désignait de loin, d’un geste large, chaque partie avec légèreté et décontraction, ce qui chauffait les sens de la demoiselle. Sally avait été surprise de ce rapprochement car, même si elle avait remarqué les regards de Laurent, il était toujours resté distant.— Vous verrez avec ma secrétaire pour les détails, ajouta-t-il, elle est d’excellent conseil et vous pouvez lui faire autant confiance qu’à moi.
Troublée par cet affleurement soudain de sensualité, elle passa dans le bureau contigu où la secrétaire lui apprit qu’elles devaient se rendre ensemble dans les magasins pour compléter sa garde-robe et se conformer à la ligne du service.Le mercredi, Marie-Ange, la secrétaire, lui expliqua, tout en déambulant avec elle dans un grand magasin parisien :
— Pour les seins, sois tu mets un décolleté, sois une robe près du corps qui moule ta poitrine ; pour les fesses, il faut qu’on les devine sous ton vêtement ; pour les jambes – les tiennes sont superbes – bien évidemment des bas et pour les pieds, des talons mais pas n’importe lesquels, des sandales à talon, des stillettos, plutôt de la finesse en somme. Tous les matins en arrivant, pérécisa-t-elle, tu iras dire bonjour au chef et tu lui montreras ta tenue. Je te conseille d’avoir au bureau une paire de chaussures que le patron a aimé car la dernière fois que les chaussures de Claire ont déplu au chef, elle a dû travailler toute la journée pieds nus. Elle a dû prétexter qu’elle avait mal avec ses nouvelles chaussures, mais elle s’est fait remarquer partout où elle passait et le soir, elle avait la plante des pieds noire de crasse.
 Comme Sally imaginait la scène, elle sentit un pincement intérieur et trouva que le chef exagérait. Mais elle appréciait son job et trouva normal de respecter les consignes.
— Tiens, essaye cette robe, lui dit Marie-Ange, je pense qu’elle t’ira bien. En la passant, Sally eu du mal à l’ajuster : elle arrivait un peu haut à mi-cuisses mais quand Sally la tira vers le bas le décolleté découvrit les tétons. Cette robe était à la limite de la décence et Sally n’osait pas sortir de la cabine d’essayage.— Alors, ça va ? interrogea sa collègue.— Eu…
Marie-Ange écarta le rideau, un peu énervée :
— Fais-pas ta mijaurée, c’est un peu plus court que ce que tu portes d’habitude mais il faudra s’y faire, le patron est exigeant, viens par là qu’on te voit complètement.
Et elle la tira doucement hors de la cabine.
— Très bien, c’est ce qu’il faut pour le service, tu verras, tes clients seront contents, dit-elle en la faisant tourner sur elle-même. Par contre ta culotte est visible, enlève-la, ça fait vulgaire.
N’osant trop rien dire, Sally entra à nouveau dans la cabine et descendit sa culotte. Lorsqu’elle ressortit, elle eut l’impression d’être nue, cette robe découvrait plus qu’à l’accoutumée ses attraits et l’absence de dessous la troublait, elle sentit l’humidité de son sexe exposé aux courants d’air.
— Parfait ! approuva Marie-Ange, il faut te dire aussi que la tradition dans le service veut qu’on ne porte pas de culotte, cela augmente la féminité, tu n’en remets pas jusqu’à ce soir, donne-la-moi, commanda-t-elle.
Ecarlate, Sally dû lui confier la pièce incriminée et continuer les essayages cul nu.
— C’est une question d’habitude, fit remarquer sa collègue, je n’en porte plus depuis des années et je n’y fais plus attention, dit-elle en remontant sa jupe à l’intention de Sally. Celle-ci vit bien que c’était vrai quand elle aperçut le sexe épilé de sa collègue. Le soutien-gorge, tu devras parfois l’enlever, surtout avec des robes près du corps, c’est un atout que tu dois travailler.
Elles trouvèrent plusieurs robes et ensembles dans la ligne de ce que souhaitait le chef. Puis elles se rendirent dans une boutique de lingerie, où Sally se sentit un peu exposée sans ses dessous. Elle resta à l’abri dans la cabine et passa plusieurs ensembles bas et porte-jarretelles et bas autofixants. Elle se voyait presque nue à faire des essayages et cela l’étonnait, elle trouva même cela agréable, au bout d’un moment, quand elle fut interrompue.
— Viens voir cette lingerie, ordonna Marie-Ange, à quelques mètres de la cabine.
Sally resta figée à l’intérieur de la cabine, elle ne pouvait pas s’exposer ainsi, seulement vêtue de son haut, de bas autofixants et de stillettos.
— Viens, explosa, Marie-Ange en la tirant à l’extérieur, on n’a pas le temps pour de la pudeur superflue et elle lui montra plusieurs bas blancs avec des motifs particuliers. Le rouge aux joues, Sally dû la suivre et faire comme si tout allait bien. Qu’est-ce que tu préfères ? lui demanda sa collègue.— Ceux-là, je crois, dit vite Sally, qui se dépêchât de retourner à l’abri des regards.
Après ces achats, il fallut trouver des chaussures à talons dignes d’être portées et là Sally pris du plaisir à défiler : les talons accentuaient la cambrure de sa silhouette et faisaient ressortir sa féminité, elle avait gardé les bas achetés et elle était superbe. La vendeuse elle-même, bien qu’hétérosexuelle, la complimenta et plusieurs hommes présents dans la boutique regardaient avec envie ses jambes effilées serties de stillettos pointus.De retour chez elle, Sally ne put résister au plaisir de réessayer tous ses ensembles, cherchant à trouver l’harmonie des couleurs et des formes. Elle sentait avec plaisir sa féminité s’épanouir même si cela forçait un peu ses repères moraux, qui, il est vrai, dataient de sa pension bien-pensante. Elle se caressa dans la soirée, toute émoustillée des évènements de la journée, et s’endormit après avoir joui plusieurs fois à l’aide de ses joujoux.Le lendemain, elle se présenta au travail habillée de neuf et elle ne jura plus parmi ses collègues. Elle se sentait intégrée et en même temps très sexy. Elle eut juste un pincement au cœur en s’habillant quand elle dû stopper son geste d’enfiler une culotte et la reposer.
— Bienvenue au club, lui dit Emeline avec un clin d’œil, quand elle arriva dans ses nouveaux habits.
Comme préconisé, elle se présenta dès le matin à l’examen de Laurent qui la fit tourner sur elle-même, lui fit faire des vas et viens comme un mannequin et déclara :
— Parfait, vous êtes vraiment l’incarnation de la beauté féminine, ce qui la fit rosir de plaisir. Maintenant montrez-moi que vous avez suivi toutes les consignes, relevez votre jupe, dit-il avec naturel et une pointe d’autorité. Elle s’exécuta en détournant le regard. Vous pouvez baisser la jupe, indiqua-t-il en s’approchant d’elle. Vous ne devez pas avoir honte de votre splendeur, il vous faut accepter toute votre féminité, lui souffla-t-il délicatement à l’oreille.
C’est vrai que depuis ce changement vestimentaire elle se vivait plus libre, plus regardée, plus convoitée, moins étriquée. Sa libido en était d’ailleurs boostée, elle se faisait jouir plus souvent.
— Vous passerez chez l’esthéticienne recommanda-il, votre hygiène doit être impeccable maintenant que vous êtes plus libre. Voyez cela avec ma secrétaire.
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