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La première année en faculté de médecine du Mâle dominant

Chapitre 2

Changement de calibre

Orgie / Partouze
La première année en faculté de médecine du Mâle dominant. 2
Si vous êtes un (e) fan de mes histoires, Lucie vous a parlé d’un jeune étalon découvert chez Monsieur Paul et qu’elle l’avait retrouvé quelques années plus tard quand elle avait changé de gynéco.Relire « beau-papa fait mon éducation sexuelle et le jeune mâle dominant ».Cette histoire va conter sa première année en faculté de médecine.
— Ça ne va pas recommencer ! Je ne veux pas encore me mettre à dos tous les garçons de la faculté et devenir le point de mire de toutes les filles !
Qu’est-ce qu’il raconte ? Il se prend pour qui ? Nous nous regardons et décidons de l’entreprendre, car malgré ses dires, il ne bouge pas d’un poil et sort une phrase en latin.
— Aléa jacta est ! Mais à vos risques et périls.

Suite.Martine prend les mains de Claude et en glisse une sous son corsage et l’autre sous sa jupe pendant que Sandrine et moi nous chargeons de lui retirer son tee-shirt. Sa poitrine est aussi malingre que son visage quelconque avec ces quelques poils qui se battent en duel. Nous nous attelons à son pantalon, débouclant sa ceinture et déboutonnant sa braguette.Elisa et Evelyne viennent nous aider pour baisser son falzar et son slip noir déformé par une belle bosse sur le devant. Il respire un peu plus fort quand nous découvrons enfin son sexe.
Je suis un peu déçue, car la verge qui pend entre ses cuisses a pratiquement la même taille que celle d’Akim. Vu son physique, c’est déjà exceptionnel, mais je vais perdre mon pari.Martine a retiré son haut et lui fait téter sa magnifique poitrine. Il a relevé sa jupe et glissé une main entre ses cuisses, écartant la petite culotte de dentelle pour malaxer une chatte toute lisse. Martine mouille comme une folle quand il la doigte pendant qu’Elisa arrive à lui voler un baiser.Je sens quelque chose déjà bien dur bloqué sous ma poitrine, quand je baisse les yeux, je n’en reviens pas. Sa bite a pris du volume et de la rigidité. Je me recule un peu et sa verge jaillit à quelques centimètres de mon visage.
— Bon sang quelle queue ! s’exclame, ébahie, Elisa.— Ça, c’est de la teub ! surenchérit Evelyne.— Un vrai bout de bois ! souligne Sandrine qui s’est saisi du braquemart. Mais je défends mon bien.
— Eh les filles ! C’est moi qui l’ai choisi... Pas touche...

Un silence de mort s’est établi du côté des garçons.J’ai maintenant une belle verge bien droite et bien tendue. Je la branle un peu et je me penche pour lui faire une bonne pipe, posant délicatement un baiser sur le museau mafflu avant de me la fourrer dans la bouche et de la sucer avec enthousiasme. Sa queue sent bon. Ma bouche peut à peine contenir son gland et à mon grand étonnement, je sens sa verge encore grossir dans ma bouche.Il donne un léger coup de reins pour s’enfoncer dans ma gorge, mais je prends à deux mains sa hampe pour expulser ce monstre de ma bouche avant qu’il ne me fasse vomir.
— Ce n’est pas vrai ! Elle a encore grossi... Maintenant, elle fait dix centimètres de plus que celle d’Akim. Putain de merde, j’ai jamais vu une si grosse bite ! s’exclame Martine en se retournant vers les garçons tétanisés par l’apparition. Alors ! Vous disiez quoi tout à l’heure ?

Claude me tient la tête pour bien enfoncer sa queue au fond de ma gorge et j’adore ça, mais les filles se battent presque pour prendre ma place. Bonne fille, je passe mon tour et filme les filles s’exercer sur ce phallus d’exception. Il a déjà battu trois records, la taille, la rigidité, la résistance aux caresses et succions de cinq filles déchaînées. Il ne reste plus qu’à attendre pour savoir s’il va faire un vingt sur vingt.Nous nous escrimons presque dix minutes avant d’entendre enfin les paroles prémonitoires.
— Je vais jouir les filles... Gare à vous !— Pas dans les yeux, demande Elisa !— Et si tu pouvais éviter de m’en mettre dans les cheveux ! jette Evelyne.

Nous sommes toutes les cinq à genoux devant lui à attendre. Qui va-t-il honorer de sa liqueur ?Il se recule un peu pour se branler, même sa main fait à peine le tour de sa teub.
— Aaahhh ! Vous allez être surprises les filles !

Une goutte suinte sur son gland violacé suivie ensuite d’un jet formidable de foutre qui s’élève et passe au-dessus de nos têtes. Il dirige sa lance d’une main sûre. Les jets se suivent, interminables, et nous couvrent l’une après l’autre de son foutre épais. Je n’ai jamais vu ça ! Il y en a autant par terre que sur nous, nos cheveux, nos visages, nos habits sont constellés de son abondante jouissance.Les quatre mousquetaires, dégoûtés, quittent la salle, nous laissant avec d’Artagnan et sa rapière.
— Putain, quel mâle ! s’extasie Martine.— Comme queutard, il se pose là, Claude. Je comprends mieux ce qu’il a voulu dire tout à l’heure ! reconnaît Elisa.— Oui, ils sont partis la queue entre les jambes en voyant un tel exploit, c’est le cas de le dire ! annonce Martine.
Nous explosons de rire à sa remarque quand nous réalisons que Claude n’a pas débandé.J’attire leur attention en grommelant :
— Mais putain ! C’est qui ce mec ? — C’est vous qui l’avez voulu les filles ! Mais maintenant que vous avez commencé, il faut aller jusqu’au bout. Je vous ai dit que je suis libre jusqu’à midi et il n’est que 10h30...

Il ne doute pas de lui le petit con... Nous sommes cinq chaudasses à contenter. Il ne croit quand même pas nous sauter toutes ?Nos regards s’attardent sur cet endroit précis de l’anatomie de Claude où se dresse fièrement le membre énorme.
— Que vous arrive-t-il ? Vous n’avez jamais vu un homme qui bande ? Vous n’aimez pas ?— Oh mon Dieu, si ! Mais ça va me changer de celle de mon petit copain, lui explique Elisa...— Ah bon, sourit Claude, tu verras que tu vas apprécier.— Je n’en doute pas, mais la sienne est beaucoup plus petite.— Les joies de la découverte. Vous allez vous régaler.

A ce signal, il glisse ses mains dans les décolletés de deux filles pendant que d’autres touchent à nouveau son engin pour le masturber. Quand il pose ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser, je ne le repousse pas. Ce doux baiser est le coup d’envoi d’une partie de baise à la fac comme nous n’en avons pas encore connu.Nous retirons nos vêtements pour être plus à l’aise. Je m’assieds sur le coin d’un bureau et il repousse les autres filles pour se mettre entre mes cuisses. Je suis nue, excitée et impatiente de recevoir son engin. Il m’embrasse avec fougue et descend vers ma poitrine pour me bouffer les tétons tout durs. J’adore ça et mouille abondamment en me suçant les doigts.
Il me prend le con à pleine main et excite mon clitoris d’une main experte. Je me tends vers lui, le suppliant de ne pas arrêter. Sa main glisse entre mes fesses et cherche mon cul voulant y rentrer.Je n’ai jamais permis à quiconque de rentrer par là, mais je me laisse faire quand il introduit un doigt et me branle le fion.Mais les filles décident de se mêler à la partie. Martine le repousse et prend en main sa teub pour la diriger vers ma chatte que caresse Elisa. Evelyne et Sandrine se sont saisi chacune d’une de ses mains pour qu’il caresse leur chatte.
Elles se caressent les seins entre elles, tirant les bouts devenus énormes, s’arrachant des petits cris. Avec deux doigts, Claude décalotte les clitoris pour les doigter. Sandrine sort un gode de son sac pour se l’enfoncer dans le petit trou.
— Regardez comme elle bouge son cul cette salope, fait remarquer Evelyne.
Je ne sais plus où j’en suis depuis qu’il me fouille la rondelle, j’ai vraiment envie qu’il aille plus loin, je veux sentir sa queue au fond de ma chatte, même si j’ai un peu peur de sa grosseur.
A suivre...
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