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La première année en faculté de médecine du Mâle dominant

Chapitre 3

les écuyères chevauchent l'étalon

Orgie / Partouze
La première année en faculté de médecine du Mâle dominant. 3
Si vous êtes un(e) fan de mes histoires, Lucie vous a parlé d’un jeune étalon découvert chez Monsieur Paul et qu’elle l’avait retrouvé quelques années plus tard quand elle avait changé de gynéco.Relire « beau-papa fait mon éducation sexuelle et le jeune mâle dominant ».Cette histoire va conter sa première année en faculté de médecine.
Mais les filles décident de se mêler à la partie. Martine le repousse et prend en main sa teub pour la diriger vers ma chatte que caresse Elisa. Evelyne et Sandrine se sont saisi chacune d’une de ses mains pour qu’il caresse leur chatte.Elles se caressent les seins entre elles, tirant les bouts devenus énormes, s’arrachant des petits cris. Avec deux doigts, Claude décalotte les clitoris pour les doigter. Sandrine sort un gode de son sac pour se l’enfoncer dans le petit trou.
— Regardez comme elle bouge son cul cette salope, fait remarquer Evelyne.
Je ne sais plus où j’en suis depuis qu’il me fouille la rondelle, j’ai vraiment envie qu’il aille plus loin, je veux sentir sa queue au fond de ma chatte, même si j’ai un peu peur de sa grosseur.
Suite.Martine ne veut pas rester passive, elle attrape ses couilles et le force à me prendre. Le gland de Claude qui était bien positionné entre sans coup férir dans mon vagin. En sentant la chaleur de ma grotte qui entoure sa verge, il pousse instinctivement son bassin et me pénètre complètement. Je crie en le sentant s’enfoncer en moi, mais Elisa étouffe d’une main mes hurlements.Claude commence à aller et venir dans mon conduit étroit qui comprime son pénis. À chaque coup de reins, je gémis, jamais je n’ai ressenti un tel bonheur et je n’en reviens pas de supporter avec autant de plaisir cette matraque exceptionnelle.
— Ah !... Ahhhhh !... Tu me tues !... Oh ! Pas si fort, pas si vite. Je t’en prie. Oh, mon Dieu, que c’est bon !
Il accélère ses mouvements, sortant complètement sa queue pour me réinvestir de plus belle.
Mais comme tout à l’heure, les autres filles crèvent d’envie de s’envoyer un tel gourdin et quelques minutes après, Martine passe à l’attaque. Elle saisit le membre tendu et le force à quitter ma grotte trempée pour le parcourir de sa langue, lécher ses couilles. Elle approche sa bouche du phallus, touche des lèvres la chair à vif.Sa langue excite à petits coups le frein du gland violacé avant de la faire tournoyer sur le méat entrouvert, pointant le bout de sa langue dans la fente étroite, arrachant à Claude qui apprécie sa science, des gémissements puis enroule sa langue autour du gland avant d’ouvrir sa bouche en grand pour enfourner le bout de la verge.Excitée par l’odeur forte qui s’en dégage, elle suce le membre avec application, voulant lui faire décharger tout son foutre.
Mais Claude ne l’entend pas de cette oreille. Il la redresse, la repousse contre la porte et plaque ses mains dessus. Sa verge trouve sa cible sans coup férir et il la cloue avec son dard en une seule poussée.Le corps de Martine se tend comme un arc. Elle commence à pousser des râles de plaisir sous ses coups de boutoir.
— Je vais tellement te vider les couilles, que les autres devront se passer de ton jus !

Mais Claude en veut plus. Il la prend plusieurs fois. Il la fait asseoir sur lui, empalée sur sa teub avant de la prendre en levrette, lui faisant atteindre plusieurs fois l’orgasme. Mais elle se rebiffe quand il glisse une main entre les fesses, rentre un doigt dans sa vulve pour récupérer un peu de mouille avant de taquiner le petit Trou. Martine s’inquiète :
— Eh ! Tu ne vas pas m’enculer quand même ? Je n’ai jamais voulu par là... Eh puis, t’as vu comme t’es monté, tu vas me déchirer le cul !— Rassure-toi, j’irai doucement, la rassure Claude. Mais tu ne vas pas y couper. Tu verras, ce n’est pas si horrible et je vais bien graisser ta rosette.

Martine a peur, mais ne veut pas se dégonfler devant nous. Elle pose ses mains sur la porte, cambre ses reins pour offrir sa croupe à Claude qui appuie son gland à l’entrée du petit trou. Celui-ci se dilate sous la pression. Martine a une grimace de douleur quand le défonce-cul franchit la frontière. Il met les mains sur les hanches de Martine et pousse son avantage. Nous voyons, effrayées et émerveillées, disparaître la totalité du braquemart entre ses reins. Elle s’évanouit presque quand elle sent les couilles de Claude frapper contre ses cuisses.
— Salaud ! grogne Martine, tu n’es qu’un salaud... Putain, que ça fait mal !— Chut... calme-toi, je ne bouge pas pour que ton cul prenne la mesure de ma bite et je te promets que tu vas aimer...

Les mains de Claude se rejoignent sur le ventre de Martine puis sur sa chatte. Il lui doigte le clito pour lui faire oublier la douleur. Il reprend les mouvements de son bassin, faisant gémir Martine de plus en plus fort. Son ventre et ses reins s’embrasent sous le marteau-pilon qui pulse dans son ventre des braises violentes et délicieuses.Elle atteint de nouveau l’orgasme. Quelques minutes plus tard, il se retire et change de trou. Martine, sentant gonfler encore cette grosse lance, se cambre davantage pour recevoir l’offrande de ce super étalon.
— Oh oui... ooouuuiii !!! Vas-y... défonce-moi bien profond... oui... oui... Jouis dans ma chatte, inonde-moi !
Soudain, le sperme gicle de l’imposante bite, par jets si épais que la chatte de Martine ne peut tout contenir avant qu’un puissant orgasme ne la terrasse à nouveau.
— Putain, quel étalon ! Monté comme un âne avec des couilles inépuisables ! Et je ne sais pas combien de fois j’ai joui... Putain de putain de merde... quel mec !
Elle se retourne et cherche ses lèvres, leurs langues se joignent pendant que des filles avides se chargent de nettoyer chatte et verge poisseuses à souhait.
Claude s’étend par terre pour récupérer un peu. Nous assistons enfin à la décroissance de son nœud. Comme de véritables commères, nous commentons les exploits de ce « première année ».Le souffle de Claude devient plus régulier, il a les yeux clos. Mais c’est sans compter les trois chaudasses pas encore passées à la casserole...Elisa et Evelyne se sont accroupies de chaque côté de son corps et couvrent son torse de baisers pendant que Sandrine s’est glissée entre ses cuisses pour masser les sacs collés à cette verge à moitié bandée.Elles continuent à exciter le mâle et Sandrine assiste au miracle en voyant se redresser la queue qui frotte sur la cuisse gauche de Claude avant de venir battre son bas-ventre, surprise d’une si rapide récupération. Mais avant de tenter de s’introduire la monstrueuse bite dans sa moule, elle broute le jonc vigoureux aux odeurs de chattes et de trou du cul.
Mais Sandrine ne peut plus résister à son envie, elle retire vivement sa bouche et se met à califourchon sur le pieu énorme de Claude, écartant le plus largement possible les lèvres de sa vulve, se demandant si son vagin peut accueillir un tel engin. Perdant toute raison, elle enfourne dans ses entrailles petit à petit le gourdin, s’empalant plus que de raison sur la verge en poussant des petits cris de douleur. L’engin dévaste inexorablement ses muqueuses, soudain elle s’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur la verge.
Après un instant d’adaptation, elle se démène sur cet axe comme un cow-boy sur un mustang sauvage. Elle hurle, bave, sanglote d’un plaisir hystérique, son corps couvert de sueur. Elle se contorsionne frénétiquement comme une anguille quand la jouissance la convulse. Une écume mousseuse pointe aux coins de ses lèvres entre-ouvertes.Des rires hystériques, des sanglots et des hurlements stridents se succèdent, Sandrine jouit sans discontinuer de tout son corps supplicié par elle-même, jusqu’à l’évanouissement qui la laisse pantelante contre le corps de Claude.Lui ne se préoccupe même pas de ce qui se passe, trop occupé à brouter la chatte d’Elisa, aspirant le clitoris, les doigts fourrageant la splendide toison, arrachant un frémissement à sa victime consentante. La langue se promène dessus, disjoignant les grandes lèvres, s’enfonçant dans l’intimité bouleversée, gobant le bourgeon dans sa cachette de velours pour entreprendre une succion irrésistible.
A suivre...
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