Dernier vendredi avant les congés.Anne, Julie et moi nous nous retrouvons au café d’Orient pour notre bavardage hebdomadaire.Dehors, sur l’avenue, une manif de LGBT s’arrête devant l’établissement et nous fournit un sujet de discussion.Anne : « Quand je vois ces femmes qui s’embrassent et se caressent en pleine rue, je trouve cela indécent. »Julie : « Bof, elles défendent leur point de vue et peut être certaines sont elles vraiment amoureuses. La vindicte populaire les prend trop pour des salopes avides de sexe » Moi « Je ne sais pas quoi penser. On dit bien que Josy du service compta est gouine. Elle est pourtant mariée et le savoir ne me gêne pas. J’essaie d’imaginer comment ça se passe »Julie : « C’est vrai qu’elle est bien foutue Josy et toujours habillée très sexy, je pense qu’elle plait tant aux femmes qu’aux hommes »Moi : « Oh tu es sûr qu’elle ne te plait pas Julie ? »Nous éclatons de rire toutes les trois. Pendant la conversation qui a changé de thème, je sens un pied qui me caresse une jambe. Je me recule de la table pour regarder discrètement. C’est Julie qui me fait du pied !Je me replace et le manège reprend jusqu’au bas de ma jupe. Julie me lance un regard furtif et nous continuons notre bavardage.C’est alors que me reviennent les mots d’Elodie : « à toi maintenant de trouver une autre partenaire »A la fin de notre rencontre, nous nous embrassons et j’en profite pour glisser à l’oreille de Julie — Tu m’as fait mouiller, je t’appelle dans la soirée En rentrant à l’appartement, je n’ai qu’une idée pressante : appeler Julie.— Allo Julie ? c’est Marie. Qu’est ce qui t’a prise tout à l’heure ?— C’est notre discussion qui m’a émoustillée. Quand on a parlé de Josy, je n’ai rien dit mais j’ai remarqué que depuis quelques temps, elle me regarde bizarrement et sachant qu’elle est gouine, je l’imagine entrain de faire l’amour avec une autre fille. Je t’ai donc regardée comme si c’était elle et je dois avouer qu’apercevoir tes seins sous ton corsage et sentir tes bas sous mon pied m’ont terriblement excitée — Tu es gouine toi aussi ? — Non mais souvent quand je me masturbe, je fantasme dans ce sens. — Veux-tu que nous passions un moment ensemble Julie ? .
— Tu es gouine toi aussi Marie ? — Nous en parlerons. Viens me voir ce soir à l’appartement, nous prendrons un petit encas ensemble. — Je veux bien, 20h si tu es libre. — OK je t’attends 20h, le carillon du portier retenti. — Monte Julie, je t’ai vu arriver Quand j’ouvre la porte, je découvre Julie métamorphosée. Cheveux longs défaits, tombant sur les épaules, corsage blanc transparent dilaté par des seins aux tétons dressés pas de soutien-gorge, mini-jupe extra courte en cuir sur bas résilles. — He bien ma fille, quelle tenue sexy ! — Elle te plait ? — Oui. J’ai hâte d’en voir un peu plus, comme cet après-midi, tu m’excites. J’ai eu des frissons quand tu m’as caressé les jambes, j’avais envie que ton pied entre sous ma jupe — Tu es donc gouine Marie ? — Entre, asseyons-nous là sur le canapé ou plutôt non, mets-toi en face de moi je vais te raconter. En s’asseyant, la jupe de Julie se remonte et découvre le haut de ses bas d’où j’aperçois l’attache de son porte jarretelles. J’aime cette vue et essaie de deviner si elle a une culote. — Voilà Julie, ça s’est fait bizarrement il y a peu de temps un vendredi où nous prenions notre traditionnel pot de fin de semaine au café d’Orient. Une jeune femme asiatique à l’allure féline, assise au bar, me regardait avec insistance. Lorsque je suis allé aux toilettes, elle m’a rejoint, ma embrassé de force et a commencé à me peloter. Je me suis juste débattue un peu mais je ne sais ce qui s’est passé dans ma tête je me suis ensuite laissé faire, j’ai même pris du plaisir lorsqu’elle m’a doigté la chatte. Tout à été très court car nous avons été dérangées.Elle m’a donné son tel et je n’ai pas résisté à l’appeler. Elle m’a reçu chez elle et là j’ai découvert de sublimes sensations dans nos étreintes J’ai dévoré son corps, lapé son jus. Nous avons eu de multiples orgasmes. Je suis devenue accro donc gouine.Pendant mon bref récit, Julie, en face de moi, avait écarté les jambes, les cuisses et se caressait la chatte sans toutefois se branler réellement. — Tu me fais mouiller Marie, il faut que je te dise que je me suis laissé aller avec Josy que nous avons évoquée hier. C’est elle qui m’a provoquée un jour où nous faisions du rangement dans les archives. Elle m’a caressé, m’a embrassé avec la langue et est allée jusqu’à me sucer le clito et je me suis laissé faire jusqu’à mon premier orgasme avec une femme. Nous nous rencontrons quelquefois dans le local à archives. Elle va jusqu’à me mettre un crayon dans le cul, c’est bon mais il parait que jouir par le cul est sublime, je n’ai jamais eu l’occasion Cette fois, Julie se branle ouvertement et la vue de sa main dans son con m’excite au plus haut point. Je m’approche d’elle, soulève ma jupe, je n’ai pas de culotte, je me plante devant elle et lui ordonne : — Suce salope, j’ai envie de ta langue sur mon clito — J’aime comme tu me parles Marie, je mouille Elle s’exécute ce qui me déclenche un puissant jet de cyprine. — N’avale pas, nous allons partager mon jus Un baiser fougueux nous permet de faire des aller-retours du jus dans nos bouches.Nous terminons notre étreinte et je reviens à ma relation avec Elodie du bar de l’Orient. — Tu sais, Elodie est une vraie salope très vicieuse sous son air BCBG, elle t’envoie au septième ciel, elle m’a proposé de trouver une partenaire pour une partie à trois. Serais-tu partante ? — Je veux bien essayer si tu lui dis que je n’ai pas l’habitude à plusieurs — Moi aussi, je ne l’ai jamais fait mais elle m’a promis de me faire découvrir d’autres jeux — Tu veux que je l’appelle ? — OK vas-Y J’appelle Elodie. — Allo Elodie ? c’est Marie comment vas-tu ? — Je vais bien, un peu fatiguée, je viens de m’offrir une partie de plaisir un peu spéciale dont je te parlerai, mon partenaire viens juste de quitter l’appart. — Un homme ? — Nous en parlerons, je te raconterai — Ok. Je t’appelle suite à ta proposition de trouver une partenaire pour une partie à trois. J’ai une copine que tu as dû apercevoir avec moi au café d’Orient lors de notre première rencontre, elle est devenue gouine et d’accord pour venir te voir mais elle insiste, elle n’a pas l’habitude de la pluralité — Nous lui montrerons ce que nous faisons et je suis certaine qu’elle voudra participer. Elle pourrait même, si elle est ok, être notre jouet sexuel. Etes-vous libres demain soir vers 21h ? .Julie me fait signe oui de la tête et je confirme le rendez-vous.Après avoir reposé le téléphone, je rassure Julie qui ne m’a pas l’air particulièrement inquiète mais plutôt intéressée sur la suggestion d’Elodie. Elle me confie son impatience et m’embrasse vigoureusement en fouillant ma bouche avec sa langue, je lui caresse les seins et nous nous quittons.Je passerai te prendre vers 20h30 Marie. Bonne soirée.Toute la nuit pleine d’insomnies, j’imagine le spectacle à venir. Je me réveille le lendemain vers 8h et me rend compte que ma chatte est trempe et a mouillé abondamment les draps. La journée se passe calmement, courses, flânerie dans les rues, repas au restau mais très souvent je songe à cette soirée qui se prépare.20h30, comme promis, Julie passe me chercher, elle s’est habillée comme hier quand elle est venue me voir avec en plus des cuissardes d’un plus bel effet sexy. Moi, toujours dans ma robe légère sans rien dessous autre que mon porte-jarretelles, mes bas noirs et mes talons.A l’entrée de l’immeuble, nous sonnons. — Montez mes salopes, je vous attends. Marie tu connais le chemin. Accueil verbal très prometteur ! nous prenons l’ascenseur et pendant le court laps de temps de la montée, Julie commence à me peloter le cul et les seins. — Ne sois pas impatiente Julie, garde ton énergie A l’arrivée, Elodie nous accueille dans un déshabillé rose transparent mettant bien en valeur sa poitrine légèrement soutenue par un soutien-gorge balconnets. Toujours pas de culotte, elle arbore une touffe de poils noirs qui descendent jusqu’à l’entrecuisses.Je présente Julie qui me semble fascinée par la beauté d’Elodie. — Bonjour petites gouines, vous prendrez bien une coupe de champagne pour nous mettre en condition ? En fait, en guise de coupe, il s’agit de verres ballons bien remplis. — A nos amours ! Après quelques gorgées, Elodie laisse tomber son déshabillé à terre et se verse le reste de son champagne sur les seins, le liquide ruisselle le long de son corps jusqu’à ses pieds. Elle m’ordonne alors de la nettoyer jusqu’à la chatte.Je me colle à elle, elle verse le reste de la bouteille sur nous et ma robe devient trempe. J’entreprends donc de la sucer partout sur le corps jusqu’à atteindre sa touffe trempe du mélange de champagne et de cyprine.Mes coups de langue accompagnés de caresses sur ses cuisses déclenchent chez Elodie un puissant orgasme qu’elle ne peut contenir. Julie qui assiste à tout cela a remonté sa jupe et se masturbe vigoureusement. - Julie, lui lance Elodie, Marie sait que j’adore m’exciter devant un striptease, c’est elle qui va te déshabiller lentement et commencer à te gouiner Je quitte ma robe trempée de champagne et nue, je m’approche de Julie.Par derrière, Je la saisis fermement d’une main par les cheveux et de l’autre, je lui caresse les seins en l’embrassant dans le cou.Ses tétons sont raides et dressés et un à un je sors les seins du soutien-gorge Je frotte ma chatte sur sa jupe comme si je la baisais, ce qui me fait envoyer un jet de cyprine sur le cuir.Après avoir arraché littéralement son corsage, j’entreprends de faire glisser lentement sa jupe en dévoilant un très beau string noir orné de dentelle. Je sens qu’elle mouille. Je recueille un peu de jus avec mes doigts et les lui passe sur la bouche. Elle suce goulument en me disant doucement « Encore » La jupe entièrement tombée à ses pieds, il ne lui reste plus que ses cuissardes dont émerge une paire de bas résille tenus par un porte jarretelles également orné de dentelle.Julie est splendide dans sa nudité.Je lui écarte les jambes en en remontant ma langue le long de ses cuisses et l’introduit dans sa chatte.« Baise lui le con » me demande Elodie « Montre moi aussi son cul, elle est adorable, je la boufferai tout à l’heure »Tout ça me met en transe, je me sens couler le long de mes cuisses. Je reprends la chevelure de Julie et plaque sa bouche sur ma chatte. — Fais-moi jouir Julie redouble d’ardeur sur mon clito et je pars dans un orgasme bruyant qui fait également trembler tout mon corps.Pendant nos ébats, Elodie s’est saisit d’un imposant gode ceinture qu’elle arbore fièrement. — Suce-lui le cul Marie, mouille la bien, je vais l’enculer Elodie s’approche de Julie. — Suce cette queue avant qu’elle te pénètre Julie qui jusque-là n’avait pratiquement rien dit, s’adresse à Elodie : — Oh oui baise moi le cul, je n’ai jamais joui du cul, il paraît que c’est merveilleux Après une délicate introduction, Elodie se met à limer vigoureusement ce cul de désir. La cyprine de Julie coule comme le jus d’une femme fontaine. J’ai tellement envie de lécher que je me positionne sous la chatte dégoulinante pour recevoir le précieux nectar. — Baise moi Elodie, baise mon cul, je monte, je vais jouir AHHHH Elodie se retire et je lui demande : — Fais-moi goûter le cul de Julie Je suce ce gode avec délectation. — Encule-moi à mon tour, j’ai trop envie et toi Julie Viens me bouffer la chatte Après un énorme orgasme qui me fait inonder la figure de Julie, Elodie nous fait comprendre que la partie est terminée. — Arrêtons là. J’ai eu une expérience particulière hier. C’était bestial. Je vous en parlerai et nous verrons si vous êtes partantes . Chacune se rhabille en essayant de deviner mais nous devrons attendre qu’Elodie en dise un peu plus.
