Je vais vous raconter ma première rencontre avec le sexe opposé. J’étais jeune majeur, je crois, et pour garder une forme d’anonymat, nous allons l’appeler Claire. Elle avait le même âge que moi, brune, les yeux très bleus, pas très grande et les formes généreuses, mais pas trop. Les hanches larges, de petits seins. Nous nous étions rencontré, et je rigole d’avance, à l’église, et oui vous ne rêvez pas. Elle a été ma première amoureuse, elle a été la première avec qui j’ai pu visualiser mes premiers émois. Nous avions d’abord commencé à nous embrasser comme des enfants,, mais l’attirance faisait que j’avais des envies, des désirs. Je ne sais pas dire si c’était réciproque, mais lors de nos moments à deux, nos bouches, nos langues s’entremêlaient avec la fougue de la nouveauté. Mes premiers gestes intimes sur sa poitrine ont eu lieu dans le cinéma de notre ville, le seul endroit où nous pouvions avoir une certaine intimité Au bout de quelques mois, même découvrir son intimité. À l’époque, le poil était de rigueur. Il y avait moins de soucis avec la pilosité. Je ressens encore cette douceur, cette chaleur, lorsque j’ai posé mes doigts sur son sexe, sur son clitoris. Je vois encore dans la pénombre de la salle son regard se fermer lorsque j’enfonce mes doigts en elle. Elle n’était plus vierge, peut-être l’un de mes premiers regrets. Je n’ai jamais goûté à une vierge. À force de baisers, de caresses, je voulais aller plus loin dans la relation physique.Une envie de donner du plaisir et l’opportunité est arrivée. Je me rappelle, nous étions chez elle, ses parents étaient partis faire des courses au Leclerc, et nous étions deux. Nous nous embrassions, nous nous caressions, surtout moi. Elle n’était pas à l’aise avec le fait de me caresser, et moi toujours puceau, je ne demandais rien, mais j’espérais, mais rien. Je me vois lui enlever son jean, sa culotte en coton, embrasser son ventre, ses seins et descendre, descendre sans savoir, sans savoir quoi faire. Tout ce que j’avais imaginé allait arriver, j’allais enfin goûter à un sexe, quelle odeur, quel goût ? Je vis sa toison brune, pas très garnie. Je posais mes lèvres doucement sur sa peau, sur ses poils, doucement, je ne voulais pas lui faire mal. Je partis embrasser son entrejambe, passant d’un côté à l’autre, sans embrasser ses lèvres. Je remontai l’embrasser sur la bouche, les seins, les embrassant, les léchant avec envie. Je redescendais vers son sexe et j’allais plus loin, j’embrassais ses lèvres. Elle avait une odeur agréable, elle sentait bon. Je fais glisser ma langue le long de ses lèvres de haut en bas, en prenant le temps, comme avec une glace. Je sentais un jus de plus en plus important et j’adorais le goût. Je pris l’initiative de glisser mon doigt en elle, et quelle merveille, que c’était beau. J’imaginais mon sexe la pénétrant, c’était chaud, doux. Après plusieurs minutes, je sentis ses mouvements de bassin, et je pensais qu’elle aimait. A un moment, un bruit nous fit sursauter, ses parents venaient de stationner. Nous nous rhabillâmes rapidement avant de nous faire surprendre. Nous n’avons plus réussi à avoir de moments à nous, et la vie a fait que nous nous sommes séparés. Nous avons eu l’occasion de faire l’amour ensemble quand nous avions 25 ans, mais le charme n’était plus le même. Voici ma première vision d’une femme, la prochaine histoire sera ma première histoire avec un homme.
