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première expérience avec Caroline

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Dans mon esprit torturé, j’ai toujours pensé qu’il était bon de pousser le vice à la réalité, je suis comme le péché de chair en lui-même. J’ai d’abord été bisexuel, comme la plus part des jeunes de mon âge, mais qui ne l’avouent pas. Je regarde beaucoup de films pornographiques différents, ce n’est pas forcément la réalité, mais je sais faire la différence, ma copine le sait bien. L’attirance vers le mal s’est très vite déclenché, vers les 15 ans je me suis passionné pour les choses démoniaques, la magie, les rituels, les esprits. Quel rapport avec la sexualité ? Je pense que la spiritualité aide beaucoup, ton esprit s’ouvre à différentes pratiques ce qui fait que tu as des expériences différentes des autres adolescents. C’est intéressant, car ta copine a la sensation qu’elle n’a jamais aussi bien baisé de sa vie, toi tu te sens fort et tu as envie de continuer à l’impressionner. Peut-être que certaines de ces pratiques vont la déranger, mais qui ne propose pas n’a rien. Par exemple, l’échangiste, ça te fait voir autre chose, ta copine a envie de prendre du plaisir aussi avec quelqu’un d’autre que toi, mais ça reste dans le cercle de l’échangisme, les sentiments ne sont pas remis en cause, tout les deux vous prenez du plaisir et vous pouvez même espionner l’autre. Quand je baise je mets de la musique, ça fait rappeler à mon esprit à quel point il doit être dans ces moments là différent des autres, du Ozzy Osbourne en passant par John 5. Je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours pensé à faire du bien à ma partenaire plutôt qu’à moi, sauf pour les grosses salopes, là je n’hésite pas, je les sodomises et les fait sucer leur excrément, c’est excitant.Qui plus est elles sucent sans capote et ça c’est bon, avec ta copine tu prends des précautions car tu l’aimes et tu ne veux pas d’enfant, c’est légitime. C’est sale les filles qui sucent sans protection, mais ça rajoute du piment.Le sexe est un monde tellement vaste et intéressant à explorer. Un univers qui peut-être totalement romantique et sale, vulgaire et effrayant à la fois. Ce que j’aime, c’est le Sadomasochisme. Le Masochisme un peu moins … Faire mal à des femmes mûres en manque ça me bote, j’ai toujours aimé ça, surtout dans les films, surtout quand le décor est sombre et morbide.Ça me donne l’impression de punir ma vilaine mère, indirectement bien sûr mais je me venge de tout ce qu’elle a fait et aussi du fait qu’elle m’ignore. Je ne suis plus du même monde que vous, je suis dans l’enfer sur terre et j’en profite aussi bien que mes victimes, on croirait que je suis fou, je ne le suis pas, rassurez vous, ou peut être que je l’ignore je ne sais pas trop. Mon intelligence me perturbe …Il est actuellement dix sept heures, je rentre des cours, j’ai passé ma majorité, je suis en terminale Littéraire. J’ai réellement peu de devoir à part des lectures de bouquins que j’ai déjà lus ou que tout le monde n’en a rien à faire. Alors je franchis le seuil de ma maison, je monte les escaliers, j’ouvre la porte de ma chambre, balance mon sac de cours et j’allume mon ordinateur, je veux vérifier mes mails car j’ai un rendez-vous important avec une femme de 35 ans. Elle aime les jeunots autant que je déteste les femmes. Mais j’ai tellement envie d’essayer ça, j’en ai toujours rêvé. Je me rends au lieu de rendez-vous, dans une banlieue tranquille de Paris. J’arrive à pied, je me dirige vers l’adresse indiquée, c’est une grande maison de riche, on dirait presque un manoir, c’est terrifiant. La nuit va bientôt tomber il est dix huit heures et nous sommes en hiver. Je range mon baladeur, je suis en train d’écouter Black Sabbath pour me mettre dans l’ambiance et je ne suis pas déçu, c’est vraiment morbide, dès que je rentre dans la cours je ressens des choses que j’ai l’habitude de ressentir lors de rituels de magie noir. J’avance vers cette grande porte faite par un artiste sans doute, un tailleur très doué. Je sonne et une femme, belle, vient m’ouvrir. C’est elle, la femme que j’ai contactée par mail, elle s’appelle Caroline, elle est vraiment attirante pour son âge, bien que trente cinq ans ne soit pas si âgé. Elle me fait découvrir les lieux et j’hallucine, c’est vraiment immense, froid … Ma future esclave m’emmène dans le lieu de culte où elle pratique le sm avec ses invités. Il y a un lit comme chez le médecin, la chambre est sombre, violet foncé, il y a un autel posé derrière, sans doute est-ce la même pièce qui lui sert de lieu de culte pour ses rituels. Caroline est belle, elle a des formes, assez ronde, mais j’aime ça, ses fesses … Je vais en rêver tous les jours. De gros seins en guise de cadeau de la nature, comme pour lui enlever le fait quelle ne soit pas trop mince. Elle me fait craquer, je lui dis que j’ai de la chance de l’avoir comme esclave et qu’elle va réaliser tous mes plus gros vices sexuels. Caroline me montre ses jouets, des cravaches, des godes, des canards vibrants, des ceintures en cuir, des anguilles, une corde pour le bondage et des trucs plus impressionnant les uns que les autres. C’est une femme qui cache bien son jeu, je sens que je vais aimer la dominer cette salope. Elle commence à me dire qu’elle veut que je lui fasse du mal, alors je commence à lui dire de se déshabiller, s’exécutant à merveille je lui ordonne d’accrocher ses mains aux anneaux qui tiennent grâce au plafond. Caroline est nue, je prends la cravache, je lui caresse son ventre, lui flatte sa petite chatte avec délicatesse pour lui donner envie. Puis je donne le premier coup sur la cuisse droite, puis sur la gauche. Je remonte les caresses vers son ventre, je monte encore vers ses seins, je donne un coup sur chaque, plus précisément sur les tétons. J’en viens à venir les mordre tellement ils m’appellent, c’est ceux de mes fantasmes, je frappe ses seins de mes mains douces. Je les griffe, comme je griffe son corps, son ventre. Puis commençant à titiller ses tétons assez fortement, mon esclave gémit de plaisir, alors je la frappe lui disant que c’est moi qui décide de son temps de jouissance. Je l’aide pour la faire descendre et je l’installe sur le lit. Je prends les cordes pour lui attacher ses mains, je sais qu’elle va vouloir se débattre à cause du plaisir trop fort. Elle est nue, j’admire ses formes, je les aime tellement que je me retiens de jouir dans mon pantalon, puis je le baisse, je me retrouve nu. Je prends le canard et je le place sur la vulve de Caroline, je l’active au niveau le plus bas pour commencer les hostilités, histoire de monter dans le plaisir et peut-être la douleur. Elle tente de se cambrer, mais les cordes l’empêchent de le faire se qui augmente son désir, je retire le canard et je mets ma langue, mon rythme est très rapide, de temps à autres je mordille, titille en même temps que je griffe son corps. Je ralentis ma cadence et je lui enfile deux doigts dans sa petite minette qui commence à bien mouiller, je sens qu’elle aime ça et qu’elle ne pourra pas s’en passer. Mon regard se porte maintenant sur un gode tellement gros que je me demande si ma queue est de taille normale, même si le regard de Caroline a l’air de l’apprécier. Cette salope n’attend que ça, que je prenne cet engin et que je lui enfonce dans son intimité qui est trempée. Le gode commence à rentrer petit à petit, il est gros, elle aime ça, qui plus est c’est toujours le stade de la douleur, enfin il est rentré, je l’enfonce encore comme pour lui faire mal. Elle commence à gémir, mes va-et-vient sont petits, j’accélère afin qu’elle comprenne que je n’en ai pas fini, loin de la. Je le retire, le lance puis j’y enfile ma queue à la place, elle la voulait en elle, c’est agréable, elle mouille tellement qu’elle ne sentirait même pas que je sperme. Je la défonce comme je n’ai jamais défoncé une femme, pas même une de ces salopes. J’agrippe ses deux seins, je les serre très fortement de mes mains, c’est si bon, je commence à vouloir éjaculer mais c’est avec obstination que ma bite veut le contraire. Je continue donc encore mes déplacements dans son vagin humide. Caroline commence à vouloir autre chose, je le sens, elle tente d’enlever ses mains des attaches. Je lui présente ma queue, elle ouvre la bouche pour la sucer, c’est alors que je m’aperçois de ses réels talents, même dans une position peu confortable, elle sait s’y prendre.
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