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Ma première expérience avec une fille.

Chapitre 2

Deuxième fois. Sophie.

Lesbienne
Après ma première expérience avec mon amie Séverine, une petite année s’est écoulée. Séverine et moi n’avons jamais reparlé de ce doux moment que nous avons passé dans le secret de sa chambre, même quand nous nous retrouvions seules. Nos parcours scolaires nous ont séparées, nous ne nous sommes jamais revues.
Je suis dans ma dix-neuvième année. Je suis invitée à une soirée d’anniversaire, nous sommes au mois de mai. Le temps est clément, la chaleur et le soleil sont au rendez-vous au point de se croire en été.
Ravie d’être invitée à cette soirée et sachant que nous allons être nombreux, la soirée et une bonne partie de la nuit se passeront dans une ambiance festive, de musique, danse, sans aucun doute d’alcool (surtout pour les garçons), et cigarettes. Tout le monde doit arriver à partir de 18H00.
Je vais dans la salle de bain, prends une douche digne de ce nom, me maquille légèrement, le tout avec un parfum que j’ai reçu à Noël, mais que je ne mets pas n’importe quand. Juste pour les bonnes occasions. Une robe légère qui arrive juste au-dessus des genoux, décolleté pas trop plongeant pour ne pas mettre exagérément ma grosse poitrine en valeur de façon à ne pas provoquer les garçons participants à cette soirée. Me voilà toute belle, je peux y aller, l’heure est arrivée.
Quand j’arrive, seule, je m’aperçois que je ne suis pas la première. Déjà, plusieurs invités discutent de part et d’autre dans le terrain ou autour des tables installées sur la terrasse devant la maison. Ma copine, celle qui m’a invitée, vient vers moi pour m’accueillir.
— Nathalie ! Ça fait super plaisir que tu sois là. — Merci. Je crois que je ne connais pas grand monde pour le moment. — Ne t’inquiète pas, tout le monde est sympa ici, et tu vas passer une bonne soirée. Il en manque, mais ils ne vont pas tarder à arriver, je pense. — Très bien. Je te suis, ne me laisse pas trop toute seule s’il te plaît. — Ne fais pas la timide ! Tiens ! Viens, je vais te présenter à deux très bons copains de longue date.
Il est vrai que je suis un peu intimidée, mais j’ai aussi une crainte de ne pas pouvoir m’intégrer dans le groupe.
— Coucou les garçons ! Je vous présente Nathalie. Et toi Nathalie, je te présente Sébastien et Dylan. — Salut Nathalie, tu veux que j’aille te chercher un verre ? Qu’est-ce que tu veux ? — Heu... Oui, merci. Je vais prendre un jus d’orange. — Tu ne vas quand même pas prendre un jus d’orange. Il y a des choses à boire pour les filles, genre Martini ou Porto. — Bon, d’accord, un Martini alors.
Dylan s’en va, je commence à discuter avec Sébastien de tout et de rien.

— Tiens Nathalie, voilà ! Tu connais Sophie depuis longtemps ? — Oui, nous nous sommes connues au Lycée, puis nous nous sommes revues plusieurs fois pendant les vacances, et elle m’a invitée ce soir.— D’accord.
Pendant un bon moment, nous discutons tous les trois, je vois que d’autres arrivent, et que je ne connais toujours pas !
Un verre, deux verres, de la musique, quelques cris qui commencent à se faire entendre, des rires... L’ambiance est bonne, devient de plus en plus festive. Je commence à me détendre et donc je vais sur la piste de danse qui est tout simplement la terrasse, à côté des tables.
L’alcool aidant, ma timidité diminue, je me joins aux autres, et vais sur la piste de danse. Une fille, que je ne connais pas, danse à côté de moi, me regarde avec de jolis sourires que je lui rends. Le genre de la musique a changé, elle ne me plaît pas, je décide d’aller reprendre un verre.
Au moment où j’arrive au niveau de la table pour me servir un verre, je vois ma danseuse qui se dirige vers moi.
— Salut, je m’appelle Pauline. Et toi ? — Nathalie. — Tu danses très bien dis donc ! — Non, arrête de te moquer ! Je danse comme un manche à balai. Mais je danse, ça défoule. — Non, tu danses très bien. Tu suis le rythme de la musique, et on sent que tu as ça dans la peau.
Elle n’a pas tort. J’aime danser et je me débrouille bien. Mais comme je suis une fille discrète et surtout pas prétentieuse, je reste humble.
Sophie m’attrape par la main.
— Viens, c’est des musiques sur lesquelles on peut se défouler. — OK, je viens avec toi.
Nous sommes peu nombreux à danser. C’est surtout des filles qui dansent. Les garçons - peut-être un peu complexés - préfèrent garder un verre à la main et rire entre eux. Sophie danse bien.
La soirée continue ainsi, entre danser et boire un verre, grignoter quelques fours ou gâteaux apéritifs. Je remarque que quelques garçons me mâtent, me sourient, mais je ne suis pas à cette soirée pour me faire draguer ou pour rencontrer un garçon, je suis ici pour m’amuser. D’ailleurs, je m’amuse tellement bien que je ne me rends même plus compte de la quantité d’alcool que j’ai bu. Sans être saoule, j’ai la tête qui me tourne un peu et j’ai l’impression que Sophie est dans le même état que moi. Elle est très joyeuse.
A un moment donné, Sophie m’a quittée et est partie discuter avec un petit groupe de filles et de garçons. Je profite pour m’isoler un peu plus loin, pour prendre un petit bol de solitude et fumer une cigarette. Une grosse pierre est posée sur l’herbe, elle doit servir de décoration, je pense. Je m’assois dessus et observe cette trentaine de personnes présentes à cette soirée, dans la pénombre, juste des éclairages qui éclairent surtout la partie où nous sommes tous. Je les écoute, ils rigolent, crient de plus en plus fort.
Je vois Sophie venir vers moi, sans dire un mot, elle prend place à mes côtés.
— Ça va Nathalie ? — Oui, très bien. Je fais une pause. Je crois que j’ai un peu trop bu. — Oui, tu as raison, moi aussi, j’ai un peu forcé sur le Malibu. Je vais me calmer. — La nuit n’est pas terminée, on va y retourner. La musique est bien choisie. — Oui, puis il y a une bonne ambiance. Je vois que tu fumes. Je peux te demander une cigarette ? Ça ne t’ennuie pas ? — Non, tiens.
Je lui tends le paquet et le briquet. Elle sort une cigarette, l’allume, et me rends le paquet.
— Merci. J’en ai, mais elles sont dans mon sac, et le sac est dans la maison. Je te la rendrai plus tard. — Non, laisse tomber. J’ai l’avantage d’avoir une poche contrairement à toi qui n’en a pas.
Sophie est très sympa. J’aime bien parler avec elle. Sa façon de dire les choses naturellement, le ton de sa voix est doux, elle est turbulente quand elle danse, mais calme quand elle ne danse pas.
Sophie a 18 ans, comme moi. Un peu plus grande que moi, soit environ 1.70 mètre. Elle est châtain, claire, cheveux mi-longs, des yeux noisette. Elle a l’air d’avoir une poitrine aussi généreuse que la mienne, mise en valeur par un top moulant qui s’arrête juste au-dessus du nombril. Son pantalon leggins lui moule ses jambes et ses fesses rondes. Un visage fin qui dégage un charme fou. Une bouche pulpeuse, et un sourire d’ange avec sa dentition bien rangée. Elle doit plaire aux garçons sans aucun doute. Nous discutons quelques minutes.
— Bon, on y retourne, les autres vont finir par se demander ce que nous faisons. — Oui, on y retourne. Mais maintenant, je vais me mettre à l’eau ou jus de fruits, j’ai la tête qui tourne de plus en plus. — Ce n’est pas grave, allez, viens Nathalie.
Elle se lève la première, me fait face, me tend ses mains. Je les saisis, me lève et mon visage se trouve à quelques centimètres du sien. Nous nous regardons une fraction de seconde dans les yeux, elle approche son visage du mien, et dépose un baiser furtif sur mes lèvres.
— Désolée, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je ne suis pas lesbienne. C’est l’alcool, je pense.
Gourde comme je peux l’être des fois, et surtout surprise pas ce baiser inattendu, je m’entends lui répondre maladroitement.
— Ne sois pas désolée, c’était agréable.
Sans me répondre, elle lâche mes mains et nous repartons vers les autres. J’avoue être troublée par ce baiser, mais je mets ça sur le compte de l’alcool comme elle le dit. Nous reprenons un verre, Sophie reprend un Malibu et du coup, au lieu de prendre un verre de jus de fruit comme je l’avais dit, je reprends un verre de Martini.
Pauline, celle qui m’a invitée, viens à moi.
— Ça se passe bien Nathalie ? — Oui, très bien. Tout le monde est sympa, et tu n’as pas raté ta soirée, elle est super bien réussie. — Oui, je crois que tout se passe bien. Et tant mieux ! — J’ai vu que tu as fait connaissance avec Sophie ? — Oui, elle est comme moi, elle adore danser, alors toutes les deux, on forme une bonne équipe pour danser. En plus, elle est très sympa et joviale. — Ah oui, Sophie aime faire la fête, ça, c’est sûr. Tu sais que tu plais à plusieurs mecs de la soirée ? — Peut-être, je n’y fais pas attention, et je ne suis pas là pour ça. Je fais la fête à ta soirée. — Oui, mais tu ne les laisses pas indifférents. — Qu’ils se rincent l’œil s’ils veulent. Moi, je vais aller danser.
Sophie me rejoint, nous dansons toutes les deux plusieurs rocks d’affilée. Une envie d’aller faire pipi me prend. J’en fais part à Sophie qui connaît la maison.
— Sophie ? Tu peux m’expliquer où son les toilettes dans la maison ?— Attends, je viens avec toi, ce sera plus simple.
Nous partons toutes les deux dans la maison en empruntant un long couloir, et dans le fond de celui-ci, une porte qui donne accès aux toilettes.
— Je t’attends devant la porte. — D’accord, merci.
J’entre dans ces toilettes, ferme la porte et fais mon petit besoin. Je me lave les mains tout en me regardant dans ce petit miroir placé au-dessus du lavabo. Je suis décoiffée, mon rouge à lèvres est parti, mais peu d’important maintenant, plus personne ne fait attention aux façons que peuvent être les autres.
Quand je ressors, Sophie est devant la porte. Elle me regarde, pose une de ses mains sur ma poitrine, me pousse doucement vers l’intérieur des toilettes. Je ne résiste pas, je me laisse me faire pousser à l’intérieur. Elle ferme la porte sans mettre la serrure. Elle me colle délicatement contre le mur, et sans dire un seul mot, m’embrasse sur la bouche.
— Pourquoi tu fais ça Sophie ? — Je ne peux pas l’expliquer. Je fais une tentative, tu m’attires. — Oui, mais... — Mais ? Tu ne veux pas ? dis-le-moi franchement.
En quelques secondes, je me remémore les douces images que j’ai vécues avec ma copine Séverine dans sa chambre, et je me dis que j’avais aimé ce partage de douceur et caresses avec elle. Alors, devant moi, j’ai une occasion, j’ai un peu d’alcool dans le sang, j’ai envie de me laisser aller aux plaisirs entre filles.
Sans répondre à sa question, je saisis sa tête entre mes mains, ma bouche se pose sur la sienne, et nous restons quelques secondes lèvres contre lèvres à s’échanger des baisers. Sa langue force le passage de mes lèvres que j’entrouvre pour accueillir sa langue. Nos langues se mélangent, tournent l’une contre l’autre. Nous échangeons des baisers langoureux pendant plusieurs minutes.
Ses mains parcourent mon corps au travers ma fine robe d’été, et finissent par me peloter les fesses. Douces sensations, j’en fais autant.
— Veux-tu aller plus loin avec moi ? — C’est-à-dire ? — J’aimerais finir la nuit avec toi et qu’on se donne du plaisir. Ne refuse pas Nathalie, je sais que tu en as envie autant que moi.
Elle a raison, j’en ai envie de redécouvrir ce plaisir saphique. Je réfléchis quelques instants.
— Où veux-tu qu’on aille ? — On peut aller chez moi, j’ai un appartement et je vis seule. Personne pour nous voir ou nous surprendre. On pourra prendre une douche. — D’accord. Parce que chez moi, ce n’est pas trop possible, j’habite encore chez mes parents. — Tu me suis avec ta voiture ? — C’est mon père qui m’a amenée. — Et c’est lui qui vient te récupérer ? — Non, Pauline m’a dit qu’un de ses amis me ramènera.
Je ne voulais pas dire à Sophie que je n’avais pas encore le permis et encore moins une voiture. Les finances de mes parents ainsi que les miennes ne nous permettent pas encore d’acheter une voiture ou de passer tout de suite le permis.
— Eh bien, ce n’est pas dur, on dit que c’est moi qui te ramène, et je te ramènerai demain matin. Tu veux ? — Oui, ça marche. Très bien.
Nous sortons discrètement des toilettes et rejoignons les autres.
Elle se met à dire au revoir à tout le monde, il est 2H00 du matin. J’en fais autant sous prétexte que je dois moi aussi partir, car le lendemain, je me lève de bonne heure pour aller avec mes parents faire le marché, je dis donc à Pauline que C’est Sophie qui me ramène.
Une fois que pratiquement le tour de tout le monde est fait, Sophie et moi allons à sa voiture.
Nous faisons environ 20/25 minutes de trajet, et nous voilà devant un petit immeuble.
— J’habite au deuxième étage. Tu vois, les volets fermés avec le petit balcon ? Ben, c’est là que je crèche depuis deux mois. — Ah oui, c’est super ici. Tu dois y être bien. — Oui, j’y suis bien. C’est petit, mais ça me suffit. Allez, viens, on y sera mieux que dans la voiture.
Nous descendons de sa voiture, elle tape un code, et nous arrivons dans un hall. Deux paliers de marches, une porte blanche avec un numéro 8.
Nous entrons dans son petit appartement. L’odeur de peinture fraîche est encore présente. Quelques meubles dans sa salle à manger, un petit canapé, elle est bien installée.
— Mets-toi à l’aise. Nous sommes tranquilles ici. — Tu es super bien, en effet. — Oui, je ne me plains pas.
Je retire ma veste et la pose sur le bord de son canapé. Sophie s’approche de moi, m’enlace par la taille, et nous nous échangeons de tendres baisers sur la bouche, dans le cou, tout en laissant parcourir nos mains sur le corps de l’autre.
— Assis-toi, je vais chercher à boire. — Je veux bien mais plus d’alcool. — Oh ! On ne conduit pas ! On peut prendre un verre de plus, on n’est pas saoulées à ce point quand même ! — Bon d’accord. Mais juste un verre.
Le temps que Sophie parte dans sa cuisine, je me pose un millier de questions. Pourquoi je me retrouve ici ? Je suis ici pour faire l’amour avec elle. C’est dingue !
Elle revient.
— Dis-moi Nathalie, tu as déjà eu des rapports avec une fille ?— Oui, l’année dernière. Mais on ne peut pas appeler ça avoir un rapport. On s’est embrassées, caressées, sans aller plus loin. Et toi ? — Tu vas me prendre pour une folle. Non, jamais. La seule chose que j’ai faite avec une fille est de l’embrasser peut-être une minute. — Pourquoi je te prendrais pour une folle ? — Et bien parce que tu dois me trouver entreprenante, et que tu dois penser que je suis expérimentée avec une fille. Non ? — Oui, j’ai cru que ce n’était pas la première fois pour toi en effet. — Ben c’est la première fois. Mais depuis que j’ai embrassé cette fille, je fantasme et je me suis promis d’essayer au moins une fois. Et toi, tu me plais, et j’ai tenté ma chance sans savoir si tu allais accepter ou me rejeter. — Je ne t’ai pas rejetée parce que j’ai un peu bu, mais aussi parce que je garde un bon souvenir de ce que j’ai fait l’année dernière. Alors, je me suis dit pourquoi pas puisqu’une occasion se présente. — Tiens, je te dois une cigarette, prends une. — Merci.
Nous fumons notre cigarette, quelques baisers échangés.
— Je vais te montrer la salle de bain. Tu trouveras des serviettes et du gel douche au bord. Je te donne un peignoir, j’en ai un autre pour moi. — D’accord.
Elle me montre sa salle de bain, dépose un baiser sur mes lèvres et part. Je me déshabille, prends ma douche tout en me caressant les seins qui durcissent. Ce soir, ils sont sensibles. Peut-être que cela vient du fait que je sais qu’ils vont être caressés par une fille, et que sa douceur m’excite déjà.
Quand je ressors de la salle de bain, elle est assise sur son canapé à fumer une cigarette. Elle me regarde, me sourit.
— Me voilà toute propre et fraîche. Ça fait du bien. — Fais comme chez toi, je vais prendre une douche moi aussi. ? Tu es terriblement sexy dans ce peignoir ! — Si tu me trouves sexy dans ce peignoir, tu l’es aussi puisqu’il t’appartient.
Elle écrase sa cigarette dans le cendrier, se lève, et vient me rouler une pelle digne de ce nom. J’aime sa façon t’embrasser.
— Je vais prendre la douche à mon tour. — D’accord, je t’attends.
J’entends l’eau de la douche couler, je regarde des clips qui passent en continu à la télévision, assise sur son canapé. Quand elle revient, elle est elle aussi dans un peignoir qui lui va à ravir.
Elle se dirige vers moi qui me suis levée, m’embrasse avec fougue, je me laisse faire, j’aime ses baisers. Tout en m’embrassant, elle défait la ceinture du peignoir, et, me voilà face à elle, peignoir ouvert, nue dessous. Ma lourde poitrine est découverte, ses mains s’en emparent aussitôt.
— Hum... Je le savais que tu avais une belle poitrine. Tu as des seins superbes ! — J’ai l’impression que tes seins sont au moins aussi superbes que les miens. — Sers-toi, ouvre le peignoir, ils sont pour toi. Fais-leur des câlins, ils en ont envie et ils sont en manque de câlins.
Pendant que ses mains malaxent lentement mes seins, de mes mains, je défais le bouton qui tient serrée la ceinture. Quelle belle surprise quand je découvre qu’elle a une poitrine au moins aussi grosse que la mienne. Par rapport à ma dernière expérience saphique avec Séverine, je sais que je vais prendre plus de plaisir avec cette poitrine, car ceux de Séverine étaient bien plus petits que les miens.
Mes mains se posent sur ses seins. Ils sont gros, fermes, doux. Je vois ses tétons se durcir, mes caresses lui font de l’effet.
Nous sommes face à face, debout, dans son salon, à s’embrasser et se peloter les seins. La sensation est douce, bonne. La situation est excitante, nous deux, seulement nous deux, debout au milieu d’une pièce, à s’embrasser et se peloter, sans un mot, sans un bruit, seulement les chansons qui passent en arrière-plan, en sourdine.
Elle fait glisser mon peignoir sur mes épaules et le laisse tomber au sol. J’en fais de même. Nous sommes toujours en face à face, mais à présent, toutes les deux complètement nues.
— Viens dans ma chambre, on y sera plus confortablement installées. — Oui...
Elle fait demi-tour, je la suis. Quand elle marche, je regarde ses fesses. Comme je l’avais imaginé, elles sont bien rondes, avec de jolies formes. Je pense que les garçons doivent aimer s’exciter dessus.
Naturellement et en même temps, nous nous installons sur le lit deux places. Une petite lumière sur sa table de chevet est allumée, ce qui permet de donner à la pièce une lumière tamisée, mais suffisante pour que nous puissions nous voir. J’aime cette ambiance !
Elle me fait comprendre de me mettre sur le dos. Elle vient ensuite sur moi et se frotte contre mon corps. Corps contre corps, on s’embrasse langoureusement. Nos lèvres ne se quittent pas. Nos mains sont de plus en plus baladeuses. C’est tout simplement doux et bon !
Sa bouche quitte la mienne. Nous ne nous parlons pas. Peu à peu, ses lèvres descendent vers ma poitrine, ses lèvres pincent délicatement mes tétons déjà durcis par la douceur de ses lèvres. J’adore ! Je gémis juste pour ça.
Je la laisse faire. Elle continue à descendre, lèche mon ventre. J’ai des frissons de plaisir. Je me demande comment je me retrouve sur ce lit, avec une fille que je connais seulement depuis quelques heures, et que je n’avais jamais vue auparavant. Je n’ai jamais eu l’envie réelle de renouveler avec une fille. Je m’interroge quand je sens que ses mains imposent à mes jambes de s’écarter. J’ai l’impression d’être sur un nuage, d’être dans une sorte de rêve et que je vais me réveiller.
Mais non ! Ses lèvres se posent sur la fine peau de mon entrecuisse, déposent des baisers, et peu à peu, entrent en contact avec mes lèvres vaginales. Je ne la regarde pas, mais je sais ce qu’elle est en train de faire. Avec ses deux pouces, elle écarte ma chatte pour laisser glisser sa langue.
— Ça va Nathalie ? — Hum... Oui, ça va même très bien. Je me laisse faire comme tu peux le voir. Tu es si douce. — Tu sais que c’est la première fois que je fais ça à une fille ? — Ça ne se voit pas. Tu as l’air vraiment experte. — Non, c’est vrai, c’est la première fois, mais j’ai tellement ce fantasme en moi depuis longtemps que je vais faire de mon mieux pour te donner du plaisir. — Vas-y, laisse-toi aller alors ! J’ai envie de me lâcher moi aussi. — Ah oui ? Tu veux te lâcher ? Et comment ? — Tu vas voir comment je vais m’occuper de toi. — Hum...
Je sens sa langue parcourir la totalité de la surface externe de mes lèvres vaginales. C’est la première fois que je ressens la douceur d’une langue d’une femme me lécher. Je me laisse aller, je ferme les yeux, j’aime ce qu’elle me fait.
Elle me lèche, me doigte, sa langue me pénètre, je sens que Sophie est très concentrée dans son cunnilingus. Elle-même gémit en me faisant gémir. Je lui caresse les cheveux, écarte mes jambes au maximum que je le peux, mes pieds dirigés vers le plafond.
— Hum... Sophie, j’espère que tu aimes ce que tu me fais, parce que moi, j’adore. Tu me donnes un plaisir de fou ! — Oui, j’aime. Mais je le savais que j’allais adorer lécher une belle chatte. Je le savais déjà avant même de le faire. — A moi de m’occuper de toi. J’ai envie d’essayer aussi. Tu veux ? — Oui, j’ai envie de sentir ta langue et tes doigts.
Elle se redresse, m’embrasse à pleine bouche et se met sur le dos à côté de moi. Mes mains parcourent ses gros seins, les doigts s’amusent avec ses tétons, ils durcissent. J’ai envie de les téter, chose que je fais avec grand plaisir.
— Hum... J’aime ta façon de me lécher les seins. Tu m’excites ! — Je vais te donner autant de plaisir que tu m’en as donné. — Tu as joui avec ma langue ? — Oui ! Tu ne l’as pas vu ? — Si ! mais j’avais un peu le doute. — Tu m’as fait jouir très fort.
Je suis maintenant allongée sur elle, nous sommes corps contre corps. Ma bouche sur la sienne, on se roule des pelles dignes de ce nom. Nos langues se mélangent, s’entourent, nos salives se mélangent, nos lèvres s’écrasent les unes sur les autres pendant que mes mains pétrissent ses seins.
J’ai à présent envie de lui offrir ma bouche, de vraiment la lécher et de tenter de la faire monter au septième ciel.
Je descends en lui caressant le ventre. Son ventre plat mais légèrement grassouillet glisse sous mes mains pour arriver au niveau de sa partie intime. Maladroitement, je cherche son clitoris pour déposer mon majeur et mon index dessus et lui faire faire de petits mouvements circulaires comme je me fais à moi-même quand je me donne du plaisir solitaire. Elle est réactive puisque j’entends sortir de sa bouche un petit souffle de plaisir.
— Ça va comme je fais ? — Hum... Oui, tu me branles bien le clito. Tu sais y faire toi aussi ! — Tout comme toi, c’est une première pour moi. Mais je reproduis ce que je me fais quand je suis toute seule. — Alors continue comme ça, tu le fais très bien. — Je vais te lécher. J’en ai envie. — Hum... Oui, j’en rêve depuis si longtemps de me faire lécher par une fille.
Je m’agenouille entre ses jambes, prends dans mes mains ses chevilles pour les poser sur mes épaules, je découvre alors une chatte, juste devant mes yeux, mi-ouverte, luisante de mouille, rasée de près.
Mes lèvres commencent à glisser sur ses lèvres vaginales. Sa mouille s’étale sur ma bouche, l’odeur de gel douche et sa mouille donne une saveur que je découvre. Une saveur très agréable, un liquide épais mais bien moins que du sperme.
Ma langue s’aventure à cet endroit inconnu. Je forme une pointe avec le bout de ma langue et léchouille entre ses lèvres. Elle frémit. Une de ses mains caresse ma tête. Elle me motive à poursuivre ma caresse linguale.
— Nathalie, si tu continues comme ça, je vais crier ! — C’est vrai ? — Oui, tu me fais trop de bien ! — Tant mieux. J’adore le faire.
Mes lèvres, mes doigts, ma langue sont tous actifs sur et dans cette belle chatte. J’arrive à la faire jouir plusieurs fois.
Nous avons passé une bonne heure à nous faire du bien ainsi, avec nos bouches et nos doigts, à nous masturber mutuellement, côte à côte, face à face. Nous avons joui toutes les deux à plusieurs reprises.
Après un moment de douceur afin de reprendre nos esprits, nous allons dans la salle à manger pour boire de l’eau. Nous sommes restées nues, sur le canapé, à continuer à s’embrasser et se caresser.
— Nathalie ? Tu ne regrettes pas ? — Non, je ne regrette pas du tout. Et toi ? — Non, pas du tout. Cela ne fait pas de nous des lesbiennes. — Pas du tout ! Puis on était deux à en avoir envie. — Oui, tu as raison.
Il est pratiquement quatre heures du matin.
— Je te propose quelque chose Nathalie. On boit un verre, on fume on cigarette et on va dormir un peu. Mais j’aimerais que nous dormions dans le même lit au lieu que tu dormes sur le canapé. Puis tu y seras mieux. — Oui, allons jusqu’au bout de ce que nous avons commencé. Autant dormir ensemble.
Nous fumons une cigarette, toujours en s’embrassant, puis allons nous coucher.
Entre la soirée plutôt bien arrosée, nos ébats saphiques, dès que nous nous sommes couchées, nos petits yeux se sont fermés quelques secondes après avoir éteint la lumière.
10H00 du matin ! Je suis la première réveillée. Je vois à travers son store le soleil qui laisse quelques petites traces de lumière dans sa chambre. Je me tourne vers Sophie. Elle dort à poings fermés. Je me mets sur le dos et me remémore ce que nous avons fait toutes les deux.
Je suis complètement folle me dis-je ! Qu’est-ce que j’ai fait ? ! Je repense à nos baisers échangés, nos caresses, nos cunnilingus, nos doigts dans l’une et dans l’autre. Je me dis que je ne suis pas particulièrement attirée par les filles mais pourtant, qu’est-ce que j’ai aimé ! En faisant repasser des images de cette nuit sur son lit, j’ai comme une sensation que je suis en train de me mettre à mouiller. Sans mouvement brusque pour ne pas la réveiller, je glisse mon index entre mes lèvres vaginales. Je suis toute trempée !
En tournant la tête dans sa direction, je la regarde. Elle est sur le dos, elle respire fort. Un de ses seins est recouvert par la couette, l’autre est à l’extérieur. Tout en jouant avec mon clitoris du bout de l’index, je mouille de plus en plus. Je décide de la réveiller tendrement.
Je penche vers son sein découvert que j’embrasse et lèche avec la plus grande douceur que je peux donner. Elle gémit dans son sommeil. Ma main gauche s’aventure entre ses cuisses pour caresser sa petite chatte.
Elle ouvre les yeux, me sourit.
— Quel beau réveil ! Il y a longtemps que tu es réveillée. — Non, quelques minutes seulement. Mais tu sais quoi ? Je suis toute trempée. — Ah oui ? Si tu continues à ma caresser entre les jambes comme ça, je ne vais pas tarder moi aussi à être trempée. Ne t’arrête pas de me caresser, ça me donne du plaisir. Ne me laisse pas sur ma faim ! Hein ! — Je n’ai pas l’intention de te laisser sur ta faim.
Sans lui laisser le temps de dire un mot, je pousse la couette jusqu’à ses chevilles, m’installe entre ses jambes. J’ai la curiosité et l’envie de lui prodiguer un cunnilingus, mais aussi pour découvrir le goût que peut avoir sa chatte au réveil.
Ma langue passe et repasse partout, et, d’entrer au maximum que je le peux à l’intérieur. Ma langue tendue est tirée autant que je le peux, je simule une pénétration en faisant faire des allées et venues. Elle jouit fort à plusieurs reprises.
Notre étreinte matinale s’achève avec une position en 69 dans laquelle nous avons joui toutes les deux en même temps.
Après avoir pris une douche toutes les deux, nous prenons un café. Il est bientôt midi, il va être temps que Sophie me ramène à la maison.
Devant chez mes parents, elle me fait la bise comme une copine peut le faire.
— Nathalie ? Ça te dirait qu’on se revoit ? — Franchement oui. — Ce serait bien qu’on s’amuse la prochaine fois avec des jouets. Non ? — Ce serait super oui ! Mais faut pouvoir en acheter. — Je vais voir ce que je peux faire pour en trouver. — D’accord. On va se revoir alors. Bisous et merci pour ces moments. J’ai adoré. — Moi aussi j’ai adoré. A refaire ! — Ouiiiiii.
Quelques semaines après, nous nous sommes effectivement revues.
La suite au prochain épisode ?
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