Après une bonne nuit de sommeil et une journée studieuse, je me dirigeais donc vers le Plaza Athenée à l’heure convenue. C’était bien la première fois que je pénétrais dans un hôtel si prestigieux. J’étais dans mes petits souliers, impression sans doute également renforcée par l’appréhension de cette deuxième rencontre. Car je n’étais pas encore une professionnelle de ce type de rendez-vous et même si ma copine m’avait rassuré, je me demandais sincèrement sur quel personnage j’allais tomber. En entrant dans l’hôtel, j’arrive dans un majestueux hall et, un peu perdue, je demande à la conciergerie où se trouve le bar de l’hôtel car j’y ai un rendez-vous. Je sais, cela fait un peu provincial mais, après tout, nous sommes tous des provinciaux à Paris, non ? Après m’avoir dévisagé de haut en bas (je me suis pourtant bien fringuée, j’ai une jolie robe noire avec une veste noire par-dessus et mes escarpins noirs, je suis maquillée mais pas trop donc je n’ai pas l’impression d’afficher le métier que je fais à temps partiel sur mon visage – Qu’est-ce qu’il a à me dévisager ainsi, lui ?), le concierge me répond que le bar est juste en face de moi ! Bon, OK, j’ai perdu une occasion de me taire ou de passer pour la gourde de service ! Je me dirige donc face à moi vers le bar et entre dans un lieu magnifique, mélange de classicisme avec ses boiseries et de modernité, notamment avec ce comptoir de bar ultra-moderne que l’on dirait fait de glace, une musique très actuelle, le tout conférant à cet endroit une ambiance très lounge new-yorkaise (Euh, je ne suis jamais allé à NY mais au travers des films que j’ai pu voir, je considère que les bars doivent être ainsi là-bas). Il y a là quelques couples, des businessmans et aussi quelques femmes seules. Le bar n’est pas plein mais pas vide non plus. Comment je vais reconnaître ma « cliente » dans tout ça ? La patronne m’a dit qu’elle m’attendrait, assise au comptoir du bar et vêtue d’un tailleur rouge. Justement, il y a au fond du bar une femme assise sur un tabouret du bar devant une coupe de champagne, vêtue de rouge, qui me regarde depuis que je suis entrée en me faisant un grand sourire (Je vous rassure, il y a aussi pas mal d’hommes qui me regardent, quand je vous dis que je plais aux hommes !).C’est forcément elle ! Me dis-je. Ouah ! Mais c’est qu’elle est canon, avec ses grands cheveux châtains foncés et ses yeux bleus ! Et oui, elle doit avoir la trentaine ! C’est elle ! Yes ! Elle est beaucoup mieux que ma première cliente ! Et beaucoup plus jeune !Je me dirige donc vers elle tout en lui rendant son sourire. Elle me dit : — Sophie ?— Oui, c’est moi !— Je suis enchantée de te rencontrer. Moi, c’est Anne !— Bonjour ! Dis-je timidement tout en la dévisageant complétement. Non seulement elle a un beau visage mais elle est également plutôt bien foutue ! Cool ! Non seulement je vais me faire 350 € mais en plus je me ferai baiser par un canon ! Elle est pas belle la vie ?— Mais tu es absolument magnifique, Sophie ! me dit-elle tout en me faisant tourner sur moi-même. Tu es vraiment une très belle fille ! (Merci M’dame)— Vous êtes très jolie, vous aussi ! Tente-je de répondre d’une toute petite voix en me disant intérieurement qu’en plus, elle est très classe.— Assieds-toi sur le tabouret à côté de moi. Veux-tu également une coupe ? Euh, l’alcool n’est pas trop mon fort mais bon, je vais faire une exception. En plus, du champagne dans un endroit aussi sympa, ce serait bête de refuser, non ? Donc je lui réponds oui. En m’asseyant, je me rends compte que de nombreux yeux sont braqués sur nous, à majorité masculins mais également féminins.Après avoir commandé la coupe au serveur, elle me remet une enveloppe (mon cachet en quelque sorte) que je mets aussitôt dans la poche de ma veste (Et oui, ce coup-ci, j’y ai pensé et je suis venu avec des vêtements avec des poches !). Puis, tout en buvant nos coupes respectives, nous discutons de tout et de rien et surtout je l’écoute qui me raconte un peu sa vie. Elle a 32 ans, travaille dans un cabinet de conseil en stratégie, vit à Londres et voyage aux 4 coins du monde pour son boulot (Tu en as de la chance ! me dis-je intérieurement, j’aimerais avoir un job qui m’amène à voyager partout dans le monde !). Elle a été mariée trois ans à l’âge de 26 ans puis a divorcé (comme quoi, il ne faut pas se marier trop tôt !), a eu quelques aventures éphémères (femmes et hommes) avant de se mettre « en ménage » avec une femme puis de casser au bout de 2 ans car elle trouvait sa partenaire trop envahissante. Et maintenant, elle a décidé de considérer le sexe comme un bien de consommation comme un autre, c’est-à-dire qu’elle en achète quand elle en a envie ! me dit-elle. — Et toi Sophie ? Cela fait longtemps que tu fais ce métier ? Car je ne t’avais jamais vu auparavant ! Je lui explique que je fais « ce métier » depuis moins de 72 heures et qu’elle va être ma deuxième cliente… ce qui la fait beaucoup rire et la ravie également me dit-elle. Nous passons vraiment un très bon moment toutes les deux, ainsi installées dans ce bar, j’apprécie beaucoup sa conversation et je la trouve définitivement très belle. Entre-temps, elle m’a déjà recommandé une deuxième coupe et elle doit en être à sa troisième ! Le bar s’est un peu vidé. Tout en continuant à discuter, elle a posé sa main sur ma cuisse et commence à me caresser tout en remontant sa main ! Bon, il faut peut-être que je lui explique qu’on n’est pas toutes seules, que certains se sont arrêtés de discuter et nous regardent obstinément (le spectacle est certainement très beau à voir), que moi, peut-être contrairement à elle, personne ne sait que je suis lesb, et qu’en plus, mais ça c’est fort peu probable, il y a peut-être des gens qui me connaissent dans ce bar. Je n’ai pas vraiment eu le temps de checker en arrivant, surtout avec cette lumière tamisée! Bref, que je ne me suis jamais affichée ainsi ! Mais ça a l’air d’être le cadet de ses soucis. Tout en continuant à me caresser ainsi, je la vois qui approche son visage du mien et qui commence à m’embrasser sur la bouche ! Bon, là, m’sieurs, dames, plus de doute, nous sommes bien deux lesbiennes en train de nous chauffer ! (Heureusement qu’ils ne savent pas qu’en plus, elle m’a payé pour ça, sinon on me foutrait dehors illico, je suis sûre). J’ose même pas lever les yeux car ce coup-ci, c’est certain, tous les yeux sont braqués sur nous ! Même le serveur ne s’est plus où se mettre (mais il nous observe quand-même du coin de l’œil le petit vicieux !) Il faut dire que c’est très sensuel, en plus, Anne embrasse divinement bien et j’aime son jeu de langue avec la mienne. Elle me plait vraiment cette cliente ! Après ce long baiser langoureux qui m’a définitivement plu, Anne me murmure à l’oreille qu’elle a très très envie de moi et qu’elle m’invite à la suivre dans sa chambre. Ben oui, le boulot, ce n’est pas que boire des coupes de champagne dans un endroit ultra branché ! Et cela fait bientôt une heure que nous sommes installées au bar à discuter. Nous redescendons de nos tabourets respectifs et de là, elle me prend la main pour m’emmener dans sa chambre. Bon, traverser un bar comme celui-là main dans la main avec une fille qui vient de vous embrasser, je vous avoue, j’aimerais bien d’un seul coup être toute petite et que personne ne me voit car personne ne doit avoir de doutes quant à ce qu’on s’apprête à aller faire... Elle, à priori, cela ne la dérange absolument pas ! J’aime son côté « J’assume ce que je fais ». Heureusement, il y a quand-même beaucoup moins de monde mais malgré tout, je vois un groupe d’hommes d’affaires qui ont arrêté de discuter depuis un bon moment et qui nous regardent en souriant. Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs. D’autres nous regardent également. Il faut dire qu’ils ont là deux très jolies filles. Je décèle dans leurs regards une pointe d’envie et/ou de jalousie ! Pour moi ? Pour elle ? Pour nous deux ? Anne, cela la fait beaucoup rire !
Ouf ! Nous voilà sorties du bar. Nous sommes maintenant dans le Hall de l’hôtel et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Anne appelle l’ascenseur qui n’est pas là. En l’attendant, elle continue à m’embrasser avec sa langue chaude que j’aime définitivement bien, j’y prends aussi du plaisir. En même temps, elle me caresse mes cuisses et remonte vers mes fesses, ce qui a pour conséquence de remonter ma robe. Bon, je t’aime bien Anne mais je te signale que là, étant donné que je porte un string, j’ai les fesses à l’air, au vu de tout le monde et notamment du concierge de l’hôtel. Heureusement que je suis de dos et que je ne peux pas voir si il nous observe ! Je me demande si elle ne le fait pas exprès ! Enfin, l’ascenseur ! Nous nous engouffrons toutes les deux dans ce satané ascenseur tout en continuant à nous embrasser goulûment ! Anne appuie sur l’étage 5, les portes se referment. Et elle continue à me dévorer, remonte ses mains pour me ôter ma veste qui tombe par terre. Elle me dézippe ma robe ! Euh, dis-moi Anne, ta chambre, c’est quand-même pas la cage d’ascenseur ? Car là, je vais finir à poil et des gens pourraient nous surprendre, non ? Evidemment, ça n’a pas loupé, ma robe tombe à mes chevilles, aidée, je dois l’avouer, des mains de Anne. Mains qui se plaquent immédiatement sur mon sexe (heureusement, j’ai encore mon string). Houlà, ça va être chaud ! L’ascenseur s’arrête ! J’ai à peine le temps de ramasser mes affaires qu’Anne me tire par la main vers le couloir. Je suis quasi nue, en string et soutien-gorge, bas mi-cuisses et escarpins. J’espère qu’il n’y a pas de caméras dans les couloirs de l’hôtel, sinon il y en a qui vont se rincer l’œil ! Et pourvu que l’on ne croise personne, à cette heure, les gens normaux dorment, non ? Et bien non ! Il faut que nous tombions sur un homme qui sort de sa chambre (Bonjour M’sieur !) qui évidemment est un peu étonné, on le serait à moins ! Forcément, deux superbes filles qui se tiennent par la main et se dépêchent de rejoindre leur chambre, l’une à moitié à poil, ça a de quoi perturber le commun des mortels ! Il nous fait un grand sourire. Non, désolé, cela ne marche pas, vous ne viendrez pas avec nous !Arrivées devant sa chambre, Anne introduit sa carte dans la serrure tout en continuant à m’embrasser et en dégrafant en même temps mon soutien-gorge. La porte s’ouvre, Anne me porte dans ses bras (Eh, musclée !) tout en fermant la porte avec son pied et me jette sur le lit de la chambre. Ouah ! La chambre ! Je suis impressionnée par cette chambre qui doit faire près de trois fois mon studio en surface, par son luxe et sa décoration très vieille France mais très belle, et aussi ses deux fauteuils faisant face à un canapé, séparés par une table de salon. En fait c’est une chambre plus un salon ! Ayant atterrie sur le lit sur le dos, je vois en levant la tête un splendide lustre de cristal au plafond. Mais bon, je n’ai pas trop le temps de détailler la pièce car après m’avoir jetée sur le lit, Anne m’a déjà retiré mes escarpins et vient littéralement de m’arracher mon string. Je suis étendue nue sur ce lit qui est vachement grand en plus ! Mais je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle qu’Anne a déjà remis sa langue dans ma bouche et tout en jouant avec ma langue commence à caresser mes seins et mon buste. Elle me souffle à l’oreille qu’elle adore mon corps et qu’elle n’a jamais baisé une fille aussi belle (Moi non plus, je n’ai jamais fait l’amour avec une aussi belle fille, car entre les deux ou trois copines qui m’ont initiée aux plaisirs saphiques, ma première « cliente » et elle, il n’y a pas photo !). Mon amour-propre est au beau fixe. Je crois que je ne vais pas m’ennuyer ! Je sens d’ailleurs une certaine excitation monter dans mon ventre que je pense Anne ressent également. Elle descend d’un étage et commence à me lécher les seins et me mordiller les tétons tout en mettant sa main sur mon sexe et en me murmurant qu’elle a énormément de plaisir avec mes seins. D’elle ou de moi, je me demande laquelle est la plus professionnelle. Je mouille déjà ! Sa façon de caresser mes seins, de me les lécher, de les mordiller, j’adore ! Et en même temps, après avoir caressé mon sexe dans son ensemble, elle est en train d’exciter mon clito ! Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là ! Je sens mon sexe qui se remplit de cyprine. D’ailleurs, Anne descend encore d’un étage et se met à lécher le trop plein puis mes lèvres et mon clito. Humm, que c’est bon ! Je me laisse complètement aller entre ces doigts et cette langue experts et je prends vraiment mon pied. Elle n’a évidemment aucun mal à introduire 2 doigts dans ma grotte et commence un va-et-vient qui m’amène rapidement à ressentir l’un de mes premiers orgasmes. Je crie de plaisir, sans d’ailleurs craindre pour la tranquillité des voisins, vu l’épaisseur de la moquette et des murs de cette bâtisse ! Puis je sens sa main glisser sous mes fesses et commencer à m’exciter le rectum avec l’un de ses doigts. Rapidement, je sens qu’il s’introduit par la petite porte sans aucun mal, à croire que je l’attendais ! Et deux doigts de son autre main réintègrent ma grotte et recommencent leur va-et-vient alors que sa langue excite au plus haut point mon clito ! Je suis au 7eme ciel et je hurle de plaisir ! Avec aucun mec, je n’avais jamais ressenti cela ! Et j’ai même le droit à mon deuxième orgasme, coup sur coup ! Moi, qui n’en avais quasiment jamais connu avant ! Anne se rallonge à mes côtés tout en continuant à me caresser partout et je ne peux m’empêcher de l’embrasser sur la bouche. Jamais je n’aurais pensé avoir une telle sensation avec une fille. Moi aussi, je commence à la caresser, notamment ses seins que je trouve vraiment très beaux même si ils sont plus petits que les miens. Elle m’invite à continuer, je m’allonge sur elle puis descends ma bouche sur son cou, ses oreilles, ses épaules et rapidement ses seins. J’adore son grain de peau et son parfum ! C’est un véritable plaisir que je n’aurais jamais soupçonné si je ne l’avais pas essayé. Je sens qu’elle aussi commence à ressentir du plaisir, ce qui me réjouis (N’oublions pas qu’à la base, je suis là pour lui distribuer du plaisir et pour le moment, c’est plus elle qui m’en a donné, même si visiblement, elle y a pris son pied !). Ma langue continue à descendre sur son nombril alors que je sens ses mains qui continuent à me caresser les fesses alors que je redresse mon bassin pour pouvoir continuer à descendre ma bouche le long de son corps, l’une de mes mains caresse déjà ses parties les plus intimes que je sens très humides. Anne est haletante et je décide de lui asséner le coup de grâce. Tout en lui massant le clito, je passe ma langue dans toutes les parties humides ! Mais dis-donc, c’est que j’aime ce goût de son intimité (ma dernière expérience en la matière était le cunni que j’avais fait lors de mon premier rendez-vous à une femme d’une cinquantaine d’années et ce n’était vraiment pas pareil !) Je décide de lui introduire un doigt dans son vagin afin de l’exciter davantage par des petits va et vient. Elle jouit et cela me fait très plaisir. Je relâche l’étreinte afin qu’elle et moi puissions reprendre nos esprits et vient m’allonger à ses côtés. J’aime définitivement son odeur.Après quelques instants, Anne me dit : – Ces émotions m’ont donné faim ! Pas toi ? Que dirais-tu d’une petite assiette de sashimis ? Moi, j’adore la cuisine japonaise donc j’acquiesce de joie. Elle prend le téléphone à côté du lit et commande au room service une assiette de sashimis, des fraises et une bouteille de champagne. Voilà qui promet un petit dîner assez sympa, non ?Après avoir raccroché, elle se retourne vers moi et se met à me caresser alors que je suis de côté, tournée vers elle. Elle me caresse tout le corps, les fesses, les cuisses puis revient aux fesses. Elle me dit qu’elle aime mon cul et me demande de me mettre en levrette, tête posée sur les draps du lit. Donc fesses bien exposées ! Je m’exécute. Le lit étant tellement grand, elle se met à genoux derrière moi et commence à me lécher les fesses avant carrément de les mordiller à la limite de les mordre (En effet, tu sembles avoir très faim Anne, mais je te rappelle que ton repas va arriver d’une minute à l’autre. Inutile de croquer l’une de mes fesses !). Puis tout en me massant les fesses avec ses deux mains, elle approche sa langue de mon petit trou et commence à le lécher en faisant tourner sa langue autour, au centre, tout en tirant de chaque côté de mes fesses avec ses mains. Elle essaie de rentrer sa langue à l’intérieur. Je ressens la chaleur de sa bouche et cela m’excite une nouvelle fois. Elle me tapote chaque lobe puis introduit un doigt et commence un va et vient tout en me donnant par moment des coups de langue et en continuant à me mordiller les fesses (C’est sûr, maintenant, je dois avoir les traces de ses dents sur certaines parties de mes fesses !). Rapidement, je la sens essayer d’introduire un deuxième doigt, ce qu’elle n’a finalement aucun mal à faire de par l’excitation de mon petit et probablement son état avancé de dilatation…Elle me demande si j’aime (Je lui réponds que, oui, cela m’excite beaucoup) tout en continuant son petit jeu de va-et-vient. On frappe à la porte et j’entends une voix masculine dire « Room service ». Anne retire ses doigts de mon petit trou, lui donne un baiser puis me dit de ne pas bouger et de rester dans cette position. Elle se lève du lit, va dans la salle de bain, ressort vêtue d’un peignoir de l’hôtel et se dirige vers la porte de la chambre pour récupérer notre dîner. Je l’entends ouvrir la porte, dire bonjour puis un chariot de vaisselle rouler sur la moquette de la chambre. Tiens, je n’ai pas entendu la porte de la chambre se refermer. Je tourne ma tête, qui est toujours posée sur les draps, en direction de l’entrée de la chambre et vois un maître d’hôtel en train de pousser le petit chariot pour l’amener vers la table du salon derrière le lit ! (Ah non Anne, je pensais que tu allais juste récupérer le plateau mais pas laisser rentrer le maître d’hôtel dans la chambre tout de même ! J’en ai marre, moi, de montrer mes fesses au premier venu ! Il y a déjà eu la mégère de l’agence immobilière puis le concierge de l’hôtel et maintenant le room service !). Evidemment, il a une vue imprenable sur le cul d’une fille en position de levrette avec des traces de morsures sur ses fesses ! Aucun doute possible quant à l’activité à laquelle nous nous consacrions avant qu’il ne frappe à cette porte ! La situation a de quoi le faire sourire j’imagine (Et moi, je ne sais plus quoi faire – Je n’ai toujours pas bougé comme me l’a demandé Anne) mais non, lui reste imperturbable, stoïque et cette situation cocasse n’a pas l’air de l’émouvoir plus que cela ! A croire qu’il en a vu d’autres…En tout cas, il ne laisse rien apparaître. Je croise le regard d’Anne qui est derrière lui et je vois dans ses yeux et au travers de son sourire que, elle, cette situation l’amuse beaucoup ! Elle lui demande d’ouvrir la bouteille de champagne et de la remettre dans le seau à glace puis se dirige vers son sac à main, en sort son portefeuille et y prend un billet (Plus vite Anne, s’il te plait !) qu’elle va ensuite lui donner avant de le raccompagner à la porte de la chambre. Je la vois revenir dans la chambre, toute fière d’elle, et éclater de rire. Elle me dit qu’en sortant de la salle de bains et en voyant un aussi beau corps dans cette position, elle n’a pu résister à l’envie de m’exhiber ainsi et que cela l’a beaucoup excité ! J’en souris ! Puis elle laisse tomber son peignoir sur le sol, elle est vraiment très jolie toute nue, et se dirige vers le chariot pour servir une coupe de champagne qu’elle porte à ses lèvres tout en continuant à me mater dans cette position. Je pensais que nous allions passer un moment de convivialité autour de cette bouteille de champagne mais, bon, a priori, elle entend la garder pour elle ! pense-je. Elle s’assied sur le bord du lit, trempe ses doigts dans le verre puis me les porte à la bouche pour que je lui suce, ce que je fais car en plus, je commence à avoir soif. Elle répète l’opération plusieurs fois avant de boire à nouveau une gorgée puis se lève et vient s’agenouiller derrière moi. Je sens qu’elle verse au goutte à goutte du champagne dans le haut de ma raie (Voilà mes fesses baptisées au champagne !) qui, bien évidemment, coule le long de ma raie pour descendre vers mon anus et mon vagin. Cette sensation de froid est très agréable. Je sens ensuite le contact de sa langue chaude qui remonte de mon vagin vers mon petit trou tout en léchant le liquide qu’elle a laissé couler et qu’elle continue de reverser dès qu’il n’y en a plus sur moi. Ce petit jeu a l’air de beaucoup l’amuser et, en ce qui me concerne, cette sensation de liquide froid / chaleur de sa langue est très agréable, d’autant que ses coups de langue sur mon sexe et mon anus m’excitent à nouveau. Au bout de 5 minutes de ce petit jeu, elle se lève et va chercher l’assiette de sashimis ainsi que les baguettes pour les manger tout en se resservant une coupe (Bah oui, à force de la verser sur moi, la coupe est vide !) et vient se rassoir à côté de moi. Elle commence par porter une tranche de poisson cru à sa bouche à l’aide des baguettes puis m’en tend également une. J’adore le poisson cru, cette sensation de fondant dans la bouche est des plus agréables, même si ce n’est pas évident d’avaler quand vous avez la tête à l’envers. Elle me redonne du champagne avec ses doigts puis retourne s’agenouiller derrière moi, l’assiette de sashimis et le verre de champagne dans chaque main. Ensuite elle s’amuse à un petit jeu qui consiste à poser des tranches de saumon, thon et dorade crus sur mes fesses et de venir les manger avec sa bouche. Sa langue vient me réchauffer le petit trou, elle l’excite à nouveau et commence à y introduire à nouveau un doigt puis un deuxième. Elle essaie d’écarter les deux doigts et je sens qu’elle y fait rentrer à l’aide des deux baguettes un morceau de poisson. Puis elle retire les baguettes et ses doigts et je sens sa langue s’approcher pour lécher mon petit trou et venir grignoter le morceau de poisson qui, je le sens, doit être moitié à l’intérieur, moitié à l’extérieur. Elle me dit qu’il a encore meilleur goût ! Et recommence l’opération deux fois encore. Après cet amuse-bouche, c’est le cas de le dire, elle me fait allonger sur le dos et me dit qu’elle a envie de me dévorer toute crue puis vient me sucer la chatte avant de verser une petite quantité de champagne qu’elle s’empresse de lécher. Je mouille à nouveau. Elle dépose au centre de mon con une tranche de thon qu’elle vient ensuite lécher puis ramasser avec sa langue et ses dents. Comme cela à l’air de l’exciter tout autant que moi, elle continue de la même façon avec d’autres morceaux de poisson qu’elle place indifféremment sur l’un de mes seins, mon nombril ou ma chatte. Je suis devenue un véritable garde-manger ! Elle m’en met également un à la bouche que je n’ai pas le temps d’avaler car elle l’a déjà récupéré. Elle me dit qu’il est peut-être temps de passer au dessert et se lève pour aller chercher l’assiette de fraise. Elle vient s’asseoir à califourchon sur mon buste, prend une fraise entre ses dents et l’approche ainsi de ma bouche. Je commence à sucer cette fraise et ses lèvres avec mes lèvres puis réussis à récupérer une moitié de la fraise. Elle avale l’autre moitié et me dit que cela est trop bon. Nous renouvelons l’opération deux fois de suite avant qu’elle ne décide de me verser le jus des fraises sur mes seins pour ensuite venir le récupérer avec sa langue. Tout en descendant légèrement le long de mon corps, toujours à califourchon, je la vois tremper une fraise dans son verre avant de venir me l’écraser sur le ventre avec ses doigts. Je deviens toute collante ! Sa langue vient happer le fruit avant que sa langue ne me nettoie. Anne a l’air très heureuse et très excitée de ce qu’elle fait, elle rit et me sourit beaucoup. Et la voir ainsi me comble également de bonheur. A priori, elle a encore d’autres idées car je la vois se lever et récupérer sur le plateau le pot de crème chantilly ! Elle revient et se met à genoux entre mes cuisses. Elle prend avec son doigt de la crème qu’elle vient ensuite étaler dans ma chatte et renouvelle l’opération jusqu’à ce qu’il y ait une quantité suffisante selon elle. Puis elle prend des petits morceaux de fraise qu’elle vient ensevelir dans son « pot » de crème, à plusieurs endroits différents de ma chatte. Elle y verse même le reste du jus de fraise. Comme tout cela m’a bien excité, je suis évidemment encore mouillée et je n’ose imaginer le mélange que tout cela va donner ! Elle me dit qu’il est temps maintenant de mixer le tout, se lève et va récupérer de son sac de voyage un gode de petite taille qu’elle lèche avant de me l’introduire dans ma grotte. Puis, ce que je n’avais pas vu car je ne suis pas une spécialiste de ce genre d’objets, elle le met en route car il s’agit d’un gode à pile et il se met à vibrer dans mon vagin. Et comme elle lui fait faire des va-et-vient en moi, le plaisir me monte très rapidement pour arriver à la jouissance ultime ! Satisfaite, elle arrête le gode et me le retire avant de venir ramasser avec sa langue la « préparation » à base de crème fraiche, fraise, jus de fraise et cyprine. Elle me dit que cela a un goût trop délicieux, en prend d’ailleurs sur son doigt qu’elle me porte à la bouche. Je lui suce le doigt et goûte ainsi à ce curieux dessert à base de mon intimité ! Humm ! Pas mauvais ! Nous rions toutes les deux. Comme elle en a encore plein les lèvres et le menton, je lui dis de venir pour que je puisse lui retirer avec ma langue. Puis elle me dit : « Toi aussi, tu as peut-être encore faim. Après tout, tu n’as pas beaucoup mangé ! » - Ah oui, c’est vrai que je n’ai pas pu avaler grand-chose, vu la position dans laquelle j’étais ! Elle me tend sa coupe, vide, et s’allonge sur le dos près de moi. Je me lève pour aller remplir le verre puis vient à nouveau m’allonger sur elle et je commence à lui verser un peu de champagne sur ses lèvres et sa bouche que je m’empresse de récupérer en lui faisant tourner ma langue dans sa bouche. Je laisse également couler un peu de champagne sur ses seins que je m’empresse de lécher puis sur le nombril et enfin son sexe ! Comme elle est toute mouillée, le goût de sa cyprine mêlé au champagne donne un cocktail des plus étonnants mais aussi des plus exquis ! Je me délecte de ce cocktail puis, comme j’ai une petite faim, je pose un morceau de poisson cru sur son sexe et introduis ensuite deux doigts dans sa grotte pour l’exciter davantage. Cela ne manque pas et elle mouille davantage. Je relâche la pression en retirant mes doigts puis viens récupérer mon morceau de poisson, maintenant qu’il est cuit dans son jus ! Voilà une recette bien étonnante, je vous l’avoue, mais quel délice que ce poisson à base de nectar de fille ! J’ai de vrais talents de cuisinière ! Comme elle l’a fait pour moi, je réitère l’opération plusieurs fois car je sens qu’elle y prend, elle aussi, beaucoup de plaisir. Et lui donner du plaisir me ravit ! Ainsi repue (j’ai toujours eu un petit appétit !), je viens m’allonger à ses côtés et elle en profite pour me caresser à nouveau le long de mon corps. Nous restons quelque temps ainsi, sans parler. Puis elle me dit qu’il est bientôt 1 heure du matin. Quoi, 1 heure du mat ? Je n’ai pas vu le temps passer et cela fait donc pratiquement 3 heures que je suis avec elle ! Voilà que je fais des heures sup ! Et je ne peux pas lui demander une rallonge ! Même si j’ai entendu dire « Travailler plus pour gagner plus ! ». Et puis, honnêtement, j’ai passé un tel bon moment, dans un endroit si luxueux (c’est sûr qu’elle ne doit pas avoir le même rapport avec son banquier que moi avec le mien…), à boire du champagne et manger, et j’aime tellement Anne ! Houlà ! Il faut que je fasse attention moi ! Il ne faudrait pas que je tombe amoureuse de mes clientes tout de même ! Oui, mais j’aime vraiment son corps à cette fille ! J’aime son goût ! J’aime la manière dont elle m’a baisé ! Elle me propose d’aller prendre une douche avant de partir, ce qui n’est pas de refus car je me sens toute collante et j’ai aussi pas mal transpiré ! Nous nous levons, nues toutes les deux, et elle m’accompagne à la salle de bain. Ah ? Je te vois venir, tu vas vouloir prendre une douche avec moi ! OK ! Nous rentrons dans la salle de bain. Ouah ! Je suis impressionnée. Je n’ai jamais vu de salle de bain si grande et toute de marbre. Là encore, c’est magnifique ! Elle commence à faire couler l’eau de la douche pour la porter à bonne température alors que j’observe le luxe inouï de cette salle de bain (Oui, ça va, je sais, ça fait encore provinciale !) puis m’invite à aller sous la douche. Je m’exécute puis c’est elle qui me rejoint et commence à me caresser les cheveux, le visage et descend progressivement ses mains tout le long de mon corps tout en me frottant en s’attardant sur mes seins puis ma chatte et mes fesses. Ensuite, nous nous embrassons assez longuement sous la douche tout en caressant les fesses de l’autre, cela me fait vraiment du bien. Enfin, elle ferme le robinet de la douche, sort de la douche et prend une grande serviette avec laquelle elle m’essuie les cheveux avant de me la porter autour du corps tout en me frottant pour me sécher comme si j’étais sa petite fille. Je me dirige vers la chambre afin de récupérer mes vêtements qui jonchent le sol, elle en profite pour me donner une petite claque sur les fesses ! « J’aime ton petit cul » me dit-elle ! Merci ! Alors que je suis en train de me rhabiller, elle me dit qu’elle part demain en déplacement pour une semaine et qu’elle compte bien me revoir dès son retour à Paris (Génial, je suis déjà rebookée ! Et en plus avec une cliente qui m’a donné énormément de plaisir. Je l’aime vraiment, cette belle Anne ! Zut, je crois que je suis vraiment en train de tomber amoureuse d’elle ! Et je ne pense pas que ce soit compatible avec le métier que j’exerce !). Je lui fais d’ailleurs part de ma joie de la revoir. Elle me demande si j’ai d’autres rendez-vous prévus d’ici-là. Je lui dis que pour le moment non mais que j’ai convenu avec ma patronne de trois rendez-vous par semaine et que de ce fait, je devrais en avoir deux d’ici son retour. Elle me sourit et me répond que cela l’excite mais avec une pointe de jalousie, qu’elle m’imaginera avec ces femmes inconnues pendant son absence et qu’elle veut que je lui raconte lorsque nous nous reverrons la semaine prochaine. Alors que j’ai fini de me rhabiller et que je me dirige vers la porte de la chambre, Anne m’enlace tendrement et me dit qu’elle a passé un très bon moment et qu’elle est très contente de m’avoir rencontré. Et qu’elle ne désirerait qu’une seule chose, c’est pouvoir m’emmener avec elle en voyage. Mais dis-moi Anne, ne serais-tu pas toi aussi en train de tomber amoureuse ? En tout cas, pour le voyage, c’est quand tu veux ! Tu n’as qu’à me siffler et j’accoure dans la minute ! Je n’en aurai vraiment pas pour longtemps à faire ma valise ! Après un encore long baiser, je la quitte et me dirige vers l’ascenseur (ce coup-ci, je suis habillée et ne crains plus qu’on me voit, quoique une fille sortant d’une chambre à cette heure-là ne fait aucun doute quant à son activité…). Arrivée dans le hall de l’hôtel, je remarque que le concierge est encore là. Lui aussi me regarde et me sourit (C’est vrai qu’il connait mes fesses, lui aussi ! Il les a vu tout à l’heure ici-même…). Je rougis en y repensant et lui réponds par un sourire de politesse. Une fois dans la rue, je décide de héler un taxi pour rentrer chez moi. Je suis fatiguée et il est tard ! Mais quel plaisir j’ai eu !