Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 170 J'aime
  • 9 Commentaires

Ma première expérience d'Escort Girl Lesbienne

Chapitre 5

Lesbienne
Me voilà donc sur le chemin de mon 4e RdV d’Escort-Girl pour dames !
J’arrive à l’hôtel que m’avait indiqué ma Boss, rue de Vaugirard. J’entre et comme indiqué dans le sms qu’elle m’a envoyé, je me dirige vers l’ascenseur à ma droite et appuie sur le bouton du 3e étage.L’hôtel, même si il est de bonne facture, n’a rien à voir avec le Plaza Athénée !
Arrivée à l’étage demandé, je sors et longe le couloir jusqu’à arriver au numéro de chambre indiqué dans le sms. Je frappe à la porte et quelques instants après, une femme d’une quarantaine d’années m’ouvre et me laisse entrer. Elle est brune, cheveux mi-longs, yeux marrons et elle me paraît assez froide et sévère. Elle ne me met pas vraiment à l’aise ! Mais bon, le boulot, c’est le boulot !
Après avoir refermé la porte, elle me déshabille de la tête au pied avec son regard, semble satisfaite de l’ensemble et, enfin, me sourit ! De mon côté, je découvre cette chambre qui me semble bien petite comparée à celle d’Anne, avec juste un lit et en face un bureau le long du mur et deux fauteuils.
— Bonjour ! J’espère que je vais passer un bon moment avec toi ! me dit-elle— Bonjour ! Je suis là pour ça. Lui réponds-je
Elle me donne une enveloppe que je mets directement dans mon sac, m’attrape par le bassin, m’attire vers elle et commence à m’embrasser tout en me pelotant les fesses au travers de ma jupe. Oui, aujourd’hui, j’ai mis une jupe qui m’arrive au-dessus du genou, un tee-shirt, des escarpins et bien sûr, un string et un soutien-gorge en dentelles.
A peine ai-je eu le temps de la laisser jouer de sa langue avec la mienne qu’elle me retire mon tee-shirt. Bon, a priori, c’est une cliente pressée ! Cela se confirme avec la jupe que je sens qu’elle me déboutonne et dé zippe de telle manière que celle-ci glisse le long de mes cuisses. Me voilà en petite tenue moins de 5 minutes après mon arrivée. Elle veut vraiment rentabiliser son investissement pense-je intérieurement. En tout cas, on est loin de la sensualité de la rencontre que j’avais eu avec Anne ! Elle continue à m’embrasser tout en glissant une main à l’intérieur de mon string. De son autre main, elle m’a déjà dégrafé le soutien-gorge que je lui laisse me retirer. Après, comme je pouvais m’y attendre, elle arrête de m’embrasser, s’agenouille et m’abaisse d’un coup sec le string.
— J’adore voir une fille à poil ! me dit-elle. (Oui, j’avais remarqué !). T’es bien foutue ! (Merci pour le compliment). Tourne-toi que je vois ton petit cul ! (Je m’exécute) Pas mal ! me dit-elle tout en prenant mes 2 fesses à pleine main, ce qui me fait frémir. En plus, elle sert fort et cela me fait mal ! Honnêtement, je me sens de moins en moins à l’aise car je la trouve très froide dans sa façon de me parler, dans le contact de ses mains sur mon corps. Et hop, une claque puis une deuxième puis une troisième sur mes fesses. Mais qu’est-ce qu’elles ont toutes à systématiquement vouloir me claquer les fesses ! Et je la sens qui continue à me mater tout le corps et je reste ainsi nue au milieu de la chambre 3 bonnes minutes.
Elle s’assied sur le bord du lit et me demande de m’approcher, ce que je fais bien évidemment, et là, elle me bascule en travers de ses cuisses. Je me retrouve dans la même position que lors de mon premier RdV avec la femme de l’agence immobilière. J’imagine qu’elle va me caresser les fesses et le petit trou avant de me doigter. Effectivement, elle commence à me caresser l’entre-jambes et les lobes de mes fesses puis fait passer un doigt le long de ma raie. Et d’un seul coup, elle commence à m’administrer des claques sur chacune de mes fesses par alternance. Au début, ce sont des petites claques mais plus ça va, plus elles sont fortes !
— J’adore fesser une jolie fille, surtout quand elle est cul nu ! me lance-t-elle. Je suis sûre que tu aimes te faire fesser ainsi, P’tite salope ! Moi, P’tite salope ? C’est bien la première fois qu’on me traite ainsi et cela ne me plait pas beaucoup. Mais bon, c’est elle la cliente, me dis-je, et si cela lui fait plaisir de me traiter de salope… J’ai de plus en plus mal et je sens que mes fesses rougissent ; en tout cas, elles me chauffent. En plus, je me sens un peu humiliée dans cette position de petite fille à qui on donne la fessée, en étant ainsi à sa merci vu ma position. Je sers les dents pour ne pas crier même si je pousse quelques gémissements de douleur à chaque fois que sa main tombe sur l’une ou l’autre de mes fesses. De temps en temps, elle alterne avec une caresse sur les fesses ou son doigt qui passe le long de ma raie en appuyant sur mon anus avant de finir par une caresse de l’entre-jambes. Enfin, elle semble se lasser car les fessées commencent à s’espacer.
Elle se relève et me demande de me mettre à genoux face à elle, fait glisser sa jupe et retire sa culotte.

— Tu vas me faire un petit cunni pour commencer ! me dit-elle tout en attrapant mes cheveux et me guidant vers son sexe. Elle tire sur mes cheveux, cela me fait mal et je n’aime pas ! Et puis, elle n’avait pas besoin de me guider ainsi, je l’aurais trouvé toute seule son clito, d’autant qu’étant à genoux, je suis pile à la hauteur de son sexe !Je commence donc mon jeu de langue sur ses lèvres, son bouton alors qu’elle continue à me tenir par les cheveux. Je joue avec ma langue et sens qu’elle commence à mouiller sévère ! C’est vrai que je deviens une experte du cunni ! Je passe également ma langue à l’entrée de sa grotte et recommence mon petit va-et-vient de langue entre ses lèvres, son clito qui ce coup-ci bande bien et sa grotte. Cela a l’air de la combler au moins !
— Va t’allonger sur le lit ! m’ordonne t-elle. OK M’dame ! Je m’exécute et m’allonge sur le lit.Pendant ce temps, je la vois qui retire son haut et son soutien-gorge puis se dirige vers sa valise qui est posée sur un meuble à côté du bureau et en sort une ceinture avec une espèce de pic au milieu. J’écarquille les yeux en me demandant de quoi il s’agit (En fait, c’est un gode-ceinture, je le découvrirai ensuite, mais jusque-là, je n’en avais jamais vu. Je ne savais même pas que ça existait ! ).
Elle se passe donc la ceinture autour du bassin et je comprends enfin que ce pic n’est en fait qu’un gode et qu’elle va donc vouloir me baiser ainsi. Par contre, c’est un sacré gode qui a le même aspect qu’un pénis ! Il doit faire 20 centimètres de long et 4 centimètres de diamètre !
— Ecarte les jambes et ramène tes pieds sur tes fesses ! me lance-t-elle encore. Puis elle vient s’agenouiller près de mon sexe, passe un doigt sur sa langue qu’elle dirige ensuite sur mon sexe. Elle commence à m’humidifier ainsi avant de carrément plonger sa langue sur mon abricot et de fouiller ainsi pour l’exciter. Oui, je commence à mouiller et à être excitée. Je pousse quelques halètements.
Elle doit considérer que je suis assez excitée car elle passe ses mains sous mes cuisses et dirige son sexe et donc le gode vers mon vagin. J’ai une certaine appréhension vu la taille de l’engin mais je ne dis rien. Elle commence à le rentrer, je pousse un petit cri, s’arrête quelques instants puis l’enfonce un peu plus dans mon vagin. Après une nouvelle petite pause, elle finit par l’enfoncer complétement et commence à m’asséner des coups de reins, comme si j’étais pénétrée par un sexe d’homme. Finalement, cela n’est pas si terrible et j’y prends un certain plaisir même si le contact n’est pas le même que celui d’un sexe ou même du gode d’Anne et que la taille fait que j’ai un peu mal ! En fait, j’ai l’impression de faire l’amour avec un mec, mais un mec plutôt bien bâti quand-même. (En tout cas, les copains que j’ai eu jusqu’à présent n’avaient pas de sexe aussi gros).
— Tu aimes ça, petite salope ! me dit-elle encoreJe n’aime définitivement pas cette relation où je suis traitée comme de la merde par une femme froide et très dominatrice. Et j’aimerais que tout cela s’arrête rapidement. Le fait de penser à la prochaine rencontre avec Anne me permet malgré tout de tenir et de faire bonne figure.Après m’avoir prise ainsi et bien « ramonée », elle me demande de me mettre à 4 pattes sur le lit. OK, toi, tu vas vouloir me prendre maintenant en levrette pense-je. Je me mets donc dans la position qu’elle m’a demandé et je sens qu’elle approche ses mains de mes fesses. J’espère qu’elle ne va pas recommencer à me fesser car là, je lui dirai stop !
— Ouah ! Tes fesses ont bien rougies ! me dit-elle. (Tu m’étonnes, vu la fessée que tu m’as administré, c’est bien normal !) Tu verras par la suite, elles n’en seront que plus fermes à force de recevoir des fessées ! (Ah bon ? Ca raffermit les fesses la fessée ?)Elle commence à les caresser puis s’attarde avec son doigt sur mon petit trou. OK, je te vois venir, tu vas vouloir me doigter avant de me prendre en levrette me dis-je.
Effectivement, cela ne loupe pas. Je sens un de ses doigts qu’elle a dû humidifier qui vient me titiller mon petit trou et essaie de rentrer. Bon, je dois avouer que moi qui n’avait jamais été doigtée avant de commencer ce métier, je me suis mise dans l’idée que c’était « normal » vu que 2 de mes 3 premières clientes l’avaient pratiqué sur moi et donc je me laisse faire. Je sens son doigt rentrer dans mon petit et commencer un mouvement de va-et-vient. Puis je sens qu’elle essaie d’introduire un deuxième doigt. Elle me claque une de mes fesses et me demande de détendre mon cul (je voudrais bien l’y voir !) puis je l’entends qui crache de la salive sur mon petit trou afin de l’humidifier plus encore et faire rentrer son deuxième doigt. Et elle recommence l’opération avec un troisième doigt tout en essayant d’écarter ses doigts à l’intérieur de mon petit afin de le dilater. Moi, je n’ose pas bouger, toujours à 4 pattes sur le lit et émets des petits gémissements de plaisir feint. Elle retire enfin ses doigts de mon petit et caresse tout autour.
— Ton cul doit être très étroit ! Mais là, il est bien ouvert ! me dit-elle.D’un seul coup, elle m’attrape les cheveux et tire dessus si bien que je suis obligée de redresser la tête en arrière. Je me dis que ça y est, elle va me prendre en levrette et m’y prépare. Et là, je sens que le gode qu’elle a toujours à la ceinture vient toucher mon petit. J’essaie de me retourner pour voir ce qu’elle fait mais comme elle me tire sur les cheveux, ce n’est pas évident. Et je comprends qu’elle va vouloir faire entrer son gode dans mon petit ! Je panique !
— Non ! S’il vous plait, je ne veux pas ! Je ne l’ai encore jamais fait ! lui dis-je.
— Quoi ? Tu es vierge du cul ? Mais c’est super ! T’inquiète pas ! Tu vas voir, tu vas y prendre beaucoup de plaisir ! me répond-elle.— Non ! non ! Je ne veux pas ! Et de toute manière, c’est beaucoup trop gros ! Ça ne rentrera jamais !Et en même temps que je lui dis cela, je sens qu’elle pousse de toutes ses forces pour essayer de faire rentrer le gode dans mon petit trou. Evidemment, cela bloque car il est trop gros. Cela doit l’énerver car elle tire encore plus fort sur mes cheveux et me claque la fesse droite avec l’autre main et me dit « Pousse ! ». Et d’un seul coup, le gode a commencé à entrer ! Je pousse un hurlement, tellement j’ai mal et ai l’impression d’être ouverte en deux ! Vu le cri que j’ai poussé, tout l’étage de l’hôtel va accourir pour voir ce qui se passe, ce n’est pas possible autrement !
— Tu aimes ça, petite pute ! me dit-elle.Moi, j’ai les larmes qui me montent à l’œil, à la fois de douleur et de rage d’être ainsi sodomisée !Après avoir fait légèrement rentrer le gode, ce qui avait provoqué mon hurlement, elle s’est arrêtée de pousser, laissant le gode ainsi entré d’1 ou 2 centimètres dans mes intestins pour qu’ils s’habituent à cette présence étrangère. Alors que la douleur devient plus supportable, voilà qu’elle se remet à pousser tout en continuant à me tirer les cheveux, ce qui m’amène à hurler encore ma douleur. Elle s’arrête à nouveau, sans bouger, ce qui me permet de reprendre mes esprits même si j’ai atrocement mal ! Jusque-là, je n’ai vraiment eu aucun plaisir ! J’ai juste l’impression que mon cul est grand ouvert !
Puis elle redonne un coup de rein, ce qui me fait émettre un cri à nouveau. Mais je sens que ses cuisses touchent maintenant les miennes et j’en conclue qu’elle a complètement rentré le gode en moi ! Elle reste ainsi sans bouger en me disant encore que j’aime ça et en me traitant au choix de p’tite salope, p’tite pute. Je n’apprécie vraiment pas ce meeting !
Enfin elle ressort complètement le gode, ce qui me permet d’avoir beaucoup moins de douleur mais recommence rapidement l’opération d’introduction du gode qui, ce coup-ci, rentre beaucoup plus facilement même si cela me fait encore mal et que je continue à crier. Mais cela a l’air de l’exciter encore plus ! Une fois le gode entièrement entré et après quelques instants sans bouger, elle commence à donner des petits coups de reins qui font donc bouger le gode dans mes intestins. Je continue à crier ma douleur, même si elle, qui de sa main droite me touche le sexe, me dit que je mouille beaucoup et que je dois donc apprécier énormément cela ! Et évidemment, elle me tient toujours la tête par les cheveux !
Après quelques moments de ce traitement qui me paraissent une éternité, elle se dégage enfin de moi tout en ayant toujours des paroles aussi agréables à mon égard…Je sens comme une brûlure intérieure et ai l’impression d’avoir été ouverte en deux ! Je l’entends qui crache en direction de mon petit puis sens cette salive sur mes fesses, salive qu’elle s’empresse d’étaler à l’aide de ses doigts tout autour de mon anus, voire même à l’intérieur. Ceci dit, cette « humidité » me fait du bien et calme un peu ma douleur.
— Ouah ! Tu es bien ouverte ! me dit-elle. C’est vraiment très beau à voir.— Plie tes coudes et pose ta tête sur le matelas ! m’ordonne-t-elle ensuite
Je m’exécute, ce qui a pour conséquence, étant auparavant à genoux à 4 pattes, que mes fesses sont maintenant le point « culminant » de ma personne. C’est a priori ce qu’elle cherchait.
Elle, toujours à genoux, saisit mes fesses de part et d’autre avec ses mains puis je l’entends qui crache de la salive directement dans mon petit, ce qu’elle n’a aucun mal à faire étant donné qu’il est complètement dilaté. Elle se lève et vient placer le gode qu’elle a toujours à la ceinture juste au-dessus de mon trou. Puis, d’un coup sec, elle le réintroduit complétement et, vu ma position, cela semble plus facile pour elle car il entre beaucoup plus facilement.
Une fois complètement à l’intérieur, elle lui fait faire des mouvements de va-et-vient comme tout à l’heure mais, bien que j’imagine que mes muqueuses doivent être assez rougies, cela m’est malgré tout plus supportable, sans pour autant réussir à m’amener à la jouissance.
Après s’être lassée de sa position et avoir ressorti le gode puis contemplée son œuvre en examinant mon petit tout ouvert, elle me saisit la tête par les cheveux et l’amène à hauteur du gode qu’elle m’ordonne de lécher ! J’ouvre la bouche car, honnêtement, je suis un peu sonnée, et elle y enfonce le gode que je lèche donc avec ma langue…avec un sentiment de dégoût même si il s’agit de mon intimité !
Ensuite, elle retire le gode de ma bouche, défait la ceinture puis vient m’embrasser sur la bouche en introduisant sa langue. Elle me dit qu’elle a passé un bon moment et que la première sodomie est toujours un peu douloureuse mais que je m’y ferai et apprendrai à l’apprécier, ce que je doute fortement. Et finit par me dire que je peux me rhabiller.
Je me lève du lit, ressens une douleur immense au niveau de mon petit trou et commence à m’habiller en me disant que je ne pourrai même pas supporter la ficelle du string. A peine ai-je remis ma jupe qu’elle ne trouve rien de mieux à faire que de me donner une petite claque sur les fesses qui me fait tressaillir. Je m’empresse de finir de ramasser mes affaires malgré le mal que j’ai à faire des mouvements et en me demandant comment je vais rentrer chez moi car j’ai l’impression de ne plus pouvoir marcher tellement cela me lance à l’intérieur. Je sens d’ailleurs que mon petit est encore complètement dilaté. Elle m’accompagne jusqu’à la porte et me dit, toujours sur un ton aussi directif et froid, qu’elle a passé un bon moment et sera contente de me revoir prochainement. Je rejoins l’ascenseur de l’étage en ayant beaucoup de mal à marcher et me dis que tous les gens dans la rue vont se douter de ce que j’ai fait vu la façon dont je marche…
Je me dis également que ce métier est peut-être trop dur pour moi, que j’aurais dû me fier à mon instinct lorsqu’elle a ouvert la porte et que j’appellerai dès le lendemain ma Boss pour décommander tous les RdV, …excepté avec Anne.
Diffuse en direct !
Regarder son live