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Première expérience hard

Chapitre 1

Hétéro
Avant de commencer ce récit, je crois utile de me présenter. Je me prénomme Amandine, j’ai 23 ans, suis étudiante en linguistique à Paris. Physiquement, je n’ai pas à me plaindre : brune aux yeux bleus, assez petite et fine, j’attire les regards des mecs sans jamais avoir eu à en rajouter.
L’histoire que je vais raconter s’est passée il y a 10 mois environ. Je sortais d’une relation d’un an assez orageuse sentimentalement et morne sexuellement : mon ex était très classique dans ses goûts et je m’ennuyais au lit. Si je n’avais toujours pas envie de sortir quelques semaines après avoir rompu, les besoins du corps se faisaient ressentir et je me caressais souvent, à la main ou avec un vibro récemment acheté, me découvrant même un goût pour les vidéos pornographiques que je regardais souvent en me faisant plaisir. Un soir de désœuvrement et de désirs inassouvis, je m’inscrivais également sur un site de rencontres et me rendis sur le chat. Je fus immédiatement assaillie de contacts, certains vulgaires que je coupais immédiatement, d’autres plus subtils avec lesquels je discutais en toute liberté.
Parmi tous ces inconnus, un retenait mon attention. Cédric avait 34 ans, métis, et sa conversation m’excitait plus que les autres. C’était un habitué du site qui avait rencontré un certain nombre de filles. Nous parlâmes de nos goûts, sans mentir je surjouais un peu la salope sexuellement très libérée, et lui, assez dominant de nature, semblait deviner mes envies. Imaginant m’inviter chez lui, il me dit vouloir me baiser sans capote et qu’il ferait un test avant de me rencontrer, idée que je validais immédiatement, cela ne m’engageait à rien et tout de même, c’est bien meilleur sans… après une heure de discussion et un échange de photos prometteur, j’acceptais de me montrer et de le voir via webcam, afin de se prouver mutuellement être physiquement comme nous le prétendions. Je ne fus pas déçue : il était vraiment beau gosse, visage fin, bien bâti. Il ne fut apparemment pas déçu non plus car quand il me proposa de me montrer son sexe – je crevais d’envie de le voir – il sortit un membre déjà dur et qui me fit immédiatement frissonner le bas-ventre, le genre de queues sur lesquelles je fantasmais en regardant des vidéos x, longue, épaisse, un gland proéminent… j’acceptais d’assez bon cœur de lui montrer mes seins, puis ma petite chatte épilée, son sexe grossissait encore et me faisait mouiller. Quand nous nous quittâmes ce soir-là, je me caressais longuement en pensant à lui, me faisant jouir plusieurs fois d’affilée.
Le lendemain, je me connectais à la même heure, anxieuse de le recroiser, et il était là. Nous reprîmes notre conversation où elle en était, sans repasser par les banalités d’usage pour entrer directement dans le vif du sujet. Je lui avais dit que les mots crus m’excitaient et il n’hésitait plus à m’appeler « ma salope » ou « petite pute », ce qui à ma grande surprise m’excitait au plus haut point. C’est alors qu’il me proposa carrément de venir chez lui. Je répondis qu’il me plaisait mais que je n’étais pas encore prête à franchir le pas. Il argumenta longtemps, m’excitant et me faisant hésiter, mais l’appréhension gagnait sur le désir et je le repoussais. Je ne voulais pas le décevoir trop et quand il me demanda de me montrer à nouveau à lui, j’acceptai de me dévoiler encore. La fenêtre s’ouvrit et il apparut déjà nu, son sexe turgescent dressé au ciel. Je me déshabillais pour lui devant ma caméra, ses commentaires salaces me faisaient perdre la tête, au point que suivant ses instructions, je me caressais les seins, puis la chatte, fixant sa queue qu’il branlait doucement avant d’exploser dans un orgasme ravageur. À ma grande surprise, il coupa alors sa caméra, me dit « Connecte-toi demain à midi ma petite salope » et disparut. Ce soir-là et le lendemain matin, je me masturbais encore.
Je me connectai à midi et il était déjà là. Mais après quelques minutes de conversation et alors que je venais de décliner à nouveau son invitation, le ton changea. « Écoute, ne tournons pas autour du pot, ça suffit. J’ai envie de te baiser et je suis sûr que tu en as envie aussi. Soit tu assumes et tu viens chez moi, soit on arrête de se parler, je n’ai pas l’intention de passer ma vie à me branler tout seul. »Ça me coupa la parole. Plus moyen de se défiler, soit j’acceptais, ce dont j’avais envie mais qui continuait aussi à m’effrayer, soit je refusais, et j’étais mortifiée par avance d’être privée d’un contact si plaisant. Je ne pus que répondre : « Mas… comment ça ? » Il répliqua du tac au tac : « Je te laisse une heure pour te préparer, tu m’écris pour me dire quand tu es prête et je t’envoie un Uber, Mets des talons, un pantalon moulant et un petit truc sexy en haut. Pas la peine de mettre de sous-vêtements. »J’étais pétrifiée. Ne sachant toujours pas comment répondre, j’écrivais « Quoi ? Maintenant ? »« Allez, viens, petite salope, je vais te baiser comme tu le mérites... »J’ai trouvé l’échappatoire, et je tentai « Mais on avait dit qu’on attendrait d’avoir fait un test pour baiser sans capote ! » et il m’asséna l’argument final :« J’ai fait un test hier en clinique, je suis allé chercher les résultats ce matin, c’est négatif, je te montre » et de m’envoyer une photo du document.« Alors, oui ou non ? C’est ta dernière chance. »Je ne pouvais plus reculer et ne savais toujours pas quoi dire. « Si je mouille, j’y vais ! » me dis-je. Je passai ma main sur mon minou, il était trempé. Ça m’a paru prendre des siècles, mais j’ai finalement écrit « oui » et tapé sur entrée. « Parfait ! J’attends que tu me recontactes. Un conseil : prépare un peu ton petit cul, je ne vais pas le ménager ! » et il coupa comme la veille.Je fus prise de panique : je me suis faite passer pour la dernière des salopes et si je ne étais pas une oie blanche j’avais un peu exagéré mon goût pour le sexe hard, sur lequel je fantasmais plus que je ne le pratiquais. J’étais prise d’envie de tout annuler, il n’était pas trop tard, mais je retouchais ma chatte toujours aussi humide et filais à la salle de bains. Il était 12h15.
13h20, lavée, habillée selon ses instructions, toute fraîche et pimpante, j’attends la voiture qu’il vient d’envoyer devant chez moi. Je descends quand le chauffeur m’appelle et m’engouffre à l’arrière. 15 minutes plus tard, j’envoie un « je suis en bas » et la porte s’ouvre alors qu’il répond « 4ème, 2G ». Dans l’ascenseur, dernière bouffée de panique, je peux encore repartir, je peux encore repartir… mais je sors au 4ème et me dirige machinalement vers la 2ème gauche.
La porte s’ouvre alors que j’allais frapper, il faut dire qu’en talons je ne suis pas discrète. Putain, ce qu’il est beau ! Il est grand, un physique d’athlète, il porte un jean et un tee-shirt qui moule ses pectoraux. Il me regarde de haut en bas,  m’adresse un sourire ravageur qui me fait fondre et me dit « Salut Amandine ! Entre ! Tu as bien fait de venir, tu ne vas pas le regretter ! ». Il me prend la main et referme la porte en m’attirant à lui, passe sa main sur ma nuque et plonge sa langue dans ma bouche pour un baiser passionné qui me fait frémir, alors que son autre main me masse les fesses.
Nous allons vers le milieu de la pièce, nouvelle pause durant laquelle il entrouvre mon chemisier blanc pour en sortir un de mes seins. Il l’embrasse, le titille de la langue, faisant instantanément durcir mon téton, puis fait subir le même traitement à l’autre, électrisant mes sens. Il ouvre mon pantalon et le fait glisser en haut de mes cuisses, il me pelote à pleines mains, puis en passe une devant et dirige un doigt vers ma petite chatte, glisse entre mes lèvres, « tu mouilles petite salope » avant de l’entrer d’un coup en moi, m’arrachant un gémissement de plaisir. Il me doigte rythmiquement, ferme sans être trop brusque, accélère le mouvement alors que je ruisselle sur lui.
 Après quelques minutes de ce traitement je suis surexcitée, il m’attire vers un fauteuil, s’y assied et me positionne dos à lui. Il caresse mes fesses de ses grosses mains, les malaxe, les écarte, les embrasse, appuie sur mon dos pour me faire baisser et me fait une feuille de rose. Je m’abandonne aux délices de cette caresse que je n’avais pas reçue depuis longtemps Il s’arrête après quelques minutes et me dit : « À toi de t’occuper de moi, petite coquine, tu m’as dit être la reine des pipes, j’ai bien envie de vérifier ça, c’est le moment de te distinguer ! » Il baisse son pantalon alors que je m’agenouille devant lui, et waouh ! Elle est là ! C’est la première fois que je vois une queue aussi grosse en vrai ! Je la prends d’une main, je n’en fais pas le tour, je la masse, le regarde dans les yeux tout en promenant ma langue sur son gland, il me fixe, je la lèche sur toute sa longueur, sans oublier ses couilles, remonte et avale son gland, ma langue s’enroule dessus, il gémit doucement, je commence un lent va-et-vient de plus en plus profond en accélérant petit à petit, bien décidée à lui montrer tous mes talents. Son sexe grossit encore, mes mouvements sont plus rapides, je salive en le suçant bien…
il m’interrompt et me relève, enlève complètement son pantalon et me place en levrette, debout, penchée sur le dossier du fauteuil. Une nouvelle feuille de rose et il me dit « on va voir si tu as suivi mes conseils ma salope ! » « Quoi ? Tu veux me… directement ? » « Ne t’inquiète pas, j’irai doucement… au début ! », et son gland vient remplacer sa langue sur mon anus. Je me félicite intérieurement de m’être effectivement préparée avec mon vibro sous la douche alors qu’en quelques poussées son gland finit par forcer l’entrée de mon petit trou sans même me faire mal, contrairement à ce à quoi je m’attendais. Avec maîtrise il amorce un va et vient doux et ferme, s’enfonçant plus à chaque aller-retour alors que mes gémissements s’intensifient. Il me met debout et ôte mon chemisier, cessant brièvement ses mouvements avant de me remettre en position et de reprendre. Petit à petit sa queue envahit complètement mes fesses, il me remplit totalement, je n’ai jamais ressenti ça auparavant. Il accélère encore, mes gémissements deviennent des cris, il s’arrête pour une nouvelle feuille de rose et recommence, me pilonne fermement et méthodiquement. Il m’attire à lui pour m’embrasser sans pour autant s’interrompre, sa main glisse sur ma chatte et masse mes lèvres juteuses… il accélère parfois subitement et s’arrête quelques secondes avant de reprendre son mouvement...je suis au bord de la jouissance et quand il accélère à nouveau en me plantant deux doigts dans la chatte j’éclate dans un orgasme fulgurant.
Il ne me laisse aucun répit et recommence à bouger, me maintenant au bord de la jouissance, ses « il est bon ton cul de salope » et autres « alors ma petite pute elle te plaît ma grosse queue ? » me faisant honteusement mouiller. Il n’a plus la retenue qu’il avait au début, il me défonce littéralement le cul, accélérant pour me baiser sauvagement et ralentissant parfois pour y retourner de plus belle, me mettant des claques sur les fesses… Il me fait mettre à genoux sur le fauteuil, fesses au-dessus de l’accoudoir et se plaçant derrière moi me reprend profondément et régulièrement, il s’arrête et me fait me retourner pour le sucer, je n’ai aucune hésitation à la prendre à pleine bouche alors qu’il donne maintenant le rythme en appuyant sur ma tête. Puis la sodomie reprend de plus belle, il me baise le cul sans ménagement, s’accroche à mes cheveux, à mes bras qu’il tient en arrière, m’arrachant un second orgasme plus puissant encore que le premier. « Toi on peut dire que t’aimes ça te faire enculer, petite chienne ! », dit-il en sortant de mes fesses. Je ne peux réponde que « Oui ».
Le temps que je récupère il a déjà placé son gland devant ma bouche et me prend la tête pour me guider sur sa queue, imprimant le mouvement, s’interrompant parfois pour me la tapoter sur le visage tout en me traitant de salope bouffeuse de queues, ce qui m’excite toujours autant. Il s’assied dans le fauteuil et m’invite à venir sur lui : accroupie au-dessus de sa queue, mes seins devant sa bouche qu’il s’empresse de téter, il me guide et je m’empale sur lui, mes fesses s’ouvrant toutes seules… il se fait plus doux malgré les petites fessées qui s’abattent de temps en temps, le mouvement est souple et ample… Il m’arrête encore et me fait mettre à genoux devant lui assis pour une nouvelle pipe à mon rythme cette fois, nouveau passage rapide assise sur sa queue et il me conduit vers le canapé où il me positionne en levrette. Putain, il est vraiment increvable, ce mec ! Il se met debout au-dessus de moi et m’encule encore, sur un rythme soutenu en me traitant de grosse pute, ce à quoi je parviens à répondre que je ne suis pas grosse, le faisant rire et l’adoucissant un peu, car il vient se mettre derrière moi pour me prendre en cuiller tout en me caressant la chatte. Le plaisir remonte rapidement et il le sent, accélère ses mouvements en me massant la chatte et titillant l’entrée de mon vagin. Il reprend ses accélérations-décélérations en me maintenant fermement par un sein alors que je me caresse frénétiquement le clitoris et que je jouis encore une fois en criant. Il continue dans un va-et-vient plus lent qui prolonge incroyablement mon orgasme. Je suis à bout mais lui est à peine essoufflé, il se lève et m’ordonne de venir à genoux devant lui… j’obéis et le suce avec vigueur, branlant la base de sa queue d’une main en même temps pour le faire jouir. Il grogne, prend ma tête à deux mains et se met à me « baiser la bouche »me rentrant les deux tiers de son énorme queue. Quand il me dit de me remettre en levrette je lui réponds que je n’en peux plus, que je préfère le finir à la bouche et il me gifle ! Je n’ai pas le temps de protester qu’il rétorque : « Écoute salope, c’est de ta faute si je suis si endurant, je me suis branlé deux fois hier soir parce que tu n’es pas venue, alors maintenant tu assumes ! Couche-toi plutôt sur le dos ! » et il m’installe, tête renversée au bord du canapé, je lui suis complètement soumise. Je sais où il veut en venir, j’ai déjà vu ça dans des films x mais n’aurais pas pensé le faire un jour ! Il vient derrière ma tête et me fait lécher et sucer ses couilles avant de s’enfoncer dans ma bouche, ma gorge... ça rentre étonnamment bien et il est entièrement en moi, ses couilles s’écrasent sur mon visage… il me baise la bouche sans retenue, je bave sur sa queue de manière incontrôlable, il s’interrompt pour me laisser respirer et recommence de plus belle.
Après avoir bien profité de la situation, Il me fait mettre sur le ventre et vient derrière moi pour une nouvelle levrette, couchée cette fois. Il m’encule sans ménagement, sa queue me brûle puis la douleur disparaît pour laisser place à de nouvelles vagues de plaisir. Je me caresse la chatte, ce qui augmente encore mes sensations et finis par jouir sous ses coups de queue. « Tu vois que tu en voulais encore ma salope ! », l’entends-je dire dans le brumes de mon orgasme. « Tu voulais me finir à la bouche ? Eh bien tu vas être servie ma chienne ! » et avant que j’aie pu reprendre mon souffle il me prend la tête et s’enfonce dans ma bouche jusqu’à la garde, me faisant presque étouffer. Il me traite vraiment comme la dernière des putes et j’aime ça, je me frotte le clito sans aucune retenue ni pudeur tandis que placé au-dessus de moi il me baise sauvagement la bouche. Je suis près de l’orgasme quand il sort de ma bouche et dirige sa queue vers mon visage avec un « Je vais te repeindre la gueule sale pute ! » et envoie une première giclée de sperme sur ma joue, suivie de quelques autres sur mon nez, mon front, dans ma bouche entrouverte… « Ne t’arrête pas de te branler ! » m’ordonne-t-il et j’obéis instantanément. Il passe sa queue sur mon visage, m’ordonne de la lécher, ce que je fais avidement, il se recule et me regarde, j’imagine le spectacle, après une telle séance, le visage couvert de sperme, me touchant frénétiquement comme la dernière des dernières, je dois être belle à voir ! C’est à ce moment que je m’aperçois qu’il ne m’a même pas baisé la chatte, à cette pensée je suis prise d’un dernier orgasme et m’effondre, épuisée, sur le canapé.
Il va à la salle de bains, me laissant prostrée pendant quelques minutes, ne réalisant que lentement ce qui vient de se passer. Je parviens à prendre mon téléphone, il est 16 heures, cette séance de sexe a duré presque deux heures et demie ! Je me sers un verre d’eau, il sort de la salle de bains et me propose d’en profiter. Je me vois dans la glace, le visage encore rouge, le sperme et la sueur collant mes cheveux et séchant sur ma peau...une longue douche chaude en ne pensant à rien, et je ressors un long moment après, ayant retrouvé une apparence à peu près convenable.
Il est en caleçon sur le canapé, sa simple vue me fait tout revoir en un éclair, pourtant je ne lui en veux pas, bien au contraire. Même si je n’ai pas envie de le revoir trop vite et encore moins de me caser avec lui, il m’a fait dévoiler une part de ma personnalité que je soupçonnais sans l’avoir jamais expérimentée aussi intensément que ce jour-là, loin s’en faut. Il m’invite à un café, me demande si ça m’a plu, sans entrer dans les détails je lui réponds que oui, et que je n’avais jamais été baisée comme ça auparavant.Il me complimente à sa façon : « En tout cas, c’est rare de rencontrer des jeunes aussi salopes que toi, qui arrivent à avaler toute ma queue et surtout qui aiment autant se faire enculer ! » Je lui souris, je ne peux pas le nier, j’ai adoré me faire enculer par lui, on n m’avait jamais fait jouir par-là à ce point. Je le lui dis et il répond « on se refera ça à l’occasion, et je goûterai ta chatte aussi, aujourd’hui comme j’ai vu que tu kiffais je me suis fait plaisir dans ton cul. » et il ajoute « la prochaine fois que ma meuf part en vacances ou en week-end je te recontacte ! » Je souris, éberluée, « Quoi, tu as une copine? »« Oui, bien sûr, qu’est-ce que tu  crois ? Mais pas aussi bonne que toi au pieu, je te l’accorde. D’ailleurs j’ai baisé deux autres meufs cette semaine, c’est toi la plus salope de loin ! » Cet art du compliment, toujours… Il reçoit un appel et sort un instant. Il revient et me dit « Bon, d’ailleurs, ma copine arrive à Paris et vient dîner ce soir, je t’ai appelé un taxi et il vient d’arriver. Habille-toi vite ! ». Je n’en reviens pas, je dis « Quel gentleman ! » et il répond « Quand on est une traînée qui se fait péter le cul par un inconnu du net, il ne faut pas s’attendre à tomber sur un gentleman, chérie. Allez, rhabille-toi ». Il me plante dans le salon, je n’ai qu’une chose à faire, je me rhabille et me dirige vers la sortie quand il me rattrape et m’embrasse à pleine bouche, me faisant frémir une dernière fois. Puis il ouvre la porte, je sors sans un mot et elle se referme derrière moi.
J’ai revu Cédric quelques fois pour des 5 à 7 toujours aussi torrides, chez lui comme chez moi et il reste un des meilleurs coups que je connaisse. Mais c’est surtout grâce à lui que j’ai découvert mon vrai côté salope et tout un monde de fantasmes que je pouvais réaliser. Mais ce sera pour une autre histoire...
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