Tu t’es décidée pour une robe légère à bretelles. Pas moulante mais assez courte. Tu es sexy. Ton ensemble string soutien-gorge dessous me fait déjà de l’effet. Tu déambules entre la chambre et la salle de bain dans cette tenue. Je te regarde mais n’ose pas toucher. Tu m’as choisi une chemise claire à manches longues et un pantalon sombre. Nous prenons la route, le silence règne dans l’habitacle. Les sentiments de stress et d’excitation se mélangent. Je pose ma main droite sur ta cuisse. Tu couvres ma main avec la tienne ce contact nous apaise. Arrivés sur le parking, il y a peu de voitures. Je coupe le contact, nos yeux se croisent. Nous nous embrassons et descendons de la voiture. Nous avançons vers l’entrée. La porte s’ouvre. Naïvement, je demande si on peut rentrer. J’explique que c’est la première fois que nous venons. L’homme souriant nous rassure. Il nous accompagne au guichet. Je paie l’entrée. On me tend deux tickets de boissons. Il nous montre le bar et nous propose de nous rejoindre après avoir fait le tour de la salle. Cela ressemble à une boîte de nuit classique. Il y a une piste de danse et des banquettes autour. Je t’avance un tabouret, je reste debout et nous commandons deux coupes de champagne. Lorsque je tends les tickets, celui qui me semble être le patron nous fait comprendre que ces deux verres sont comme des cadeaux de bienvenue. Il vient trinquer avec nous. Pendant ce temps, un couple s’est installé pas loin de nous. Le patron fait les présentations. La discussion démarre entre nous quatre. Ils sont déjà expérimentés et nous mettent rapidement à l’aise. Mais les sujets restent assez généraux. Les tickets de boissons nous permettent de prolonger ce moment convivial. Je commande une tournée. Elle et toi en profitez pour aller aux toilettes. Je cesse de parler pour te regarder traverser la salle, j’essaie de deviner, à travers l’étoffe de ta robe, tes fesses laissées libres par le string. Les verres sont servis. La discussion reprend mais vous avez envie de danser. Pendant que vous dansez, nous laissons le bar pour nous asseoir sur une banquette. Nous vous regardons danser, une forme de complicité semble apparaître. Vos sourires et vos regards vers nous me donnent cette impression. Elle danse en faisant onduler ses hanches et cherche les yeux de son homme. Il me dit qu’il te trouve très attirante, je le remercie et lui renvoie le compliment avec sincérité. Tu sembles toi aussi te prendre au jeu, tu fais des mouvements langoureux en soutenant mon regard. J’apprécie. La musique prend un peu plus de rythme. Elle te saisit les mains pour que vous dansiez ensemble, cela reste convenable et confirme la connivence qui s’est créée. Toutefois, elle te fait tourner sur toi-même et ta robe qui se soulève montre furtivement tes fesses. Je ne sais pas si tu t’en es rendue compte car tu continues à danser en riant. Sur la banquette, il me sourit et son regard me montre que la complicité se crée aussi côté masculin. Pendant ce temps, on nous apporte quatre verres, nous avons juste le temps de boire une gorgée que vous quittez la piste de danse pour nous rejoindre. Nous nous levons pour vous laisser nos places. Elle préfère qu’il reste sur la banquette et s’assoit sur ses genoux. Toi tu prends place à côté d’eux et nous trinquons joyeusement ensemble. Je t’embrasse et je commence à glisser une main entre tes cuisses. Au même moment nos amis se sont également rapprochés, il caresse la poitrine de sa femme. Tu me rends mon baiser, et nos langues se mélangent. Ma main se fait plus intime. D’un mouvement de bassin tu viens la chercher. Je te caresse à travers le tissu de ton string. Tu écartes tes jambes ce qui me permet de glisser mes doigts en toi. Je sens la main de l’homme près de la mienne. Nos lèvres se décollent, nos regards se croisent. Tu sembles m’interroger, je te souris et t’embrasse pour te dire que je t’aime, que nous allons vivre un moment intense ensemble et que je resterai près de toi. Elle me caresse le torse, et fait passer une main dans ma chemise. Je te fais un baiser. Nos mains restent liées pendant que nos compagnons s’approprient nos corps. Je ne sais pas, ne vois pas de ton côté. Elle me caresse à travers le pantalon, ma main caresse son dos, je sens alternativement le tissus de sa robe et sa peau. Ces dernières minutes ont fait monter la température. Ils nous libèrent de leurs étreintes. « Vous venez ? ». Nous les suivons dans un couloir jusqu’à une pièce. Comme une métaphore de la soirée, ils sont nos guides dans ce lieu connu pour eux. Nous entrons, la lumière est tamisée, un immense lit et un fauteuil meublent ce qu’on pourrait appeler une chambre. Je suis le dernier à rentrer et je ferme la porte. Il me confirme de son regard que c’est une bonne idée, nous ne serons pas dérangés. Elle déboutonne rapidement sa robe, elle était nue dessous, et ne garde que ses sandales à talons. Pendant qu’elle enlève la chemise à son mari, j’écarte les bretelles de ta robe. Elle tombe au sol, je te prends dans mes bras et t’embrasse à pleine bouche. Mes mains parcourent ton corps : ton dos, tes fesses, tes épaules. Je te serre contre moi. Tu te tournes, te cambres, tes fesses frottent mon pantalon dans lequel je me sens à l’étroit. Mes lèvres et ma langue parcourent ton cou et ta nuque. Mes mains passent sur tes seins, ton ventre. Je passe ma main sous le tissu, je sens ta toison dans la paume et l’humidité sur mes doigts. Nos partenaires sont maintenant complètement nus. Tu te libères de mon étreinte. Et, seulement habillée de ta lingerie, tu t’avances vers lui. Je te laisse partir et mon regard se porte sur tes fesses fendues par ton string. Il pose ses mains sur tes hanches et commence à t’embrasser dans le cou. Tes mains semblent hésiter à caresser ce corps nouveau pour toi mais tu finis par te rapprocher. Tu caresses son dos, ses épaules, ses fesses. Je ne ressens pas de jalousie, l’excitation du moment bloque peut-être ce sentiment, mais ses caresses sur toi me semblent respectueuses et sensuelles. Pendant que j’observe votre corps-à-corps, elle s’est approchée de moi et commence à me déshabiller. Sans te quitter du regard, je finis d’ôter mes vêtements. Tu as saisi son membre et tu le branles ardemment, ses mains entre tes fesses fouillent ton intimité et j’entends de timides gémissements de ta part. Elle est maintenant contre moi. Je sens ses seins contre ma poitrine. Elle prend l’initiative des caresses, quant à moi je calque les miennes sur celles qui te sont prodiguées. Vous vous allongez, vos corps s’emmêlent et roulent sur le lit. Je m’assois sur le fauteuil, elle vient me chevaucher. Son corps me cache le lit et ses mains électrisent mon corps. Lorsque j’ouvre les yeux, elle est agenouillée entre mes jambes et parcourt mes cuisses et mon bas-ventre avec sa langue. Toi, tu es en train de le sucer. J’observe ta bouche, ta langue, tes mains qui font monter le désir chez lui. Elle porte sa bouche autour de ma bite. Et de ses yeux, elle cherche à capter mon attention. Tu es complètement nue, les cuisses largement écartées. Il agite ses doigts dans ta chatte, un bruit de clapotis prouve l’excitation qui monte en toi. Elle se lève et va s’accouder sur le lit, elle se cambre. Je m’approche. Je pose mes mains sur ses fesses. Je remonte sur son dos. Je colle mon pubis à sa croupe et je caresse sa poitrine. Elle ondule du bassin. Je jalonne ses fesses de petits baisers. Puis je glisse mes doigts en elle. Elle accentue sa cambrure pour mieux les sentir. J’accélère le mouvement et vos gémissements se mélangent. Tu es maintenant sur lui, il t’a pénétrée, je vois tes fesses et ta chevelure bouger pendant que tu le chevauches. J’entre en elle. Elle est mouillée et bien ouverte. De ses mains il écarte tes fesses, je vois sa bite en toi et ton petit trou. Je l’agrippe par les hanches et je commence à la besogner. La température monte dans la pièce. Tu te tournes pour me faire face. Nos regards se captent instantanément. Je regarde ton pubis, tes seins, ton bassin. Je te regarde prendre du plaisir. J’en oublie nos partenaires, je ne suis plus captivé que par toi. Nos yeux ne se quittent plus, nous synchronisons nos rythmes. L’accélération est commune et ce que n’est lorsque l’orgasme t’envahit que tu penches ta tête en arrière en fermant les yeux. Cette vision me fait éjaculer.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
