J’apprécie depuis quelques temps de lire les différentes histoires sexuelles relatées dans les récits présents sur le site … c’est pourquoi je partage ici avec vous ma « première fois » avec un homme. Je suis à l’heure où je tape ces lignes un jeune homme de 22 ans, plutôt mignon, athlétique et prenant soin de lui. Cette histoire s’est passée il y a deux ans dans notre belle capitale Française. J’étais en couple depuis déjà plusieurs mois avec une fille de mon âge, très belle, intelligente, intéressante : le parti rêvé pour n’importe quel hétérosexuel. Tout allait bien, surtout le soir venu … Pourtant, j’étais depuis quelques temps taraudé par une envie irrépressible de prodiguer une fellation à un autre homme, je ne me sentais pas homosexuel car j’étais heureux avec ma copine, je me suis bien trompé ! J’ai commencé à trainer sur différents sites de rencontres gays, regarder des petites annonces, en passer moi-même, sans forcément trouver LE mec, ou plutôt LA queue qui me ferait envie ! A force de visiter ces sites « spécialisés » je finis par apprendre que certains gays se rencontraient dans des lieux publics afin de se prodiguer mutuellement (ou pas) des faveurs. Ni une ni deux, je me renseignais sur ces lieux à Paris et me rendis à l’un d’entre eux : le Parc **** ****** Je me rendis vite compte que le parc, et surtout l’allée menant aux toilettes, était un lieu d’échange et de rencontres entre hommes. Plusieurs d’entre eux se baladaient et se jouaient à un subtil jeu de chat et de la souris … Je m’assis sur un banc et observait les parades étranges de ces individus. Au bout d’une demi heure d’attente, un homme d’un certain âge s’assit à côté de moi et commence à discuter du temps qu’il fait, puis me pose quelques questions personnelles pour enfin me proposer directement de le sucer dans les chiottes d’un air autoritaire. Je déclinais poliment l’invitation sous le coup de la panique et de la surprise et me levait pour m’en aller sans me retourner. Arrivé à la grille du parc, je repris enfin mes esprits. L’homme m’avait vraiment pris de cours, je ne m’attendais pas à une telle « brutalité », en continuant de marcher je me rendis compte qu’un homme d’une trentaine d’années se dirigeait lui aussi vers la sortie. Remarquant qu’il fixait son regard sur moi je saisis ma chance et m’engouffrais dans un bosquet à l’écart, espérant qu’il me suive pour peut-être …Je n’eu pas à attendre longtemps, à peine eu-je posé mon sac qu’il écartait les branches pour se frayer un passage jusqu’à moi. Le cœur battant, je fis mon possible pour ne plus penser à rien si ce n’est qu’à une chose : le sexe.Le sexe ou plutôt son sexe, qu’il malaxait à travers son jean. Mes yeux ne pouvaient se détacher de son entrejambe, ainsi ce ne fut que du coin de l’œil que je le détaillais : une 30aine d’années, le crâne déjà un peu dégarni, plutôt musclé des épaules, environ 1m80, pas de ventre, pas de lunettes. Il était 18h, il ressemblait à n’importe quel employé de bureau travaillant aux alentours. Enfin arrivé près de moi il me déshabilla du regard sans dire un mot, visiblement satisfait de ce qu’il voyait il esquissa un sourire (probablement dû à mon visage un peu anxieux), défit sa ceinture et baissa son caleçon pour exhiber une queue d’environ 16/17cm, d’un diamètre moyen. Un beau braquemard plutôt alléchant avec une toison entretenue et des couilles pendantes, le tout surmonté d’un gland violet à souhait (tout ce que j’aime !) Mon hésitation ne dura pas très longtemps après ça. Je me mis à genoux et passait ma langue sur son gland, puis les lèvres et enfin le prit complètement en bouche. Il avait un goût salé, un relent d’urine pas désagréable mais aussi une saveur âcre très enivrante. Même si je prenais un plaisir immense à savourer ce chibre, je ne cessais de m’inquiéter sur le lieu où nous étions, j’étais terrifié à l’idée que quelqu’un puisse nous surprendre tous les deux, lui le pantalon sur les chevilles et moi à genoux devant lui !Je ne cessais de jeter des coups d’œil à droite et à gauche, tant et si bien que mon « amant » sortit sa queue de ma bouche, me tapota légèrement la joue avec celle-ci et pris mon menton dans une main pour m’obliger à le regarder dans les yeux : « Suce-moi mieux que ça » m’ordonna-t-il Le ton impératif et autoritaire eut raison de mes inquiétudes et j’engloutis son bâton avec empressement et délectation : Je jouais avec son gland, le prenais juste en mes lèvres pour l’aspirer, glissais ma langue sur sa hampe pour descendre sur ses couilles et les lécher voire les avaler toutes les deux. Je me donnais vraiment à fond et appliquais toutes les « techniques » que j’avais pu observer dans les pornos ou les vidéos amateurs présents sur le net. Lui-même n’était pas totalement inactif et il se pencha sur moi pour me caresser la joue, le visage, me pincer les tétons.Au bout d’une dizaine de minutes de ce traitement de faveur il se mit à faire des va et viens dans ma bouche, plutôt désagréable au début car s’enfonçant assez loin dans ma gorge, je modifiai la position de ma bouche pour faciliter le passage de l’engin. Quelques secondes et le rythme s’accéléra une fois, puis une seconde fois et enfin une troisième fois. A ce moment il tenait mon visage entre ses mains et me pilonnait littéralement les lèvres. Il se retira violemment … « Je vais cracher » me dit-il … et se masturba tout en me « biflant ». Je glissais ma langue le long de sa queue pour lécher ses couilles et le faire jouir. J’étais en transe, plus excité que jamais avec ce mec qui allait jacter juste devant moi, sur moi probablement et pourquoi pas en moi … C’est ainsi que ma langue remonta toute seule sa queue jusqu’à son gland violacé et maltraité par sa violente branlette. « Je vais cracher j’te dis » insista-t-il Tout en le continuant à le sucer je hochais la tête pour lui faire comprendre que j’avais compris.Lorsque je sentis le premier spasme de son éjaculation je sortis sa queue de ma bouche et le laissait copieusement se vider sur mon visage. Son éjaculation dura de longues secondes et j’eus le droit à pas moins de 4 ou 5 jets de foutre épais et brulant sur les lèvres, les joues et le nez ; jusqu’à mes lunettes dont un des verre était entièrement recouvert.Je continuais à le branler d’une main le temps que son érection retombe et que l’adrénaline/excitation ait terminé d’agiter son corps, de l’autre je nettoyais mon visage et crachais le peu de sperme qui m’était resté dans la bouche, résistant par la même occasion à la tentation plus
