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première fois (2)

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Ce récit est la suite de « la première fois », récit que j’avais malheureusement et par erreur, envoyé tronqué.
Je dis à Anne d’y aller ainsi, qu’il faisait nuit noire et qu’elle allait perdre du temps à se rhabiller. Elle me regarda et me dit : « je crois que tu as surtout envie que l’on puisse voir mes fesses ce soir. Je lui souris et elle s’éloigna vers le bloc WC situé à quelques mètres plus haut.Elle revint quelques instants plus tard et me dit : « et bien, tu as eu ce que tu voulais, je me suis faite surprendre ». Je la questionnai et elle m’expliqua qu’elle était nue au bord d’un bassin, cuisses ouvertes pour se laver le sexe. Elle avait vu une fille s’approcher et l’avait vue , minou ouvert dans ses ablutions. La première surprise passée et face à la gène d’Anne, elle avait éclaté de rire et lui avait dit : « te casses pas pour moi , je viens aussi pour me rincer le con. Je suis avec trois mecs qui m’ont draguée en boite. Je les ais suivis dans leur bagnole et ça fait deux heures qu’ils me sautent à tour de rôle sur la banquette arrière. Elle avait enlevé sa robe et c’est aussi à poil qu’elle avait commencé à se rafraîchir l’entrejambe. Anne m’a dit qu’elles avaient ri toutes les deux, non sans que la fille la complimente sur son corps, elle qui était petite, un peu dodue et frisée.Nous sommes repartis. Arrivés devant l’allée de la maison qui était une impasse desservant plusieurs logements, Anne toujours à poil ne voulut pas sortir sans moi ou alors se rhabiller. Je refusai et puisque qu’il n’y avait p s de place dans l’allée, je suis reparti vers un petit parking situé prés de chez nous en bord de mer et qui était surtout utilisé en été par les baigneurs. Je voulus qu’Anne reste à poil. Celle-ci commença à se renfrogner un peu car elle craignait de se faire surprendre par des voisins.Je lui dis que si c’était notre voisine Chantal, celle qui à la plage lui racontait sans cesse les cochonneries qu’elle faisait avec son mari, cela ne serait pas vraiment grave, et qu’au contraire cela la valoriserait, elle qui était censée être si sage.Moyennement convaincue par mes arguments, Anne accepta sous réserve de bien faire attention. Nous avançâmes à couvert des pins, puis nous nous engageâmes dans le passage étroit entre deux maisons qui menait chez nous. C’était en gravier et barré par une chaine de part et d’autre pour empêcher les voitures de passer. Un véhicule déboula sur la route principale alors que nous nous apprêtions à sortir de ce lieu sombre. Nous reculâmes rapidement. Anne se mit à boiter. Elle avait pris un gravier dans sa sandale et ne pouvait plus marcher. Je lui montrai une borne qui servait d’appui central à la chaine. Elle s’assit et enleva sa sandale. Elle se trouvait devant moi, cuisses ouvertes. Je ne pus résister à la tentation de sortir mon sexe et le mettre devant elle. Elle me regarda et me dit que c’était fou, qu’on risquait déjà de se faire surprendre, elle totalement à poil, mais que si en plus elle était reconnue en train de sucer, elle passerait pour ce qu’elle n’était pas dans le quartier. Puis elle me regarda, visiblement elle voulait bien finir la soirée. Elle me prit le sexe et commença une fellation. C’est le moment que choisit une voiture pour passer. Nous étions en retrait, mais le crissement de pneus nous indiqua que le conducteur avait vu quelque chose. Je tirai Anne à l’abri des cyprès qui bordaient l’allée. La voiture recula, mais nous étions dans l’ombre et elle repartit. Anne voulut rentrer. Elle avait eu peur de se faire voir, à poil, la bouche pleine.Nous nous précipitâmes pour traverser la rue, entrer dans l’impasse, puis chez nous. Dans notre chambre, Anne s’allongea, ouvrit les cuisses pour que je la pénètre mais j’avais une autre idéeJ’ouvris la porte fenêtre de la terrasse de notre chambre et l’entrainais dehors, puis je la penchai sur la rambarde et la pénétrai immédiatement. Elle avait les seins qui pendaient et était à la vue de quiconque était encore dehors cette nuit. Je lui pris les tétons et caressai les bouts. Anne reculait sur mon sexe de plus en plus vite. Elle se mit à souffler puis à gémir. Je lui dis de faire moins de bruit car c’était des maisons mitoyennes ou l’on entendait tout, surtout les soirs d’été, lorsque les fenêtres étaient ouvertes. Impossible de la faire taire. Elle se mit à jouir bruyamment comme rarement. J’éjaculai en elle presque aussitôt après.Nous nous sommes couchés, épuisés.Le lendemain, j’avais des travaux à effectue dans la maison et Anne emmena les petits à la plage avec sa copine et voisine Chantal.Je les rejoignis quelques minute en milieu d’après-midi pour piquer une tête car j’avais très chaud. Je notai qu’Anne si pudique d’habitude était en monokini comme Chantal. Je m’approchai et aussitôt la conversation s’arrêta. Après avoir échangé quelques banalités polies, j’allai me baigner et retournai vers mes travaux. Tard dans l’après midi, de retour de la plage, Anne par-dessus le mur de clôture me dit qu’elle allait continuer de discuter avec sa copine chez celle-ci. Cela m’arrangeait car le travail était plus long que prévu. Anne revint presque à la nuit. Elle récupéra les garçons qui étaient partis chez leur oncle à quelques mètres de là pour jouer avec les cousins. Doucha les enfants, les fit manger et les coucha. Visiblement elle était pressée de se retrouver avec moi.Enfin seuls sur la terrasse du salon, à la fraicheur de la nuit tombante, elle me dit qu’elle avait quelque chose à m’avouer. Je lui dis que puisqu’elle en décidait ainsi, je l’écoutai. A voix basse, elle me confessa ce qui s’était passé avec Chantal l’après-midi.D’abord, elle me dit que la voisine nous avait entendus et vus cette nuit sur la terrasse, lorsque je lui avais fait l’amour. Elle avait chaud, ne dormait pas avait passé la tête par-dessus la séparation. Elle avait tout vu ou presque : Anne qui se faisait caresser, enfiler et jouir. Tout cela l’avait fort excitée alors que son mari, épuisé par sa journée dormait.Cet après-midi, sur la plage Chantal avait cuisiné Anne et fini par lui faire avouer ce qui avait précédé pour notre anniversaire de mariage : la tenue, le regard des types au restaurant, l’effeuillage, et même la scène de l’aire d’autoroute, pour finir par la fellation au bord de l’allée devant chez nous.Chantal lui dit qu’elle avait de beaux seins, et qu’elle pouvait les sortir comme elle le faisait elle-même. Par bravade et pour montrer qu’elle était à la hauteur de son histoire, Anne avait enlevé son soutien gorge et c’est pour cela que je l’avais vue ainsi. Elle me dit que Chantal n’avait cessé de la complimenter en étant même parfois un peu lourde. Elle ne cessait de mater la poitrine d’Anne. L’heure du retour ayant sonné, elles rassemblèrent le matériel de plage et remontèrent vers les maisons. Elles passèrent la porte de la clôture de chez Chantal constituée de murs hauts qui mettaient le jardin à l’abri des regards, puis celle-ci ouvrit la douche d’extérieur et mit ses enfants dessous. Ses deux filles et la mienne avaient entre 7 et 9ans. Elle leur fit enlever la culotte et se rincer comme il faut les fesses pour enlever le sable. Notre fille dût faire pareil. Puis Chantal les envoya se sécher nues et jouer à l’ombre de la terrasse inférieure qui constituait une aire de jeux ombragée en leur disant de rester car les mamans allaient se changer.Chantal se mit à poil et commença à se rincer en insistant sur ses seins et son sexe. Puis elle s’avança vers Anne et lui dit de se rincer aussi. Anne hésita, elle la tira, et ma femme se trouva sous le jet de la douche. Anne poussa un petit cri car l’eau était froide, puis se déshabilla et se rinça. Lorsqu’elle arrêta le jet pours se sécher, elle s’aperçut que Chantal avait pris toutes les affaires. C’est nue, qu’elle alla sur la terrasse supérieure, qui servait de salon d’été. Chantal riait de la blague et étendait le linge qu’elle venait de rincer.Anne dit qu’elle voulait s’habiller, qu’il y avait les gosses, juste dessous. Chantal lui montra qu’elles jouaient sagement sans s’occuper des mères. Elle proposa un rafraichissement , le servit et s’installa en face d’Anne sur un fauteuil en osier. Elles continuèrent de discuter un moment de tout et de rien. Anne remarqua que Chantal ne cessait d’observer son corps. A un moment Chanta, tout en discutant écarta les jambes et les posa de part et d’autre des accoudoirs. Elle avait le sexe ouvert, mais faisait comme si cela était tout à fait naturel. Anne qui n’avait pas vu de sexe féminin autre que le sien et celui de ses sœurs très furtivement était interloquée par tant d’aisance.Chantal demanda à Anne si elle accepterait de se faire prendre en photo nue. Anne dit que non, mais Chantal insista gentiment en disant qu’elle prendrait que la poitrine. Anne qui était fière de celle-ci n’osa pas encore refuser. Chantal revint avec l’appareil familial et fit prendre la pose à Anne. Celle-ci se laissa guider. Le fait de mettre en avant ses seins lui plaisait secrètement. Chantal lui demanda de faire sortir les bouts. Anne hésita, Chantal mouilla ses doigts et commença à exciter ceux-ci. Anne sentait ses tétons durcir très vite. Chantal reprit son mitraillage. Anne vit bien qu’en reculant, Chantal cadrait à présent son sexe. Sa voisine lui demanda alors de se caler dans le fauteuil et d’ouvrir les cuisses. Anne ne voulait pas mais Chantal lui dit qu’elle avait déjà pris son sexe et qu’elle voyait bien qu’Anne était trempée d’excitation, ce que celle-ci ne pouvait nier. Anne savait que s avoisine avait raison, son sexe s’était humidifié, le fait de se faire prendre en photo, nue, d’adopter des poses de plus en plus osées lui faisait chaud au ventre. Elle obéit et se retrouva cuisses écartées, la chatte ouverte sous l’objectif de Chantal.Celle-ci la fit ensuite mettre au balcon, jambes écartées pour la prendre par derrière.Enfin, Elle lui dit qu’elle allait la prendre à quatre pattes. Anne trouvait cette pose peu artistique, et pour tout dire plutôt vulgaire, mais Chantal y tenait. Anne se sentait sous l’emprise de sa voisine, et excitée en même temps par l’attitude de celle-ci.Elle se posa à terre comme une chienne pensa-telle. Chantal lui fit écarter les jambes, et bomber les fesses. Elle lui fit aussi lever un bras qui était censé tenir ses cheveux mais qui en fait permettait de dégager la vue sur ses seins pendants. Enfin, au grand dam d’Anne, elle prit ses doigts et écarta le sexe de ma femme. Elle se recula satisfaite puis décrivit la scène : « Tu as les nénés bien pointés, en te prenant de ¾, j’ai une vue imprenable sur ton cul et surtout ton sexe toute ouvert au point que tes petites lèvres sont toutes sorties. Tu as le sexe béant, c’est un trou offert. Anne était m’a-elle dit excitée, et sentait la mouille commencer à couler. Chantal la prit ainsi plusieurs fois sous différents angles, puis posa son appareil.Elle se rassit et se mit à se caresser les cuisses et le ventre tout en devisant sur le canapé.Anne avait le regard attiré par le spectacle de sa copine qui se masturbait devant elle. L’atmosphère devint lourde petit à petit. Anne me dit qu’elle avait de plus en plus de mal à détacher son regard du sexe de sa copine. A un moment, Chantal vint s’asseoir à côté d’Anne et lui dit qu’elle aimai beaucoup sa poitrine et qu’elle aurait aimé la toucher. Anne hésita. Prenant cela pour une invitation, Chantal commença à caresser sa poitrine, Anne se laissait faire parce qu’ ’elle n’osait pas la repousser et aussi parce que cela commençait vraiment à lui faire de l’effet.Chantal se mit à lécher Anne qui m’avoua avoir commencé à apprécier et à gémir.A ce moment, les petites appelèrent. Anne et Chantal se penchèrent sur la balustrade pour régler un problème. Chantal en profita, pendant qu’Anne arbitrait un partage de jouets, pour lui mettre la main entre les cuisses par derrière et commencer à caresser sa vulve. Anne m’a dit qu’elle s’était laissée faire, car elle avait le sexe trempé et en fait avait très envie de se faire toucher. Elles se rassirent et Chantal reprit l’excitation des seins d’Anne. Chantal lui prit la main et la lui mit sur son sexe. Anne dit quelle ne savait que faire, qu’elle n’avait jamais fait cela entre filles et qu’elle aimait les mecs. Chantal lui répondit qu’elle avait l’air d’aimer aussi les filles. Elle insista pour savoir si Anne s’était caressée seule. Anne dit d’abord que çà ne regardait qu’elle puis finit sur l’insistance de sa voisine par dire que oui. A ces mots Chantal lui prit la main, la mit sur sa vulve qu’elle écarta et dit : « fait pareil ». Anne s’exécuta et masturba Chantal.Les petites commençaient à s’exciter en bas. Anne voulut se dégager et descendre mais Chantal la retint et lui dit : « je vais te montrer ».Elle écarta les cuisses d’Anne et s’avança jusqu’à ce que son sexe touche le sien. Elles étaient en ciseau toutes les deux. Puis Chantal commença un mouvement de va et vient en incitant Anne à suivre la cadence. Elle lui montra qu’il fallait s’écarter la vulve pour mieux mettre les sexes en contact. Elles se tenaient sur un bras tandis qu’avec l’autre main, elles se caressaient mutuellement les seins.Anne m’avoua avoir joui. Chantal suivit de peu. Elles s’allongèrent l’une contre l’autre et c’est les cris des filles qui les firent sortir de leur torpeur d’après coït.Anne attrapa le paréo de Chantal qui trainait, prit sa fille, dit au revoir à Chantal très vite et passa d’un portail à l’autre. Elle rentra, me dit-elle, un peu honteuse vis-à-vis de moi.Que dire si ce n’est que c’était fait de toutes façons, que d’une certaine manière, nous avions même involontairement, un peu provoqué cela et qu’en fait ce récit m’avait bien excité au lieu de me rendre jaloux, au point qu’il s’ensuivit une partie de jambes en l’air mémorable !!.
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