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La première fois...

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Ceci est une histoire vraie avec juste une pointe d’exagération.Ce dimanche après-midi, nous décidons d’aller nous promener sur Dunkerque...Place Jean Bart, nous prenons un verre au soleil, comme des pachas, Karine est magnifique avec ses longs cheveux blonds sur les épaules, discrètement maquillée, un chemisier blanc largement ouvert laissant voir le bord de ses seins laiteux, ses jambes gainées de soie sous la petite jupe de son tailleur vert pomme, elle est la cible de tous les hommes qui passent et la regardent avec concupiscence...
Nous reprenons la route, tout en rigolant de l’effet qu’elle a produit, nous sommes excités comme des puces en rut...Une envie pressante et je sors de l’autoroute pour aller aux toilettes sur l’aire du phare. Il y a là un monde fou, au moins une quinzaine de voitures et des hommes qui déambulent autour de ces dernières et des toilettes. Je me gare au bout du parking, descends, pisse et remonte prestement dans l’auto...
Je prends Karine par les épaules et lui roule un patin, elle ferme d’ailleurs les yeux. Du coin de l’œil, je vois un type s’approcher, brun, la quarantaine, l’air italien.
Le voilà au bord de la portière.
— Bonjour, fais-je.— Bonjour, répond-il...
Karine ouvre les yeux. Je m’écarte un peu d’elle et lui caresse les cuisses, remontant sa jupe, la lisière des bas apparaît. Elle a les yeux fermés, je continue à la caresser en regardant le type dans les yeux. Il avance doucement, la main qui se pose délicatement sur ses seins offerts...
Toujours les yeux fermés, elle se met à trembler, mais ne dit rien. Il la pelote doucement, malaxant bien la poitrine, elle se cambre un peu, tremble toujours et pousse un léger gémissement quand une main dans un bonnet, il lui pince délicatement, le faisant rouler entre ses doigts, un énorme téton turgescent...
Je retire délicatement ma main de ses cuisses, il se penche un peu dans l’habitacle, et prend ma place, je vois sa main remonter, devine qu’il écarte le boxer rose très large que Karine porte toujours puis au mouvement en avant de son bras et au sursaut brusque de ma femme, je devine qu’il a rentré un ou plusieurs doigts dans sa chatte noyée...
Il penche le buste et plaque ses lèvres sur la bouche entrouverte de ma salope qui tremble toujours.
Elle répond à son baiser pendant qu’elle se met à gémir, je n’en peux plus et bande comme un cerf...
— Tu as envie de la prendre ?
— Oui— Non, dit Karine doucement.— Qu’en penses-tu, tu connais un coin tranquille ?— Oui, regarde, il y a une sortie sur l’extérieur, à travers champs, mais il faut faire vite sinon tout le monde va nous suivre.— OK, retourne à ta voiture, tu démarres brusquement et je te suis.
Aussitôt dit, aussitôt fait, personne n’a eu le temps de réagir et nous filons sur une petite route départementale. Il tourne à droite et s’enquille dans un chemin cul-de-sac...
Je m’arrête derrière lui, il descend et monte à l’arrière de notre voiture, j’incite Karine à le rejoindre...Elle monte à côté de lui, il se rue sur elle et l’embrasse comme un fou, elle gémit, je le vois farfouiller sa braguette, il sort un beau sexe bandé, lui abaisse doucement la tête et je vois Karine ouvrir grand la bouche et l’engloutir jusqu’à la garde...
Elle se met à le pomper, elle adore ça...Je descends à mon tour, la porte arrière est ouverte et je vois Karine faire aller et venir la tête en serrant fort la bite du gars, je rentre un peu dans la voiture, la prends par les hanches et la fais mettre à genoux sans qu’elle quitte un instant le sexe dont elle se défonce la bouche...
Je remonte sa jupe, lui abaisse le boxer, sa fente est tout humide, je m’y enfonce d’un coup et me mets à la besogner...
— Oui, baise-la, baise-la, baise-la, en se cramponnant à chevelure dorée.
D’un coup, il s’immobilise et gémit quand il se déverse à gros bouillons brûlants dans sa gorge...
Je lui décharge aussi dans la chatte en me cramponnant à ses hanches...Je la pousse un peu, elle s’assied et nous voilà tous les trois, essoufflés et des petites paillettes qui dansent devant nos yeux tellement la jouissance a été forte...Du moins pour nous deux, les mâles, car on n’a pas entendu Karine une seule fois, à part peut-être un petit gémissement...Nous l’embrassons à tour de rôle tout en la pelotant sérieusement, sa bouche sent le sperme de l’autre, elle a tout avalé et il devait en avoir un paquet...Le type tient sa bite entre les mains, il a retrouvé toute sa vigueur, je la prends par une fesse, la soulève un peu, elle passe une jambe par-dessus l’autre et la voilà à califourchon sur le gars qui la tient par les hanches...
— Non, dit-elle, vous n’avez pas de capotes ?— Ben non, répond-il tout en lui appuyant sur les hanches. Je ne vois rien à cause de la jupe remontée sur le haut de ses cuisses, mais elle pousse un -.

Je descends devant le paysan rigolard,
— Bonjour dit-il, c’était bon ? En regardant droit dans les yeux.
Karine qui descend à son tour de la voiture en se penchant tellement que ses deux énormes seins sont presque sortis de leurs balcons, on voit d’ailleurs ses tétons un peu...
— Vous êtes sur mon chemin, dit-il en souriant.
Nous sommes un peu gênés tous les trois, Karine se reboutonne, appuyée sur la voiture, il avance d’un pas juste à se retrouver presque contre elle, personne ne réagit, alors il se plaque contre ma femme et l’embrasse sans crier gare. Elle le tient aux bras et répond à son baiser vorace, il lui remonte la jupe, met ses doigts qu’il retire tout gluants, se défouraille et sort un sexe énorme, plein de grosses veines bleues équipées d’un gland massif, presque violet, il plie un peu les jambes et s’enfonce d’un coup et se met à la pilonner...

Presque aussitôt, elle se met à crier, il s’interrompt, se retire, la prend par le bras, la couche dans l’herbe et s’abat brutalement en s’enfonçant dans sa chatte...
Son ventre claque contre le ventre de la femme, il sort brutalement ses seins et les malaxe de toutes ses forces et forçant sa bouche avec sa langue...Karine crie de plus en plus fort quand il s’immobilise, il se vide, à ce moment-là, elle se met à jouir bruyamment...Il se relève
— Merci, c’était incroyablement bon.
Il remonte dans son tracteur, passe sur le côté et s’en va. Quelques portières claquent, il y a cinq ou six voitures au début du chemin, six ou sept gars approchent, ceux qui étaient sur le parking nous ont retrouvés...
Karine est toujours couchée dans l’herbe, les genoux relevés, la chatte ouverte sur une traînée de sperme, les yeux un peu révulsés de sa dernière jouissance...Le premier approche et s’arrête juste entre ses cuisses, elle ferme les yeux et lui ouvre les bras toujours en tremblant, il sort son sexe qu’il tripote, mais qui ne bande pas, il est écarté par le suivant, le sexe dressé, il se met à genoux entre ses cuisses, pointe son dard sur sa fente gluante et s’abat brusquement en s’enfonçant jusqu’aux couilles, elle se remet à crier en jetant son bassin au-devant du salaud qui la besogne...
Le premier écarté tient maintenant sa bite bien dure en mains, les cinq autres derrière aussi...Une heure après, tout le monde est parti, le soir tombe doucement, elle est toujours allongée les jambes écartées, les cuisses souillées, même moi je l’ai prise entre deux coups des bites qu’elle a subis en jouissant comme une folle...
Je l’aide à se relever, il y a une énorme tache de mouille et de sperme derrière son cul sur sa jupe. Elle s’assied péniblement sur son siège, ferme les yeux, je fais le tour, abaisse son siège, lui remonte la jupe, lui écarte les cuisses et je m’enfonce entièrement, tellement excité que je décharge dans le sperme encore tiède qui lui remplit la vulve. Je redémarre et je suis à peine sorti du chemin que je l’entends ronfler doucement...
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