Depuis que ma femme est partie à l’étranger pour deux semaines en déplacement professionnel, j’enchaîne les longues et épuisantes journées de travail. Les premiers soirs ont été marqués par une excitation certaine à l’idée de pouvoir enfiler mes bas noirs ainsi que mes talons aiguilles et me masturber en me regardant dans le miroir de l’entrée. La fatigue augmentant, l’excitation est retombée. Finalement, après trois autres jours sans travestissement, je décide de me reconnecter sur site de rencontres que j’avais déjà testé. Je fais quelques photos de moi avec mes bas et mes talons, après m’être mis du vernis sur les pieds. Les premiers messages arrivent, tantôt salaces, tantôt sans intérêt. Puis il y a le message de @Liam33 qui m’indique être de passage pour le travail dans ma ville des Hauts-de-Seine, limitrophe de Paris. Nous échangeons et le contact est bon. Il doit venir le jeudi dans la journée pour sa réunion et repartir dans la soirée. Je ne suis jamais allé plus loin que quelques photos et je suis réticent à l’idée de rencontrer un homme. Ces trois jours d’abstinence m’ont néanmoins excité et je finis par accepter de dîner avec lui au restaurant. La journée du jeudi est longue et l’excitation monte petit à petit. Satisfait de ma journée de travail, je décide de lever le pied assez tôt et de me préparer : épilation des jambes, du sillon, des testicules et du reste. Mon vernis au pied est encore là. Pour la tenue, j’ai opté pour les bas noirs et les escarpins, une jupe crayon noir et un col roulé noir. Je place mes prothèses, me maquille, inspire profondément et sors de chez moi. Le restaurant n’est pas loin ; je le connais et sais qu’il est peu fréquenté le jeudi. Le gérant me place idéalement dans un coin, une plante à proximité. Je suis en avance et très stressée. Je commande deux americanos pour faire descendre tout cela. Au bout d’une quinzaine de minutes, Liam33 arrive. J’ai toujours eu du mal à trouver un homme beau, je m’intéresse plutôt à la sensation qu’il peut me procurer. Le repas se déroule dans une ambiance décontractée et très amicale. Je lui avoue que c’est la première fois pour moi, une telle rencontre et que je ne suis pas très à l’aise. Au fil du dîner, il rapproche sa chaise et glisse sa main sous la table, la pose sur le nylon de mes bas et me caresse doucement la cuisse. Ne portant pas de cage, la réaction est quasi-immédiate. A mon tour, je caresse doucement la bosse de son pantalon de costume. C’est la première fois que je touche un homme. L’excitation est à son comble et je me sens exploser. Après avoir payé, il me demande comment j’imagine la suite. Très franchement, je lui indique que je ne me sens pas tellement prêt pour aller plus loin, mais que je peux le raccompagner à sa voiture, située dans l’un des parkings souterrains de la ville. Après une marche dans le froid de décembre de quelques minutes, nous arrivons devant la porte de l’ascenseur menant au -3. Nous restons devant, de marbre. La porte s’ouvre, il s’engouffre. Je le suis, après une hésitation. L’ascenseur descend. L’atmosphère s’est réchauffée. La porte s’ouvre sur un sas. Il est à peine sorti de la cabine, que je plaque sur le mur de gauche. Je m’accroupis et, guidé(e) par un instinct que j’ignorais, déboucle sa ceinture. (...)
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