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Ma première fois avec deux femmes

Chapitre 1

Un trio inattendu

Avec plusieurs femmes
Bonjour, moi c’est Max. L’histoire que je vais vous raconter s’est passée il y a quelques années.
A cette époque, je sortais avec une femme, une libertine bisexuelle. Autant vous dire qu’on s’amusait pas mal. Mais un jour, nous avons décidé de faire une pause. Étant accro au sexe, il ne me fallut pas longtemps pour retrouver une autre libertine avec qui m’amuser. Elle se prénommait Stephanie. Une grande brune de 1m75 aux cheveux mi-longs et à la poitrine fine mais très ferme. Nous avons passé de très bons moments mais c’était sans compter sur mon ex qui revenait vers moi en me disant que je lui manquais.
Avant toute chose, laissez-moi me décrire. Je mesure 1m80 pour 80 kilos. Une bonne carrure due aux différents sports et natation que j’ai pratiqués. Très endurant et adorant le sexe. J’ai le sexe pas très épais mais dont la longueur de 20 centimètres compense sa finesse.
Mon ex, que je nommerais babou, mesurait 1m 65 environ, brune, aux cheveux au carrais. Une petite poitrine ferme aux tétons bien érigés ! Bisexuelle depuis peu, elle assume sa sexualité et son appétit pour le sexe. Et vu que je suis toujours partant, elle y trouvait son compte.
Bref. Je décidais de lui redonner une chance. Je fus donc obligé d’expliquer avec regrets à Stephanie que je retournais avec mon ex. Elle le comprit et nous nous sommes séparés en bon terme.
Les retrouvailles avec babou furent chaudes. Habitant dans deux villes différentes, nous avons convenu de partager nos week-ends chez l’un ou l’autre.
Un week-end, alors qu’elle se trouvait chez moi, elle me demanda de lui expliquer qui était cette Stephanie ! Elle m’avoua avoir piraté mon fb et y avoir découvert nos échanges un peu chauds...Tout penaud, je lui racontais tout... elle était folle de rage. J’avais beau lui expliquer que nous n’étions plus ensemble quand j’ai rencontré Stéphanie, elle ne voulait rien savoir. Comme vous pouvez le croire, j’ai passé un sale vendredi soir. Entre reproches, insultes, cris et j’en passe, je n’étais pas à la noce. Le lendemain matin, elle m’annonce qu’elle avait pris rendez-vous dans l’après-midi avec Stephanie pour pouvoir discuter avec elle. Je craignais le pire. En début d’après-midi, nous sommes allés nous balader en centre-ville et elle me dit qu’elle devait retrouver Stephanie. J’étais rouge de honte. Je lui ai dit que je n’assisterai pas à leur conversation et que je rentrais chez moi. Vous vous en doutez, j’ai fait les 100 pas chez moi en attendant que ma douce revienne. Je n’étais pas très fier de ce que j’avais fait même si je n’étais plus avec elle. Elle avait réussi à me faire croire que je l’avais trahi. En fin d’après-midi, Babou est rentrée à la maison.
Elle m’a dit qu’elle avait discuté avec Stéphanie et que tout s’était très bien passé. Elles s’étaient expliqué toutes les deux et avaient compris ce qui s’était passé. Mais je me sentais tout couillon. Au bout de 10 minutes, elle me regarde bien droit dans le dos et les yeux et me dit que Stéphanie attend en bas de la maison. Elle m’explique qu’elles veulent toutes les deux expliquer avec moi sur le petit jeu que j’avais joué avec elles. Pour ma part, j’avais été très clair avec Stéphanie en lui disant que mon ex voulait revenir donc je ne voyais pas où est-ce qu’elles voulaient en venir. J’accepte enfin de faire monter Stephanie et j’ai dû affronter le regard de ces deux femmes devant moi ; elles s’étaient installées toutes les deux dans le canapé et moi en face dans un fauteuil.
En oubliant les bonnes manières, Babou me dit de servir quelque chose à boire à notre invitée. Je me suis donc exécuté et j’ai servi un café à tout le monde. J’étais tout rouge, je regarde mes pieds et je n’osais rien dire. Puis, elles ont commencé à prendre la parole en disant que ce n’était pas bien ce que j’avais fait, mais je ne voyais pas pourquoi. En quittant Babou, je vais tout naturellement retrouver une petite amie, et quand Babou est revenue, j’ai expliqué à Stephanie que notre histoire devrait s’achever. Mais les deux filles ne voyaient pas les choses de la même manière, Babou me regarde avec son regard de braise en me disant que j’allais le payer parce qu’elle s’était sentie trahie. Je suis les deux femmes qui ont commencé à se moquer de moi car j’étais vraiment mal à l’aise. Elles ont commencé à me charrier et à me lancer des piques.
Au bout d’une demi-heure de ce traitement, Babou a fini par se calmer et m’a dit que, vu les circonstances, elle ne pouvait peut-être que me pardonner. Stéphanie la regarda avec un grand sourire et lui dit qu’elle aussi me pardonne mais que je devrais le payer. Elles se sont mises à rire toutes les deux, se sont regardées et au bout de deux minutes, m’ont dit:
— Tu vas nous faire un strip-tease, tu nous dois au moins ça.
J’ai protesté, leur disant qu’il en était hors de question. Mais les deux ont insisté et c’est rouge de honte et de colère que je me suis levé. J’ai dégrafé ma chemise doucement, très doucement en la laissant tomber par terre. J’ai ensuite défait ma ceinture et commencé à ouvrir les boutons de mon jean. En me prenant au jeu, et voulant faire durer le plaisir, je me suis retourné et mis à genoux pour enlever mes chaussures. Une fois mes chaussures enlevées, je me suis relevé. Toujours rouge, donc je leur ai demandé si ça leur suffisait. Qu’il était temps d’arrêter les bêtises car je n’étais pas très à mon aise. Elles ont rigolé, me regardant bien droit dans les yeux en me demandant si je me fichais d’elles. Je devais continuer et de me dépêcher. Malgré mes protestations, j’ai dû me résigner à continuer mon petit strip-tease. J’ai descendu le pantalon sur ma cheville avant de l’enlever ainsi que mes chaussettes.
Je me suis retrouvé en boxer devant elles et sans leur cacher tant bien que mal, la bosse que dessinait mon sexe dans mon boxer. Je sentais leur attitude changer et leurs yeux sont pourtant sur mon boxer. J’étais de plus en plus mal à l’aise car j’étais en petite tenue devant ces deux femmes.
Je proteste de nouveau, pour la forme, en demandant si c’était bon si elles s’étaient bien amusées de moi et si je pouvais me rhabiller. Stéphanie rigole dans son coin et Babou me regarde dans les yeux en me disant : « non non non... Mon petit père tu ne vas pas t’en tirer comme ça. Il me semble qu’il te reste un petit peu de tissu sur ce corps que nous connaissons toutes les deux. »Là, c’est sûr, elles me font vraiment tourner en bourrique. Puis j’ai senti la voix de Babou s’intensifier en disant: — Allez, dépêche-toi, enlève-moi ce boxer. On t’a demandé un strip-tease intégral dépêche-toi de t’exécuter.
Encore une fois, je proteste en leur disant qu’il était hors de question que je me retrouve nu devant les deux.
Babou se leva, s’approcha de moi, et d’un mouvement sec et brusque, me fait glisser le boxer jusqu’en bas des chevilles. Je ne m’attendais pas à cela, et je me retrouve comme un con avec les deux mains devant ma bite pour me cacher. Elle se mit à rire, et me dit que ça y est j’étais enfin nu devant elle. Puis, sans dire un mot, elle se mit à genoux, enleva mes mains, et s’est mise à lécher ma bite. Il ne fallait pas longtemps pour que Magène s’en aille et que ma bite prenne une dimension plus que raisonnable. Cette sensation était... surprenante, mais une dose de gêne, d’excitation, de désarroi et de surprises. Elle me regardait et me dit qu’est-ce que tu attends, laisse-toi faire. Sans que je ne m’en rende compte, j’étais en train de me faire sucer la bite par Babou. Stéphanie était restée assise dans le canapé à nous regarder faire. Puis, sans un mot, elle se leva et s’approcha de moi.
Ses lèvres vinrent se coller aux miennes et prodiguant un doux et langoureux baiser. Babou, toujours occupée à sucer ma bite, s’était mise à me caresser les cuisses et les fesses. Stephanie m’embrasse goulûment, laissant aller ses mains sur mon corps. Une de ses mains est même allée à la rencontre de la tête de Babou, imprimant le rythme pour qu’elle me suce de plus en plus fort. Babou ne se fit pas prier et prit mon sexe entièrement dans sa bouche et prodiguant une gorge profonde des plus merveilleuses.
Je ne m’en revenais pas de la situation... Ces deux femmes que j’avais eu tant de plaisir à baiser, étaient toutes les deux devant moi en train de jouer avec moi. L’une me suçant goulûment, l’autre m’embrassant comme si elle n’avait pas mangé depuis des mois.
Stéphanie prit enfin la parole en disant:— Dit donc ma belle, laisse-le un petit peu.
Joignant le geste à la parole, elle s’est mise à genoux devant moi, tout en caressant la tête de Babou. Puis plaçant sa main sur son front, j’ai retiré mon sexe de la bouche de Babou. Elle s’empressa de lui rouler une grosse pelle. Je suis resté un petit moment à regarder ces deux coquines s’embrasser. Je n’avais pas l’habitude d’être dans un état dur comme cela, mais ne sachant pas à quelle sauce j’allais être mangé. La situation m’excite de plus en plus. Puis les deux filles se sont levées, se sont fouillées l’une et l’autre, tout en continuant de s’embrasser. Pendant quelques minutes, nous étions tous les trois nus comme des verres.
Ce fut au tour de stéphany de me prendre en bouche. Cette petite coquine sait vraiment y faire avec moi. Elle n’avait aucune difficulté à me mettre au fond de sa gorge et me lécher les couilles en même temps. Quel plaisir divin de se faire sucer en gorge profonde et se faire lécher les couilles en même temps. Je râle de plaisir tellement ses caresses buccales étaient bonnes. Une bouche chaude humide et accueillante comme la sienne...
Pendant ce temps, Babou s’était relevée et avait pris position de ma bouche, elle s’était mise en trois quarts, pouvant ainsi me caresser le torse, le dos et les fesses. En baissant la tête, j’apercevais ma queue qui disparaissait entièrement dans la bouche de Stephanie. Elle n’était pas en reste puisque pendant qu’elle me suce, sa main droite caresse les fesses de Babou. Je commençais entendre leurs petits cris car Stephanie adore sucer. Babou commença aussi à gémir sous les caresses de Stephanie. Cette dernière avait remonté sa main le long de la cuisse de Babou et lui caresse son petit minou. Bah, vous avez écarté les jambes pour faciliter l’accès de cette main.
Pour ma part, de ma main droite, j’ai caressé la tête de Stephanie pour l’accompagner sur ma queue et de la main gauche je caressais les fesses de Babou. Stéphanie, de sa main droite, caressait Babou et de sa main gauche, elle avait pris possession de ma fesse gauche.
Mais, il semblait que les filles n’en avaient pas assez. Babou prit les commandes, obligeant Stéphanie à lâcher ma queue pour venir l’embrasser. Leurs deux corps se touchèrent allègrement. Elles se frottèrent l’une contre l’autre, et leurs mains se garèrent sur Lordeau et leurs fesses. J’étais comme un fou devant ce spectacle, je n’avais jamais vu ma queue aussi raide.
Les deux filles se sont affalées sur le canapé, me laissant debout à les observer. C’est Babou qui prit l’initiative de glisser le long du ventre de Stephanie, pour aller lui lécher goulûment sa petite chatte ruisselante. Stéphanie ne se fit pas prier et s’est mise à gémir de plaisir sous les coups de langue. Babou, entre deux coups de langue, jeta un regard qui en disait long. Elle dressa ses fesses comme une invitation à la pénétration. Je ne me fis pas prier mais j’en avais encore envie. Je me suis agenouillé, j’ai pris les deux fesses dans mes mains, et je me suis mis à lécher sa raie...
Cette petite cochonne était toute trempée. Je n’ai pas su résister à la tentation et je me suis mis à boire son jus. Elle coulait tellement que j’avais du mal à suivre. Me plaçant sous elle, je suis à loisir lui lécher son petit puits d’amour et son petit bouton qui devenait de plus en plus sensible. Ma queue toujours aussi bandée, j’entendais ces deux coquines prendre leur plaisir. Ce fut Stéphanie qui hurle la première. Suivi de peu par Babou qui s’est mise à jouir sous mes coups de langue. Elle se redressa laissant Stéphanie affalée sur le canapé et se retourna pour m’embrasser. Quelle sensation unique de sentir le goût de Stéphanie dans la bouche de Babou ? Puis, elle s’allonge sur le canapé et demandait à Stéphanie de venir la lécher. Stephanie ne se fit pas prier et Vincent s’est installé entre les cuisses de Babou tout en empoignant ma bite. Elle me regarda, il me dit que ce serait dommage de ne pas en profiter. Une chatte et une bite, il y a toujours moyen de s’amuser.
Elle enfouit toute ma bite au fond de sa gorge puis se retirant, elle la plaqua sur le sexe ruisselant de Babou.C’était maintenant autour de Babou, de gémir sous les coups de langue de Stéphanie et, pour ne pas rester à ne rien faire, je me mis à lécher le cul de Stephanie. Je sais qu’elle adore cette caresse et moi aussi d’ailleurs. Je voyais son petit trou avec ma langue et je m’en délecte. Avec ma main droite, je lui caressai le sexe et j’agaçai son petit clito.
Si douce caresse, du rire un bon moment. Puis bah oui Stéphanie hurlait de plaisir en même temps.Nous ne pouvons plus, je pris Stéphanie par le cou pour l’embrasser, et la faire se redresser, elle avait les mains plaquées contre le canapé et je vais glisser ma queue entre ses cuisses. Je vais laisser parcourir mon sexe sur sa chatte trempée et, sans crier gare, je lui enfonçai jusqu’à la couille. Elle s’est échappé un râle de plaisir.
Je commençais à la pistonner sérieusement et je n’avais pas remarqué que Babou était venue se placer derrière moi. Ses mains parcourent mon dos, j’ai senti sa langue se poser sur mes fesses. J’étais surpris, mais, quand sa langue a commencé à fouiller mon cul je me suis laissé aller et un petit râle de plaisir s’était échappé de ma bouche. Elle sait que j’adore ça sous ses coups de langue, je pilonne de plus en plus fort, c’est Fanny qui aurait de plus en plus tort. Heureusement pour moi, les voisins sont assez âgés, ils n’entendent plus grand-chose. Je n’ai pu retenir bien longtemps ma jouissance et je me répondais au fond du ventre de Stephanie qui n’en pouvait plus. Elle s’effondra sur le canapé et Babou vint la remplacer. Elle espérait bien avoir le même traitement. Vu que je n’avais toujours pas débandé, malgré une superbe jouissance dans la chatte de Stéphanie, j’ai pris possession de celle de Babou et j’ai commencé à lui donner le même traitement.
Stéphanie s’est relevée pour venir m’embrasser ma poitrine. Je baise Babou de plus en plus fort, puis elle donne des cris de plaisir comme des cochons, de plus en plus fort également. Babou eut trois ou quatre orgasmes à la suite, quant à moi, j’ai fini par lâcher la purée dans sa petite chatte. Les deux femmes se sont affalées dans le canapé et moi, ma bite toujours en érection, leur ai demandé si c’était tout. J’en avais encore envie, j’étais excité comme jamais.
Babou se jeta donc sur Stephanie pour l’embrasser goulûment en frottant son corps contre le sien et me fera aussi son petit cul. Je me suis résisté et je me suis approché de sa petite rondelle pour m’y introduire tout doucement, elle poussa un long râle qui met les douleurs et plaisirs. Très vite remplacés par des petits cris de plaisir, qui ont étouffés par la bouche de Stephanie. Me retirant de son petit cul, je m’engouffre instantanément dans sa chatte décrochant à nouveau un grand râle de plaisir. Pour ne pas laisser Stephanie en reste, je me suis introduit dans sa petite chatte à son tour et j’alternais entre les deux chattes de mes amantes d’un soir. J’étais au paradis, baiser ces deux petites cochonnes était le plus beau cadeau que je puisse avoir. Il faut dire que c’est ce soir là, j’ai littéralement achevé ces petites coquines qui, d’habitude, sont insatiables. Et ce soir, c’était moi le patron, je me suis bandé comme jamais et je les ai baisé toutes les deux comme jamais.
Il faut dire qu’elles se sont bien occupées de moi et après cette longue soirée de baise, elles m’ont sucé alternativement et, toutes les deux en même temps. Quand l´une me suçait la bite, l’autre me léchait les couilles, puis quand l’autre me suçait la bite, l’autre me léchait la rondelle.
Quand enfin ces deux cochonnes ont crié gare, ma bite toujours en l’air, j’ai enfin regardé l’heure. Il était plus de trois heures du matin, j’étais encore extrêmement excité et j’en voulais plus mais ces deux insatiables étaient à plat et n’en pouvaient plus. Je me sentais fier d’avoir pu honorer ces deux femmes qui d’habitude, me laissent à genoux.
Ce fut une soirée mémorable. J’en suis encore tout émoustillé rien que de vous raconter cette histoire. N’hésitez pas à me dire si cette histoire vous a plu et si vous en voulez d’autres de ma part. J’attends vos commentaires. À très bientôt. Max.
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