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Ma première fois avec une femme plus âgée

Chapitre unique

Hétéro
Il est 17h en ce jeudi soir de fin octobre lorsque je quitte mon travail. A cette époque de ma vie, j’avais régulièrement pour habitude de sortir une ou deux fois par semaine pour des « after work ».  Pour cela, j’avais ma collègue Léa, très assidue pour ce genre d’événement, qui m’accompagnait régulièrement. Mais, ce soir-là, ce n’est pas avec elle que je sors. J’ai rendez-vous avec Noémie et Véronique, deux anciennes collègues.
Noémie est plus qu’une collègue de boulot, c’est une amie. Nous nous sommes connus des années auparavant lorsque nous étions étudiants en licence. Nous avons très vite accroché et une véritable amitié est née. Elle a 4 ans de plus que moi et est mariée avec un enfant de 3 ans. A la fin de nos études, nous avons été recrutés par l’université afin d’être employé sur des postes administratifs en finance, en relation avec nos études. Je ne suis pas resté très longtemps dans ce domaine, ayant été embauché pour un remplacement de congé maternité. Une autre opportunité s’est offerte à moi, toujours à l’université, mais cette fois-ci dans le champ de la scolarité. J’y ai travaillé durant un an lorsque, un peu par hasard, Noémie m’a rejoint pour travailler dans le même bureau que moi. Son contrat se finissait aussi pour elle et je lui avais parlé de cette opportunité qui était, là encore, un contrat d’un an pour effectuer un remplacement. Evidemment, nous formions un binôme très efficace et il était très agréable d’aller travailler le matin dans ces conditions.
C’est à cette même époque que nous avons rencontré Véronique. Elle était la toute nouvelle personnelle d’accueil, arrivée en septembre. Son contrat était encore plus court que les nôtres puisqu’il se terminait en décembre. Véronique avait une quarantaine d’année, soit une vingtaine de plus que moi, et avait 3 enfants. Elle était en instance de séparation avec son mari. C’était une très belle femme. Elle le savait sans doute et se mettait bien en valeur. Mesurant un peu plus d’1m60, elle avait une silhouette très fine sans un poils de graisse. Elle avait des grands yeux noisette tout rond, voir un peu globuleux. Elle s’habillait très régulièrement en robe moulante, ce qui faisait particulièrement bien ressortir son petit cul. Jamais je n’ai vu autant d’étudiants et d’enseignants fréquenter l’accueil que les 4 mois où Véronique était présente. Tous les prétextes semblaient bons pour s’y rendre. Il faut dire qu’elle avait vraiment le sens de l’accueil : régulièrement, elle déposait des petits gâteaux sur le comptoir afin que chacun puisse se servir. Et puis, elle avait une voix douce et suave qui ne pouvait pas laisser indifférent les hommes. A l’époque, j’étais en couple, mais je dois bien avouer que cette femme m’attirait. Je n’avais que peu d’expérience avec les femmes (en termes de pluralité), étant à ce moment-là dans ma 2ème longue relation mais j’avais toujours ce fantasme de coucher un jour avec une maman. Il a donc fallu se faire violence et ne pas se laisser tenter par toutes les allusions sexuelles que pouvait faire Véronique en général, mais aussi directement à mon encontre. Car oui, cela faisait aussi parti du personnage. Elle utilisait beaucoup d’expressions très connotées sexe. Je ne savais pas toujours où placer la barrière entre l’humour et le véritable appel du pied… Avec le recul, je pense que la frontière était vraiment très ténue, voir inexistante.
C’est dans ce contexte que se sont déroulés les 4 mois de Véronique dans notre structure. Pour son départ, et comme il est de coutume, le service lui a offert un petit cadeau. Comme cela était de saison, l’ensemble de l’équipe lui a offert une belle nuisette sexy de Mère Noël (à la stupeur de notre responsable !). Nous étions sûr qu’elle en ferait bon usage. Suite à cela, l’année a poursuivi son cheminement. A son terme, j’ai réussi à me faire embaucher définitivement et Noémie est retournée travailler en finance. Malgré son départ, nous avons continué à échanger et maintenir ainsi notre relation amicale. C’est au cours d’un de ces échanges, des années plus tard, qu’elle m’apprend qu’elle est toujours en lien avec Véronique et qu’elles ont prévues d’aller boire un verre ensemble un soir à la sortie du boulot. N’ayant plus eu aucun contact avec elle depuis le jour de son départ, je demande à Noémie si je peux m’intégrer à cette sortie pour ces retrouvailles. C’est ainsi qu’en ce jeudi soir, je sors de mon travail pour me rendre au centre-ville et rejoindre Noémie et Véronique.
Je ne retrouve pas la même Véronique que celle que j’ai quitté il y a 4 ans. Elle semble plus « fatiguée », moins empruntée qu’auparavant. Elle n’est pas maquillée, n’est pas très bien habillée. Elle sortait de son boulot (je n’ai pas retenu exactement ce qu’elle faisait). Cependant, je suis quand même ravi de la retrouver et de partager ce moment tous les trois. Ironie du sort, sur la table conjointe à la nôtre, Léa s’est installée avec un de ses ami. Je me sens légèrement épié mais j’en fais rapidement fi. Nous enchainons les verres et les discussions. Nous nous rappelons les bons moments que nous avons passé au boulot ensemble, nous nous demandons ce que sont devenus nos vies à présent (même si nous le savions déjà entre Noémie et moi). Au fur et à mesure de la soirée, Véronique nous dit qu’après le bar, elle ira en boite, seule. Déjà à l’époque, elle aimait beaucoup sortir. Cela n’a visiblement pas changé. Elle nous propose à plusieurs reprises de l’accompagner. S’il y a bien un endroit où je n’aime pas sortir, c’est les boites de nuit. Je décline donc la proposition. De plus, l’heure tourne et je n’habite pas proche du centre-ville. Il y a de moins en moins de bus vers 20h et je décide donc, sagement, de rentrer chez moi. Avant cela, je prends tout de même l’initiative de prendre le numéro de Véronique afin d’organiser à nouveau ce genre d’after work, sans laisser passer plusieurs années.
Il me faut environ 1h pour retrouver mon appartement. J’ai dû tout faire à pied, le dernier bus m’étant passé sous le nez. C’est quasiment à ce moment-là que je reçois un SMS de Véronique. Elle me dit qu’elle est vraiment très heureuse de m’avoir revu ce soir. Je lui réponds tout aussi enthousiaste que j’en suis également ravi. Puis, quelques secondes plus tard, je reçois un nouveau message. Elle me demande à nouveau si je veux la suivre en boite. J’ai bu quelques verres et je me remémore la Véronique du passé. Et s’il y avait une ouverture ? Naïvement, je ne crois pas trop à cette possibilité. J’ai surtout peur de perdre mon temps dans un endroit que je déteste pour au final rester sur ma faim. Je refuse à nouveau. Mais Véronique, décidément, n’abandonne pas. Elle m’écrit à nouveau en insistant, en me disant qu’elle m’emmène et me ramène, qu’on ne reste pas longtemps pour que je sois en forme pour le boulot le lendemain… Cette fois, le message est clair. Je sens vraiment toute sa motivation à me faire venir. Le doute n’est plus vraiment permis, elle ne me demande pas ça pour "rien". Avant de lui répondre, j’écris tout de même à Léa pour lui expliquer la situation. Elle ne comprend même pas que je puisse me poser la question (et avec le recul, je ne comprends pas moi non plus… probablement le manque d’expérience de l’époque !) : « vas-y !! » me dit-elle. C’est donc entendu. Je réponds à Véronique que je suis d’accord pour l’accompagner. 20 minutes plus tard, elle est en bas de chez moi.
Etant donné notre différence d’âge (j’apprendrai plus tard dans la soirée que nous avons exactement 18 ans d’écart : moi 27 et elle 45), nous sommes dans une boite pour personne « d’âge mûr », ce qui dans le fond ne me déplait pas. Par contre, il y a vraiment tout le reste que je déteste : musique pas à mon goût et si forte qu’il est quasiment impossible de tenir une conversation, des verres hors de prix, des gens qui dansent… Bref… Nous discutons tant bien que mal avec Véronique. Nous parlons notamment de nos relations amoureuses et de nos attentes à ce niveau-là. J’essaie de lui faire comprendre de manière plutôt subtile que s’il arrivait quelque chose ce soir, ce ne serait pas du sérieux car j’attendais d’avoir une relation avec une fille de mon âge, mais qu’en attendant… Il fallait bien que jeunesse se fasse !Est-ce l’effet de l’alcool ou autre mais je vois ses beaux yeux pétiller de plus en plus lorsqu’elle me parle. Également, le fait que la musique soit si forte nous oblige à nous rapprocher pour pouvoir entendre au moins un mot sur deux. Nous passons une bonne heure ainsi, quasiment collé l’un à l’autre, nos bouches à proximité de nos oreilles.  Si je suis venu ici, ce n’est pas pour rien et j’ai vraiment envie qu’il se passe quelque chose ce soir qui sorte un peu de l’ordinaire mais je suis comme tétanisé. Je me dis que c’est tellement un fantasme de coucher avec une femme bien plus âgée que moi que j’ai du mal à imaginer que cela puisse réellement se concrétiser. Ce soir, comme cela, alors que rien n’était prévu… De plus, à l’époque, je n’étais vraiment pas des plus à l’aise pour passer concrètement aux choses sérieuses. J’étais plutôt du style attentiste, que la fille fasse le premier pas. J’ai laissé ainsi passer plusieurs occasions qui auraient pu, j’imagine avec le recul, être bien plus concluante.
Puis, Véronique souhaite sortir fumer une cigarette. Je l’accompagne donc sur la terrasse de la boite qui sert de zone fumeur. La température s’est drastiquement rafraichie par rapport à la fin d’après-midi et il commence vraiment à faire froid. Tremblotante, Véronique me demande si elle peut se réchauffer dans mes bras. C’est l’ultime signal que j’attendais ! Une fois encore, je n’ai pas été des plus entreprenant mais cette fois-ci, la « chance » me sourit. Je la prends donc dans mes bras et la serre fort pour la réchauffer. Nos regards se croisent et je prends l’initiative de l’embrasser. Je me rappelle me prendre une petite remarque du genre « et bah enfin ! ».  A partir de ce moment, Véronique ne me lâche plus. Nous rentrons à l’intérieur et elle s’assoit sur mes genoux pour continuer à m’embrasser à pleine bouche. Même si je suis très heureux de ce qui arrive et que je me projette sur le moment où nous allons partir, je ne peux m’empêcher de me sentir mal à l’aise face à un comportement que je considère comme celle d’une adolescente.

Après un certain temps que je ne serai plus en mesure d’estimer aujourd’hui, nous quittons enfin le vacarme de la boite pour nous retrouver dans sa voiture. Le contraste est saisissant : il fait très froid et il n’y a plus un bruit. Nous continuons à nous embrasser et je deviens de plus en plus entreprenant. Je l’embrasse dans le cou puis je lui caresse ses petits seins avant de descendre à son entrejambe. Je sens l’excitation grandir et exploser en elle. Je deviens joueur et je m’arrête brusquement. Je lui dis que si elle veut la suite, elle doit me ramener chez moi tôt, comme promis. Ni une ni deux, elle embraye et nous quittons le parking. Je continue de la titiller et de la caresser pendant qu’elle conduit. J’appuie de plus en plus sur sa chatte afin qu’elle puisse sentir le maximum de sensation. Mais sans jamais glisser ma main à l’intérieur. C’est à ce moment-là que je prends conscience que mon fantasme a dores et déjà commencé à se réaliser. Elle se trémousse sur son siège et attend chaque feu rouge pour me sauter littéralement dessus et m’embrasser, rentrant bien profondément sa langue dans ma bouche. Elle est bouillante et je vais très rapidement en récolter les fruits.

Nous montons chez moi et à peine la porte refermée, Véronique se jette sur moi et me plaque contre le mur. Elle m’embrasse sans arrêt. Je calme un peu le jeu et l’emmène dans ma chambre. Je l’allonge sur le lit et nous commençons à nous déshabiller. Ma queue est déjà dure comme du béton. Je suis tellement excité de pouvoir lui faire l’amour que je ne prends même pas mon temps pour des préliminaires. J’ai espéré ce moment depuis si longtemps dans mon esprit de jeune homme que je veux être sûr et certain qu’il se concrétise. J’attrape une capote dans le tiroir de ma table de nuit et je m’allonge sur Véronique. Avant de rentrer mon membre dans son corps, je tâte rapidement son entrejambe. Elle est complètement trempée. La pénétration est comme une délivrance pour nous deux. Je vois ses yeux se fermer et se diriger vers le plafond. Je l’agrippe en passant mes deux bras derrière son cou. Nous nous embrassons pendant que j’accélère avec plus d’ardeur mes coups de rein. D’ailleurs, et en toute honnêteté, je ne tiens pas le rythme bien longtemps. Assez rapidement, je me raidie et déverse tout mon sperme dans la capote. J’aurai adoré remplir de mon jus l’utérus de cette maman mais nous nous devons d’être prudent.
Une fois retiré, je m’allonge sur le dos à ses côtés. Elle vient poser sa tête sur mon torse brulant. Nous effectuons de tendres petites caresses mutuelles sur le corps de chacun sans dire un mot. Je prends enfin le temps de pouvoir l’observer, de réaliser ce qui vient de se passer. Je prends plaisir à voir son cul nu. Il est vraiment aussi beau que ce que je l’avais imaginé à l’époque sous ses robes moulantes. Ce soir, je le tiens dans ma main. Au bout de plusieurs longues minutes, le silence est brisé. Impossible de me rappeler par qui. C’était très probablement pour dire une banalité, histoire de reprendre des échanges. C’est d’ailleurs dans ce laps de temps que nous nous disons réellement nos âges. Je réalise donc que nous avons 18 ans d’écart et que fort probablement, lorsqu’elle s’est faite pénétrer comme ce soir pour la première fois de sa vie, je n’étais même pas né. Cette pensée éveille en moi à nouveau une forte excitation. Peu de temps après, nous reprenons nos baisers et je me remets à durcir. Cette fois-ci, ayant éjaculé peu de temps auparavant, je sais que je vais pouvoir être plus performant et vraiment profiter pleinement. Véronique s’en aperçoit et attrape ma queue avec sa petite main. Elle me branle lentement, en faisant des petits tours de poignet. Elle m’embrasse à pleine bouche puis descend petit à petit pour poser ses lèvres sur mon cou, puis sur mes pectoraux, le bas de mon ventre et enfin… elle pose délicatement ses lèvres sur mon gland, ouvre sa bouche et le fait disparaître à l’intérieur. Elle me suce divinement bien. La regarder avec ses yeux coquins et pétillant me rend fou. Parfois, je ferme les yeux pour me concentrer et profiter pleinement. Sa langue se balade le long de ma verge et viens titiller mes couilles. Elle s’amuse avec. Elle la rentre et la ressort de sa bouche, me lèche partout. Cela dure de très longues minutes. Je ne dis pas un mot. Je vis un rêve éveillé.

Puis, elle se redresse, se met accroupi et s’assoit sur ma queue. Elle se déhanche toute seule. C’est elle qui me baise. Elle va à son rythme et son visage commence à se déformer, ses yeux se fermer. Elle alterne entre accélération et ralentissement. Après une bonne dizaine de minutes ainsi, je décide de passer à l’action. Je place mes mains sur ses fesses, les écarte et je la surélève un peu. Je me redresse légèrement en appuyant sur mes pieds. Dans cette position, c’est moi qui donne le tempo désormais. Je tape vite et fort. C’est le véritable moment où Véronique décolle et relâche toute la tension accumulée depuis de longues minutes. Elle crie de jouissance et se vautre sur mon torse. Ma queue est toujours en elle et je ne peux pas m’empêcher de continuer à la bouger tout doucement.-    Je suis désolé mais je n’en ai pas encore fini avec toi, lui dis-je.-    Ah mais j’espère bien ! Moi non plus je n’en ai pas fini mon chou.-    Tu aimes ça hein petite coquine… Moi aussi j’adore. Tourne-toi et mets-toi à 4 pattes.-    Oui chef ! dit-elle dans son grand sourire caractéristique.
La vision que j’ai à ce moment-là est sublime. Dans cette position, je vois parfaitement ses deux trous. Elle n’a pas besoin d’écarter ses fesses pour que je puisse voir son anus. Cela m’a toujours énormément excité. Je considère cela comme une offrande, une invitation à la pénétration. Je me place derrière elle et je m’enfonce à nouveau dans son anatomie. Je pose mes mains sur ses fesses et je les écarte pour ouvrir un peu plus son trou du cul. C’est mon côté pervers… Je commence doucement et j’accélère le rythme de manière crescendo. J’ai bien vu que c’était ce qu’elle aimait lorsqu’elle était assise sur moi. Sa sensation (ainsi que la mienne) est dupliquée sous l’effet de la levrette. Sa chatte est plus serrée et ma bite est devenue tellement dur que je n’avais pas le souvenir de l’avoir déjà eu autant comme cela auparavant. Je l’agrippe à présent très fermement par les hanches et parviens à la faire jouir de nouveau. De mon côté, je dois me concentrer pour ne pas éjaculer tout de suite. Je prends vraiment trop de plaisir pour arrêter maintenant. J’ai ce fantasme depuis si longtemps que je ne veux pas que cela s’arrête, je veux en profiter un maximum. Peut-être que ce soir sera ma première et dernière fois avec une femme plus âgée. Après qu’elle ait joui, je me retire histoire de me « reposer » un peu. Se remettant de ses émotions, c’est elle qui prend à nouveau les choses en main.-    A toi de te mettre à 4 pattes.-    Pardon ?-    Oui oui, vas-y, mets-toi à 4 pattes.-    Mais… Qu’est-ce que tu veux faire ?-    Chuuuut… Surprise….
Je suis très interloqué par cette demande mais je m’y plie évidemment sans apporter aucune résistance. C’est donc moi qui, pour la première fois de ma vie, me retrouve à 4 pattes, le cul tendu et offert à quelqu’un. Au fond de moi, je rigole et j’espère quand même qu’elle n’a pas planqué un gode ceinture dans son sac. Elle est tellement à part et lunaire comme fille qu’elle en serait presque capable. Mais non, ce n’est pas cela. Ses deux mains viennent se poser sur chacune de mes fesses pour les écarter. Ça y est, je pense avoir compris ce qu’elle veut faire mais je n’ose imaginer que cela soit réellement possible. Et pourtant... Je sens le bout de sa langue se poser délicatement sur mon trou du cul, faire des petits cercles tout autour puis en repassant par le milieu. Je n’en reviens pas... Je prends un plaisir incroyable car c’est la première fois qu’on me fait cela et c’était aussi un de mes fantasme ! Je n’avais cependant jamais osé le demander, trouvant cela vraiment dégradant pour la femme. Ce soir, je n’ai même pas eu besoin de le faire... J’ai l’impression d’être réellement dans une autre dimension.

Et pourtant, malgré ce plaisir et cette sensation totalement inédite, je suis vraiment très gêné. Je dois bien avouer que tout d’abord, la position me met mal à l’aise. Je me sens vulnérable mais surtout ridicule ainsi. Mais, au-delà de ça, j’ai honte car j’ai le cul assez poilu et que je n’ai pas pris de douche depuis la veille au soir. Évidemment, je suis allé aux toilettes dans la journée et j’ai transpiré... Malgré le bonheur que cela me procure, je réfléchis tout de même à me retirer par respect pour elle. Mais, à ma grande surprise, Véronique ne retire pas sa langue. Bien au contraire. Elle accélère le rythme et y va vraiment de bon cœur maintenant, me dévorant littéralement le cul. Puis, sa main droite relâche ma fesse. Avec, elle attrape mes couilles et les malaxe comme une boule anti-stress. Elle saisit ensuite ma queue et se met à me branler. Dans cette position, j’ai l’impression d’être une vache à lait que l’on est en train de traire. Elle alterne entre le massage de mes couilles et une branlette de plus en plus énergique, sans jamais retirer sa langue de mon cul. Le malaise que je pouvais ressentir quelques minutes auparavant passe désormais largement au second plan tant la sensation est magnifique. Je ne pense plus au respect que je devrais avoir pour elle. Je me dis que si elle était dégoutée, elle aurait arrêté d’elle-même. Je me laisse totalement aller à se plaisir qui est en réalité indescriptible. Au bout de 5 bonnes minutes, je sens que je vais jouir et je la préviens. Sans attendre, Véronique se jette sur le dos et vient positionner sa tête sous ma queue. Elle l’attrape, la met dans sa bouche et la branle de manière très vigoureuse. Quelques secondes plus tard, j’envoie tout mon jus au fond de sa bouche dans un râle de jouissance. La vache a vidé tout son lait. A la fin de la dernière goute, je m’écroule et m’allonge sur le dos. Je suis au 7eme ciel. Véronique se redresse pour me regarder et me dit avec sa voix suave et son sourire coquin que je n’oublierai jamais : "ton sperme a bon goût", avant de se blottir à nouveau dans mes bras.
Quel moment merveilleux que je viens de vivre ! Nous restons ainsi, l’un contre l’autre de très longues minutes à discuter de tout et de rien. Plus tard, nous avons à nouveau fait l’amour. Je regarde l’heure, il est 5h30 du matin, je me lève dans 1h15... Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre. 1h plus tard, je n’ai pas eu la force de me lever. Je suis très en retard pour aller au travail. Nous nous hâtons pour quitter l’appartement. Dehors, je la raccompagne jusqu’à sa voiture. Elle me tient la main. Nous nous embrassons longtemps avant de nous quitter.En arrivant au boulot, Léa m’attend de pied ferme pour savoir si je suis ou non allé en boite la veille.  Elle a très rapidement compris à l’expression de mon visage que la réponse était positive et que j’allais avoir des choses à lui raconter… Je passe la journée ainsi, complètement perdu dans mes pensées, en me refaisant le film de la veille. Je ne veux jamais oublier ce moment. Il doit rester gravé à jamais.
Suite à cela, j’ai revu Véronique 3 ou 4 fois durant une dizaine de jours. Pour elle, notre relation allait au-delà d’une simple aventure sexuelle. Ce qui n’était pas mon cas, comme je lui avais déjà expliqué. Nous nous sommes donc quittés ainsi à mon plus grand regret car je pense que nous aurions pu prendre encore vraiment du bon temps ensemble. Toujours est-il, qu’un soir où j’étais chez elle, Véronique m’a fait la surprise d’arriver dans son salon dans la nuisette de Mère Noël que nous lui avions offerte avec le service. Je n’aurai jamais pu m’imaginer ce jour-là que, 4 ans plus tard, je lui ferai l’amour avec… C’est le plus beau retour sur investissement que j’ai pu faire pour un cadeau de départ.
En tout cas, jamais je n’oublierai Véronique.
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