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Première fois au camping

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Bonjour tout le monde,
Je me lance dans l’écriture de ma première histoire, j’espère que vous serez indulgents avec moi car ce n’ est pas facile. Si l’histoire plait, je rajouterai des détails dans les suivantes.
Je m’appelle Camille, j ai 24 ans. Je suis brune, 1m65 pour 57 kilos. Des cheveux longs, les yeux marron. Une poitrine en poire, affichant 90 de bonnet B, avec d’assez gros tétons.
Voilà pour ma présentation rapide.

Je suis d’une famille relativement portée sur le sexe. Ce plaisir n’est pas un tabou du tout, ce qui m’a beaucoup décomplexée en grandissant, même si à mon adolescence, tout n’a pas toujours été simple pour moi de ce coté-là.
Nous faisions beaucoup de naturisme, et après mes 18 ans, nous avons commencé à fréquenter des campings plus libérés, ce qui permettait à mes parents et parfois aux autres membres de la famille qui en faisaient avec nous, de faire des rencontres et ainsi d’agrandir leur cercle "d’amis".
C’est d’ailleurs à l’un de ces moments là que j’ai eu mes premiers rapports, en cachette (je le supposais en tout cas) avec un homme bien plus vieux que moi, et dominant. Ce fut des vacances... assez particulières pour moi. J’étais devenue femme, et plus ou moins soumise. Pour moi, rien de surprenant dans ce genre de rapport puisque ce style de vie était celui de mes parents, et d’une manière générale du reste de la famille car tous avaient des prédispositions pour être soit dominant(e) soit soumis(e).
Si bien que lorsque je reprenais mon train-train quotidien, mes aventures me paraissaient bien fades avec des garçons de mon âge. Je ne parvenais pas à trouver le plaisir de la première fois, enchaînant les déceptions amoureuses.
Ma mère, avec qui j’étais très proche, me questionnait beaucoup sur le sujet, s’inquiétant même parfois que je sois seule alors qu’elle et papa profitaient pleinement, rencontrant de plus en plus fréquemment.
Maman me rassurait même en me disant que si j’aimais les filles ça ne serait pas un souci, chose à laquelle je répondais ne pas y avoir songé, mais que le problème venait d’ailleurs.
— Maman, le souci... c’est que j’ai beau faire des rencontres, sortir, etc... je ne trouve ou retrouve pas de plaisir. Je me fais draguer, c’est plaisant, mais les garçons ne correspondent pas à mes attentes je crois— Mais qu’attend-tu d’eux Camille ?— C’est compliqué, je ne me sent pas à l’aise avec des garçons de la fac, de mon âge, et j’aimerais qu’ils soient plus entreprenants.

C’était relativement difficile pour moi d’expliquer cela à maman. Mais elle comprenait et culpabilisait un peu, car l’image qu’elle renvoyait d’elle avait forcément eu un impact sur moi, sur ma vision du sexe et des rapports hommes femmes.
Je ne le sus que plus tard, mais maman en parla très vite à papa par peur que je fasse une dépression à terme. Si bien qu’à chaque vacances scolaires nous allions passer quelques jours, voire semaines, dans notre camping. Nous ne faisions pas forcément toujours du naturisme car la saison ne s’y prêtait pas tout le temps. Mais j’y retrouvais presque à chaque fois Alain, mon premier partenaire.
Alain avait à cette époque 54 ans, divorcé, un petit surpoids et un sexe que je jugerais dans la moyenne. Je revivais quand nous allions là-bas, au grand soulagement de mes parents. Alain lui se faisait de plus en plus entreprenant au fil du temps. Nous ne nous cachions plus. Je n’utilisais plus ma tente, dormant régulièrement dans son mobilhome. Parfois c’est lui qui venait dormir dans le notre.
Les présentations avec mes parents avaient été faites. Alain apprit que mes parents étaient libertins et que mon père était surtout dominateur candaule, (difficile de décrire cela comme ça... il aimait dominer maman et l’offrir régulièrement à des hommes, mais ne participait pas de son côté). Maman, elle, devait tout accepter. Autant dire que les deux hommes s’entendaient très bien et papa acceptait sans soucis cette relation.
Alain, de son côté, lui racontait dans le moindre détail mon éducation et nos rapports quand nous nous absentions avec maman.
Au retour, Alain était souvent très excité et me prenait dans ma chambre. Il adorait m’insulter, me fesser, et me prendre fort. Je me laissais faire, acceptant tout de lui, sauf la sodomie à laquelle je n’étais pas encore prête. Bien souvent, Alain finissait en éjaculant sur mon visage et mes seins, m’interdisant de me nettoyer. Puis nous allions rejoindre papa et maman à table pour l’apéro. J’avais honte, mais j’aimais ça. Mes parents, eux, n’étaient plus choqués et prenaient même plaisir à me voir ainsi.
Au retour, quand nous rentrions chez nous, ils me demandaient si j’avais bien profité, chose à laquelle je répondais en baissant les yeux que oui. Ils comprenaient très bien à quel point j’aimais être dominée, en particulier par un homme mûr.
Je reprenais ma petite vie sage à la maison, alors que de leur côté, maman enchaînait de plus en plus les rencontres. Papa adorait çà, et maman y prenait goût. Ils sortaient régulièrement mais recevaient aussi beaucoup, et je voyais défiler les hommes. Il faut dire que maman attirait les regards, brune aussi mais avec plus de formes, 1m67, 61 kilos et affichant un 95 C.

L’année de mes 21 ans, cela faisait déjà deux fois que nous étions allés au camping, sans y retrouver Alain. Maman me consolait comme elle pouvait, me faisant faire les boutiques, m’offrant des sextoys (j’appris d’ailleurs à utiliser un plug). Mais cela ne changeait pas grand chose, alors que de son côté, elle passait le grand de son temps dans le mobilhome à enchaîner les relations. Son corps reluisait de sperme à chaque départ de l’un de ses amants.
À ce constat, et face à mon désarroi, une grande décision de leur part fut prise, avec mon accord, à condition que j’ai mon diplôme universitaire : qu’il me trouve un maitre chez nous.
Je n’ai jamais autant révisé...

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