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Première fois au cinéma porno

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
L’histoire réelle que je vais vous raconter s’est déroulée lorsque j’étais en terminale d’un lycée d’une petite ville de province. A l’époque, j’étais en couple avec Elisabeth, également lycéenne, vraie blonde aux yeux intensément bleus, de taille élancée, aux petits seins dodus, avec de longues jambes fines et un petit cul qui me rendait dingue. Nous étions amoureux, en tout cas, moi j’étais fou d’elle. Pour notre année en Terminale, nos parents nous avaient loué un petit appartement en ville. Nous sommes en mai 1978. (Ce récit n’a pas de lien direct avec ma précédente histoire "la jupe" publiée récemment, mais elle se situe dans le même cadre).
Le mardi soir, nous sortions souvent boire un pot en ville avec quelques amis dont certains étaient internes et n’avaient l’autorisation de sortie que ce soir-là. Nous bavardions de tout et de rien, du bahut, des profs, de manifs auxquelles nous participions quelques fois, de 2 ou 3 cons du lycée que nous ne supportions pas, du BAC à venir, du temps, des amours et flirts de chacun, des rumeurs de flirts des autres, nous parlions également sexe, entre sérieux et plaisanteries lourdingues. Bref, nous étions des jeunes adultes comme tous les autres.
Un mardi soir de mai, nous n’étions pas nombreux à notre sortie hebdomadaire (révision du bac en vue) seuls 2 couples et 2 amies célibataires étaient attablés avec nous autour d’une bière ou d’un diabolo. Je ne sais plus comment la conversation s’engagea sur le sexe, puis sur le porno, puis sur qui était déjà allé voir un film X. Aucun d’entre nous n’avait alors osé franchir une porte de ciné X. Comme souvent sur ces sujets, les filles se faisaient discrètes, mise à part Marie, petite rousse dynamique, plutôt mignonne, rigolote et toujours partante. Marie sortait avec Julien depuis le début de l’année et ils semblaient vraiment bien s’entendre.
— Je parie que vous n’oseriez pas venir en voir un, lança-t-elle à la volée.
Nous rigolâmes à sa proposition, nous demandant si oui ou non, elle était sérieuse.
— Pfff parce que toi, t’es capable peut-être, lui répondit Elisabeth.— Pas toute seule, évidemment, avec Julien et ceux qui veulent venir avec nous, rétorqua-t-elle en forme de défi.— Ça va pas,— En tout cas pas moi, — C’est rempli de vieux, — Surtout de pervers, répondirent cacophoniquement les autres... — J’en étais sûre, bande de trouillards, que de la gueule... conclue-t-elle en se bidonnant. — Et vous ? Vous n’avez rien dit ? Ajouta-t-elle en nous regardant, Elisabeth et moi... — Allez, on va se marrer, ça va nous changer des révisions à la con, ajouta Marie pour nous convaincre devant notre air embarrassé.
Nous nous concertâmes rapidement du regard.
— OK... mais pas le soir, les mecs qui traînent dans le quartier sont trop louches, si on y va, c’est l’aprèm... répondit ma chérie.
Les autres s’étaient tus... sans doute tiraillés entre la trouille, l’envie, la peur du jugement, et peut-être même par une pointe de jalousie. La conversation bifurqua ensuite sur d’autres sujets, les verres se vidèrent et chacun rentra chez soi ou à l’internat.

Le soir, peut-être émoustillés par l’idée d’aller voir un film de cul, nous fîmes l’amour rapidement et intensément. Dès la porte de notre appart refermée, j’attirai Bab contre moi pour l’embrasser, enfin lui rouler une bonne pelle serait une expression plus juste, tellement j’avais envie d’elle. Je la serrai contre moi, son pubis contre mon sexe. Bab avança le bassin pour accentuer la pression de son mont-De-Vénus sur ma bite raide. Elle me caressa la queue en bougeant ainsi son ventre contre le mien. Une de mes mains se faufila sous son pull et caressa ses seins, pinçant ses petits tétons érigés pendant que l’autre déboutonnait son pantalon et glissait dans sa culotte vers sa fente... Déjà, je sentais son humidité sur mes doigts.
— Hé ben, c’est l’idée d’aller voir un film porno qui t’excite comme ça ? Me lança-t-elle souriante et aguicheuse.
J’avais envie de baise rapide, forte, bestiale, j’avais envie de la faire jouir en lui bouffant la chatte puis de la fourrer quasi toute habillée. Aussi l’entraînais-je vers notre chambre où je la poussais sur le lit puis je la fis mettre à quatre pattes, en levrette, son jean et sa culotte blanche baissés sous les genoux. Ceux-ci, écartés autant que la position le permettait, tendaient le fond de sa culotte en coton qui laissait apparaître une légère trace de mouille. Elle cambra les reins, tendit son petit cul vers moi, m’exposant sa fente et son anus comme une invite. Je lui broutais alors la chatte et le petit trou sauvagement de longues minutes jusqu’à ce qu’elle jouisse bruyamment.
— Oooohhhh n’arrête pas, ça vient, hummm, ça vient, continue..., vas-y ouiiii hummm ouiiii je jouiiiis cria-t-elle, la tête dans l’oreiller.
Ses cuisses furent parcourues de secousses et son vagin béant laissa échapper dans ma bouche sa cyprine goûteuse. Alors sans attendre qu’elle ne reprenne ses esprits, la bite droite et perlante d’excitation, je la pénétrais sans qu’elle ne change de position et je la pilonnais rapidement en la tenant fermement par les hanches. En la voyant ainsi me tendre son cul, je vins très vite en elle.
— Hummm je jouiiis hannn hummmmmm hummm haannnn, marmonnais-je à chaque spasme libérateur, me cambrant et m’enfonçant au fond de sa chatte.
Je me retirais de sa fente doucement et ma semence s’écoula abondante et épaisse... J’aimais voir mon sperme sortir ainsi de son vagin, perler dans ses poils humides, glisser sur ses cuisses puis tomber sur le drap dans un petit bruit sourd : "poc".
Ensuite seulement, nous reparlâmes de l’espèce de défi auquel Marie nous conviait, pesant le pour et le contre. Nous en avions envie, mais nous ressentions une certaine trouille d’être possiblement dépassés par l’enchaînement d’événements non maîtrisés. Pourtant sans nul doute et sans prétention, sexuellement, nous étions en avance par rapport à la majorité des jeunes gens de notre âge, cela faisait quasi 3 ans que nous étions ensemble, et nous avions déjà exploré maintes pratiques, les classiques et d’autres moins, comme des jeux d’Uro, un peu d’exhib et de travestissements (j’y reviendrais dans d’autres histoires).
Après concertation auprès de Marie et Julien, nous nous décidâmes pour l’après-midi du mercredi suivant. Nous en reparlâmes le mardi soir précédent la séance convenue pour tenter à nouveau de convaincre nos autres amis, mais ils n’avaient pas changé d’avis. C’était non pour eux. Je me demande même s’ils ne nous considéraient pas un peu comme des obsédés... Cela a dû cancaner sévère dans notre dos.
Il faisait beau et déjà chaud ce mercredi après-midi, nous étions habillés assez léger (filles comme gars) en jeans et tee-shirt. Je reverrais toujours notre arrivée, d’un pas de moins en moins assuré au fur et à mesure que nous approchions du ciné, puis dans le long couloir qui conduisait à la caisse. Les 2 filles étaient nerveuses et riaient pour un rien, et nous, les garçons, tâchions de faire bonne figure, mais, en fait, nous n’étions pas plus fiers qu’elles.
— Vous avez une pièce d’identité ? Lança la caissière mi-blasée, mi-étonnée de voir 2 jeunes couples à son guichet. Heureusement, nous avions prévu d’avoir à justifier de notre âge... — Quel film ? Dit-elle après avoir bien vérifié que les photos des CNI correspondaient à nos têtes réciproques.— Euh..., nous nous regardâmes, puis nous lançâmes un regard sur les 2 affiches.— Celui-là, "les infirmières vicieuses", marmonnais-je... après un bref conciliabule mélangé de fou rire.
Nous payâmes, puis nous nous engageâmes dans le couloir glauque qui menait à la salle projetant le film. Nous poussâmes la porte d’entrée, sur l’écran dansaient déjà les pubs locales. Il faisait sombre, mais la projection nous permettait tout de même de voir où nous allions. Apparemment, il n’y avait que 2 silhouettes... 2 hommes sûrement... l’un était au dernier rang et assez proche de l’angle opposé à la porte d’entrée, le second était installé plus près de l’écran. Nous choisîmes de nous asseoir au second rang, les 2 filles au milieu et, nous, les encerclant ; celles-ci ne voulant pas prendre le risque de voir quelqu’un s’asseoir à leur côté pendant la séance. J’imagine que les 2 types devaient être plus que surpris de voir arriver 2 jeunes couples...
Le film commença sans entracte, heureusement d’ailleurs, car nous aurions, sans doute, eu un peu honte devant les 2 autres personnes qui n’auraient pas manqué de nous dévisager... Pendant le maigre générique, la porte s’ouvrit, laissant arriver un troisième spectateur, qui, le temps de s’acclimater à la pénombre, resta un moment debout... il faillit s’asseoir au bout de notre rangée, mais, sans doute, nous voyant, se ravisa et s’installa quelques travées devant nous.
Très vite, nous eûmes droit à la première scène X, une infirmière vêtue très très court s’occupait d’un homme, qui n’avait vraiment pas l’air malade, et qui lorgnait son cul. Elle prenait plaisir à lui présenter et à tortiller son fessier au nez de notre prétendu souffrant tout en réglant une perf’ visiblement non branchée... Puis elle se retourna vers le lit, prononçant un "OH" de surprise feinte en apercevant la bosse caractéristique d’une belle bandaison sous le drap... je vous passe les détails... s’en suivit très vite une fellation, puis un bref cunni (la belle infirmière ne portait pas de culotte... la coquine...), puis enfin une pénétration entrecoupée de gros plans sur le visage de la belle et du malade ahanant des "hummm" et des "ouiii" "vas-y" "hummm" "plus fort" "ouii c’est bon" " han han hummm" etc etc...
Forcément, avec le recul, c’était archi nul... mais c’était notre premier porno... et dès la pipe, je me mis à bander ferme. Babeth posa sa tête sur mon épaule, sa main droite sur mon ventre, et la gauche sur ses cuisses qu’elles tenaient bien fermées... je la sentais troublée elle aussi par cette stupide scène. Lorsque le mec se déversa sur le ventre de la fille, je sentis la main de Babeth se crisper légèrement sur le mien... d’évidence, cela excitait aussi ma chérie. Je ne pensais pas du tout à Marie et Julien tant j’étais scotché devant la scène de cul suivante où 2 médecins se tapaient une autre infirmière. Un plan plus lumineux sur l’écran éclaira brièvement plus fortement la salle, et je remarquai alors un mouvement caractéristique du bras et de l’épaule du spectateur devant nous. Le mec se branlait... Je n’étais pas le seul à l’avoir vu, puisque Marie se pencha vers Babeth et le lui fit remarquer également, elles pouffèrent...
En se replaçant, la main de Bab se décala sous mon tee-shirt entre mon nombril et mon pantalon... elle me caressait tout doucement le ventre, glissant même sous mon jean à l’orée de mon slip, le faisait-elle consciemment ou pas ? Aucune idée, mais cela m’excitait. La scène du trio se terminait et un des toubibs éjacula sur le cul de la soignante tandis que l’autre arrosait son visage. J’entendais la respiration de ma belle s’accélérer légèrement. J’apercevais du coin de l’œil, en même temps que les types du film jouissaient, ses jambes se serraient imperceptiblement l’une contre l’autre. Elisabeth comprimait son clito.
Si nous avions été seuls, sans aucun doute, aurais-je osé la caresser ma main dans sa culotte... mais avec Marie à ses côtés, ce n’était pas vraiment possible. Néanmoins, Elisabeth, elle, inséra sa main plus loin, passa sous l’élastique de mon slip, atteignant ainsi le bout de ma verge tendue et trempée de mouille. Elle me caressait le gland de son doigt, tournicotant habilement autour, heureusement le mouvement se faisait doux et lent... sinon j’aurais éjaculé dans la minute.
— Non... mais ça va pas, t’es pas bien... pas ici... tu déconnes ou quoi ! Entendis-je clairement en voyant Marie se lever et partir d’un pas décidé vers la sortie... — Marie, attends... attends, répondit Julien... Mais déjà, elle franchissait la porte...
Julien, en réajustant son pantalon rapidement, nous adressa un :
— C’est ma faute, désolé, je la rejoins...
Ouf, pendant un instant, nous avions cru que c’était notre attitude qui avait choqué Marie. Nous apprîmes plus tard, par celle-ci, que Julien avait ouvert son pantalon et lui avait demandé, en insistant lourdement, de le branler. Nous aurions pu quitter également la salle, mais, au fond de nous, nous n’en avions pas envie.
Une scène de lesbiennes enchaîna sur l’écran, Bab me déboutonna le jean et glissa sa main sous l’élastique de mon slip jusqu’à toucher mes couilles. Je fis de même en la caressant doucement à travers la culotte. Je savais qu’elle fantasmait sur l’idée de tenter une expérience avec une "vraie" fille (voir texte "la jupe"), et la scène devait l’exciter terriblement si je pouvais en juger par la mouille que secrétait sa chatte et qui humidifiait le fond de sa culotte. Je la branlais à travers le tissu trempé. La bouche entre-ouverte, elle fixait l’écran où les infirmières se broutaient le minou, ma main écarta sa culotte et j’enfonçai mon majeur dans son vagin, le faisant aller et venir doucement... elle tendit son corps vers ma caresse, puis je repris ma branlette autour de son clito... le plaisir montait en elle si je pouvais en juger par l’accélération de sa respiration.
De mon côté, je lui murmurais sans cesse de ralentir ou d’arrêter ses attouchements sur mon gland sous peine d’expulser rapidement ma semence.
Nos mouvements, pourtant le plus discret possible, n’avaient pas été perdus pour tout le monde... Le type de derrière, comprenant sans doute qu’il se passait quelque chose d’intéressant à notre niveau, avait changé de place et se tenait, maintenant, debout au bout de notre rang (de mon côté). Sans aucun gène, le gars avait pantalon et slip à ses pieds. Son sexe bandant me paraissait très gros, il s’astiquait ostensiblement à quelques mètres en nous regardant. Ses couilles velues semblaient également démesurément grosses et ballottaient sous l’action de sa masturbation. Il se décalottait faisant apparaître, au gré de ses mouvements, son énorme gland sombre qui luisait dans la lumière blafarde de la projection.
Le gars ne s’intéressait plus du tout aux images du film, il fixait Bab.
Je ne sus s’il me fallait prévenir doucement ma compagne ou non, mais je n’eus pas le temps de tergiverser à ce sujet, Bab dut se sentir épiée, car elle regarda dans sa direction. Elle marqua un bref temps de stupeur et de désarroi, mais l’excitation était trop grande. Nous avions dépassé les limites du contrôle et de la raison.
Elle regarda le mec se branler, puis l’écran où les filles se léchaient puis elle mata à nouveau l’énorme vit de notre exhibitionniste/voyeur. Littéralement hypnotisée par la bite de cet homme, elle fixa cette lente masturbation bestiale. Jamais elle n’avait vu un tel braquemart, a fortiori encore moins en action. Je la sentais fascinée par ce mouvement de va-et-vient... La scène était surréaliste, presque animale et comme elle, j’étais subjugué. Alors, comme dans un état second, Bab ouvrit complètement ma braguette, coinça mon slip sous mes couilles... et avala d’un coup mon sexe au fond de sa bouche chaude... Heureusement, elle ne bougea plus, sinon je lui aurais envoyé mon jus instantanément. Ses lèvres remontèrent vers le gland et j’avais l’impression qu’elle fixait encore le type qui se branlait maintenant énergiquement.
La position n’était plus très aisée pour que je puisse la caresser facilement, mais l’excitation du moment, la scène saphique, ma bite dans sa bouche et, je crois surtout, l’homme qui se touchait devant elle, eurent bientôt raison de son plaisir, je sentis ses jambes se serrer, et son corps se contracter sous l’orgasme... en jouissant, involontairement, sa bouche bougea autour de mon gland et serra ma bite.
Pour moi, ce fut trop, je ne pus me retenir, je ne pensais même pas à la prévenir de mon éjaculation qui montait, je lâchais ma semence entre ses lèvres... je jouis fort et longtemps en grognant le plus discrètement possible... j’eus le temps d’apercevoir le corps de l’homme s’arquer de plaisir, de longs jets épais sortir de sa queue et atterrir sur les sièges d’à côté. Lui n’en avait rien à faire, il grogna fort à chacun de ses spasmes libérateurs.
— Hummm,... hummm,... hummmm... éructa-t-il en nous regardant toujours.
Au lieu de recracher ou même d’avaler mon sperme, Bab vint m’embrasser à pleine bouche, projetant sur ma langue mon jus gluant. Elle ne ferma pas les yeux tout de suite, elle regardait toujours le mec... qui s’essuyait le bout de la queue avec un mouchoir... il bandait moins, mais sa queue était toujours aussi impressionnante. Quant à moi, j’avais la quasi-totalité de ma semence dans la bouche et elle continuait à m’embrasser, poussant de sa langue mon jus vers le fond de la gorge comme si elle voulait me forcer à déglutir et à avaler mon propre sperme... ce que je finis par faire...
Sur l’écran, une partouze d’infirmières, de malades et de médecins clôturait le chef-d’œuvre du jour. Nous regardâmes d’un œil distrait la scène. Puis nous nous réajustâmes et sortîmes tout de même déstabilisés par l’enchaînement des événements.
Sur le chemin du retour, après quelques commentaires sur Marie, Julien, le film, nous abordâmes le sujet qui nous avait tant troublés.
— Ça t’aurait plu qu’il approche et que tu puisses le toucher, lui demandais-je.— Oui, répondit-elle après un instant d’hésitation et en me regardant, cherchant d’avance à connaître ma réaction. — Moi aussi, ça m’aurait plu... la rassurais-je.— Je crois que... enfin, je pense... ça me gêne, mais on est libre de se dire les choses, n’est-ce pas ? Me dit-elle, inquiète.— Oui, dis... tu aurais aimé le sucer ? Répondis-je pour la devancer.— Oui, j’aurais aimé, me dit-elle doucement... mais j’aurais aussi aimé...(petit temps d’arrêt)... te voir le sucer, qu’on le suce tous les deux... ajouta-t-elle très vite en se mordant la lèvre inférieure, signe, chez elle, de stress...— En fait, je crois que ça m’aurait bien plu aussi ! Dis-je d’une voix mal assurée et en serrant Elisabeth contre moi. A l’idée d’une telle scène, mon sexe durcissait dans mon pantalon...

Bien que ces événements se soient passés, il y a fort longtemps que certaines descriptions et dialogues soient romancés (comment se souvenir avec exactitude des détails) : les points clés de cette histoire sont en tout point exacts.
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