La sodomie est une pratique que j’ai longtemps ignorée. Il faut dire qu’elle fait peur, surtout pour les femmes, cela ne semble pas naturel, et l’on craint la douleur.D’un autre côté, l’interdit moral, le fait de pratiquer quelque chose de peu pratiqué par le commun, l’envie d’explorer de nouvelles sensations, c’est assez excitant.Voici comment c’est arrivé pour moi. J’avais un compagnon, plutôt timide de prime abord. Et puis, une fois au lit, celui-ci s’est révélé être un excellent amant, fougueux et imaginatif, à l’écoute de mon corps, de moins en moins timide en fait. Il était beau, pas très grand, avec de jolies fesses, et un beau sexe bien gros, qui plus est doté d’une grande endurance. Il s’appelait Gabriel. Il y a une chose où Gabriel excellait, c’était utiliser sa langue. Ça, il savait le faire comme personne. Il adorait plonger sa tête entre mes cuisses, poser ses lèvres sur celles qui entouraient mon clitoris et mon vagin, et jouer à trouver ce qui allait me faire grimper aux rideaux. Il aspirait légèrement mon clito, le sortait, tournait autour du bout de la langue, ou le faisait agiter de gauche à droite ou de haut en bas, toujours avec sa langue magique. Dans ces moments-là, son regard était intense, et rien que de le croiser, cela me faisait frissonner. Il devinait à mes soupirs, mon bassin qui se soulevait, mes mains qui se contractaient, s’il allait dans la bonne ou la mauvaise direction. Et quand il trouvait, il me faisait monter, monter, monter, souvent jusqu’à l’explosion. Je coulais littéralement dans sa bouche, et il adorait ça, et moi aussi. Puis, les autres fois où il jouait avec mon sexe avec sa langue, il alla un peu plus loin.Je sentis qu’il me titillait l’anus de son doigt coquin. Je le dévisageai d’un regard un peu sévère au début, mais il parvint par la tendresse à me rassurer sur ses intentions, il ne faisait que me procurer du plaisir, ne cherchait pas à forcer l’entrée. Mais à chaque fois qu’il me faisait monter avec sa langue sur mon sexe, je sentais désormais cette présence à l’entrée de mon anus, il aimait me presser dessus, tourner sur l’anneau du bout des doigts, glisser légèrement dedans et ressortir aussitôt. Et souvent, je ne m’en rendais même plus compte, car je prenais mon pied un peu plus haut sur le clito. Puis il parvint à entrer un doigt et je m’aperçus que j’en éprouvais du plaisir. Et plus les jours passaient, plus il s’amusait à me pénétrer l’anus avec les doigts pendant qu’il me léchait le clitoris. Je finis tellement par m’y habituer, qu’à partir d’un moment, il n’avait plus besoin de faire grand-chose. Il suffisait que son majeur soit à l’entrée de mon petit trou pour que je l’aspire dedans. Je jouais du bassin pour me procurer des sensations avec son doigt dans mon cul, toujours pendant qu’il s’abreuvait à ma source et me faisait jouir de sa langue mutine. Et cela me fit jouir intensément, et je criai mon plaisir sans retenue. Et puis un jour, il avait tellement réussi que mon anus était grand ouvert comme une fleur. Il avait mis du gel et je commençai à deviner ses intentions. Alors il me fit coucher sur le côté, et il braqua son sexe gonflé à bloc à l’entrée de mon anus. Il m’avait tellement rassurée et appris à aimer que je le laissasse faire, il poussa en moi et je fus surprise, car mon anus l’engloutit et je sentis ce membre puissant me pénétrer dedans. Je n’avais pas eu mal, il glissait parfaitement et là je fus prise d’un violent orgasme qui me fit crier de plaisir. C’était incroyable, les sensations étaient nouvelles, un mélange de transgression, de découvertes et de mâle puissance. Sentir une grosse queue glisser dans mon cul, sentir sa virilité me posséder totalement, me sentir prise par une force extraordinaire, tout cela m’excitait comme jamais. Et je ne sentis pas de douleur, juste un plaisir immense, une jouissance extrême. Gabriel me tenait de son bras musclé comme pour retenir du fait de mes soubresauts incontrôlés, sa main essaya de me bâillonner tant je criai très fort, mais j’ai essayé de le mordre alors il la retira. Je finis par me retrouver sur le ventre, le cul relevé et mon voyou de compagnon au-dessus de moi à me pilonner l’anus de plus en plus fort. Je ne sais plus combien de temps cela dura, mais je sais juste que je suis partie loin, très très loin dans vers le 7e ciel, j’eus plusieurs orgasmes consécutifs, et Gabriel finit par exploser en moi, au fond de mon petit trou, le remplir de sa semence blanchâtre. Au moment de jouir, il avait tellement grossi en moi que son orgasme déclencha le mien. Et nous nous écroulâmes épuisés et heureux. Je crois que je me suis endormie aussitôt, dans ses bras, sous ses baisers d’amoureux. Depuis, il m’arrive de réclamer cette pratique, l’idée souvent m’excite et quand j’en ai envie, il m’arrive même de surprendre mon partenaire en soulevant mon bassin afin de le faire dévier dans le trou le moins lisse. Quand il a une tête étonnée, je fais "oups", comme si c’était un accident, mais je l’aspire en moi et mon partenaire m’encule, le plus souvent très doucement, tendrement.
