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Première fois (hétéro)

Chapitre 1

Inspiré de faits réels, quand j'avais 18 ans

Erotique
L’alcool commençant à faire un peu trop son effet, je décide de monter me reposer. En bas, la fête bat son plein. La musique presque assourdissante donne l’impression d’être coupés du monde, dans un univers de lumières qui bougent et de verres qui se vident. Ce n’est pas ma chambre, mais je pense que son propriétaire ne m’en voudra pas au vu des matelas qui jonchent le sol, semblant prévus à cet effet. Je m’allonge sur le lit, déjà presque endormie. Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé avant que quelque chose ne se brise sur le sol du salon, provoquant des acclamations générales. Je me lève dans l’intention de descendre reprendre part à la fête. J’ouvre la porte et me retrouve à quelques centimètres d’un corps plus grand que moi qui me repousse en arrière, m’entraînant dans sa course. Il referme brusquement la porte et me demande de l’aider à la bloquer. Alors qu’il s’y appuie de toutes ses forces, je me contente de tourner simplement le verrou. Il s’arrête, me regarde, puis sourit d’un air satisfait.
Derrière la porte, je reconnais la voix de mon amie, qui pestait contre ce garçon que je ne connais pas. Elle finit par se lasser, puis on entend le bruit de ses pas lourds dans l’escalier. La voie étant libre, je tourne le verrou et ouvre la porte, qui se referma un peu trop violemment avant que je n’aie eu le temps de faire un pas. La main qui en était la cause se trouve tout près de mon visage, appuyée contre la porte. Je me retourne lentement, questionnant cet inconnu du regard. En guise de réponse, il plaque son autre main contre cette porte, doucement cette fois. Je suis comme prise au piège et, ne sachant quoi dire, j’attends qu’un mot sorte de sa bouche. Mais il se contente de me regarder, ce qui me met vraiment mal à l’aise. Il finit par dire, d’une voix presque inaudible :
 -        Tu es belle.
Je ne suis pas d’accord avec lui et voulu contester, mais je n’en fis rien. Etant presque terrorisée à l’idée qu’il ne me laisse pas m’en aller, je n’ose pas essayer de me dégager. Je le regarde juste, dans l’attente qu’il me laisse partir de lui-même. Il a un beau visage. Des traits réguliers, des yeux d’une couleur indéfinissable dans la pénombre. Il est indéniablement plus vieux que moi. A 18 ans, j’étais coincée entre la femme et l’enfant, étant parfois l’une, parfois l’autre. Lui était un homme, un homme magnifique. Je me sens rougir et à cet instant, je voudrais être invisible. Alors qu’il paraît très calme, en l’espace d’une seconde ses lèvres sont collées aux miennes, dans une légère pression. Il recréé un espace entre nous, avant de le détruire à nouveau, avec plus de précipitation cette fois. Sans s’arrêter, il me plaque contre la porte, puis me soulève en me maintenant fermement par les fesses. Sans réfléchir, j’enroule mes jambes autour de lui et l’embrasse un peu plus fort. Puis je reprends conscience et arrête tout mouvement. Il prend le temps de me regarder et me décoche un petit sourire bienveillant. Je m’apprête à dire quelque chose quand il replace une mèche de cheveux derrière mon oreille, laissant sa main continuer le long de ma joue. -        Si tu n’en as pas envie, tu n’as qu’à me le dire, et tu retourneras en bas avec les autres.
Je ne dis rien. Je ne veux pas rester là avec lui, ça me fait bien trop peur. Mais je veux encore moins mettre fin à cette scène aussi improbable qu’excitante. Constatant mon silence avec soulagement ou fierté, il me décolle de la porte, me soutenant toujours contre lui, et me jette presque sur le lit. Il se place au-dessus de moi et m’embrasse dans le cou, puis sur la joue, puis sur la bouche. Nos lèvres s’entremêlent à des rythmes différents. Sa main droite se glisse sur mon sein, séparés par le seul tissu de ma chemise. Jamais mes mains n’avaient réussi à m’exciter en faisant ça. Mais sa main à lui provoque une chaleur diffuse dans tout mon corps, qui ne cesse d’augmenter. J’entends nos souffles qui s’accélèrent et mon cœur qui bat de plus en plus vite. Il se redresse, laissant sa main parcourir ma chemise jusqu’au bouton de mon minishort, qu’il s’empresse de défaire. Je le regarde faire glisser ce morceau de jean le long de mes jambes, jusqu’à me l’enlever complètement. Il m’écarte très légèrement les cuisses, embrassant l’une d’elle, s’y attardant un peu, le souffle chaud. De là où il est, il me regarde intensément dans les yeux. -        Tu es même magnifique.
Je ne me trouve pas spécialement belle, mais ce n’est pas le premier à me le dire. C’est vrai que j’ai de fines jambes, de très belles fesses, fermes et rebondies, un ventre presque plat sans être trop maigre, et de jolis seins. Pourtant, ces derniers sont beaucoup trop petits à mon goût. Mais ça n’a pas l’air de le déranger. Il revient presser ses lèvres sur les miennes. Je sens son sexe dur contre le mien à travers son jean, ce qui me fait perdre la tête. Je lui enlève précipitamment son tee-shirt avant de continuer à l’embrasser avec fougue, puis je le repousse un peu avec ma main pour l’observer. La faible lueur de la lune laisse entrevoir ses muscles légèrement dessinés. Il a l’air si imposant, si fort qu’il peut tout contrôler, et en même temps il dégage ce côté protecteur que j’aime tant chez les hommes. Je ne supporte plus le moindre espace entre nous, la chaleur qui parcourait mon corps me brûle et me consume maintenant, mon bas-ventre ne demande que lui, je n’en peux plus. -        Toi aussi, lui dis-je dans un souffle.
Il me sourit au son de ces premiers mots que je lui adressais. Puis il pose ses lèvres chaudes au creux de mon cou, ses doigts serrant les miens au-dessus de ma tête. -        Baise-moi, je t’en supplie !
Il n’y a pas eu le moindre soupçon d’hésitation dans ma voix. A ma grande surprise, puisqu’ayant encore ma virginité, j’ai toujours redouté ma première fois. Je l’imaginais pleine d’amour, avec celui que je pensais être l’homme de ma vie. Et j’en avais maintenant envie là, tout de suite, avec cet inconnu. Mais, comme pour me faire languir encore plus, il semble prendre son temps. Il défait un à un les boutons de ma chemise, embrassant chaque fois la zone découverte, ce qui me donne l’impression que je vais devenir folle s’il ne me prend pas maintenant. Il continue à descendre, effleurant la fine dentelle de ma culotte, qu’il prend le temps de retirer. Je prends conscience de ma nudité et je l’attire vers moi, l’incitant à enlever ma chemise. Mais il l’ouvre juste un peu plus, de manière à découvrir mes seins, qu’il embrasse de la manière la plus excitante qui soit. La bouche entrouverte, je respire avec difficulté. Je ne peux en supporter plus.
Pour mettre fin à ce supplice, j’attire sa tête pour l’embrasser, et je me relève progressivement, me retrouvant assise face à lui. Je replie mes jambes sous moi pour me mettre dans la même position que lui et laisse aller mes mains contre son torse, ses abdos, comme si c’était une œuvre d’art. Puis je lui enlève sa ceinture avec envie. Il me laisse faire, me regarde. Très vite, tout s’enchaîne. Il n’a plus de jean, plus de caleçon, je n’ai plus de chemise. Si quelqu’un ouvrait la porte, il nous surprendrait complètement nus sur ce lit, s’embrassant l’un sur l’autre. Cette idée m’excite au plus haut point. Puis, alors que je ne l’attends plus, tout s’efface autour de moi et je ne sens qu’une chose : son sexe entrant en moi. Dur et chaud. Une pénétration lente et profonde. Toute la puissance qu’il dégage ne fait que décupler mon plaisir. Je ressens chaque va-et-vient d’une intensité presque insupportable. Il accélère le rythme, se cale sur ma respiration, la sienne étant tout aussi rapide que la mienne. Parfois, quand je ne m’y attends pas, il met un peu plus de force dans ses coups, ce qui me rapproche chaque fois un peu plus de la jouissance.
Les sensations que provoque son sexe dur en moi me fait gémir de manière incontrôlable, quand des pas dans les escaliers se font entendre. L’espace d’un instant, j’ai peur qu’il se retire, mais il n’en fait rien. Il plaque simplement sa main sur ma bouche, avec une certaine force, étouffant ainsi les cris de plaisir que je ne peux m’empêcher d’émettre. Il va même encore plus vite, tout en m’embrassant dans le cou. Les bruits redescendent, puis il enlève sa main qu’il remet sur mon sein en le pressant doucement, entremêlant nos lèvres à la place. Il arrête de m’embrasser et fait des va-et-vient plus lents, mais plus profonds et plus intenses. Jamais je n’ai ressenti quelque chose de semblable. Je suis prise d’un orgasme tellement fort et tellement puissant que j’ai l’impression que je vais m’évanouir. Tous mes muscles sont en tension. Le temps semble passer au ralentit. Il continue quelques secondes, avant de jouir en moi lui aussi, dans un râle masculin qui ne fait qu’ajouter à mon plaisir. On reste un moment comme ça, son membre entre mes jambes, le temps de reprendre notre souffle. J’ai l’impression de planer. Il m’embrasse, se retire puis s’attarde un peu sur mon ventre, sur mes seins, tout en me regardant. Je l’attire vers moi pour l’embrasser un peu plus longuement, avant d’approcher mes lèvres de son oreille pour lui chuchoter : -        Est-ce que je peux savoir ton prénom ?
Il me regarde longuement, le regard plein de plénitude. Puis, une voix portante se fait entendre d’en bas : -        Il est où Ethan ?
Il ne détache pas son regard du mien, tout en me souriant subitement. Je compris que c’était lui. -        Et toi, comment devrais-je t’appeler la prochaine fois ?
Je me mords la lèvre en pensant à la prochaine fois, le souffle encore un peu court. -        Joséphine.
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