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La Première Fois de Julie

Chapitre 2

Hétéro
Les w.-c. de la fac’
La journée où les résultats des examens sont publiés est toujours une journée particulière, quel que soit l’établissement, et la faculté de droit ne faisait pas figure d’exception ce jour-là. Une foule d’étudiants, fébriles et inquiets, se pressait devant les panneaux d’affichage. Pour chacun, le moment était à la fois excitant et angoissant, le travail de toute une année allait-il être récompensé? Certains explosaient de joie en lisant les panneaux, d’autres fondaient en larmes. Matthias et Julie étaient dans cette foule et à la lecture des résultats, Julie sauta de joie dans le bras de son copain. Ils étaient reçus ! Le passage vers l’étape suivante de leur scolarité était acquis. Matthias prit Julie par la main et ils sortirent de la foule. Aussitôt sorti de la masse compacte d’étudiants, il prit la belle jeune femme dans ses bras et l’embrassa avec passion. Ses mains glissèrent sur la chute de rein de sa dulcinée et il lui souffla à l’oreille :
— Ça mérite une récompense, non ?
Julie sourit.
— Oui. On file à ton appart’?
Matthias eut une grimace ironique.
— Non.
Julie parut surprise.
— J’ai une autre idée. Tu vas voir ça va être excitant.
Il la prit par la main et la conduisit quelques mètres plus loin. Là, il s’arrêta et sortit un foulard de l’une de ses poches.
— Mets ça sur tes yeux.
Julie lui lança un regard interrogateur auquel il répondit avec un sourire narquois.
— C’est une surprise tu verras, ça va te plaire coquine.

Lorsque Matthias avait ce sourire et l’appelait coquine, elle savait qu’elle pouvait s’attendre à des moments très cochons et jouissifs. En mettant le foulard sur ses yeux, elle sentit son excitation monter, mais aussi une certaine appréhension. Une fois le foulard noué et après s’être assuré qu’il ne voyait pas à travers le bandeau, Matthias la prit à nouveau par la main pour la conduire elle ne savait où. Vers la fin du trajet, elle perçut un peu de lumière du jour au travers du foulard, sentit une odeur de produit d’entretien et entendit une porte se refermer. Ils étaient tous deux dans un endroit étroit, un placard peut-être. Matthias lui enleva le bandeau des yeux. Il était dans les toilettes dans la fac’, elle n’aurait pas su dire dans lesquelles, mais c’était bien les "chiottes" de la fac’ comme disait parfois Matthias.
— Matthias ? Qu’est-ce qu’on fait ici ?— A ton avis ?
Il rabattit l’abattant des toilettes et s’assit dessus puis ouvrit la fermeture éclair de son pantalon. Avec un air proche de l’hilarité, il lui lança.
— Je sors ta sucette préférée tout seul ou tu viens la chercher ?
Julie regarda Matthias avec un air abasourdi. Elle s’attendait à quelque chose de cochon, mais sucer son mec dans les toilettes, les "chiottes", de la fac’ c’était tout même limite. L’endroit, bien que plutôt bien entretenu, n’était pas particulièrement propre. Et c’était un lieu public malgré le loquet sur la porte. Et si quelqu’un les surprenait ? Pendant qu’elle se demandait que faire, Matthias n’avait pas perdu de temps et avait sorti son sexe qui était déjà bien bandé. Julie ne put s’empêcher de saliver et se lécher légèrement les lèvres en le voyant décalotter son sexe, révélant son gland. Depuis quelques semaines, depuis sa première pipe, elle avait pris goût à sentir cette queue dans sa bouche et à la faire aller et venir entre ses lèvres et sur sa langue. Son excitation qui était quelque peu retombée en réalisant où son copain l’avait amenée commença à remonter.
— Tu vas quand même pas me laisser faire tout seul.
Julie rougit d’embarras, elle ne savait pas trop quoi faire. A la réflexion, l’idée lui semblait excitante, mais de là à franchir le pas... Mais il y avait cette queue avec laquelle Matthias jouait. Cette queue qu’elle avait sucée aussi souvent que possible ces dernières semaines. La situation devait exciter Matthias, car son érection était à son maximum, du présperme apparaissait déjà au bout son gland. Julie s’agenouilla devant son copain, elle prit sa queue en main, la branla doucement, puis commença à titiller le bout du gland avec sa langue. Elle sentit immédiatement le goût du présperme. Elle adorait ce goût un peu fort qui avait quelque chose de presque animal. Elle se mit à lécher le gland lentement en continuant à branler cette queue qu’elle sentait palpiter dans sa main.
— Tu n’es qu’un cochon Matthias.
Il ricana et appuya doucement sur sa tête. Elle le laissa faire et sentit la queue pénétrer entre ses lèvres puis glisser sur sa langue. Matthias poussa sa queue aussi loin qu’il était possible de la faire sans étouffer sa belle, puis il saisit une poignée de cheveux pour diriger les va-et-vient de Julie sur son membre. Julie se laissa faire, cette queue qui lui baisait la bouche l’excitait tellement. Elle se mit à caresser ses seins dont les tétons étaient devenus durs et sensibles sous l’effet de l’excitation. Cette queue qui baisait sa bouche la rendait folle, déjà sa chatte était totalement humide et sa mouille commençait à tremper sa culotte. Matthias accéléra le mouvement, il était en train d’utiliser sa bouche comme un sextoy. Alors qu’il l’attrapait par les cheveux pour lui donner le mouvement de va-et-vient à exercer sur sa queue, elle porta une main sur ses couilles qu’elle se mit à caresser.
Matthias était si excité que sa queue déchargeait plus de présperme dans la bouche de Julie. Le goût un peu amer et l’idée qu’elle soit en train de se faire baiser dans les chiottes de la faculté comme une vulgaire salope la rendait folle d’excitation. Elle glissa la main qui n’était pas occupée avec les couilles de son copain dans sa culotte et s’enfonça deux doigts dans sa chatte humide. Elle faillit jouir immédiatement tant son excitation était grande. Alors qu’il lui besognait la bouche, Matthias murmurait juste assez fort pour qu’elle l’entende.
— Oh oui salope, vas-y, c’est bon. Oh oui.
Il accéléra le mouvement de la queue de la bouche de Julie puis s’arrêta brutalement, son plaisir montait trop vite, il ne voulait pas jouir si tôt. Pendant les quelques instants où Matthias resta immobile pour se reprendre, Julie s’attendait à tout moment à ce qu’il lui éjacule dans la bouche. Mais il n’en fit rien et lui dit finalement.
— Allez ma puce pompe cette queue comme une bonne salope affamée de bite.
Julie prit la base de la queue de son copain en main et se mit à la sucer et à le branler doucement. Progressivement, elle accéléra le mouvement. Elle suçait si bien que Matthias ne put s’empêcher de gémir. Elle le tenait littéralement par la queue, soumis à son caprice, elle pouvait le faire jouir à tout moment. Elle décida de continuer à la pomper encore un moment pour goûter un peu plus au liquide préséminal qui suintait de sa bite. Alors qu’elle suçait comme une goulue, malgré l’excitation, une question effleura l’esprit de Julie.
— Qu’est-ce que je fais du sperme ?
Il était hors de question qu’elle fasse gicler Mathias sur son chemisier. Quitter la faculté pour rejoindre l’appartement avec un chemisier plein de sperme n’était pas envisageable. Essayer de le faire éjaculer dans la cuvette des toilettes était faisable à condition de ne pas se louper. Il restait une solution bien plus simple, faire jouir Matthias dans sa bouche. Julie avait déjà goûté à quelques gouttes de sperme de son copain, mais tout prendre dans sa bouche...
Cela lui paraissait aussi déraisonnable qu’excitant. L’excitation l’emporta sur toute autre considération et avant même de l’avoir consciemment compris, Julie était déjà prête à recevoir le sperme dans sa bouche. Ayant tout de même encore assez de lucidité pour se rendre compte qu’une éjaculation directe dans le fond de sa gorge risquait de la faire vomir, elle changea la position de la queue dans sa bouche. Julie prit le sexe de côté, le poussant contre sa joue qui paraissait alors comme gonflée. C’est quelques secondes plus tard que l’avidité avec laquelle elle suçait fit jouir son homme dans sa bouche. Elle sentit le flot de liquide chaud et amer gicler contre l’intérieur de sa joue avant de se répandre dans sa bouche. C’est presque naturellement qu’elle aspira bruyamment le sperme tout en pompant avec gourmandise sur la queue de son mec, avide de plus de jus. Elle ne s’arrêta qu’une fois que la bite se mit à ramollir. Mathias, les jambes tremblantes, dut s’asseoir sur les toilettes.
Julie, surexcitée et la culotte trempée, releva sa jupe et s’assit sur les genoux de son homme en suppliant.
— Fais-moi jouir, s’il te plaît.
Mathias passa la main dans la culotte humide.
— Écarte bien les cuisses salope.
Elle ne se fit pas prier pour obéir et écarta les cuisses autant que possible. Mathias se mit furieusement à lui doigter sa chatte dégoulinante de cyprine. Le tableau était obscène : la belle Julie, avec son look d’étudiant BCBG, bien sage, était en train de se faire doigter, les cuisses grandes écartées après s’être gavée de sperme et le tout dans les chiottes de la fac’. Elle en était tout à fait consciente et cela fit monter son excitation comme jamais, si bien qu’elle ne tarda pas jouir. L’orgasme qui la secoua fut si puissant que sans la main que Matthias lui mit sur la bouche son long gémissement de plaisir aurait certainement été entendu d’une bonne partie du bâtiment. Elle fut secouée par des spasmes de plaisir successifs qui la laissèrent pantelante et sans force.
Il fallut quelques longues minutes avant que les deux amants ne récupèrent du plaisir intense dont ils avaient joui. Lorsque ce fut fait, Matthias demanda.
— On se rentre ?— Oui.— Par contre tu vires ta culotte. Trempée comme elle est, elle sert plus à rien.
Il ajouta avec un ton narquois.
— Laisse-la là. Ça fera bien le bonheur de quelqu’un.
Le visage de Julie était déjà un peu rouge, mais la perspective de laisser sa culotte trempée là la fit rougir encore plus. Si un mec la trouvait, qu’allait-il en faire ? La multitude de réponses, toutes plus cochonnes que les autres, lui donna presque le vertige et fit remonter son excitation. Du coup elle ne se fit pas prier pour enlever son sous-vêtement qu’elle posa sur le réservoir de la chasse d’eau en quittant la cabine.
— Je vais me rafraîchir un peu avant qu’on sorte.— Tu es très bien comme ça.— Tu es sûre ? Je dois avoir des traces de sperme sur le visage et ...
Il l’interrompit.
— Tu es très bien comme ça. Et à par nous, qui sait que c’est du sperme séché ?— Mais je...
En sentant l’agréable sensation d’excitation monter dans tout son corps, Julie ne protesta pas plus longtemps. C’est donc sans culotte avec des traces de sperme séché sur le visage que la jeune femme aux allures de fille bien sage quitta la fac’ et traversa une partie de la ville pour se rendre à l’appartement de son copain.
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