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Première fois mutuelle

Chapitre 1

Hétéro
Gaëlle est ma première vraie histoire d’amour et sans doute ma plus belle. Je l’ai gâchée malgré la conciliance de Gaëlle. Mais avant cela, j’ai passé des moments délicieux. C’est avec elle que j’ai connu mes premières émotions amoureuses. C’est avec elle que j’ai découvert la douceur du corps d’une femme. C’est avec elle également que j’ai pu savourer mes premiers émois sexuels. Et c’est avec elle qu’en toute logique que j’ai eu mon premier rapport. Elle était ma première et j’étais son premier.Mais nous avons pris notre temps avant de sauter le pas. Nous avions 18 ans quand nous sommes sortis ensemble. Nous n’étions pas particulièrement démonstratifs, mais dans l’intimité, nous baisers et nos caresses étaient plus tendre que les froides embrassades en public. C’est ainsi que j’ai pu commencer à découvrir le corps de ma bien-aimée Gaëlle. D’abord des caresses dans le dos et sur le ventre par-dessus ses vêtements... Puis ce fut ses seins et ses fesses. De son côté elle s’attardait sur mon torse.Rapidement, j’ai pu passer mes mains sous ses vêtements. Elle mit plus de temps que moi pour oser s’aventurer sous les miens. Mais en attendant, j’ai commencé à connaitre la douceur de son ventre, de son dos... De ses seins. Pour ses fesses, ce fut un peu plus compliqué. Entre son pantalon et sa culotte c’était déjà un grand pas. Cependant, Gaëlle commençait me laisser passer ma main entre ses cuisses par-dessus ses vêtements pour la caresser intimement. Elle faisait de même avec moi. Pas plus, même si je l’y incitais.Avec le début du printemps, Gaëlle se découvrait un peu. J’ai ainsi pu la voir en jupe. C’était un mercredi, le jour où nous avions un peu plus d’intimité. Dans sa chambre, j’ai commencé à lui caresser les genoux, puis les cuisses, puis je suis remonté. Le cœur battant, j’ai commencé à glisser ma main sous sa jupe. Rapidement elle m’arrêta. Je suis donc revenu à des caresses plus habituelles pour nous. Quand j’ai passé ma main sur poitrine, j’ai pu constater qu’elle aussi avait le cœur qui battait très fort. Mais les premières chaleurs titillaient nos sens. C’est ainsi que j’ai pu voir les seins de ma douce Gaëlle pointer sous le tissu léger de son haut. Elle n’avait pas de soutien-gorge. Ou plutôt elle n’en avait plus, elle l’avait retiré juste avant mon arrivée. Ainsi, quand mes mains sont passées sous son haut, j’ai pu lui caresser les seins en toute liberté. C’était la première fois et c’était vraiment agréable de sentir Gaëlle frémir sous mes caresses. Alors quand j’ai relevé son top et libéré sa poitrine, j’étais le plus heureux des hommes.
C’était également la première fois que je voyais ses seins nus et Gaëlle m’a même laissé les lui embrasser. Je ne me suis pas fait prier. J’étais à moitié sur elle et je lui caressais la cuisse en me délectant de sa généreuse poitrine pendant que Gaëlle parcourait mon corps. Mais rapidement, elle s’est attardée sur la bosse qui déformait mon pantalon. J’ai laissé un temps sa cuisse pour ouvrir mon pantalon mais Gaëlle m’a dit « Attend, je vais le faire ! » J’étais à la fois étonné et heureux. Et quand Gaëlle commença masser ma bosse en passant ma main dans mon pantalon, j’ai remonté ma main le long de sa cuisse jusqu’à atteindre sa culotte humide. Nous nous sommes embrassés passionnément quelques instants et j’ai commencé à sentir monter cette sensation agréable que j’avais appris à connaitre en solitaire. Gaëlle me caressait dans un mouvement masturbatoire d’une douceur et d’une délicatesse très agréable. J’ai joui quelques instants plus tard dans un râle de plaisir qui la surprit. Elle n’a rien fait de particulier, elle n’a pas été très insistante dans ses caresses, elle n’avait même pas passé sa main dans mon slip... Mais l’excitation de la situation a eu raison de moi.
Gaëlle ne savait pas quoi faire en me sentant ramollir dans sa main. En même temps, je n’avais pas envie de m’arrêter et j’ai continué à lui caresser la culotte, de plus en plus humide, avec insistance. Gaëlle m’a lâché et s’est laissé rouler sur le dos. J’ai suivi son mouvement et j’ai commencé à l’embrasser sur la bouche, sur les seins, dans le cou... Tout en continuant de la caresser sur sa culotte de plus en plus humide. J’entendais mon amour soupirer de bonheur. Ça me faisait plaisir, surtout quand sa main est venue rejoindre la mienne pour me guider. J’aurais voulu pouvoir lui retirer sa culotte inondée de plaisir, mais quand j’ai essayé j’ai senti que ce n’était pas ce que voulait Gaëlle. Dans les instants qui ont suivi, j’ai senti Gaëlle se raidir puis s’effondrer dans un soupir de bien-être. Je m’attendais à une explosion, mais Gaëlle n’est pas la plus expressive des filles. Cependant, elle avait eu un orgasme et j’étais fier de le lui avoir procuré. Je ne le savais pas, mais elle avait commencé sa découverte du plaisir deux ans auparavant et je pensais, à tort, que c’était son premier orgasme.
En fait, elle en avait eu de bien plus puissants. Cependant, c’était le premier en couple comme j’avais ma première éjaculation en couple.
Quelques semaines plus tard, alors que nous avons passé l’après-midi à la plage, Gaëlle a encore mis sa timidité de côté. Je n’avais jamais vu Gaëlle aussi courte vêtue qu’avec son deux pièces et j’avais beaucoup de difficultés à contenir mon excitation. C’est en partie pour cela que je lui ai proposé d’aller nous baigner malgré la fraicheur de l’eau. C’était aussi un moyen d’échapper, en partie, à la surveillance de ses parents. Une fois dans l’eau, et malgré que sa petite sœur nous ait suivis, j’ai eu quelques mains baladeuses et Gaëlle également. La finesse de son maillot m’a permis de sentir tous les détails de ses fesses et de ses lèvres intimes que j’ai frottées avidement sous l’eau. Puis j’ai à nouveau passé ma main sur ses fesses pendant que nous nous embrassions. J’ai tenté ma chance et j’ai commencé à passer ma main dans son maillot et elle m’a laissé faire. Gaëlle a senti ma réaction et alors qu’elle descendait une main de mon dos à mes fesses pour m’appuyer contre elle en se glissant dans maillot de bain, elle m’a soufflé quelques mots à l’oreille.
« Tu es tout dur... C’est moi qui te fais cet effet-là ? » Bien sûr que c’était elle ! Elle n’a pas attendu ma réponse pour entamer un léger mouvement de bassin pour se frotter délicieusement sur mon érection.Nous avons arrêté un temps malgré notre envie de continuer. Nous étions, malgré tout, sous la surveillance des parents de Gaëlle et nous avons joué un peu avec sa petite sœur. D’autre part, cela nous a permis laisser retomber notre excitation. Mais une dizaine de minutes plus tard, alors que nous étions assis dans l’eau, Gaëlle a remis sa main sur ma demi-érection. Elle s’est blottie contre moi avant de glisser sa main dans mon maillot et d’attraper mon érection grandissante. « C’est agréable, Gaëlle ! » Elle a commencé à me masturber doucement dans l’eau en posant sa tête sur mon épaule. « J’ai envie qu’on prenne notre temps... Mais j’ai envie... Avec toi... Que tu sois le premier ! » J’ai eu un haut-le-cœur et je lui ai fait part aussi de mon envie d’elle. Quand elle a sorti sa main de mon maillot, je lui ai dit « On prendra le temps qu’il faudra ! » Gaëlle m’a souri et elle est venue s’installer entre mes jambes. J’ai posé mes mains sur son ventre avant de descendre dans son maillot. J’ai attendu un peu puis j’ai glissé mes doigts dans sa toison.
Gaëlle a tourné la tête pour m’embrasser et je commençais à la caresser doucement. C’était la première fois que je touchais un sexe féminin et j’étais assez maladroit. Quand, après quelques instants de découverte, j’ai retiré ma main. Gaëlle m’a fait part de son avis. « Il faudra que je te montre comment faire ! C’est plus complexe que pour toi. » Nous sommes retournés sur nos serviettes, main dans la main après avoir repris un peu nos esprits.Mais sur la plage, nous avons continué notre découverte. Les parents de Gaëlle sont allés se baigner à un moment et, sous le couvert du parasol, Gaëlle m’a dit « Regarde ! » J’ai tourné la tête vers elle et elle a écarté le haut de son maillot pour libérer un sein. Je lui ai souri. Elle a joué quelques instants avec la pointe de son sein avant de se rajuster. Elle m’a dévisagé et j’ai vu à son regard ce qu’elle voulait. Je me suis tourné sur le côté, j’ai tiré mon maillot sur le côté et j’ai mis au jour la demi-érection provoquée par la vue du sein de Gaëlle. Elle a écarquillé les yeux avec un petit sourire de satisfaction. Puis elle a tendu sa main et m’a effleuré avant de m’agripper et de commencer un mouvement masturbatoire. J’ai grossi dans sa main. De son autre main, elle a nouveau sorti un sein de son maillot avant de la descendre à son entrejambe. Elle s’est caressée un peu avant d’écarter son maillot et me montrer sa toison. J’ai aperçu son anatomie de jouvencelle et cela, en plus du reste, m’a amené au point de non-retour.
J’ai joui de plusieurs jets, maculant la main de Gaëlle, son avant-bras et son ventre. Nous sommes partis dans un éclat de rire en nous rajustant. Gaëlle s’est essuyée comme elle a pu et nous avons enterré ma semence tombée sur le sable.
Sur le chemin du retour nous avons été plus calmes. Mais durant 500km nous n’avons pas arrêté de nous effleurer et de nous embrasser. Et quand la nuit est tombée, Gaëlle s’est allongée et a posé sa tête sur mes cuisses. J’ai pu discrètement passer une main dans son top et caresser une fois de plus sa jolie poitrine. Comme je l’avais perçu, elle n’avait pas remis de soutien-gorge. Peu de temps après, Gaëlle passa sa main dans mon short et libéra mon érection naissante pour y déposer quelques bises discrètes. C’était fort agréable. Nous avons continué une bonne partie du trajet ainsi, moi caressant les seins de Gaëlle et elle m’embrassant le long de mon érection qui ne faiblissait pas. Mais alors qu’elle m’embrassait, le mouvement de la voiture provoqua une chose qui faillit me faire exploser de bonheur. Un défaut dans la route nous secoua et je me suis retrouvé avec le gland dans la bouche de Gaëlle. Elle se mit à me sucer doucement durant quelques instants avant qu’elle ne reprenne sa position initiale.
Je me suis penché pour l’embrasser. « C’était très agréable... Merci ! » Elle me sourit mais elle ne prit pas l’initiative de recommencer. Moi non plus d’ailleurs, même si j’en mourais d’envie. Tard dans la nuit, une fois rentré chez moi, je me suis masturbé en repensant à la sensation de ses lèvres glissant sur mon gland et j’ai joui « dans sa bouche. »Après cette escapade, nos moments d’intimité étaient plus sensuels et plus profonds. Nous étions très rapidement en sous-vêtements après un jeu d’effeuillage d’une petite demi-heure environ. C’était vraiment agréable de nous découvrir ainsi l’un l’autre. Gaëlle m’a appris à lui donner du plaisir et elle a appris à m’en donner, chose beaucoup plus facile. C’était très excitant de passer ma main dans sa culotte humide. Il a fallu trois ou quatre après-midi pour qu’elle me laisse lui retirer son soutien-gorge. Je le lui avais détaché deux fois discrètement et elle m’avait demandé de le rattacher. La troisième fois fut la bonne. J’ai attendu quelques minutes avant de faire glisser ses bretelles jusqu’aux coudes. Elle a fait le reste. J’adorais ses seins. J’aimais les caresser, les embrasser... Surtout avec une main dans sa culotte. Nous avons fait cela très souvent. J’ai très souvent eu envie de lui retirer sa culotte, mais elle ne voulait pas. Au maximum, je réussissais à la lui écarter ou à la baisser un peu. Nous prenions tout de même beaucoup de plaisir.

Nous jouissions en décaler, souvent moi avant elle. C’était vraiment agréable, mais les jours où nous étions synchros c’était un véritable régal.Le jour de mon anniversaire est venu. J’ai eu un beau cadeau. Comme c’était un mercredi, nous nous sommes retrouvés assez rapidement, comme nous en avions pris l’habitude, elle en culotte et moi en slip. Nous nous donnions beaucoup de plaisir, la main dans la culotte de l’autre. Elle me masturbait divinement et d’un mouvement un peu plus ample, mon sexe est sorti de sa cachette. Gaëlle s’est arrêtée, y a jeté un œil puis m’a embrassé. Elle s’est penchée vers moi pour souffler quelques mots à l’oreille. « Tu me laisserais faire quelque chose que tu apprécies ? » Un peu interrogatif, je l’ai laissée faire. Elle m’a fait mettre sur le dos et elle s’est penchée sur moi. Elle a commencé à embrasser mon érection avant de la prendre tendrement dans sa bouche. Nous en avions parlé à plusieurs reprises, dans la voiture de ses parents, elle ne m’avait pas prise volontairement dans sa bouche et n’avait pas apprécié plus cela, contrairement à moi. Je savais donc qu’elle le faisait pour moi et uniquement pour moi.
Progressivement, elle me prenait un peu plus et c’était un véritable délice, bien plus que la première fois. Après quelques minutes à apprécier sans rien faire, j’ai commencé à caresser les fesses de Gaëlle. Puis j’ai commencé à lui baisser sa culotte jusqu’à la moitié de ses fesses. J’ai senti Gaëlle sourire mais elle n’a rien dit. J’ai commencé à caresser la raie avant de descendre ma main dans le tissu pour caresser l’intimité humide de mon amour. Progressivement, la culotte de Gaëlle se baissait alors je passais mes doigts entre ses lèvres puis entre ses fesses puis à nouveau entre ses lèvres... Gaëlle avait la culotte à mi-cuisses quand je l’ai attirée sur moi. Elle s’est laissé faire et, puisque nous étions en position, j’ai commencé à laper son nectar pour mon premier 69. Notre premier 69 devrais-je dire. Un peu maladroit, Gaëlle m’a bien guidé. Elle se débrouillait mieux que moi et je n’ai eu que peu de rectification à lui indiquer. Le plaisir est monté très rapidement, pour elle comme pour moi.
Je ne l’ai pas senti venir et d’un coup, je me suis arrêté de j’ai soupiré de plaisir. « Oh Gaëlle ! » Elle a juste eu le temps de se retirer... Et encore. Elle en a eu sur la joue et dans les cheveux. Elle en a ri quelques instants avant de me regarder. « Bon anniversaire mon amour ! » J’ai eu du mal à reprendre mon souffle. « Merci, mon cœur. » Gaëlle a rajusté sa culotte et nous sommes allés à la salle d’eau pour nous nettoyer un peu. Gaëlle cracha, un peu écœurée, et elle eut un peu de mal pour ses cheveux. Je me suis excusé de ne pas l’avoir prévenu plus tôt. « Ce n’est rien... C’est les aléas de la découverte ! »
Une fois terminé, j’ai serré Gaëlle dans mes bras. Sa poitrine contre la mienne, nous nous sommes embrassés. J’ai apprécié l’instant. Durant notre baiser, j’ai passé ma main sur ses fesses, dans sa culotte. Puis j’ai eu envie de lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné. Je baissais doucement sa culotte en continuant à l’embrasser et je sentais Gaëlle sourire dans notre baiser. Rapidement, elle s’est retrouvée avec les fesses à l’air. Et quand je me suis mis à genoux, j’ai à peine eu à tirer sur le tissu pour que sa culotte tombe à ses pieds. Pour la première fois, je voyais Gaëlle entièrement nue. Je n’ai pas pris le temps de m’en émouvoir et j’ai commencé à embrasser son intimité humide. J’ai passé ma langue entre ses lèvres, sur son clitoris, j’ai caressé ses lèvres, j’ai immiscé une phalange en elle... J’ai fait tout ce qu’elle m’avait dit aimé et j’ai senti son plaisir monter. Gaëlle à passer sa main dans cheveux pour me serrer entre ses cuisses alors qu’elle soupirait de plus en plus fortement.
Gaëlle a atteint l’orgasme en m’inondant la bouche de son plaisir. Quand elle eut repris son souffle, elle me regarda. « C’est pourtant pas mon anniversaire aujourd’hui ! » Je lui ai fait un large sourire. « J’aime partager mes cadeaux avec toi. »Après cela, nous moments intimes ont monté en intensité émotionnelle. Notre nudité n’était plus une barrière psychologique à franchir. Cependant, j’aimais beaucoup voir Gaëlle simplement vêtue de sa culotte. Elle n’avait jamais mis autre chose qu’une culotte en coton blanc, mais peu importe je la trouvais très jolie et très attirante. Et j’aime la prendre dans mes bras et me frottait à elle ainsi vêtue alors que j’étais entièrement nu. J’aimais sentir, sur mon érection, son anatomie intime à travers l’humidité du tissu. Mais nous avions l’un et l’autre envie de plus. Parfois nous n’allions pas plus loin que cette étape des caresses, mais de plus en plus souvent Gaëlle se retrouvait nue elle aussi. Je me souviens particulièrement de la première fois où j’ai retiré la culotte de ma bien-aimée Gaëlle. J’ai passé mon dard entre ses lèvres intimes et j’ai été foudroyé par leurs douceurs. Il n’aurait pas fallu grand-chose pour vivre ce que nous voulions. Un bon coup de reins au moment où mon gland passait entre ses lèvres... Mais nous avions envie de douceur pour cet instant unique.
J’ai donc changé un peu de position et Gaëlle commença à faire un doux mouvement du bassin faisant glisser ses lèvres humides le long de ma hampe. L’érotisme de Gaëlle et associé aux frissons de l’instant... J’ai n’ai pas pu me retenir. Dans un soupir de plaisir, une série de grands jets s’est élevée pour retomber sur les seins et le ventre de Gaëlle.L’été avançait et nous avions de plus en plus envie de franchir le pas ensemble. Nous nous sentions prêts et nous nous aimions assez pour nous offrir l’un à l’autre. J’avais du mal à gérer mes émotions et Gaëlle était prise d’une certaine angoisse de temps à autre. Nous avons beaucoup parlé et parfois mon excitation lui faisait peur. D’autre jour elle était très entreprenante. Trop même ! De nombreuses fois, j’ai joui dans sa main, entre ses seins ou après un 69. Certains jours, c’était même plusieurs fois. Mais peu à peu, je parvenais à me contrôler. Gaëlle a été très conciliante et nos éclats de rire, parfois nerveux, nous ont permis de dédramatiser. Même le jour où j’ai mis un préservatif pour la première fois avec elle. J’avais posé la question à Gaëlle et elle m’a répondu aussi nerveusement que moi. J’ai ouvert mon tiroir, pris l’objet et ouvert l’emballage. Gaëlle était allongée sur le dos, nue, les cuisses ouvertes et les jambes repliées. Elle me regardait, un peu tendue, une main sur la poitrine l’autre en haut de sa cuisse droite.
J’ai mis le préservatif le cœur battant, même si je m’étais déjà exercé en solo. Nous y étions presque et l’envie était bien présente malgré nos appréhensions. J’ai à peine terminé que j’ai senti que ça n’irait pas plus loin. J’ai joui dans la seconde, sans même avoir eu un contact avec Gaëlle. Je me suis laissé tomber tristement dans les bras de ma bien-aimée, aussi attristée que moi malgré sa risée nerveuse. « C’est pas grave mon trésor ! On a quand même passé un bon moment. Et puis on aura d’autres occasions ! » Très conciliante je vous ai dit.
Pendant environ deux semaines, nous avons essayé en vain. Soit j’étais trop excité et je déchargeai avant l’acte, soit Gaëlle était trop stressée et se fermait comme une huitre. Ça aurait pu durer très longtemps comme cela, mais un jour tout s’est passé comme nous l’espérions. Je dois avouer que c’est grâce à Gaëlle et, indirectement, à Sabrina. Gaëlle était venue me voir un matin alors que nous avions prévu de nous voir que l’après-midi. J’étais heureux de la voir et en même temps un peu gêné. Moins d’un quart d’heure avant sa visite, je m’étais masturbé en pensant à une autre. Sabrina en l’occurrence. Elle n’était plus jolie que Gaëlle, mais je l’avais suivi un peu par hasard la veille en rentrant de chez Gaëlle. Sabrina avait une poitrine très généreuse et des fesses beaucoup plus prononcées que celle des autres filles. Seul durant ma toilette, je fantasmais sur les seins de Sabrina, m’imaginant entre eux. J’avais continué en pensant qu’il serait possible de faire de même entre ses fesses... Et peut-être même entrer dans son cul.
Je savais que Gaëlle ne me laisserait jamais entrer dans le sien, elle me l’avait dit. Alors à force de fantasme avec Sabrina, je me suis laissé aller.Ce matin-là, Gaëlle était venue me montrer quelque chose. J’ai essayé de savoir quoi, mais je n’ai pas réussi. Je n’avais même aucune idée de ce que cela pouvait être. Nous étions à peine dans ma chambre que Gaëlle a levé le mystère. « Je me suis offert un ensemble ! » Elle qui avait toujours eu des sous-vêtements d’une simplicité déconcertante... J’avais envie de voir quel style elle avait choisi. Je n’ai pas eu à attendre longtemps. Devant mon regard aussi envieux qu’interrogateur Gaëlle a retiré son top très sensuellement. Elle m’a dévoilé son petit ventre avant de ralentir un peu au niveau du soutien-gorge. Il était magnifique. Jaune avec une petite dentelle pouvant laisser penser à une fleur. Il mettant très bien en valeur sa poitrine et malgré ma proche éjaculation, je commençais à me sentir durcir. Puis, encore plus sensuellement, Gaëlle retira son jeans pour révéler sa culotte assortie et tout aussi magnifique que son soutien-gorge. Là aussi sa culotte la mettait en valeur et quand elle s’est tournée j’ai pu voir la raie de ses fesses à travers le voile léger.
J’étais vraiment excité et je me suis approché pour l’embrasser. « Tu es magnifique ! » Simplement vêtue de mon peignoir, je n’ai pas pu cacher longtemps mon émoi à Gaëlle. Surtout quand elle a passé ses bras autour de ma taille. Elle m’a regardé en souriant avant de tirer ma ceinture et de remonter ses mains vers mes épaules et faire glisser mon peignoir en m’embrassant. Gaëlle était féline et je sentais que c’était le grand jour. J’ai fait basculer Gaëlle sur mon lit et je me suis mis sur elle en l’embrassant dans le cou puis sur le haut des seins. J’ai fait glisser les bretelles de son soutien-gorge avant de le lui détacher. J’ai continué à l’embrasser en descendant entre ses seins puis sur son ventre puis j’ai passé mes mains sur ses hanches et je lui ai retiré sa culotte déjà bien humide. Je l’ai à nouveau serrée dans mes bras et j’ai senti mon dard s’écraser sur sa toison qui trahissait son désir. Nous nous embrassions et nous caressions tendrement. « Oh Gaëlle... J’ai tellement envie de... » Gaëlle m’a souri en m’interrompant.
« Moi aussi ! »Je me suis relevé pour ouvrir le tiroir de ma table de nuit et attraper un préservatif. Je me suis équipé relativement calmement en me demandant comment je pouvais être aussi dur trente minutes à peine après une grosse éjaculation. Cette considération s’est vite envolée devant le sourire qu’arborait Gaëlle. Je me suis remis sur elle pour la serrer dans mes bras. Je l’ai sentie écarter les cuisses et enrouler ses jambes autour des miennes. Elle me caressait le dos et je l’embrassais dans le cou. Je me sentais glisser entre ses lèvres bien lubrifiées sans pour autant trouver le chemin vers le grand frisson. J’ai tenté de mettre Gaëlle sur le côté, en vain. J’ai commencé à paniquer, ne sachant pas quoi faire de plus. Et d’un coup, je me suis senti entrer en Gaëlle. Doucement, agréablement, je progressais entre ses lèvres intimes jusqu’à sentir comme un rétrécissement, un blocage. J’ai alors commencé un léger mouvement me faisant buter à répétition sur ce blocage. Dans le même temps, j’embrassais Gaëlle en lui caressant les seins.
Et d’un coup, le blocage a cédé et je me suis senti investir le corps de ma bien-aimée Gaëlle. Dans le même temps, j’ai senti Gaëlle tressaillir et poussé un petit soupir plaintif. « Ça va ? » Elle m’a souri, une petite larme au coin de l’œil, avant de m’embrasser tendrement. Nous y étions arrivés ensemble et nous en étions très heureux. J’ai senti les mains de Gaëlle descendre jusqu’en haut de mes fesses et m’inviter à commencer un mouvement de va-et-vient. C’était agréable et d’une douceur incomparable. Puis ma première amante redressa son bassin et je me suis senti comme aspiré au fond d’elle. J’ai continué mon mouvement accompagné de quelques soupirs de plaisir de Gaëlle. Moins de cinq minutes plus tard, j’atteignais les cimes du plaisir et j’explosais de bonheur au creux des reins de mon amour. Gaëlle n’avait pas pris autant de plaisir que moi, du moins pas autant de plaisir physique. Elle était heureuse de la douceur dont j’avais fait preuve malgré tout... Cela lui suffisait pour le moment.
C’était une agréable première fois pour elle comme pour moi et malgré notre envie de resté blotti dans les bras l’un de l’autre, nous n’avons pas tardé à nous rhabiller. Il fallait qu’elle soit de retour chez elle avant que ces parents n’arrivent pour manger pour leur pause de midi. Nous nous sommes embrassés tendrement avant de nous donner rendez-vous l’après-midi.
J’ai passé la fin de la matinée ainsi que mon repas dans une sorte d’état second, un bien-être absolu. Ce bien-être, Gaëlle le ressentait également. Elle me l’a dit l’après-midi alors que nous étions sur mon lit, tendrement enlacés. Nous avons un peu parlé du matin, échangé nos ressentis et parler un peu de l’avenir. Gaëlle avait apprécié la douceur mais le plaisir qu’elle avait ressenti n’était pas aussi fort qu’elle l’espérait. Moi, au contraire, je ne m’attendais pas à un tel plaisir. D’ailleurs, j’avais très envie d’essayer sans préservatif mais Gaëlle ne voulait pas prendre la pilule. Débat clos ! Puis Gaëlle me précisa qu’elle avait un peu saigné. Je n’avais rien remarqué, rien sur le préservatif, rien sur les draps. Je me suis inquiété mais ce n’était rien. J’étais ignorant en la matière et elle m’expliqua que c’était assez courant. Puis Gaëlle me posa une question un peu étrange. — Tu m’aimes toujours ?— Pardon ?— Maintenant que nous l’avons fait... Tu n’as pas envie de... Me quitter ?— Mais bien sûr que non ! Je suis même très fier de l’avoir fait en étant amoureux de toi.Gaëlle me sourit et nous nous sommes embrassés. J’ai passé une main dans son top. « Tu veux qu’on recommence ? » Gaëlle me caressa la joue. « Non... Pas tout de suite du moins ! » devant cette invitation de report, j’ai commencé à caresser la poitrine de Gaëlle que j’ai senti pointer. De mon autre main, j’ai caressé sa cuisse. Comme elle s’était changée, j’ai rapidement passé la main sous sa jupe. Comme nous nous embrassions, Gaëlle a passé une main dans mon T-shirt et posé l’autre sur le haut de ma cuisse à quelques centimètres de la bosse qui déformait mon jeans. Rapidement, j’ai baissé les bretelles de son top jusqu’à ses coudes et je me suis retrouvé torse nu. Gaëlle a tout de même attendu que je passe ma main sur sa culotte pour caresser ma bosse avant de libérer mon érection douloureuse et dans la prendre dans sa main.
Et puis, tout s’est accéléré. Gaëlle m’a chevauché, écrasant mon érection sous sa culotte. D’un mouvement de bassin elle montait et descendait le long de mon érection. C’était d’autant plus agréable que je sentais la culotte de Gaëlle s’humidifier peu à peu. Je me suis redressé pour lui retirer top et soutien-gorge avant de la serrer dans mes bras. Puis j’ai glissé une main sous sa jupe, en corolle sur moi, pour lui caresser les fesses. Quelques instants plus tard, je renversais Gaëlle et glissais ma tête entre ses cuisses pour me délecter de son nectar après lui avoir retiré sa culotte jaune. Gaëlle a passé sa main dans mes cheveux avant de me renverser à son tour puis de me prendre dans sa bouche en me retirant pantalon et slip. Une fois fait, Gaëlle m’a à nouveau chevauché. J’étais nu, elle n’avait que sa jupe et c’était terriblement excitant. J’ai passé une main sous sa jupe pour prendre ma hampe en main et la frotter entre ses lèvres intimes pendant qu’elle refaisait son mouvement de hanches.
Je tentais d’entrer en elle mais Gaëlle veillait à ce que je n’y arrive pas. C’était tout de même très agréable. Mais devant l’agilité de ma partenaire, j’ai penché un peu mon érection et j’ai commencé à glisser entre ses fesses. « Non, par là non plus ! » Je lui ai souri avant de la laisser faire. Elle montait et descendait le long de ma colonne de chair alors que je la serrais dans mes bras. Puis elle m’embrassa dans le cou en m’entourant de ses bras. « J’ai envie de toi mon trésor... J’ai envie de te faire l’amour comme tu m’as fait l’amour ce matin ! » Je n’ai pas hésité longtemps et j’ai mis un préservatif. Gaëlle m’a pris dans sa main et m’a fait rentrer en elle avant de se laisser glisser doucement. Ce coup-ci, pas de blocage étroit et comme Gaëlle était beaucoup plus mouillée que le matin, je glissais en elle avec une facilité déconcertante. Elle semblait prendre plus de plaisir et j’en étais ravi. Elle sautillait sur moi et sa respiration était aussi profonde que bruyante. Et quand elle ne sautillait pas, elle faisait un mouvement de hanche qui me régalait.
Si je n’avais pas éjaculé deux fois le matin, j’aurais très certainement joui à ce moment-là. Gaëlle perdait peu à peu le contrôle d’elle-même et elle me serrait de plus en plus dans ses bras. Ses baisers étaient également plus profonds et cela me mit dans un profond émoi. Et puis Gaëlle a commencé à ralentir son rythme infernal et elle s’est blottie dans mes bras comme soudainement apaisée, la tête sur mon épaule et ses mains dans mon dos. Je me suis alors mis sur mes genoux en la prenant par-dessous les cuisses. Elle s’est accrochée à moi et j’ai commencé à aller et venir en elle. Gaëlle s’est remise à soupirer doucement à chaque coup de reins et je la sentais se resserrer puis se relâcher autour de mon sexe tendu. Je sentais mon plaisir monter devant tant de bien-être. Quand nous nous sommes embrassés, j’ai explosé de bonheur et mon plaisir a résonné dans la bouche de Gaëlle. Nous nous sommes effondrés dans les bras l’un de l’autre, vaincu par un plaisir plus grand que celui du matin.
Dans les jours, et même les mois, qui ont suivi, nous avons appris à nous connaitre de ce point de vue-là, à savoir ce que l’autre aimait et n’aimait pas. Ça aurait pu continuer très longtemps avec Gaëlle si je n’avais pas déconné. C’est entièrement ma faute. Il y a eu sa mère, puis sa tante sans qu’elle ne le sache. Il y a ensuite eu Heidi, sa petite sœur, à qui j’ai également pris le pucelage le jour de ses 18 ans. J’ai eu une relation suivie avec elle et quand Gaëlle l’a appris elle m’a demandé de faire un choix. J’ai dû brise le cœur d’Heidi quand je lui ai dit que tout était fini, mais je tenais vraiment à Gaëlle. Elle m’avait laissé une chance après cet écart... J’en ai eu un autre.
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