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Première fois mutuelle

Chapitre 3

Promesse tenue

Hétéro
Cette année-là, la fin des vacances fut un véritable crève-cœur. Si j’entrais en Terminal, Gaëlle continuait ses études supérieures dans une autre ville. J’avais redoublé ma première, pas elle et cette année de décalage nous séparait la semaine. Heureusement, le week-end nous étions à nouveau réunis. Un week-end chez mes parents, un week-end chez les siens et une nuit à passer ensemble. Nous essayions d’être discrets, je sais que ce n’était pas toujours le cas. Si mes parents n’avaient fait aucune remarque, Émilie m’avait fait une petite allusion avec un petit sourire, un matin où je m’étais levé avant Gaëlle. « La nuit a été bonne, on dirait ! » Je n’avais pas cherché à nier et j’en avais profité pour lui adresser un message. « Au moins, Gaëlle tient ses promesses... elle ! » Émilie savait parfaitement de quoi je voulais parler. « Ne t’inquiète pas... ça viendra ! »
Peu à peu Gaëlle et moi avons trouvé nos marques. Mais elle me manquait et j’avais envie d’autre chose que le simple téléphone. Nous avons commencé à dialoguer un peu par Internet et nous avons rapidement branché nos webcams. Je pouvais la voir cependant Gaëlle était en colocation avec Sabrina et même si je la connaissais un peu, c’était difficile d’avoir un peu d’intimité. Alors elle se penchait un peu quand elle le pouvait pour m’offrir une vue sur son décolleté. Était-ce volontaire ? Je n’en étais pas sûr. Ça a duré un temps, jusqu’à ce que Sabrina, décide de faire du sport. Le mardi, Gaëlle était seule et nous pouvions nous laisser aller à des discussions plus personnelles que les « Oui, je vais bien. Et toi ? » J’avais envie de bien plus, mais pour Gaëlle me montrer ouvertement ses seins était trop indécent. La voir me faisait tout de même beaucoup de bien et me permettait de tenir jusqu’au week-end.
Tout aurait pu continuer ainsi si Heidi n’avait pas eu des difficultés en mathématiques. Jusque-là, elle pouvait s’appuyer sur sa grande sœur pour lui expliquer. Depuis le départ de Gaëlle, c’était beaucoup plus compliqué. Comme j’avais, moi aussi, des facilités dans ce domaine, Émilie m’a demandé de donner un petit coup de main à sa fille cadette. Au vu de ce que nous avait fait vivre Heidi durant l’été, ça sentait le piège avec la complicité de sa mère. Ou alors, cette dernière cherchait un moyen de me rapprocher d’elle pour tenir sa promesse.
J’ai fait part de mes doutes à Gaëlle, du moins d’une partie de mes doutes. Il était hors de question pour moi d’évoquer la promesse que m’avait faite sa mère à propos de son gros cul dont j’avais terriblement envie. Gaëlle n’avait pas pensé à une machination, les problèmes de mathématiques d’Heidi ne dataient pas d’hier et il y avait toujours eut un moment de grande complicité entre les deux sœurs. Néanmoins Galle eut une petite discussion anodine avec Heidi et il lui semblait que tout était clair. Si manigance il y avait, elle ne pouvait venir que d’Émilie et j’avoue que cette perspective m’enchantait plutôt.
J’ai eu la confirmation dès le premier cours. Certes, Heidi s’était faite toute jolie, mais Émilie également. Elle n’arrêtait pas de venir voir si tout se passait bien, de tourner autour de la table. Entre la vue sur le décolleté d’Heidi et le popotin d’Émilie qui attirait mon regard, j’ai eu du mal à terminer mon cours en toute sérénité. Une érection gênante commençait même à naître entre mes jambes et je n’arrivais pas à m’en défaire. Je ne sais pas si Heidi l’a vu, dans tous les cas Émilie s’en est rendu compte. Le sourire qu’elle arborait devant mon trouble était sans équivoque.
Au second cours, ce fut la même histoire. Heidi avait une poitrine vraiment très généreuse et elle savait la mettre en valeur. Il était clair qu’elle avait une plus grosse poitrine que sa grande sœur et son décolleté me donnait des coups de chaud. Elle s’en est rendu compte cette fois-ci et ça l’amusait. Mais, sur la fin du cours, elle s’est aperçue que sa mère me faisait également beaucoup d’effet. Heureusement qu’elle n’ait pas eu l’idée d’en parler à Gaëlle, ou pire de jouer de ce moyen de pression. J’aurais été pris entre deux feux !
Les vacances de la Toussaint arrivaient et comme Gaëlle, contrairement à moi, n’avait pas de vacances, j’avais prévu d’aller la rejoindre. Une semaine rien qu’avec elle me permettrait sûrement de faire retomber mon attirance pour Émilie et Heidi. Mais les mots d’Émilie au moment où j’allais partir en disait long sur ses intentions. « Entraîne-toi bien sur ma fille, au retour je te mets dans mon lit ! » Une lutte interne recommença alors à vivre en moi. Devais-je céder ou non aux avances d’Émilie alors que j’étais fou amoureux de sa fille aînée ?
J’étais malgré tout heureux de retrouver Gaëlle et de passer une semaine entière avec elle. Évidemment, il allait falloir composer avec la présence de sa colocataire, Sabrina. Je la connaissais déjà et, bien que personne ne le sache, je lui dois d’avoir pu faire ma première fois avec Gaëlle. Je m’étais masturbé un matin en pensant à elle un matin. Je m’étais imaginé éjaculer dans son cul bien rebondi, ce qui m’avait permis d’éviter de décharger trop vite quand Gaëlle m’avait fait la surprise de sa visite. Sabrina avait un peu changé. Elle n’avait jamais été particulièrement jolie et, avec le temps, elle avait maintenant un physique plutôt disgracieux... pour rester poli. Pourtant elle avait quelque chose de particulier que je ne saurais décrire, un petit quelque chose qui provoquait chez moi une sorte d’attirance.
Nous avons passé une très bonne première soirée tous les trois, mais ce n’était pas avec Sabrina que j’avais envie de passer ma soirée. Au moment de nous coucher, dans la chambre de Gaëlle, j’ai pu offrir le cadeau que je lui avais prévu. Une nuisette plutôt sexy assortie d’un string. Je m’attendais à une réaction mitigée car Gaëlle a beaucoup de vêtements de type petite fille sage, vêtements de nuit inclus. Elle me fit un magnifique sourire. Elle était très heureuse et s’empressa de l’essayer en m’expliquant que depuis qu’elle avait quitté le domicile familial, elle n’avait plus à supporter le regard de ses parents dès qu’elle s’habillait comme une jeune femme, même à presque 19 ans.
— Voilà ! Comment tu me trouves ?
J’étais subjugué par la beauté de Gaëlle, par sa grâce. J’avais fait une erreur en acceptant les avances d’Émilie et il ne fallait pas que je recommence, ni avec Émilie, ni avec aucune autre si je voulais garder Gaëlle auprès de moi. Avec un peu de patience, j’arriverais à réaliser mes envies avec elle, je le sentais. Et quand Gaëlle s’est approchée de moi pour m’embrasser tendrement, le remords d’avoir cédé à sa mère commença à me ronger. « J’ai quelque chose à te dire ! » Mais Gaëlle ne m’écoutait pas. Elle posa sa main sur mon début d’érection avant de dégrafer mon jeans. « Chuuuut ! Pas maintenant. Sabrina est partie à une de ses soirées spéciales et j’ai bien eu envie de profiter de ce moment d’intimité ! » Le manque poussait Gaëlle à prendre l’initiative et cela m’allait très bien. Je me suis laissé faire.
Gaëlle venait de remonter la nuisette sans la retirer arborant fièrement son string et elle se trémoussait devant moi. Puis, alors que ma seule envie était de lui sauter dessus, elle baissa mon jean puis mon caleçon pour libérer ma queue à demi-molle. Elle se pencha en avant et commença à l’effleurer du bout de la langue. Deux ou trois fois, elle montait et descendait le long de mon érection durcissante. Puis elle commença à me prendre doucement dans sa bouche. Je sentais ses lèvres glisser agréablement sur mon gland, n’allant pas plus loin pour le moment. J’appréciais grandement et je lui caressai les cheveux, luttant contre mon envie d’investir entièrement sa bouche. Continuant à embrasser et sucer mon gland, Gaëlle posa sa main à la base de ma hampe en me regardant avec un léger sourire. Elle me suçait, me léchait, m’embrassait avec délice avant d’accélérer le mouvement. Elle n’allait pas plus loin, mais elle allait plus vite et c’était véritablement délicieux.
Puis Gaëlle s’arrêta pour baisser encore mon jeans et mon caleçon avant de recommencer à lécher mon érection qui avait maintenant une bonne taille. J’ai frémi quand j’ai senti la douceur de ses seins, à travers la nuisette, contre mes couilles. J’ai cru qu’elle allait me prendre entre eux, mais elle recommença à me sucer doucement. C’était tellement bon que je me suis demandé si elle n’avait pas pris des cours auprès de sa mère, surtout quand elle me prit un peu plus profondément dans sa bouche en gémissant légèrement. Puis Gaëlle se redressa et retira sa nuisette en faisait doucement glisser les bretelles jusqu’aux coudes puis baissa un peu les bras pour me dévoiler sa jolie poitrine. C’était très sensuel de la voir se caresser les seins avec sa jolie nuisette à demi-retiré. Ça n’a duré que quelques secondes, mais ça m’a véritablement excité.

Quand elle la retira enfin, Gaëlle fit tomber la nuisette à ses genoux et s’avança vers moi pour se pencher au-dessus de moi. D’une main, elle caressa sa poitrine, puis son string, puis remonta à sa poitrine pour porter un sein à sa bouche puis le deuxième, tout en gémissant doucement. Qu’avait-elle ? Jamais elle n’avait été aussi sensuelle. Alors, quand elle descendit du lit pour retirer voluptueusement son string, je m’attendais à une partie de jambes en l’air vraiment fantastique. Surtout quand elle me tira sur mon jean et mon caleçon pour me mettre à nu. Elle en profita pour attraper un préservatif et ouvrir l’emballage doucement. Gaëlle s’accouda sur le lit et déroula le préservatif sur ma hampe. J’avais espéré un temps que son excitation lui ferait ce détail et qu’elle s’offrirait à moi sans protection. Cependant, c’était la première fois qu’elle m’équipait et cette nouveauté était très plaisante.
Gaëlle remonta sur le lit s’avançant vers moi félinement. Elle posa un genou de chaque côté de mes hanches et passa une main dans sa toison que je devinais humide. Elle se caressa quelques instants avant d’humidifier ma hampe fièrement tendue de son désir. Bien entendu, j’ai continué à la laisser faire quand elle me frotta à son intimité bien mouillée et qu’elle commença à me faire entrer délicatement en elle. Alors, elle se laissa glisser dans un doux gémissement avant de poser ses mains légèrement en arrière et de commencer un délicieux mouvement de bassin dans un soupir de plaisir. Gaëlle était vraiment très jolie quand elle se caressait les seins, le ventre, les hanches tout en continuant son délicieux mouvement. Je la laissais faire et quand elle se pencha un peu en arrière je lui ai déposé une bise entre les seins. Quand elle se redressa dans un petit gémissement, sa natte passa par-dessus son épaule, l’extrémité juste au niveau de sa poitrine.
Elle joua un peu à la coincer entre ses seins qui pointaient fièrement et cela m’excita encore plus.
Puis elle accentua son mouvement et je me sentis aller plus profondément en elle alors qu’elle recommençait une série de caresses. Cette fois-ci, sa main descendit jusqu’à sa toison pour se masturber légèrement. « Oh c’est bon, Julien ! » sa masturbation se fit plus insistante et son mouvement de hanche plus lent mais tout aussi délicieux, voir encore meilleur. Elle arrêta sa masturbation que pour poser ses mains au niveau de mes cuisses et de se surélever pour entamer un autre mouvement, toujours aussi délicieux. « Gaëlle ! Oui, continue. » Ce qu’elle fit, levant même un bras pour se caresser sensuellement la poitrine.
Puis, sans se retirer, elle posa un pied de chaque côté de moi et entama un nouveau mouvement tout aussi délicieux. Elle montait et descendait, remuait du bassin tout en gémissant. Doucement, en prenant le temps de faire monter son plaisir, se caressant les seins. Je la laissais me faire l’amour en regardant son corps sensuel. Quand elle accéléra le mouvement, ces gémissements se firent plus fréquents et plus profonds. Elle s’arrêta avant l’orgasme que je croyais qu’elle allait atteindre. Elle se retira, m’embrassa et se mit sur le dos.
Alors je me redressais et m’avançais vers elle. Elle attrapa ma queue dure et tendue d’envie pour elle et se la mit en elle sans que j’aie besoin d’intervenir. Je commençais à m’activer en posant une main sur sa poitrine et l’autre sur sa hanche. Ses gémissements m’encourageaient. Alors que j’accélérais encore, la prenant fermement par les hanches Gaëlle écarta grand les cuisses. Je la fis basculer et elle s’est retrouvée avec les genoux à côté des oreilles, offerte à mes coups de boutoir. « Vas-y Julien ! Vas-y ! » J’ai joui dans l’instant, hurlant le prénom de mon amour avant de m’effondrer sur elle.
Après cet intense moment de plaisir, je savourais l’instant, allongé sur le dos, Gaëlle dans les bras en train de me caresser le torse du bout des doigts. « Tu m’as manqué, mon cœur ! » J’ai ressenti un frisson agréable aux mots de Gaëlle. Je l’ai embrassée dans les cheveux avant de lui dire qu’elle m’avait manqué aussi.
— Tu as l’air d’être bien tombée... Sabrina à l’air sympa.— Oui, c’est vrai ! Elle est juste un peu étrange avec ses soirées spéciales.— C’est quoi ces soirées ?— Elle m’a expliqué une fois. C’est une soirée où il y a maxi trois filles et plein de garçons. Elle s’offre, elle se fait recouvrir de... tu vois quoi !— Oui, j’imagine. Tu n’y vas pas si elle t’invite, hein ?— Non mon cœur... ça ne me tente pas du tout. Elle m’a montré des photos... c’est dégueulasse !— Elle est si désespérée que ça pour...— Elle n’est pas désespérée... c’est juste qu’elle aime ça ! Et toi ? Tu voulais me dire un truc tout à l’air...
J’ai tressailli. Je n’étais plus très sûr d’avoir envie de lui avouer mon écart avec sa mère. « Ce n’est pas grand-chose... toi aussi tu me manquais et te voir à moitié nue... j’ai eu envie de te dire à quel point tu es belle et à quel point je t’aime. » Gaëlle m’embrassa langoureusement ! « T’es un ange, toi ! » Un ange ! Si elle savait ce que j’avais fait avec sa mère et l’envie que j’avais eue de me taper sa sœur...
Au retour des vacances, j’étais décidé à ne pas céder aux avances d’Emile. Mais à peine deux semaines plus tard, lors du cours d’Heidi, Émilie m’a presque fait ouvertement une avance. « Après le soutien, Heidi va chez une amie pour un anniversaire. On pourrait en profiter pour voir tes progrès ! » J’ai mis les points sur les i. « Oh ne vous inquiétez pas, Émilie. Gaëlle est une excellente enseignante ! » Elle a m’a lancé un regard noir durant tout le cours. Heidi, quant à elle, m’a fait son numéro de charme habituel, ni plus ni moins. Elle n’était pas très concentrée et j’ai abrégé le cours pour la libérer. Elle est partie très rapidement, me laissant seule avec sa mère. D’ailleurs, où était-elle ? Cela faisait plusieurs minutes qu’elle n’était plus dans le salon. Quand Heidi quitta la maison dans un joyeux « J’y vais maman ! » J’ai entendu la voix d’Émilie venir de sa chambre. A peine la porte d’entrée avait-elle claqué qu’Émilie sortit de sa chambre en petite tenue.
En un instant, elle venait de faire voler en éclat toutes mes certitudes.
J’étais tétanisé. J’avais face à moi une Gaëlle plus plantureuse et plus âgée. Elle s’avança vers moi de manière très féline. Si Gaëlle était très jolie en string, je trouvais Émilie magnifique avec le même appareil. Je n’attendais qu’une chose qu’elle se retourne pour que je puisse voir ses fesses rebondies, séparées par la ficelle. Le soutien-gorge n’était pas en reste. Plutôt transparent, je pouvais voir les tétons de sa généreuse poitrine pointer admirablement. « Tu penses toujours que ma fille se débrouille mieux que moi ? » J’ai répondu d’un « oui » fébrile. Mêle-moi je n’y croyais pas. Et quand Émilie s’est mise à se frotter contre moi, j’ai tenté de résister. Mais Émilie m’interrompit d’une voix chaude. « Tu bandes, Julien ! Je peux le sentir et... c’est très dur ! » Alors j’ai pris Émilie et je l’ai embrassée à pleine bouche, mes deux mains sur ses fesses. Elle s’est laissé allonger sur la table du salon et, écartant grand les cuisses, elle m’attira sur elle.
Nous nous embrassions fougueusement et mes mains tentaient nerveusement de lui retirer son soutien-gorge.
Dans le même temps, je bougeais le bassin pour frotter mon érection sur son string.Puis, alors que j’avais enfin réussi à libérer sa poitrine, Émilie dégrafa mon pantalon. Celui-ci tomba à mes chevilles quand je me suis relevé pour agripper Émilie par les hanches et plonger ma tête entre ses cuisses. Je ne m’étais pas délecté de son nectar durant notre soirée et je comptais bien me rattraper. Émilie semblait d’accord. Quand j’ai écarté son string, elle plaqua ma tête contre sa chatte parfaitement épilée et déjà bien humide. J’ai léché Émilie comme je le faisais à Gaëlle et elle semblait apprécier. « Oui, fais-moi jouir avec ta bouche ! » Je me suis appliqué à obéir à cet ordre grâce à une série de caresses, avec ma langue, avec mes doigts, avec les deux en même temps. Émilie jouit bruyamment. Sur le moment, j’étais fier. Avec le recul, je sais qu’elle en a rajouté. Mais je ne comptais pas m’arrêter là et Émilie non plus.
Je me suis relevé et j’ai regardé Émilie dans les yeux. « A ton tour ! » Elle est descendue de la table, s’est mise à genoux avant de baisser mon boxer et me prendre dans sa bouche.
J’en ai soupiré de bonheur. Émilie suce vraiment beaucoup mieux que sa fille aînée.
Et puis j’ai vu une photo de Gaëlle, posé sur un meuble. Mes remords me sont revenus comme un coup de couteau en plein cœur alors qu’Émilie s’était relevée puis assise sur la table, les cuisses écartées et le string à moitié défait.
— Aller Julien... viens me faire ce que tu rêves de faire à ma fille !— Non Émilie... il ne faut pas !— C’est un peu tard pour faire demi-tour, mon grand.— Non, je m’arrête là... c’était une erreur.— Alors laisse-moi te faire un truc qui te fera revenir sur ta décision.
Émilie s’est remise à genoux et, avant que je ne réagisse (en avais-je envie ?) et elle attrapa ma queue pour la glisser entre ses seins. J’ai tenté de protester, sans trop de conviction je dois l’avouer. « Non, Émilie arrête s’il te plaît... » Mais devant la douceur de l’opulente poitrine qui m’étreignait, je n’ai pu que succomber. « ... Oh putain que c’est bon ! » Le seul moyen que j’avais de m’échapper était de me laisser submerger par le plaisir. Ce fut d’autant plus facile qu’Émilie entreprit de me sucer en même temps qu’elle me branlait avec ces seins. Je n’ai pas tardé à projeter l’expression de mon plaisir sur les seins et la figure d’Émilie. Ce fut un véritable régal. Et la voir ainsi recouverte m’a laissé un souvenir inoubliable.
J’étais encore à bout de souffle qu’Émilie se releva et recommença à se frotter à moi. Je ne tardais pas à durcir à nouveau. Elle me regardait dans les yeux et je sentais ses lèvres intimes presque aspirer mon érection. Émilie faisait ce qu’elle voulait de moi et j’avançais au même rythme qu’elle reculait vers la table. Puis elle enroula une jambe autour de la mienne, m’ouvrant le passage pour que je la pénètre. Et doucement, j’entrais en elle dans un soupir de bien-être. Doucement, tout doucement, alors que je faisais à nouveau face à la photo de Gaëlle, je prenais sa mère. Entre gêne et plaisir, mon excitation augmentait sans que je n’y puise rien. Et plus je luttais contre mon envie irraisonnée de prendre sauvagement Émilie sur la table du salon et plus cette envie grandissait. J’ai même eu l’envie d’attraper Émilie, de la retourner et de l’appuyer sur la table pour prendre son cul sur lequel je fantasmais tant.
J’ai été sauvé par un appel de Gaëlle. Trouvant la force de répondre, j’ai laissé Émilie. Je me rhabillais en écoutant mon amour. J’avais totalement oublié qu’elle rentrait le jour même et comme sa mère ne répondait pas, elle m’avait appelé en espérant que j’étais encore en train de donner un cours à Heidi. J’ai passé mon téléphone à Émilie. Au bout de 30 secondes celle-ci a dit « Bouge pas, on vient te chercher ! » Dès qu’elle eut raccroché, elle me regarda droit dans les yeux. « Tu t’en sors bien ! »
Émilie est allée se préparer rapidement. Elle m’avait demandé de l’aider, et je l’avais suivi jusqu’à la salle d’eau. Je ne me suis pas méfié quand je l’ai vu prendre son téléphone et prendre une photo de son reflet dans le miroir en disant « Pour la postérité ! » Puis elle s’essuya la poitrine et le visage. Je lui ai rattaché son soutien-gorge et rattaché les boutons de son top au niveau de sa nuque. Elle m’a demandé une dernière fois de l’aide pour passer son jean qui bloquait un peu au niveau des fesses et nous sommes partis chercher Gaëlle. En allant à la voiture, j’ai pu voir une fois de plus l’élégance d’Émilie, même en jeans et petit talon. Sur le chemin de la gare, Émilie m’a demandé si j’aimais Gaëlle.
— Bien sûr ! Énormément même.— Donc tu ne voudrais la faire souffrir !— Bien sûr que non.— Ni la perdre ?— Encore moins.— Donc tu n’as plus envie de mon cul ?— Euh...— Ça m’étonne que Gaëlle t’ait laissé l’enculer ! Heidi encore... je ne pense pas que ça lui posera un problème, mais Gaëlle...— C’est que...— Tant pis pour moi... Il va falloir que je me trouve un autre jeunot !
Je n’ai pas relevé. Certes j’étais peiné de ne pas pouvoir investir le joli cul bien rebondi d’Émilie, mais au moins elle me ficherait la paix. « Tu sais Julien, on te voit bien sur la photo que j’ai prise tout à l’heure ! Ça serait vraiment dommage que Gaëlle tombe dessus ! » J’ai blêmi puis j’ai tenté de bredouiller un truc.
— Émilie... et ton couple ! Patrick ne va...— Mouais ! Patrick se tape son assistante depuis au moins six mois.— Ah... je ne savais pas.— En effet. Il y a un autre truc que tu dois savoir... c’est que je vais poser une journée de congé prochainement.— Et ?— Et que si tu ne me rejoins pas dans mon lit ce jour-là, Gaëlle recevra la photo sur son téléphone.— Mais...— Et vu qu’elle sera à son voyage en Angleterre, avec des étudiants bourrés d’hormones...— Non Émilie...— Oh si ! Alors profite bien d’elle. Elle part dimanche je te rappelle... et peut-être que quand elle reviendra elle ne voudra plus te voir. Elle t’aura même peut-être déjà remplacé vu le nombre de mecs qui lui tourne autour.
Ça je l’avais vu quand je l’avais rejoint aux dernières vacances, mais je lui faisais confiance. Émilie m’avait piégé et le seul moyen que j’avais d’y échapper c’était de tout dire à Gaëlle... ou de succomber à Émilie. Je pensais encore à ce dilemme quand nous sommes arrivés à la gare et que Gaëlle nous attendait avec sa valise et sur tout le chemin du retour je pensais à la manière de lui en parler. Incriminer directement Émilie était trop dangereux et lui dire que j’avais succombé par deux fois à ces charmes n’aurait pas été mieux. Et vu la confiance de Gaëlle en sa mère ainsi que le comportement de cette dernière en présence de sa fille, il suffisait à Émilie de dire que c’était moi qui l’avais séduite pour que tout se retourne contre moi. Dans quelle galère je m’étais mis en répondant aux avances d’Émilie l’été précédent !
En attendant, j’ai bien profité de ma fin d’après-midi avec Gaëlle, dans sa chambre. Si la présence d’Émilie au rez-de-chaussée me perturbait un peu, ça n’avait pas l’air de déranger Gaëlle. J’ai pu me cacher derrière cela quand Gaëlle me fit part de son insatisfaction.
— C’est ma mère qui te perturbe comme ça ?— Comment ça ?— Je t’embrasse, je te caresse et... bah j’ai pas grand-chose en retour !— Oui, excuse-moi mon cœur... elle me met un peu mal à l’aise !— Je vois ça... je t’ai déjà connu plus dur ! Arrête de penser à elle, je pars bientôt et j’aimerais en profiter un peu avant... Trois semaines sans toi !— On a encore trois jours !— Pff ! T’as encore plein de choses à apprendre, toi !
Gaëlle faisait un peu la tête, mais comment lui dire que ses baisers étaient un peu fades à côté de l’image de sa mère les seins et une partie du visage recouvert de mon sperme. Reste que le temps que j’aille aux toilettes, Gaëlle avait retiré son jeans. Bien qu’elle avait toujours son T-shirt moulant, je savais qu’elle n’avait plus de soutien-gorge... ça se voyait. Elle voulait vraiment me faire fondre et je n’avais qu’une envie, qu’elle y parvienne.
A peine cinq minutes plus tard, j’avais les mains sous le T-shirt de Gaëlle qui m’avait déjà retiré mon jeans. Elle était sur moi et ondulait du bassin pour frotter sa culotte de dentelle humide contre mon érection, cette fois-ci bien présente. Même si j’avais toujours l’image d’Émilie en tête – qui n’était d’ailleurs pas totalement étranger à mon érection – Gaëlle m’excitait fortement. Et rapidement, je retirais le t-shirt de mon amour avant qu’elle fasse la même chose avec le mien. La douceur des seins de Gaëlle sur mon torse renforça mon érection et elle le sentit. « C’est mieux quand tu ne penses plus à ma mère ! » Si elle savait ! « Cela mérite une récompense. » L’instant d’après, Gaëlle se mit tête-bêche et libéra mon érection pour la prendre dans sa bouche. « Oh Gaëlle ! » Tout en continuant, elle baissa un peu son bassin pour me signifier son impatience. Je lui baissais donc sa culotte à mi-cuisse pour me délecter de son nectar.
Bien que je ne me débrouillais pas forcément très bien, Gaëlle adorait les 69, surtout quand elle était au-dessus.
D’ailleurs, elle fondit rapidement de plaisir, dégoulinant délicieusement dans un soupir que j’ai senti raisonner le long de mon érection. J’en ai presque regretté qu’elle roule sur le côté pour reprendre son souffle.
Cependant, cela me permit de glisser ma queue dure entre ses seins. Certes, elle avait une plus petite poitrine que sa mère, mais c’était tout de même délicieux. Je me serais bien laissé aller de la même façon qu’avec Émilie, mais visiblement Gaëlle avait envie d’une autre fin. « Fais doucement, ils sont sensibles ! » Elle me fit m’arrêter et se débarrassa de sa culotte. J’aurais tant voulu qu’elle me saute dessus ainsi et qu’elle me laisse la prendre sans préservatif. J’en avais fait l’agréable expérience avec Émilie l’été précédent et je rêvais de renouveler l’expérience avec Gaëlle. Ce ne fut pas le cas, mais je n’ai pas déploré la situation. En effet, Gaëlle attrapa un préservatif dans sa table de nuit, le sortit et le présenta sur mon érection bien dure. Elle me le déroula avec la bouche. « Oui mon cœur ! C’est bon ! » Ce n’est qu’après qu’elle me chevaucha. Elle n’eut aucun mal à s’empaler tant elle était mouillée.
Je n’avais qu’à lui caresser les fesses, les hanches, les seins – que j’embrassais aussi – Gaëlle s’occupait du reste.
Elle était si excitée qu’elle eut un orgasme rapidement. Pour rester discrète, elle m’embrassa et son plaisir résonna dans ma bouche alors que j’éjaculais ce que je n’avais pas projeté sur la poitrine de sa mère.
Gaëlle m’embrassait en reprenant son souffle. J’avoue que je faisais de même. J’avais bien fait de répondre aux avances de Gaëlle, le lendemain, elle était indisposée. Cela ne nous a pas empêchés de dormir ensemble, même si elle n’était pas au mieux. Le dimanche matin, j’ai tenté ma chance en lui proposant adroitement une sodomie. Elle refusa, mais fit une fellation des plus délicieuses. J’ai cru qu’elle allait me laisser lui remplir la bouche, au dernier moment, elle se retira. Elle en eut un peu sur nez et un peu sur la pointe de son sein gauche. Rien à voir avec le barbouillage que j’avais fait à Émilie. De toute façon, Gaëlle n’aimait pas ça. L’heure de son départ approchait et, juste avant de quitter la maison, elle glissa une de ses plus jolies culottes dans mon sac. « Pour les trois prochaines semaines ! »
Bien entendu, je me suis fait beaucoup de bien avec cette culotte, l’enroulant autour de mon érection, me masturbant avec en prenant soin de ne pas la souiller. Pas au début du moins. En fait, je voulais la garder dans mon sac pour qu’une part de Gaëlle reste avec moi. D’ailleurs, le jour même de son départ, Heidi m’appela pour un problème de mathématiques et je me suis rendu chez elle avec la culotte de sa grande sœur dans la poche de mon manteau.
C’était dimanche et au moins il y aurait Patrick, donc Émilie n’allait pas m’allumer durant tout le cours. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’Heidi soit aussi craquante. Jeans plus que moulant, tous comme son top. Et son décolleté était vraiment plongeant. Il me semblait que sa poitrine, déjà plus grosse que celle de Gaëlle, avait encore pris du volume. Evidemment, le fait d’être dans sa chambre plutôt que dans le salon n’a rien arrangé. Heidi n’a pas arrêté d’essayer de me séduire et à chaque fois je trouvais la parade. Et puis j’en ai eu marre de la repousser sans arrêt. Il fallait que j’écarte de son esprit tout désir de me séduire, au moins temporairement.
— Arrête ton numéro de charme, Heidi, s’il te plaît !— Mais, qu’est-ce que...— Non, ne fait pas l’innocente ! Rappelle-moi ton âge ?— Euh... 17 ans !— D’accord, donc tant que tu ne seras pas majeur, c’est peine perdue face à quelqu’un comme moi.— J’ai 18 ans dans trois mois.— Que ce soit dans trois mois, dans six mois ou même demain... je suis avec ta sœur de toute façon !
Heidi fit la tête le restant du cours, mais au mois j’avais la paix. Je ne cache pas que j’étais impatient qu’elle atteigne sa majorité et qu’elle recommence ces numéros de charme... j’aurais moins de scrupule à faire quelques œillades dans son décolleté ou à regarder son string dépasser de son pantalon. Mais si j’ai eu la paix jusqu’à la fin de ce cours, j’ai eu droit à d’autres numéros de charme durant les suivants. A croire qu’Émilie la poussait à me provoquer. Heureusement, j’avais la culotte de Gaëlle pour m’aider à tenir. Ses messages étaient rares et assez dénués d’affection. Elle devait les faire en vitesse car elle me disait qu’elle n’avait pas beaucoup de temps à elle.
1 semaine, deux semaines... au début de la troisième semaine, j’avais les hormones en ébullition et la culotte de ma bien-aimée, que j’avais fini par souiller de mon plaisir, ne me suffisait plus. De plus, presque tous les jours, Émilie me mettait la pression avec son jour de congé dont je n’avais toujours pas la date. Un petit message du genre « Prépare-toi, tu seras bientôt à moi ! » ou encore « Je prépare mon cul rien que pour toi. » Le pire était les fois où elle m’envoyait des photos d’elle dans des tenues et des postures plutôt sexy quand ce n’était pas en petite tenue nettement plus aguichante que celles de petite fille sage de Gaëlle ! A se demander pourquoi Patrick allait voir ailleurs alors qu’il avait une véritable bombe prête à exploser à la maison.
Plus le temps passait, plus je me disais qu’Émilie ne cherchait qu’à m’allumer. Il ne restait que quelques jours avant le retour de Gaëlle et, même si j’étais clairement en manque, j’imaginais mal la situation dévier jusqu’à m’amener dans le lit d’Émilie. Elle avait laissé passer son heure. Mais avec Émilie, rien n’est jamais terminé tant qu’elle ne l’a pas décidé. Le dernier cours d’Heidi avant le retour de sa grande sœur fut une véritable épreuve pour mes nerfs. Je l’ai senti dès que je suis arrivé. Heidi avec une petite robe aussi courte que sexy, mais pas aussi courte ni aussi sexy que celle de sa mère. Et tout était bon pour faire une allusion sexuelle à demi-mot. Les phrases à double sens d’Émilie étaient redoutables d’efficacité pour suggérer à mon imagination des situations salaces. J’ai été pris de coups de chaud puis d’érections juste parce qu’elle m’a mis en tête une grande fête pour les 18 ans de sa cadette où je me retrouvais être le gâteau d’anniversaire.
Gaëlle et Émilie étant des suppléments chantilly. Image étrange mais terriblement excitante que ce plan à quatre.J’étais heureux d’en terminer sans plus de soucis qu’une érection difficile à cacher et je préparais mes affaires pour m’échapper le plus vite possible quand Émilie m’embrassa sur la joue. « Demain je suis en congé. Tu sais ce que cela veut dire ! » J’ai tenté d’échapper au piège.
— Je ne peux pas... j’ai cours demain. Je finis à...— En fait... demain tu as un examen médical ! Voici l’ordonnance.— Mais...— Pas de mais... Tu es majeur, tu peux toi-même signer tes mots d’absence.
Émilie avait réussi à obtenir un vrai-faux certificat qui me servirait d’alibi. Une fois que je l’eus lu, elle me dit comment les choses allaient se passer. « Demain tu sors de tes cours à 10h, je viendrais te chercher. On ira manger ensemble au restaurant et après on reviendra là. Tu seras libre de me faire l’amour autant de fois que tu veux et dans toutes les positions que tu veux. Tu te souviens de la promesse que je t’ai faite l’été dernier ? Et bien demain je la tiendrai... si mon gros cul t’intéresse toujours. » J’ai tenté une dernière fois de jouer l’indifférence en sous-entendant que Gaëlle avait répondu à mon attente avant de partir. Je ne sais pas comment, mais elle savait. « C’est totalement faux ! Cette petite conne est vierge du cul et le restera encore longtemps. » J’étais outré par le peu de considération d’Émilie pour sa fille, mais elle s’en fichait.
Néanmoins, j’ai prétexté ce manque de considération pour décliner le rendez-vous du lendemain, un peu à contrecœur je dois l’avouer.
Je suis parti dans la foulée, poussant un soupir de soulagement une fois dans la rue. J’étais dans le bus qui me ramenait chez moi quand j’ai reçu un message. « A demain 😉 ! » Accompagné de la photo qu’Émilie avait prise avant de se nettoyer le jour du retour impromptu de Gaëlle. On me voyait bien, et on reconnaissait bien Émilie malgré sa figure partiellement couverte de mon plaisir. Je comprenais le sous-entendu. Quelle salope !
Le soir, j’ai réussi à avoir Gaëlle un petit quart d’heure. Ça m’a fait du bien de l’entendre. Même si elle se plaisait bien, elle était impatiente de rentrer pour me retrouver, car, tout comme moi, elle était dans un état de manque affectif. De ce fait, je lui demandais si les trois-quatre gars de sa promo qui lui tournaient autour n’étaient pas trop pénibles. « Oh non, t’inquiète pas pour eux... je les garde à distance. De toute façon je suis très souvent avec Beth et son frère ! » J’étais rassuré et je lui ai demandé un peu de détail sur la fin de son séjour outre-Manche. Rien de bien passionnant, elle avait juste une fête le soir-même et le samedi suivant. Après il faudra se préparer pour le retour. Je serais bien resté encore un peu avec elle, mais sa correspondante est venue la chercher pour manger. « Ah, quand je rentre, je me fais un steak frites avec toi ! » Bethany a rigolé et nous avons coupé. J’étais apaisé après ça.
Et j’ai pris le petit souvenir que Gaëlle m’avait laissé pour me faire un petit plaisir.
Mais mon apaisement avait laissé place à l’anxiété dès mon réveil. Je le savais, Émilie n’hésiterait pas à envoyer la photo à sa fille, vu le peu de respect qu’elle avait pour elle. Et juste avant son retour, elle avait cette fête. La tristesse et l’alcool n’ont jamais fait bon ménage et je craignais qu’elle ne se jette dans les bras d’un de ces prétendants sans même me laisser une chance de m’expliquer. Je me sentais pris au piège. En fait, je l’étais depuis que j’avais cédé au chantage d’Émilie l’été précédent. Maintenant, j’étais pris dans l’engrenage et, par conséquent, je me suis rendu sur le parking du Lycée à 10h. Émilie m’attendait, divinement habillée. Une jolie robe fendue qui mettait ses formes généreuses en valeur tout en affinant son ventre. Ses talons lui donnaient une posture qui faisait joliment ressortir l’objet du délit du jour, ses fesses. Elle devait sortir du salon de coiffure et, associé à son maquillage, elle semblait avoir perdu 10 ans.
C’était certain, elle voulait me séduire.
— Tu as pris la bonne décision.— Avais-je choix ?— Non, mais ça aurait été dommage que je te refuse mon cul... en plus de perdre Gaëlle.— Émilie, t’es qu’une...— Oui je sais... une vraie salope.— J’aurais plutôt dit une garce !— Peu importe, change-toi on a un peu de route.— Me changer ?— Tu crois que je me suis habillée comme ça pour aller au Mac Do ?
Émilie m’avait donné un costume et je le passais à l’arrière de la voiture. Puis je m’installais à l’avant et nous sommes partis vers le restaurant. Il y avait une bonne heure de route, heure durant laquelle Émilie jouait avec la fente de sa robe pour me donner des suées. Elle était très joueuse et son décolleté n’était pas en reste. « Oh la la ! Mais... tu bandes déjà pour moi ! Qu’est-ce que ça sera quand tu verras ce que j’ai sous ma robe ? » Au vu de la manière dont sa robe la moulait, elle devait avoir un string et je lui ai fait part de ma certitude. Émilie a souri. De temps à autre, elle posait sa main sur le haut de ma cuisse, effleurant mon érection du bout des ongles. C’était très agréable de se laisser séduire, mais dans le même temps, je culpabilisais beaucoup vis-à-vis de Gaëlle.
Puis, alors que nous avions quitté la ville, Émilie se gara sur le côté de la route. « Ça me fait de la peine de te voir comme ça ! » Sans même me laisser réagir, elle se pencha sur moi et défit mon pantalon. J’ai passé la main dans son dos pour la caresser un peu car, bien que plein de culpabilité, je me délectais d’avance de ce qu’Émilie allait me faire. Je ne voyais pas, mais je sentais ses lèvres glisser le long de ma queue dresser d’envie pour elle. Et elle faisait monter cette envie en retardant le moment de me prendre dans sa bouche. Dans le même temps, elle me suppliait (façon de parler) de passer ma main dans son décolleté et de lui caresser les seins. Je ne me fis pas prier pour accéder à sa demande. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge et j’avais donc un accès direct à sa généreuse poitrine. Mais Émilie continuait à se refuser, se contentant de simples coups de langue bien placés et plutôt agréables.
Elle voulait certainement me faire céder et que je l’implore, chose que je mourrais d’envie de faire.
A moins qu’elle ne veuille seulement me faire jouir de la sorte, chose hautement probable vu son expertise et son niveau de perversité. Émilie s’amusait à provoquer des montées de plaisir insoutenable avant de laisser retomber la pression, me tenant ainsi à sa merci. « Oh Émilie... c’est trop bon ! » J’espérais qu’en manifestant ouvertement ma satisfaction, elle me prenne d’elle-même dans sa bouche, peine perdue.
— Tu as envie de plus ?— Oui... oui j’en ai envie.— Dis-le !— J’en ai envie.— Dis-le clairement. Dis ce que tu veux que je te fasse.
Alors j’ai cédé aux délices de la mère de ma bien-aimée Gaëlle. « J’en ai envie, Émilie ! J’ai envie que tu me suces ! » Émilie s’est exécutée dans l’instant et j’en ai râlé de bonheur. Elle se débrouillait vraiment beaucoup mieux que Gaëlle et elle était également beaucoup plus ouverte. « Oh Émilie... c’est tellement bon que j’ai envie de jouir dans ta bouche ! » Elle s’arrêta et se rapprochant un peu, elle sortit ses seins de son décolleté et y glissa ma queue dure. « Non, pas encore... on est un peu en avance et je n’en ai pas fini avec toi. » Que ce soit avec ses seins ou avec sa bouche, voir avec les deux en même temps, Émilie me régalait. Cependant, ces allusions à Gaëlle me torturaient l’esprit en même temps que mon plaisir physique augmentait.
— Je me débrouille mieux que Gaëlle, hein ?— Oh oui... c’est certain !— C’est mieux qu’avec elle, hein ?— Oui, Émilie, c’est bien mieux.— Dis-le-moi... Dis-moi ce que tu penses. Dis-moi ce que tu as envie de me faire.
J’ai tenté de ne pas répondre mais Émilie était vraiment très insistante. « Oui Émilie... C’est mieux avec toi qu’avec Gaëlle... et j’ai envie de te baiser... comme la salope que tu es ! » J’espérais que les insultes et mon langage châtié l’arrêteraient, mais j’étais naïf. Ça avait plus l’air de l’exciter. Émilie me reprit dans sa bouche pour me sucer goulûment avant de relever la tête et de m’embrasser. « Tu veux me baiser, donc ! Moi j’ai envie que tu me baises sur le capot de la voiture ! » A ces mots, elle est sortie du véhicule, les seins toujours à l’air et elle est allée s’appuyer à l’avant. J’ai hésité à aller la rejoindre, mais je l’ai fait. Je pensais qu’elle tiendrait sa promesse de l’été et qu’après elle me laisserait tranquille. Encore une preuve de ma naïveté.
Je suis allé retrouver Émilie et je l’ai embrassée à pleine bouche. « Tu vas me baiser comme tu l’as fait dans la piscine et comme tu étais prêt à le faire l’autre jour dans le salon... et quand tu m’auras régalé, tu pourras jouir dans ma bouche... puisque tu ne peux pas le faire avec ma fille ! » Comment savait-elle ce que je faisais ou pas avec Gaëlle ? Je ne l’ai jamais su. Et à vrai dire, à ce moment-là je m’en fichais complètement. Tout ce qui m’intéressait, c’était son gros cul. Alors, après avoir ôté mon pantalon, j’ai passé les mains dans la fente de la robe d’Émilie pour la lui remonter jusqu’à mi-cuisse. J’ai glissé mes mains à ses hanches pour lui retirer son string. Elle a pouffé de rire en voyant ma tête au moment où j’ai réalisé qu’elle était entièrement nue sous sa robe longue. « Eh oui !
Tu m’as bien amusé tout à l’heure avec ton histoire de string ! » Mais, aussi excité que j’étais vexé, j’ai fait basculer Émilie sur le capot de sa voiture et j’ai pris ses seins à pleine bouche.
Mes mains ont glissé jusqu’à ses fesses et alors qu’Émilie écartait ses cuisses pour m’enlacer, sa robe finit de remonter jusqu’à sa taille. J’ai frotté ma queue dure contre sa chatte lisse et humide qui s’est ouverte d’elle-même pour m’accueillir. En peu de temps, j’étais totalement en elle et je donnais de violents coups de hanches sous les soupirs bruyants et les encouragements de la mère de Gaëlle. Je pouvais sentir son excitation grandir au fur et à mesure du temps. Ses seins se faisaient plus durs et elle était de plus en plus mouillée. A ce moment, je pensais être le meilleur amant du monde alors qu’en fait, Émilie était simplement excitée par le fait de possédé le petit ami de sa fille.
J’y allais à grands coups réguliers et rapprochés, allant au plus profond d’Émilie. Elle me serrait contre elle et m’embrassait à pleine bouche. Oui, c’était vraiment bon mais moi je voulais autre chose. Autre chose qu’elle m’avait promise et que je rêvais de faire à Gaëlle. Cependant, le cul d’Émilie suffirait largement à mon bonheur. Alors j’ai arrêté le mouvement et j’ai fait glisser ma queue entre les fesses charnues de l’image de Gaëlle en plus âgée. « Qu’est-ce que tu fais ? » J’ai forcé un peu en lui annonçant ma décision de la prendre, qu’elle le veuille ou non. Elle a serré les fesses tellement fortes que c’en était douloureusement bon. « Si tu veux faire un truc que tu ne fais pas avec ma fille d’accord, mais pas ça... pas encore ! » Émilie se dégagea et s’agenouilla devant moi pour me reprendre à nouveau dans sa bouche experte.
Elle me fit repasser entre ses seins. « Aller Julien... dis-moi que tu vas jouir ! » C’était bon et j’avais tellement envie de me laisser que je n’ai même pas réfléchi.
— Oui, je vais te jouir dans la bouche, Émilie !
Mon amante me reprit dans sa bouche et je ne tardais pas à y exploser de plaisir. « Oh... c’est bon, c’est bon, c’est bon... oh Ga... Gaëlle ! » Au moment où je prononçais le prénom de la fille, je me répandais dans la bouche de la mère en plusieurs saccades ! Qu’est-ce que j’étais bien, assouvie et en paix avec moi-même.

Émilie continua de me sucer encore un peu, récoltant jusqu’à la dernière goutte de mon jus avant de jouer avec en passant sa langue sur ses lèvres. Elle me regarda droit dans les yeux et avala le tout. « C’est pas ma fille qui te fera ça, n’est-ce pas ? » J’ai souri d’approbation et j’ai remis mon pantalon alors qu’Émilie rajusta sa robe. A peine 10 minutes plus tard, nous étions à la table d’un grand restaurant.
Nous avons bien mangé tout en discutant assez sérieusement, même si Émilie ne pouvait pas s’empêcher de me caresser la jambe avec son pied ou de se pencher pour me donner une vue imprenable sur sa jolie et pulpeuse poitrine. Au niveau du repas, nous nous sommes régalés. Émilie m’a fait mon éducation gastronomique et œnologique. Comment me tenir à table, comment apprécier un grand cru...
Nous étions dans le lieu idéal pour cela. J’ai bien apprécié ce moment, surtout quand Émilie m’a parlé un peu d’elle. Elle avait grandi dans ce milieu-là, la grande restauration. Son grand-père était chef étoilé et il avait son propre restaurant. Son père n’a jamais été à la hauteur et il a préféré ne pas s’engager dans cette voie. Sage décision d’après elle. Et c’est dans ce restaurant, créé par son grand-père et dont elle était finalement devenue propriétaire, qu’elle avait rencontré le père de Gaëlle, il y était serveur. Elle avait 19 ans et lui 18. Il l’avait séduite comme on séduit une jeune fille naïve.
Ils avaient flirté puis leur relation se fit plus intime. Elle s’était offerte à lui avant qu’il ne la quitte. Ce n’est qu’après qu’elle a su qu’elle était enceinte. C’était le jour où elle a rencontré Patrick. Ni lui, ni Gaëlle ne savent la véritable identité du père de Gaëlle. Ce père mystérieux s’est marié à sa meilleure amie. Émilie ayant un peu bu, j’ai essayé de la faire parler un peu plus. J’avais un moyen de pression pour qu’elle arrête son chantage... du moins qu’elle l’arrête une fois que j’aurais eu ce que je voulais.
Et durant le dessert, Émilie m’a raconté le contexte de sa rencontre avec Patrick. Elle venait pour annoncer la nouvelle de sa grossesse au futur papa, malgré la rupture. Elle fut troublée qu’il ne la reconnaisse pas, et pour cause, elle ignorait que le mystérieux père avait un jumeau dénommé Patrick. Elle ne lui avait encore rien dit sur sa grossesse, et ils se sont plu dans l’instant. Le jour-même, il sortait ensemble, le soir-même il couchait ensemble... et quelques jours plus tard elle lui a annoncé qu’elle était enceinte de lui. Alice, la meilleure amie d’Émilie, sortait déjà avec le père de Gaëlle quand il l’avait séduite. Ni l’une ni l’autre ne le savait. Émilie l’a appris après, mais elle a gardé le secret et un secret n’allant jamais seul, Alice non plus ne connaît pas la vérité. En fait, je suis le seul à le savoir. J’étais troublé et même en sachant la vérité, je ne serais pas capable de l’utiliser pour me sortir de l’engrenage dans lequel j’étais.
J’étais encore troublé par cette révélation quand nous sommes rentrés chez Émilie.
Mais mon trouble a vite changé d’origine. En effet, Émilie m’a embrassé à peine arriver. Elle se frottait à moi de tout son corps et me caressait le dos, la nuque, le dos à nouveau puis les fesses avant de poser sa main sur mon érection naissante. « Pas encore prêt pour le grand moment à ce que je vois ! » Je lui ai dit que ça allait venir. En attendant, moi aussi je caressais Émilie sur tout son corps. J’étais tout de même fébrile, même si l’alcool me mettait dans un état euphorique, Gaëlle restait dans un coin de ma tête, surtout avec les photos d’elle présentent dans le salon. « On peut monter s’il te plaît, je serais plus à l’aise ! » Émilie accepta, mais j’étais loin de m’imaginer le coup tordu qui m’attendait. Elle prit par la main et je la suivais à l’étage, regardant son joli popotin remuer exagérément dans l’escalier. « Hey... mais tu as mis une culotte ! » Elle rit de bon cœur en m’expliquant qu’elle l’avait choisie spécialement pour moi.
Mais alors que j’allais vers sa chambre, elle me tira un grand coup par le bras.
— Non, c’est par-là que ça se passe !
Par-là, c’était... la chambre de Gaëlle !

A peine, avions-nous passé la porte, qu’Émilie me plaqua sur le mur pour m’embrasser fougueusement en se frottant à moi. Puis elle me tourna le dos et se pencha en avant pour frotter mon érection avec son joli popotin, enserré d’une culotte visiblement trop petite de deux, voire trois tailles. Déshabille-moi, Julien ! » J’ai passé mes mains sur ses épaules et j’ai fait glisser le haut de sa robe. En embrassant Émilie sur le haut du dos, j’ai agrippé sa généreuse poitrine et j’ai commencé à jouer avec. « Ils sont mieux que ceux de Gaëlle, hein ? » Émilie n’a pas attendu ma réponse, elle a juste tourné la tête pour m’embrasser. Je n’ai pas refusé ce baiser, loin de là, mais en moi je me demandais comment une femme aussi bouillante avait pu donner naissance à une fille aussi prude. Et cette diablesse au visage angélique n’arrêtait de remuer son joli cul sur mon érection de plus en plus dure.
J’avais envie d’elle, de la prendre violemment et de jouir en elle à n’en plus finir. Être dans la chambre de Gaëlle était aussi perturbant qu’excitant et la perspective de prendre le cul d’Émilie sur le lit de sa fille amplifiant autant mon trouble que mon envie.
Alors j’ai glissé mes mains jusqu’à ses hanches et j’ai commencé à faire glisser doucement sa robe. Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant la culotte qu’elle portait. D’ailleurs, Émilie se délecta de cette surprise. « Elle te plaît ma culotte ? » Je n’arrivais pas à croire qu’elle avait réussi à rentrer dans une des culottes de sa fille aînée. Et pas n’importe laquelle. C’était celle de notre première fois, à Gaëlle et à moi ! « Tu la reconnais ? » J’ai fait oui de la tête. « Aujourd’hui tu peux faire ce que tu veux de ma fille... la prendre sans capote, lui éjaculer où tu veux... mais aussi posséder ce cul qu’elle te refuse ! Je serais TA Gaëlle. »
Après m’avoir donné une bouteille d’huile, Émilie fit quelques pas félins vers le lit de Gaëlle simplement vêtue de sa culotte, trop petite. Elle se mit à quatre pattes sur le lit et me regarda. Quand elle commença à faire glisser la culotte de sa fille, ses fesses en sortirent instantanément. Et dès qu’elle l’eut retiré complètement, j’appliquais abondamment l’huile sur ce gros popotin que je massais et pétrissais à volonté. Il était déjà bien luisant, mais je n’hésitais pas à rajouter de l’huile encore et encore. Elle remuait les hanches et ses jolies fesses remuaient un peu comme de la gelée. Cela m’excitait beaucoup. Je lui appliquais également de l’huile sur le dos avant qu’elle ne se redresse. Je me suis alors assis face à elle et j’ai commencé à embrasser doucement son ventre en caressant ses fesses huileuses. Puis mes baisers remontèrent jusqu’à ses seins et je pris à pleine bouche avant de les enduire généreusement, eux aussi.
Mes caresses glissaient et c’était franchement agréable.
Alors j’ai eu envie d’enduire totalement le corps d’Émilie, ce que je fis. Son ventre, ses seins à nouveau, ses cuisses, ses fesses encore une fois et sa chatte. Elle était toute luisante et très désirable.
Alors elle m’allongea et posa un genou de chaque côté de ma tête. Elle entama une petite dance tout en descendant doucement. Rapidement, Émilie fut à portée de mes coups de langue et je ne me privais pas d’effleurer ses lèvres lisses et charnues sous quelques petits soupirs de sa part. Et même quand elle fut proche, Émilie continua sa danse. J’avais juste à tendre ma langue, Émilie bougeait dessus. Cela durant quelques minutes avant qu’elle ne descende encore un peu que je puisse la lécher comme il se doit. Cela n’empêcha pas Émilie de continuer sa danse et ce fut véritable délicieux pour elle comme pour moi.
Après m’être délecté de son délicieux nectar et quand Émilie jugea qu’il était temps, elle se releva et, s’agenouillant à côté de moi. Elle défit mon jean alors que je prenais son sein dans ma bouche. Puis, Émilie commença à me sucer. Comme souvent, je me faisais la remarque qu’elle suçait beaucoup mieux que Gaëlle. Alternant baisers et caresses buccales, variant les rythmes... je prenais beaucoup de plaisir. Je profitais de sa position pour, dans un premier temps caresser les fesses relevées d’Émilie, avant de passer ma main sur sa chatte lisse et déjà humide. Humidité que j’amplifiais rapidement en titillant son clito et en passant le bout de mon index entre ses lèvres.
Mais Émilie aimait dominer. Ainsi elle changea de position et se mit entre mes jambes pour continuer à me sucer. Certes c’était toujours aussi délicieux, mais j’étais frustré de ne plus pouvoir jouer de la langue sur la pointe de ses seins ni de pouvoir taquiner son bouton à plaisir. Rapidement, elle me prit entre ses seins et entreprit un mouvement agréable de montée et descente. J’aimais me perdre entre ses seins, bien plus accueillant et bien plus volumineux que ceux de sa fille aînée. Quand elle alternait de me faire du bien un coup avec sa bouche, un coup avec ses seins, voir les deux en même temps, j’étais véritablement aux anges.
Puis elle se mit à quatre pattes sur le lit de Gaëlle. Je me mis derrière elle et commençai à me frotter à ces fesses. « Non, c’est trop ! Prends-moi comme une chienne, prends-moi comme tu aimerais prendre Gaëlle. ! » Alors je descendis un peu la pointe de ma queue et entrai dans sa chatte chaude et humide. J’y allais de bon cœur sous les encouragements d’Émilie. J’allais profondément et rapidement en elle. Que c’était bon ! Mais Émilie est une impatiente. Elle me repoussa au bout d’un temps que je jugeais trop court et elle me fit mettre sur le dos avant de me chevaucher. J’étais un peu déçu quand j’ai senti qu’elle me faisait encore une fois entrer dans sa chatte bien mouillée, moi qui pensais que l’heure était venue de prendre son cul. Mais elle me fit rentrer encore plus profondément en elle et j’en râlais de plaisir. Émilie aussi d’ailleurs. C’était d’autant meilleur que ses mots faisaient naître en moi des images très plaisantes. « Vas-y... baise-moi...
Baise-moi comme si j’étais Gaëlle ! » Et elle sautillait rapidement appuyant bien quand elle était au plus bas en me collant ses seins dans ma bouche.
— Vas-y continue... appelle-moi encore Gaëlle !
Alors je m’exécutais sans rechigner. « Oui, Gaëlle c’est bon ! » Je prenais vraiment beaucoup de plaisir. Et puis j’ai senti Émilie passer sa main entre ses fesses, frottant sa rosette.
— Tu as envie de mon cul, hein ! Dis-moi que tu en as envie !— Oui j’ai envie de ton cul !— Petit salaud que tu es... Dis-moi que tu veux me le prendre.— Oui Em... Oui Gaëlle, j’ai envie de prendre ton cul !
Alors que je continuais de baiser Émilie, je la sentais se doigter le cul. Je savais que l’instant était proche et cela m’excitait encore plus. En même temps, elle s’appuyait plus fortement sur ma queue dure d’envie pour son gros cul. C’était bon et j’avais envie que ça ne finisse jamais. « J’aime comment tu baises ma chatte comme si c’était ma fille... maintenant, c’est le moment de prendre le cul de Gaëlle ! » Émilie ralentit délicieusement et alors qu’elle me faisait sortir de son corps, je rentrais dans son petit jeu excitant. « Oh Gaëlle ! Il me plaît tellement ton cul... »
Émilie attrapa ma queue dure et la fit glisser entre ses fesses. Je me sentais passer et repasser sur son petit trou que j’allais bientôt investir. Et soudain... « Oh oui, prend mon cul ! » Elle me faisait entrer petit à petit dans un petit soupir de satisfaction commun. Émilie gémit un instant au moment où j’ai senti mon gland entièrement en elle. « Oh putain, c’est bon... Gaëlle ! » Puis elle commença à sautiller dessus en se penchant en avant pour me coller ses seins dans la bouche. « Oui, Julien... baise mon cul ! » Dans le même temps que je me sentais investir son cul, je sentais Émilie se masturber en gémissant. Et alors que je la sentais ralentir sa descente sur ma queue, j’ai commencé à donner plusieurs coups de reins. « Oh oui, c’est bon ! Défonce le cul de ta Gaëlle d’amour ! » Devant tant d’engouement, je ne pouvais que répondre favorablement.
Mais nos mouvements désaccordés me firent sortir de son cul. Émilie, en attrapant ma queue, manifesta son mécontentement. « Oh non ! T’en n’as pas encore fini.
» Elle me fit rentrer plus rapidement que la première fois mais tout aussi délicieusement et un peu plus profondément. J’y allais de bon cœur sous les encouragements d’Émilie et c’était vraiment très plaisant.
Je serais bien resté dans son cul pendant des heures, mais Émilie en a décidé autrement. Au bout de plusieurs délicieuses minutes, elle s’est relevée pour me présenter son dos. J’ai cru qu’elle allait me faire entrer dans sa chatte, mais pour mon plus grand plaisir, je l’ai vu prendre ma queue et la frotter contre son petit trou encore ouvert. Elle n’a pas mis longtemps à m’y faire entrer et je me suis vu disparaître progressivement en elle. Environ à la moitié, Émilie s’est allongée sur moi et son dos est venu contre mon torse. Une main sur ses hanches, l’autre sur ses seins, je suivais le rythme qu’elle imposait délicieusement. Elle soupirait de plaisir accompagné de quelques « Oh oui ! Oh oui ! » Je me sentais entrer de plus en plus profondément en elle et elle m’encourageait à continuer. « Oui, continue... c’est bon ! » Alors je commençais à lui donner quelques coups de reins. « Oui ! Vas-y Julien...
Défonce le cul de ta Gaëlle ! » Sa phrase m’excita encore un peu plus et j’ai passé ma main de ses seins à ses hanches pour l’appuyer sur mon membre dur et tendu et ainsi m’enfoncer encore un peu plus sous les râles d’Émilie.
Je pensais être entièrement en elle, mais quand Émilie s’est redressée, je me sentis m’enfoncer encore plus profondément dans ces entrailles. Là, j’étais vraiment entièrement dans son cul. « C’est tellement bon... je vais jouir dans ton cul ! » Après quelques coups de reins, Émilie me fit sortir. « Retiens-toi encore un peu ! » Facile à dire ! J’ai failli éjaculer au moment de quitter son cul délicieux mais j’ai réussi à ne pas le faire.
Alors Émilie s’est mise sur le côté en relevant une jambe. « Vas-y, prends mon cul... et remplis-le ! » Je présentais ma queue frétillante et entrai sa difficulté. Je me suis penché en avant pour l’embrasser avant de prendre son sein droit dans ma bouche. Nous étions dans la chambre de Gaëlle, sur le lit de Gaëlle. Il y avait même l’odeur de son parfum sur les draps. Tout me rappeler ma douce Gaëlle et il ne fut pas difficile d’imaginer que c’était elle qui m’offrait ce moment d’intense plaisir. J’ai joui sans retenue comme si j’étais avec Gaëlle. C’est pourtant sur sa mère que je me suis effondré.
Mais Émilie en voulait plus. Je sentais encore ma queue faire des soubresauts dans son cul qu’elle se releva et me mit sur le dos. Elle me chevaucha avant de prendre ma queue à demi-molle dans sa main. « Viens régaler ma chatte ! » Je n’ai rien eu le temps de dire ni de faire, elle me faisait entrer en elle puis m’attira vers elle pour me caler la tête entre ses seins que j’embrassais avidement. Je reprenais rapidement de la vigueur et la sensation de me sentir grossir en Émilie me procurait une sensation bien agréable. Émilie remuait sur ma queue dure en m’enserrant la tête entre ses bras.
Elle m’écrasait délicieusement le visage entre ses seins pendant que je lui caressais le dos et les fesses d’où je sentais couler ma semence. Émilie était dans un autre monde et je sentais son corps tout entier frémir. « Vas-y Julien, baise-moi... baise-moi... baise-moi ! » Elle gémissait fortement et je la sentais proche de l’orgasme. « Vas-y baise-moi comme tu baises ma fille ! » Moi-même je n’étais pas loin de céder à l’appel du plaisir.
— Oui Émilie... et j’aime te baiser comme je baise Gaëlle !
J’avais à peine fini ma phrase qu’Émilie se mit à trembler en levant la tête vers les hauts en hurlant silencieusement son plaisir. Dans le même temps, j’explosais moi aussi en me répandant au plus profond d’Émilie. Nous nous sommes effondrés sur le côté et je me suis dégagé de l’étreinte d’Émilie. Elle me sourit et écarta les cuisses pour que je puisse voir mon jus couler de ses deux trous.
Mais Émilie est une affamée. Alors que je m’approchais, elle attrapa ma queue et la prit dans sa bouche. Je poussais un soupir de satisfaction. Pourtant, je n’en pouvais plus et me sentir à nouveau bander dans sa bouche était presque douloureusement bon. Ce coup-ci, j’ai arrosé ces seins, si tant en est qu’on puisse parler d’arrosage. Saupoudrer serait certainement plus près de la réalité vu la petite quantité éjaculée.
Émilie fut enfin rassasiée et j’ai pu souffler un peu. J’étais épuisé par la voracité de la mère de Gaëlle et, en moi, je me disais qu’heureusement que la fille n’avait pas le même appétit. Néanmoins, j’avais beaucoup apprécié ma journée, surtout au moment où Émilie a tenu sa promesse. Gaëlle allait bientôt rentrer de son voyage et je ne rêvais que d’une chose, lui faire tout ce que je venais de faire à sa mère, dans la même chambre, sur le même lit. Émilie aussi avait beaucoup apprécié. Dans un état de semi-léthargie, elle me confia que je lui avais permis de réaliser un fantasme de longue date. Je me souviendrais longtemps de cette phrase. « Tu es le premier... Le premier à m’avoir sodomisée ! » Certes elle avait souvent joué avec son petit trou, insérant ses doigts, un plug ou même un bijou, mais personne n’avait investi les lieux. Le mythe tomba un peu et je compris à cet instant pourquoi elle était si insistante.
Elle voulait savoir si Gaëlle l’avait devancé ou non dans cette quête. Je lui ai certifié qu’elle avait précédé sa fille aînée puisque je n’avais pas eu ce privilège.
Je ne l’ai même jamais eu, Gaëlle trouvant l’acte contre nature. Je peux même certifier qu’Émilie a devancé sa fille cadette, mais ceci est une autre histoire et il se passera encore beaucoup de choses avant cela.
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