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Première fois mutuelle

Chapitre 5

Un pacte avec Émilie

Hétéro
La vie a repris son cours normalement. Gaëlle absente la semaine, les cours de mathématiques d’Heidi et les jeux de séduction d’Émilie... Enfin, quand je dis « reprendre un cours normal » je dois préciser que dès le mercredi suivant, après le cours d’Heidi terminé, Émilie est venue me voir. Bien entendu, nous avons parlé de la journée que nous avions passée ensemble. Oui j’avais aimé, oui j’avais envie de recommencer, mais j’aimais trop Gaëlle pour la trahir à nouveau. Mais Émilie est aussi perverse qu’attirante. Elle a menacé, pas ouvertement bien sûr, de tout dévoiler à sa fille. Notre soirée de l’été dernier, notre journée ensemble ainsi que toutes les fois où nous avions eu des moments intimes. Je ne voyais pas qu’elles étaient les autres fois.
— Toutes les fois ? — Bien sûr. — Mais... de quelle fois tu parles ? — De la fois où tu m’as joui dessus dans le salon par exemple. J’ai toujours la photo, tu sais. — Tu veux que je lui montre les photos sexy que tu m’as envoyées ? Elle comprendra que c’est toi qui es venue me chercher. — Tu les as donc gardées, et tu ne lui as pas dit ! Alors je ne suis pas certaine qu’elle te croie. Et puis, regarde ça !
Émilie me tendit son téléphone. C’était une vidéo. Le matin où nous avions été chercher Gaëlle à son retour de voyage. On la voit clairement me sucer. Aucun doute possible, c’est bien moi, c’est bien elle. “Écoute bien mes paroles !” Je n’avais pas réalisé le jour même, car trop endormi, mais Émilie évoquait notre partie dans jambes en l’air sur le lit de Gaëlle quelques jours plus tôt. Et on m’entend clairement dire « Oui Émilie, ta bouche ! » alors que je passais la main dans ses cheveux. Et ces phrases dont j’ai à peine souvenir. « Oui Julien... jouis dans ma bouche comme tu as joui dans mon cul ! » ou encore, « Remplis bien ma bouche comme la dernière fois ! » Impossible de nier si elle décidait d’envoyer la vidéo à Gaëlle. Surtout qu’à la fin, on me voit clairement réveillé quand je préviens Émilie que je vais lui éjaculer au fond de la gorge, l’appelant par son prénom. J’étais livide. C’était elle qui commandait le jeu.
J’ai tenté de faire pression en évoquant l’identité du véritable père de Gaëlle, mais Émilie avait plus d’un tour dans son sac. « Si tu fais ça, je dis que j’ai voulu tout arrêté et que c’est juste pour te venger... vu que tu n’as aucune preuve. Réfléchis bien. »
J’ai effectivement pris le temps de la réflexion. Ce n’était pas si terrible que ça d’être l’amant de ma belle-mère. Elle était vraiment très jolie et j’avoue que j’étais loin d’être indifférent aux charmes de son corps. Et pas seulement à cause de la ressemblance avec sa fille ainée. L’organisation était simple, dès le cours d’Heidi terminé, nous pourrions faire des galipettes. Je me régalerais de ses seins, de sa chatte, de son cul... Elle me laisserait jouir en elle, sur elle, elle avalerait ma semence... Sa perversion me fascinait et je dois bien avouer que sa volonté que je l’appelle par le prénom de sa fille pendant nos parties de jambes en l’air m’arrangeait grandement. Ça m’éviterait une confusion des prénoms. Notre première relation extra-conjugale, pour elle comme pour moi, ne comptait que des risques limités.
— Alors ? — Ai-je vraiment le choix ? — On a toujours le choix. — T’es vraiment une salope, Émilie ! — Ton compliment me va droit au cœur.
Comme souvent, Émilie portait une robe sexy. Une robe pourpre lui arrivant à mi-cuisses et lui moulant parfaitement le reste du corps. Déjà, vers la fin de notre discussion, elle avait commencé à jouer avec son décolleté, ne me montrant que très partiellement ses seins. Comment lui résister quand elle faisait son visage d’ange ? J’ai eu un coup de chaud quand elle posa sa main sur le haut de ma jambe en disant d’une voix sensuelle « Alors, marché conclu ? » À peine ma réponse avait fait écho à sa question que sa main est montée jusqu’à ma bite. Elle se leva et prit ma main pour la poser sur ses seins que je commençais à caresser timidement en me levant. Nous nous sommes embrassés alors que je lui dégageais les épaules. Puis j’ai retiré mon T-shirt pendant qu’elle dégrafait mon pantalon. Quand celui-ci tomba à mes chevilles, Émilie s’accroupit et commença à me sucer agréablement.
Puis elle se releva et se colla à moi. « J’ai trop envie de toi ! » me dit-elle en prenant ma main pour la passer entre ses cuisses. « Regarde comme je suis mouillée ! » Je le sentais à travers sa robe, Émilie ne portait pas de sous-vêtement. J’ai pu le vérifier immédiatement puisqu’elle s’assied sur le canapé, jambes relevées et écartées. Je me suis agenouillé devant elle et j’ai commencé à la laper. « Oui Julien, fais du bien à ta Gaëlle ! » J’avoue que cela m’excitait autant que ça me déculpabilisait qu’Émilie se prenne pour sa fille. Émilie gémissait sous mes coups de langue en serrant la tête contre elle. Même si ce n’était pas l’habitude de Gaëlle, je m’imaginais être avec elle, la laper, la doigter...
— Je suis sûre que tu as envie de baisser ta Gaëlle.
Me dit-elle en se dégageant. Je me suis assis à mon tour sur le canapé et j’ai regardé Émilie faire demi-tour, se pencher en arrière et s’assoir sur moi. Je lui embrassais le dos et confirma ses dires. « Oui Gaëlle, j’ai envie de toi ! » Mon pieu lui écartant les fesses qu’elle s’amusait à resserrer. Puis elle se releva un peu, attrapa mon érection et la positionna entre ses cuisses. Émilie se laissa glisser en me faisant entrer délicieusement en elle. J’agrippais ses seins alors qu’elle sautillait relativement rapidement. J’entrais en elle profondément et c’était vraiment agréable. Je lui laissais imprimer le rythme en savourant notre plaisir. Quand elle se redressa, j’en ai profité pour lui retirer sa robe. Elle s’est à nouveau appuyée sur moi et je malaxais ses seins. « J’aime tes gros seins ma Gaëlle ! » Ça semblait grandement l’exciter que je l’appelle par le prénom de sa fille et cela m’arrangeait. « Tu les aimes assez pour leur jouir dessus ? » J’ai répondu par l’affirmative.
Mais avant cette finalité, Émilie s’est relevée puis s’est mise à 4 pattes sur le sol. « Allez ! Viens me défoncer la chatte, je sais que tu aimes ça ! » Je la prenais ainsi sans le moindre scrupule et j’allais fortement dans sa chatte ouverte et dégoulinante de désir.
Mais face à cette décharge de plaisir, je n’ai pas pu tenir plus longtemps. J’ai prévenu mon amante qui se releva et me prit entre ses seins. Il ne m’a pas fallu plus de 10 secondes pour exploser et inonder sa poitrine de mon plaisir. « Oh oui Gaëlle ! »
Mes derniers jets touchaient à peine sa peau que son téléphone sonna. Elle décrocha calmement et répondit à son mari en étalant mon sperme sur sa poitrine. De temps à autre, elle portait ses doigts à sa bouche pour s’en délecter. Je me rhabillais rapidement et ramassai sa robe pour la lui donner. Elle me fit signe de partir. Je n’ai pas cherché à rester, j’avais eu ce que je voulais.
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