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Première fois mutuelle

Chapitre 8

Hétéro
Comme nous en avions parlé pendant les vacances, j’ai commencé à rejoindre Émilie à l’hôtel une à deux fois par semaine en plus de la sauter le mercredi après le cours de mathématiques d’Heidi. De temps à autre, nous nous voyions à ma pause de 10h pour une simple pipe dans sa voiture. J’adorais éjaculer dans sa bouche, sur sa figure ou sur ses seins avant de retourner en cours. J’adorais la voir repartir la bouche ou le décolleté encore maculé de mon plaisir. En plus de cela, elle continuait de m’envoyer des photos avec des pauses sexy et dévêtues... voire totalement nue.
L’autre nouveauté de ma vie était les petits jeux par cam interposée avec Gaëlle dès la reprise de ses cours. Ça a commencé naturellement. Était-ce ses examens qui la poussaient à lâcher la pression ? Quoi qu’il en soit, Gaëlle commença à prendre des postures sensuelles, voire aguicheuses. Elle avait des vêtements très près du corps et un décolleté ne cachant pas grand-chose de sa jolie poitrine. Cependant, elle finit par remettre le cadrage sur son visage et uniquement sur son visage. Je n’ai pas retiré la main de mon caleçon pour autant. Son attitude innocemment provocante avait mis mes sens en ébullition et avait fait naitre une solide érection. Notre discussion ne m’a pas fait débander, loin de là. J’avais l’impression que Gaëlle était en train de se caresser et le son de sa voix semblait confirmer mes doutes. Elle avait même découvert ses épaules et je l’imaginais se caresser les seins en me parlant. Sa voix s’est mise à trembler imperceptiblement.
Je suis certain qu’elle voulait que je devine ce qu’elle était en train de faire et mon imagination débordante a fait le reste. J’essayais de ne pas montrer que j’avais entrepris une branlette digne de mes plus belles années, pourtant je mourais d’envie qu’elle sache dans quel état elle me mettait. Je ne sais plus exactement pourquoi nous avons coupé, mais je suis sûr que Gaëlle s’est fait du bien après notre discussion. Je l’imaginais se doigter pendant que je faisais ma petite affaire de mon côté. Waouh, quelle giclée j’ai eue !
Entre Émilie la semaine et Gaëlle le week-end, ma vie sexuelle était bien remplie, contrairement à mes couilles. Il ne manquait plus qu’Heidi et j’aurais couché avec toutes les femmes de la maison ! Bien que je l’eus repoussée, j’avais bon espoir que ça finisse par arriver. Dès le premier cours particulier de l’année, elle reprit son numéro de charme, me dévoilant ses attributs sans vraiment le faire. Ça m’arrangeait que les cours aient désormais lieu dans la chambre de la jeune fille. Cela me permettait quelques œillades dans son décolleté sans déclencher une crise de jalousie de sa mère. Bien qu’étant à moins de deux mois de sa majorité, Heidi paraissait plus âgée que sa sœur aînée. J’étais impatient qu’elle souffle sa 18e bougie pour lui proposer de souffler sur la mienne.
En attendant, voir le décolleté plus que plongeant d’Heidi m’avait mis dans un état de surchauffe avancé et je lui avais donné un exercice à faire le temps que j’aille me chercher un verre d’eau, espérant refroidir un peu la machine.
À la cuisine, Émilie était en train de préparer un gâteau. Elle tourna la tête vers moi avec un regard faussement innocent. « Ça se passe bien avec Heidi ? » Quelle garce ! Je suis certain que c’était à cause d’elle qu’Heidi recommençait à être si provocante. Ça se voyait dans ses yeux. J’ai fait moi aussi l’innocent et j’ai dit que tout allait bien. Ça n’a pas empêché Émilie de me faire un numéro de charme. Elle n’eut aucun mal à me convaincre de sortir ma queue dure de mon pantalon pour qu’elle me branle. J’en ai joui sur sa jupe de plusieurs jets avant de retourner faire cours à sa fille.
Malgré l’éloignement de la semaine, Gaëlle était un peu distante le week-end suivant. Certes, elle était toujours en période d’examen et j’espérais retrouver sa jovialité après sa période de stress. Néanmoins, j’ai pu discuter un peu avec elle de ce qui s’était passé durant notre séance vidéo de la semaine. Elle me confirma qu’elle avait commencé à se caresser durant notre discussion. Je le lui ai fait part de l’excitation que cela avait procuré chez moi et je lui ai proposé que, la prochaine fois, nous ne nous cachions pas. Elle m’a jeté son oreiller à la figure en ricanant. Je me suis jeté sur elle et ce fut parti pour un doux moment de tendresse. Depuis quand n’avions-nous pas pris le temps de nous cajoler, de nous embrasser... juste pour le plaisir d’être ensemble ? Lui caresser le dos, les fesses, les seins... l’embrasser dans le cou... commencer à la déshabiller sans vraiment le faire...
Nous n’avons pas fait l’amour, mais en avions-nous réellement besoin ? De toute façon, Gaëlle était indisposée. Dans tous les cas, nous avons passé un très bon moment de tendresse, bien que Gaëlle ne soit pas au mieux. Ça a duré jusqu’à ce qu’Heidi frappe doucement à la porte. Gaëlle s’est rajustée et l’a autorisée à entrer. « Gaëlle, je peux te parler ? » Elle soupira d’un air un peu agacé. « S’il te plaît... » soupira sa petite sœur. Gaëlle s’est levée et m’a regardé. « De toute façon, c’est bientôt l’heure de manger ! » Nous nous sommes échangé un court baiser et elle a suivi sa cadette.
Notre moment de complicité aurait pu reprendre après le repas, mais les deux sœurs ont voulu passer plus de temps ensemble qu’elles n’en avaient l’habitude. Après le film du soir, une comédie à l’eau de rose des plus désolantes, je pensais encore une fois pouvoir reprendre là où nous nous étions arrêtés avec Gaëlle. Mais quand je suis arrivé dans la chambre de ma dulcinée, Heidi était tranquillement assise sur le lit à discuter de choses et d’autres avec son aînée. Je me suis installé moi aussi sur le lit de Gaëlle, la tête posée sur ses genoux, et j’ai commencé à écouter la discussion des deux sœurs. Mais rapidement, je me suis mis à imaginer ce que la scène aurait pu donner si elle avait eu lieu quelques semaines plus tard. Je dois avouer que la vue imprenable que j’avais sur les cuisses d’Heidi, ou plutôt entre ses cuisses, vu la petite longueur de sa jupe, m’inspira fortement.
Certes, Heidi avait des cuisses plutôt potelées, mais sa culotte de coton blanc laissait deviner que sa pilosité vulvaire était bien plus proche de celle de sa mère que de sa sœur. J’ai fini par m’endormir, bercé par les douces voix des deux sœurs. Je ne l’ai su qu’à mon réveil, mais Heidi avait dormi avec nous. En tout cas, si Heidi et Gaëlle commençaient à s’entendre aussi bien, mon fantasme d’avoir les deux sœurs pour moi tout seul pourrait devenir réalité.
Avec le nouvel état d’esprit de Gaëlle, j’attendais avec impatience notre visio du mardi. Elle m’a répondu d’un joyeux « Oui mon cœur ! » qui m’engoua particulièrement. J’ai pris des nouvelles de sa journée d’examen. Je pensais qu’elle avait terminé, mais il lui restait un oral le lendemain. Elle était plutôt confiante et cela se sentait dans sa voix. Je ne savais pas comment évoquer la fois précédente et mon envie de ne pas nous cacher, alors j’ai simplement parlé du week-end. « Tu sais, je suis ravi de te voir ainsi... puisque ce week-end tu n’étais pas... au mieux. » Elle parut un peu troublée quand je lui ai dit ce que je lui aurais fait si sa sœur n’était pas venue nous déranger. Passer mes mains sous ses vêtements pour lui caresser lentement le ventre, les seins, le dos... lui dégrafer son jeans et le lui retirer doucement en déposant des baisers le long de ses jambes... remonter à son ventre... à ses seins... que j’aurais embrassés jusqu’à ce qu’elle en meure de plaisir.
J’ai continué à décrire des images érotiques et j’ai eu l’impression que Gaëlle commençait à se caresser. Comme la semaine précédente, je ne voyais que son visage et cela m’excitait énormément de l’imaginer se faire du bien pendant que je lui parlais. Ces gestes, son regard... il y avait quelque chose de différent. Et puis, ses épaules s’étaient dénudées sans que je ne m’en aperçoive. Ceci confirmait mes soupçons et je ne tardais pas à bander très dur en pensant que Gaëlle était seins nus de l’autre côté de l’écran. Puis le bruit de son jeans qui s’ouvre... du tissu qui glisse sur ses jambes et ses tentatives de rester discrète alors que manifestement, elle se déshabillait.
Quand Gaëlle reprit sa position, elle ferma les yeux et commença à soupirer un peu plus profondément. Son plaisir se dessinait de plus en plus sur son visage. La bouche entrouverte, les yeux toujours fermés, sa respiration s’était accélérée. J’ai dégrafé mon pantalon pour libérer mon érection qui commençait à être sérieusement douloureuse. Je commençais à me branler devant l’écran en voyant que Gaëlle bougeait ses bras, mais je ne savais pas exactement ce qu’elle faisait. Je l’imaginais se caresser, se doigter, se masser... et je me branlais en même temps et au même rythme qu’elle.

Mon amour modifia sa position. Par son mouvement, j’ai supposé qu’elle avait fini par retirer son pantalon, peut-être même sa culotte. Au bruit, je la devinais avec une jambe sur son bureau, les cuisses ouvertes et les doigts à l’intérieur de son corps. Gaëlle fit basculer sa tête en arrière dans un souffle saccadé, son sourire sur son visage me ravissait. Je ne pouvais voir que ça et ne pas avoir de certitude sur ce qu’elle faisait exactement m’excitait de plus en plus tant mon imagination débordait de scènes toutes plus érotiques les unes que les autres. La tête légèrement en arrière, les yeux mi-clos, elle se mordillait un peu les lèvres entre deux soupirs. Le son de sa voix tremblait de plaisir. « Oui ! Julien ! » Je me retenais pour ne pas exploser, voulant accompagner au maximum l’élu de mon cœur. Le plaisir se dessinait de plus en plus sur son visage, c’était comme si la privation de contact augmentait la capacité de Gaëlle à être démonstrative.
Ses yeux fermés se plissaient et un gémissement-rire s’échappa de sa bouche. Elle venait d’avoir un orgasme et j’en éjaculai de la voir ainsi. Gaëlle respirait fortement pour tenter de reprendre un souffle normal. De mon côté, j’avais le cœur qui battait vraiment très fort dans ma poitrine. J’ai regardé mon amour et je lui ai dit « T’es vraiment belle quand tu jouis ! » Elle eut un sourire amusé par ma remarque.
Nous avons repris une discussion normale quelques minutes avant que je lui souhaite bonne chance pour sa dernière épreuve. J’espérais que le week-end suivant, elle soit plus réceptive que les semaines précédentes pour que nous puissions vivre en réel le plaisir que nous venions de prendre lors de notre jeu virtuel. J’ai d’ailleurs tenté de mettre un peu de distance dans ma relation avec sa mère, mais il m’était impossible de résister à Émilie. Même si je l’avais réellement voulu ! Je crois même que le fait de lui avoir repoussé l’espace d’un instant avait démultiplié son envie. Elle m’avait d’ailleurs fait une des meilleures pipes que j’ai pu apprécier de ma vie, tant par le plaisir physique que par le fait qu’elle soit à genoux devant moi dans un recoin du parking du lycée. Je lui avais éjaculé copieusement sur le visage, si bien que ça avait coulé jusque sur ses seins et même dans son soutien-gorge.
Je crois que sa volonté que je l’appelle par le prénom de sa première fille durant nos ébats m’excitait encore plus que je ne l’étais déjà. Et c’est d’ailleurs à ma bien-aimée Gaëlle que je pensais pendant que j’avais la queue dans la bouche d’Émilie. J’ai revu l’expression orgasmique de son visage alors que je maculais celui de sa mère. J’aurais tant voulu lui prendre le cul sur le capot de sa voiture, mais la pause de 10h ne m’en laissa pas le temps. Qu’à cela ne tienne, je le lui ai pris à l’hôtel le midi même comme je lui avais fait la veille dans le lit de Gaëlle après le cours que j’avais donné à Heidi. Émilie aimait que je lui prenne le cul sans la prévenir et c’est exactement ce que j’ai fait. Comme le plus souvent, j’étais en cuillère avec elle, la prenant profondément en l’agrippant par les seins et d’un coup, je lui glissais tout aussi profondément ma queue dans son gros cul pour l’entendre râler d’un douloureux plaisir.
Presque à chaque fois, j’explosais au fond de ses entrailles.
Mais même si j’aimais toute cette débauche de sexe, je préférais très nettement la douceur de Gaëlle. Et le samedi suivant, ma bien-aimée était sur le même mode que moi. Tendresse et encore tendresse. Des baisers et encore des baisers. Chacun d’eux claquait et résonnait dans sa chambre. Depuis que nous y étions entrés jusqu’à ce que nous soyons allongés sur le lit, nous n’avions pas dit un mot. Pourtant, nous nous étions étreints passionnément, passant nos mains sous les vêtements de l’autre pour nous caresser mutuellement. J’avais coincé Gaëlle contre le mur et je lui ai retiré d’un coup son T-shirt et son pull alors qu’elle faisait de même avec mes vêtements. J’ai dégrafé son soutien-gorge pendant qu’elle s’occupait de mon jeans et je me suis retrouvé avec le pantalon aux chevilles alors que Gaëlle était seins nus. Nous nous sommes encore étreints quelques instants durant un délicieux baiser où nos langues ont joué sensuellement.
Et puis, après m’avoir embrassé dans le cou, Gaëlle me souffla quelques mots à l’oreille. « J’ai envie d’essayer un truc dont Sabrina m’a parlé ! » Je me demandais bien ce que sa colocataire avait pu lui raconter pour que Gaëlle ait soudainement envie d’essayer quelque chose. Sabrina avait de multiples amants et je m’attendais à quelque chose de très chaud quand mon amour me poussa vers son lit. Gaëlle m’y allongea et commença à embrasser mon ventre puis mon érection sur toute la longueur de sa hampe. Des doux baisers, des coups de langue très agréable, des caresses... j’ai apprécié également de sentir mes couilles légèrement aspirées. Puis elle revint à ma queue dure d’envie pour elle. Le plus lentement du monde, elle passait et repassait ses lèvres et sa langue sur mon gland, ne le prenant que partiellement en bouche.
Puis, prenant ma hampe à pleine main, Gaëlle commença à m’engloutir doucement. D’abord la moitié du gland, puis les trois quarts. Elle a bien dû mettre 3 à 4 minutes avant de le prendre entièrement dans sa petite bouche, l’entourant de sa langue. Quand elle commença à descendre petit à petit, je fus traversé par des éclairs de plaisir proche de l’extase. Je la laissais faire tant c’était agréable. Elle n’avait pas besoin de me prendre entièrement dans sa bouche pour que j’étouffe mes soupirs de plaisir en me mordant les lèvres... même si je ne demandais que ça.
Pour ne pas me faire succomber à mon agonie, Gaëlle recommença à me lécher et m’embrasser sur toute ma hampe et j’adorais la sensation de ses lèvres glisser et remonter le long de mon érection, passer sur mon gland et s’ouvrir pour me reprendre en bouche. De plus en plus profondément, même sans investir entièrement sa petite bouche. Plus d’une fois, j’ai cru que j’allais exploser alors qu’elle m’aspirait divinement. Et puis ce moment est venu. Je l’ai prévenue parce que je sais qu’elle n’aime pas les éjaculations buccales. Cependant, elle continuait de me sucer, accélérant même le rythme, resserrant ses lèvres sur ma hampe, sur mon gland... elle se retira juste au moment de l’éruption. Mais Gaëlle recommença à me sucer malgré mon sperme qui coulait le long de mon érection. Elle toussota avec une expression d’écœurement puis cracha ma semence sur ma cuisse. « Désolée, je ne peux vraiment pas ! » J’ai eu un petit sourire. J’étais conscient qu’elle l’avait fait pour moi.
Gaëlle est venue dans mes bras et nous nous sommes embrassés. Elle avait encore un peu de ma semence dans la bouche et, par conséquent, elle la partagea avec moi. Quelle sensation étrange, pas forcément désagréable, mais je dois reconnaitre que je comprenais Gaëlle. Le goût et la texture étaient loin d’être exceptionnel. Je le lui ai dit après notre baiser, elle éclata de rire. J’ai tout de même continué de lui parler de cette magnifique pipe.
— Tu discutes souvent de sexe avec Sabrina ? — Pas vraiment... mais ça arrive quand même. — En tout cas, tant qu’elle te donne des conseils comme celui-là... tu peux continuer ! — C’est vrai ? Tu as aimé ? — Oui mon cœur, c’était très agréable.
Gaëlle arborait un joyeux sourire. « En contrepartie, je vais l’accompagner à une de ses soirées ! » J’ai blêmi et Gaëlle éclata de rire à nouveau. J’ai repris des couleurs quand elle m’indiqua que c’était une blague. J’avais du mal à imaginer Gaëlle au milieu d’un gang bang. Plus exactement, je n’avais pas envie de l’y imaginer. Je la voulais pour moi et moi seul. Ou, à la rigueur, je la partagerais bien avec sa mère, sa tante ou sa sœur... ou avec les 3 en même temps. Mais une question me tira de mes pensées perverses. Comment Sabrina avait-elle indiqué à Gaëlle comment faire ? Moi qui voyais déjà Gaëlle partager avec sa colocataire un de ses nombreux amants, la réponse me rassura. « On a pris son sex-toy. » J’ai eu un petit sourire en imaginant les deux femmes sucer le même sex-toy à tour de rôle. Gaëlle me laissa à mes fantasmes pour aller se nettoyer la bouche. Quand elle revint, elle avait passé une chemise de nuit très classique et s’allongea à côté de moi.
Je l’avais entendue échanger quelques mots avec sa sœur juste avant d’entrer dans sa chambre. « Elle voulait quoi Heidi ? » J’avoue qu’en posant la question, j’imaginais déjà la cadette de la maison dormir avec nous, comme le samedi précédent.
— Rien, elle a un problème de cœur et... — Elle a un copain ? — C’est plus complexe que ça... mais peut-être que tu pourrais donner ton avis. — Pourquoi pas !
Gaëlle alla chercher sa petite sœur pendant que je me mettais sous les draps. Heidi avait, elle aussi, une chemise de nuit très classique, mais le tissu était bien plus tendu par les jolies formes de la jeune fille. Ses fesses, ses hanches, ses seins... tout était mis en valeur par cette simple flanelle. Elle était entièrement nue sous cette chemise de nuit, ça se voyait tant par l’absence de marque au niveau de sa taille que par la petite pointe qui naissait au niveau de ses seins. J’ai réprimé tant bien que mal mon désir pour écouter ce qu’Heidi avait à dire. Elle voulait mon avis d’homme sur sa situation. Elle éprouvait des sentiments pour deux garçons. Le premier, celui pour qui son attirance était plus forte, était déjà en couple alors que le second était libre. Que fallait-il qu’elle fasse ? Aller chercher le numéro 1 dans son cœur, quitte à briser un couple ou se contenter du second, même si ses sentiments étaient moins forts.
— Tu connais bien la copine du mec ? — Oui... plutôt bien... pourquoi ? — Tu t’entends bien avec elle ? Ou alors tu la détestes ? — Julien ! Tu vas quand même pas lui dire de... — Bah... Si elle peut pas piffer la nana, on s’en fout qu’elle lui pique son mec. — Non... je l’apprécie beaucoup et je pourrais pas lui faire ça. — Très bien... donc tu as ta réponse, Heidi. Tu prends le numéro 2.
Heidi me remercia et quitta la chambre après avoir embrassé sa sœur sur la joue. Mais à peine sa sœur partie, Gaëlle me fit une remarque cinglante, pour elle, chercher à séduire une personne en couple n’était pas admissible. Je me suis excusé, elle avait totalement raison. J’aurais dû réfléchir un peu plus avant de donner mon conseil à Heidi. J’avais brisé notre bel entrain et Gaëlle acceptait tout juste que je l’embrasse. Par conséquent, je n’ai pas eu la douce nuit d’amour que j’espérais tant. J’ai même eu beaucoup de mal à trouver le sommeil, la remarque de Gaëlle m’ayant donné un désagréable frisson. Quoi que j’en dise, j’avais joué un jeu de séduction avec une femme mariée... sa propre mère. Mais au milieu de la nuit, j’ai été sorti de mon pseudo-sommeil par une sensation agréable. Vraiment, je souhaite que tous mes réveils soient ainsi. J’ai cru un temps que Gaëlle m’avait repris dans sa bouche. Mais j’ai rapidement réalisé qu’elle dormait profondément à côté de moi.
Il n’y avait pas des milliers de possibilités, car je voyais mal Heidi venir dans la chambre de sa sœur pour me sucer. J’ai caressé les cheveux de cette femme qui me faisait tant de bien et j’ai rapidement eu la confirmation qu’il s’agissait bien d’Émilie. Dans le noir, mes sensations étaient démultipliées et la manière de faire de mon amante était aussi agréable que celle de sa fille quelques heures plus tôt. Je la sentais monter et descendre le long de ma queue au garde à vous, l’entourant de sa langue, avec une lenteur qui aurait eu raison de tous les hommes. Quand j’ai atteint le fond de sa gorge, je me suis mordu les lèvres à sang pour ne pas crier mon plaisir. J’ai éjaculé juste après être sorti de sa bouche.
Je ne sais pas très bien où est partie ma semence. J’avais tenté de viser Émilie et je pense y être arrivé. Au moins partiellement. Je l’ai entendue se lécher les doigts et chuchoter un « mmm délicieux ! » Je pensais qu’elle s’en irait comme elle était venue, mais je n’avais pas encore débandé qu’Émilie recommença ses délicieux coups de langue. Elle me branlait en même temps et je n’ai pas tardé à sentir à nouveau les prémisses de l’éjaculation. Elle n’a pas eu besoin d’insister beaucoup plus longtemps et j’envoyais toute la semence qu’il me restait dans sa bouche ouverte. Dans la pénombre, je l’ai aperçue la refermer et je l’ai entendue déglutir avant de sentir à nouveau sa langue sur mon gland. Elle le nettoya avant de faire de même avec mon ventre. Elle avala une seconde fois puis m’embrassa avant de regagner sa chambre.
Le dimanche, Gaëlle était redevenue la tendre petite amie que j’aimais tant. Je n’ai pas osé réaborder le sujet, mais il semblait qu’elle avait pardonné mes paroles. J’aimais l’embrasser et la prendre dans mes bras... surtout en présence de sa mère. Je crois que j’aimais tout autant rendre Émilie jalouse, elle n’en était que plus inextinguible durant la semaine. Ma vie avait trouvé son rythme, l’insatiable Émilie la semaine et la douce Gaëlle le week-end. Mais j’avais droit à une parenthèse douceur et séduction le mardi.
C’était désormais institué, nous pouvions avoir un peu d’intimité, même si ce n’était que virtuellement. Une pseudo masturbation systématique s’était mise en place et nous ne nous cachions plus vraiment. C’était assez étrange, mais très plaisant, et nous prenions beaucoup de plaisir durant ces séances. Je me souviens d’un soir où Gaëlle s’était particulièrement lâchée. Elle était dans le salon plutôt que dans sa chambre et après une petite discussion pleine de sous-entendus, Gaëlle s’assit sur l’accoudoir du canapé de manière à ce que je puisse la voir. J’avais aimé voir l’expression de son visage lors de nos précédentes visio, là j’allais la voir entièrement. Une jambe de chaque côté de l’accoudoir, elle commença par un mouvement de bassin d’avant en arrière. Je ne tardais pas à bander très dur, surtout en voyant que les seins de Gaëlle commençaient à pointer sous son top. Elle n’avait pas de soutien-gorge, j’en étais certain.
La confirmation est venue quelques instants plus tard, quand elle retira sensuellement son top. J’avais déjà mon jeans ouvert et je sortais ma queue dure de sa cachette alors que Gaëlle exhibait sa jolie poitrine. Puis elle détacha son jeans et y glissa une main. J’ai commencé à me branler véritablement et je savais que je ne durerais pas longtemps si Gaëlle continuait à m’exciter de la sorte. J’ai ralenti quand elle arrêta de se caresser pour retirer son jeans, me dévoilant un string que je ne lui connaissais pas. Je le lui ai fait remarquer et, pour seule réponse, elle m’envoya un baiser à travers l’écran avant de reprendre position et recommencer son mouvement de bassin. Et rapidement, elle s’est caressée ouvertement alors que j’avais repris ma masturbation devant ce magnifique spectacle. Je n’allais pas tarder à jouir et déjà quelques grognements de plaisir s’échappaient de ma bouche. J’avais les gémissements de Gaëlle en écho et cela m’acheva.
Je tentais de résister pour exploser en même temps que mon amour. « Vas-y Gaëlle, vas-y ! » Je l’ai vu amplifier son mouvement de bassin et ses gémissements augmentèrent en volume. Ça y est, elle y était. J’ai pu libérer mon flot de plaisir, prononçant son prénom en m’étranglant presque tant le plaisir me coupait le souffle. Je me suis affalé dans mon fauteuil, regardant Gaëlle, les yeux fermés, semblant savourer l’instant.
Il y en avait partout, sur mon bureau, sur mon clavier...Quand Gaëlle revint à son ordinateur, je le lui ai montré. Elle était à la fois gênée et amusée. En même temps, elle était plutôt fière que je la désire autant. Mais je dois reconnaitre que c’est la perversité d’Émilie qui m’attirait le plus, sexuellement parlant. Peut-être que le risque de nous faire prendre augmentait notre excitation. Comme cette fois pendant un cours avec Heidi. Comme souvent, j’étais descendu me prendre un verre d’eau et comme souvent, Émilie me provoquait du regard. Elle avait une robe plutôt ample qu’elle se mit à remonter doucement en me regardant droit dans les yeux. Elle passa lentement sa langue sur ses lèvres alors que je voyais apparaître l’attache de ses bas puis sa culotte, assez sexy je dois admettre. Elle commença à se caresser devant moi, m’allumant de son regard de braise. Puis elle lâcha sa robe, se retourna et fit remonter le tissu jusqu’à ses fesses encore plus doucement que la première fois. « T’as pas envie de me baiser ?
Là, maintenant ! » J’ai failli m’étrangler en buvant et j’ai toussé plusieurs fois avant de répondre.
— Mais t’es folle ! Heidi est là-haut... — Et ça t’excite pas de savoir qu’elle pourrait nous surprendre ? — T’as pensé à ton mari ? A Gaëlle ? — Tu crois qu’Heidi irait cafeter ? Elle est amoureuse de toi. Au pire, elle te demandera de la sauter contre son silence... au mieux elle nous rejoindra ! La mère et la fille en même temps... tu n’en rêves pas ? Je suis sûre que si.
J’ai répondu par la négative bien que l’idée soit assez séduisante. Heidi amoureuse de moi ! Je comprenais mieux sa réponse l’autre soir dans la chambre de Gaëlle. « Non... je l’apprécie beaucoup et je pourrais pas lui faire ça. » A moi de lui montrer que si, elle était tout à fait capable de le faire. Il était certes encore trop tôt pour cela, mais sa mère était tout à fait en âge d’écarter les cuisses pour moi. Alors j’ai fini par craquer devant l’envie d’Émilie. J’avoue, je n’ai pas fait beaucoup d’effort pour lui résister. Je lui ai caressé les fesses, remontant sa robe jusqu’à la taille. Elle faisait de petits couinements de satisfaction. Et quand elle se remit fasse à moi, j’ai commencé à lui caresser l’entrejambe et à tirer sur sa culotte.
Comme Émilie aimait prendre l’initiative, elle attrapa la bosse qui déformait mon pantalon avant de le dégrafer pour libérer ma queue dure et tendue. « Oh, mais tu bandes pour moi. » J’ai fait oui de la tête et elle entreprit de me masturber d’une main douce alors qu’elle gémissait en se caressant très intimement de l’autre main. Je me suis rapproché un peu et mon gland effleura sa chatte lisse. Une fois, deux fois... et j’ai carrément commencé à la caresser ainsi. Sa chatte s’ouvrait devant moi et je n’ai pas tardé à la pénétrer. C’était serré, c’était doux, c’était bon et Émilie en gémissait de plaisir.
Tous deux debout dans la cuisine, je commençais à baiser la mère de Gaëlle et Heidi avec une certaine envie. J’entrais de plus en plus profondément en elle et cette sensation était un véritable délice. Rapidement, j’ai commencé à gémir, me sentant proche de l’éjaculation. Émilie profita encore un peu du plaisir que nous partagions avant de me faire ressortir presque entièrement de son corps et de me branler frénétiquement. Mon gland était encore à moitié en elle, tout au plus, et ma hampe était pleine de son jus. Un délice. Elle contrôlait mon plaisir et le sien et lorsque le moment fut venu, elle me fit éjaculer dans sa culotte. J’étais encore en train de reprendre mon souffle qu’Émilie rajustait sa culotte maculée avant de m’embrasser. « Va... Heidi t’attend ! » La fin du cours fut nettement plus fade, mais très plaisante pour les yeux.
Une vie sexuelle bien remplie ! Mais je n’attendais qu’une chose, avoir Émilie et Alice dans le même lit pour moi tout seul. Mais si les déclarations d’Émilie sur Heidi étaient vraies, celons je doutais peu, je me demande si je ne préférerais pas un duo avec les deux sœurs ! A moins que la venue de Bethany ne me permette de réaliser ce fantasme avec Gaëlle et sa correspondante. Finalement, pourquoi choisir ? Peut-être que toutes les formules seront réalisables !
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